• La Rédaction

     

    Le Duc d'Arjona publie ses souvenirs

    Le Duc d'Arjona, l'un des fils de la célèbre Duchesse d'Albe, publie aujourd'hui ses souvenirs : De Cayetana a Cayetano.

    Cayetano Martínez de Irujo y Fitz-James Stuart décrit son enfance et en particulier de son adolescence, à l'époque où la Duchesse d'Albe était remariée. Il aborde les difficultés profondes que la solitude familiale lui a fait rencontrer.

    Parmi ces difficultés, la drogue, ou encore la Scientologie, dont il parvint à s'extraire.

    Aussi au menu de ces souvenirs, sa relation avec l'Infante Elena d'Espagne.

    L'ouvrage, publié à la Esfera de los Libros est préfacé par celui qu'il nomme "son père adoptif, Luis María Ansón, de l'Académie royale espagnole, qui le présentera le 23 septembre.

    Le Duc d'Arjona publie ses souvenirs

     


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  • Les chevaux de batailles de Napoléon - Philippe Osché

    AKFG ;  16 nov. 2018 ;  153 p.;   illustrations ; 29€.

    Présentation officielle : Ce livre retrace l’épopée des chevaux de l’équipage de selle de Napoléon Bonaparte durant les quatorze années de son règne sur l’Europe.
    On y découvre leurs races, leurs origines, leurs robes et leurs destins souvent tragiques. Chaque cheval est présenté individuellement et replacé dans son contexte historique.
    On y évoque aussi l’organisation des Écuries du Premier consul, puis de l’Empereur sous la direction du Grand écuyer Armand de Caulaincourt.


    Pour la première fois, de nombreux chevaux ont été identifiés avec certitude dans des œuvres renommées de l’iconographie napoléonienne présent dans les musées et collections particulières. Un nombre important de tableaux reproduits dans cet ouvrage sont totalement inédits et n’ont, à ce jour, jamais été publiés.

    Les chevaux de batailles de Napoléon - Philippe Osché


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  • La Rédaction

     

    Nous vous laissons en compagnie de cette histoire parue il y a quelques heures. Charles Étienne Gudin de la Sablonnière, mort à Smolensk en 1812.

    Le Général Gudin retrouvé en Russie ?


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  • La Rédaction

    C'est une poire de discorde entre le successeur du Prince d'Araucanie et le groupe, dit des Anciens, d'abord constitué autour de M. Parasiliti di Para, qui avait adopté le nom d'Antoine IV,  aujourd'hui conduit par M. Frédéric Luz.

    Ce groupe avait publiquement qualifié de faux, la lettre apportée en 2014 par M. Franz Quatrebœufs, portant une signature du défunt Prince d'Araucanie,  lettre l'instituant son successeur.

    Cependant, l'expertise de la signature du défunt a été pudiquement omise alors qu'elle aurait dû s'imposer naturellement. François de La Garde a fait savoir à plusieurs reprises, (la dernière, au début de 2018), qu'il pouvait fournir pour comparaison une signature du défunt correspondant aux critères nécessaires d'identification.

    Les arguments apportés par les Anciens dans le but de démontrer comme un faux la lettre de M. Quatreboeufs, n'ont jamais été considérés par François de La Garde comme probants.

    Il regrette que M. Franz Quatrebœufs ne lui ait jamais fourni d'argument ni même de commencement de preuve de la véracité de son document, alors que le même sait bien que lui seul, par son rôle de témoin de cette époque critique et la place particulière qu'il occupait dans le destin de l'Araucanie, pouvait démontrer, et témoigner de vraisemblances par ailleurs observées, quant à une éventuelle désignation de M. Quatrebœufs par le Prince défunt.

    Pour François de La Garde, le détournement par M. Quatrebœufs du nom du royaume d'Araucanie doit cesser. Pour cela, le groupe des Anciens devra accepter de soumettre à une expertise en bonne et due forme la lettre de M. Quatrebœufs, au sujet de laquelle cependant il n'a émis, et persiste à n'émettre publiquement ni en privé aucune opinion quant à son authenticité.

    Il est attendu de la part du groupe des Anciens, d'opérer enfin avec cohérence et d'accepter que toute situation entre dans les formes qu'elles sont censées occuper. C'est pour cela que François de La Garde émettra en direction du groupe des Anciens une demande officielle d'expertise.


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  • La Rédaction

    Comme son secrétariat nous en a fait part, le Chef de la maison royale d'Araucanie Philippe Orllie s'est récemment adressé à M. Pierre Mollier, responsable des archives et dignitaire du Grand-Orient de France, concernant la mémoire d'Antoine de Tounens.

    Il a demandé qu'il ne soit plus fait état, ni de mise en relief de la part de cette obédience, d'une appartenance d'Antoine de Tounens à la Franc-Maçonnerie, ce dernier ayant clairement rompu cette appartenance.

    Il a rejetté les allégations d'un auteur, J. F. Gareyte, qui a publié depuis deux ans un ouvrage en deux tomes consacré à l'illustre Français selon lesquelles celui-ci se serait rapproché de la Franc-Maçonnerie vers la fin de sa vie.

    Mais au-delà de cette allégation, ce qui est rejetté par le chef de la maison royale est cette colonisation du nom et de la personne d'un personnage génial dont le mérite fut de s'appartenir toute son existence, ce qui doit exclure toute tentative d'appropriation comme toute corruption de sa mémoire.

    Pour cela, on ne peut se prévaloir du premier roi d'Araucanie en s'attardant sur ce qui ne peut, et ne doit être qu'un détail de son existence, et dont le rappel un peu trop appuyé « revient à brouiller son image ».

    Antoine de Tounens, selon Philippe Orllie appartient à sa famille, au royaume qu'il a fondé, à ceux qui l'admirent, et enfin, il s'appartient, pour l'éternité à lui-même.

    Il indique que l'extrait de cette remarque adressée à M. Mollier sera communiquée ultérieurement au public.


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  • Le souverain captif - André Tardieu

    La révolution à refaire ; Préface de Maxime Tandonnet ;

    Perrin ;  paraîtra le 5 sept. 2019 ; 256 p.;   19€.

    Réédition d'une œuvre du célèbre Président du Conseil des années 20, qui fut lucide sur la montée des périls. RoyautéNews

    Présentation officielle : « Pour avoir mesuré la limite de l’efficacité gouvernementale, je crois plus que jamais à la puissance des idées. Un livre, s’il est bon et s’il porte, est plus fort qu’un ministère ou qu’une assemblée. On s’en est aperçu à tous les âges de l’humanité. » Dès l’avant-propos du Souverain Captif, André Tardieu exprime l’ambition qui l’anime au moment d’entreprendre son testament politique.
    Après 20 ans de vie parlementaire, plusieurs postes de ministres, trois présidences du Conseil, il n’est pas parvenu à atteindre son objectif de redressement de la France, en proie à une instabilité politique récurente et minée par la crise de 1929 face au péril hitlérien. A travers ce livre, il s’adresse directement au pays dans l’espoir de provoquer un sursaut de l’esprit public. Tardieu  fustige dans un style flamboyant l’instrumentalisation des grands principes républicains par les élites dirigeantes dans l’objectif d’asservir le peuple sous couvert de le servir. Comment parler de suffrage universel et de démocratie, s’indigne-t-il par exemple, alors que les femmes, c’est-à-dire la moitié de la Nation, en sont exclues depuis 150 ans, qu’il n’existe pas de politique sociale digne de ce nom et que l’instabilité gouvernementale a pour corollaire l’éternel retour des mêmes ministres ? Convoquant l’histoire et les meilleurs auteurs, il dénonce une forme d’imposture utilisant ad nauseam la mystique révolutionnaire, largement mensongère à ses yeux, pour justifier un parlementarisme qui ne profite qu’à la « profession parlementaire », titre d’un second volume qu’il publiera dans la foulée sous l’intitulé commun de « La révolution à refaire ».
    Pour en sortir, il défend notamment l’idée d’un recours au référendum et un renforcement du pouvoir exécutif, préfigurant le gaullisme qui lui doit beaucoup.
    D’une actualité stupéfiante, ce livre présente aujourd’hui des accents étrangement prophétiques. Maxime Tandonnet en donne la première édition critique, enrichie de nombreuses notes et d’une préface substantielle.

    Le souverain captif - André Tardieu


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  •  La Rédaction

     

    Le livre de philosophie publié voici un an et demi par Charlotte Casiraghi, co-écrit avec Robert Maggiori son ancien professeur, vient d'être publié en Espagne.

    Cet ouvrage avait été dédié par Charlotte à son père, Andrea Casiraghi, tué accidentellement en 1990 lorsqu'il tentait de reconquérir son titre de champion du monde off-shore.


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  • La Rédaction

    Les obsèques de M. Gérard de Beaupuis, administrateur de l'Institut de la Maison de Bourbon, décédé le 17 août 2019, ont été célébrées à Paris à Notre-Dame de Nazareth le 22 août, en présence de Son Altesse Royale le Prince Sixte-Henri de Bourbon Parme.

    Ayez, pour lui, une prière.


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  • La Rédaction

     

    Il est le second navire baptisé Le Marion Dufresne et il arrive bientôt au terme de sa mission. Le bâtiment assure la liaison et le ravitaillement des stations situées dans les Terres Australes et Antarctiques Françaises.

    L'épopée contemporaine de ces missions se rattache aux époques de légende et nous fait plonger dans le souvenir de Dumont d'Urville, et de tant d'autres. Pour la France, ces territoires inhabités mais abritant des laboratoires de recherche, et qui ont reçu récemment un avis favorable pour leur classement au Patrimoine de l'humanité, constituent une réserve pour l'avenir, principalement pour l'étude, aujourd'hui, et pour demain, l'éventuelle exploitation des richesses sous-marines situées à proximité, dans les eaux territoriales françaises.


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  • Merci à

    Projet d'article du 1er Février 2016


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  • RN 2 pour La Rédaction

     

    Voici quelques semaines, le célèbre "Indiana Jones des cimetières", le Dr Philippe Charlier révélait dans une étude scientifique publiée le 18 juin que Saint-Louis n'était pas mort de la peste, mais d'une complication du scorbut, et qu'il souffrait vraisemblablement de plusieurs autres maladies mortelles causées ou facilitées par cette variante du scorbut.

    Il s'est appuyé sur un témoignage, trouvé dans les textes de l'époque, (Mémoires de Joinville) afin d'expliquer l'origine de cette erreur : le mot pestilence ayant fait croire à l'action de la peste ; montrant ainsi un mariage réussi entre la Science et l'étude des sources historiques.

    Le magazine Pour la Science du mois d'août, dans un petit article reprend cette information, indiquant que le Dr Charlier, après examen du crâne de Saint-Louis, a observé des signes de scorbut, maladie qui l'aurait affaibli, permettant l'infection, ou les infections dont il est mort. 

    Et c'est notre façon de fêter aujourd'hui la Saint-Louis.

     

    Nous allons reparler de l'aspect historique de cette confrontation.


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  • La Rédaction

     

    Afin de contrer la puissance de Google, omniprésent moteur de recherche qui impose sa dictature de monopole et conditionne toute notre existence, nous avons adopté Qwant, "le moteur de recherche qui respecte votre vie privée", voici déjà plusieurs mois et nous conseillons aux internautes de l'utiliser.

    Pour les recherches ordinaires, Qwant est suffisant. Pour les recherches complexes, plus rares, il suffit de compléter les résultats de Qwant avec les résultats de Google. Cette mesure salutaire permettra de remettre en cause la surpuissance dangereuse de l'un des GAFA.

    Une vingtaine d'États américains viennent d'ouvrir une enquête sur Google et d'autres géants dans le cadre de la loi anti-trust.

    On voit, à cette réaction réconfortante, que la bataille engagée par les nombreuses initiatives de résistance, n'est pas perdue malgré la complicité des gouvernants européens vis-à-vis des GAFA.

    D'autres moteurs existent, menant le même combat : Lilo, basé sur les logiciels libres, Ecosia, et Opéra. Nous recommandons les deux premiers. Quand à Yahoo, il opère, et c'est regrettable, selon des méthodes sensiblement identiques à celles de Google, et l'instabilité de sa direction ces dernières années n'a pas permis d'influencer... cet influenceur, pas plus que les influenceurs de masse que sont les grands moteurs de recherche.

     

     

    Note ( 2023) : nous ne préconisons plus depuis longtemps le moteur Qwant.


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  • La Rédaction

     

    Comme nous l'avions laissé pressentir au cours de l'été, les instances représentatives du royaume d'Araucanie et de Patagonie, créé par Orélie-Antoine Ier, et aujourd'hui conduit par Philippe Orllie ont saisi le Parquet de Paris contre deux journalistes appartenant l'un au Point, l'autre à l'AFP.

    Son Secrétariat privé a confirmé l'engagement de procédures techniques contre le maire de Tourtoirac (Périgord, France).

    Par ailleurs, précise le communiqué, Philippe Orllie ne désespère pas de voir réunies quelques-unes de ces bonnes volontés éparses autour d'une cause commune.

    Nous avons contacté brièvement le Chef de la maison royale d'Araucanie, qui a déclaré être satisfait de l'attitude plutôt positive du groupe Parasiliti-Luz (dont le chef est depuis 2018 M. Luz) ainsi que des bonnes relations tactiques observées entre ce groupe et lui. Même si, précise-t-il, ces bonnes relations avec le chef de ce groupe passent aussi par un silence qui, parce qu'il est vide de toute critique publique, permet de maintenir de la même façon une porte qui était restée très largement ouverte à son prédécesseur, le défunt Antoine IV.

    Il avait relevé l'an dernier un signe majeur dans le fait que, depuis son élection, il n'avait émis aucun propos défavorable à son encontre, peut-être, aussi parce qu'il savait que la position de Philippe Orllie était inattaquable. 

    Rien cependant n'est encore fait nous dit-il, puisqu'à l'heure qu'il est M. Luz, qui porte le nom de Frédéric Ier au sein de son groupement n'a pas encore répondu à la proposition d'entente très large de Philippe Orllie, effectuée pourtant au nom de l'intérêt des Indiens. 

    Mais en direction duquel ce dernier laisse très entr'ouverte la porte d'une entente.

    Le Chef de la maison royale, qui porte en même temps le titre de Gardien de la monarchie araucanienne, nous a annoncé qu'il tenait à s'exprimer bientôt sur les divergences nées depuis la mort du Prince d'Araucanie en 2014, évoquera également sa volonté d'union toujours maintenue depuis cinq ans, et précisera notamment les conditions et circonstances dans lesquelles il avait exprimé l'an dernier, auprès du Conseil de ce groupement, le vœu d'être désigné après la disparition d'Antoine IV.

     

    Cela n'est pas tout-à-fait le cas avec M. Franz Quatrebœufs, leader effectif et inspirateur du groupe Stanislas-Quatrebœufs, pour ce qui est de la bonne entente. Après avoir bénéficié d'une large tolérance depuis cinq ans pour un certain nombre de raisons sur lesquelles on reviendra, pour ce qui est de l'usage sans fondement qu'il fait du nom du royaume, M. Quatrebœufs, qui tient demain sa journée habituelle d'Août à Tourtoirac en Périgord, est assigné en Justice pour des propos d'une rare violence et des menaces directes tenus à Philippe Orllie.

    Nous reparlerons certainement d'ici quelque temps de ces péripéties dans ce qui semble être un été chaud pour le royaume et ceux qui constituent ses ex-satellites qui, sans la tristesse des passions humaines et de certains intérêts particuliers auraient pu constituer dans l'union une force mieux dotée de plus riches qualités et savoir-faire.


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  • Mes as de cœur  -  Brigitte Bardot

    Arthaud ;   paraîtra le 11 sept. 2019 ;   240 p.;   6€90.

    Présentation officielle : « Il y a eu dans le passé et aujourd’hui encore des personnes de grande valeur qui agissent positivement pour améliorer le sort des animaux et préserver la nature. Je les remercie infiniment, ce sont "mes as de cœur". »

    « Les animaux ont ensoleillé ma vie ! C’est à eux que je dédie cet ouvrage et à tous ceux qui se consacrent à leur protection et à celle de notre environnement. De Marguerite Yourcenar à Paul Watson, de Christian Zuber au Dalaï-Lama, j’ai eu la chance de rencontrer des êtres d’exception, des frères et sœurs de cœur, convaincus comme moi que l’homme n’est pas supérieur aux autres espèces. Dans le Larousse, le mot "humain" est défini comme "sensible à la pitié, bienfaisant, secourable" à l’image de ceux à qui je rends hommage dans ce livre. »

    Mes as de coeur  -  Brigitte Bardot

     


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  • Pour une révolution délicieuse - Olivier Roellinger

    Fayard ;   paraîtra le 28 août 2019 ;   200 p.;   18€.

    Présentation officielle : Aujourd’hui, pour manger sainement, il faut presque être hors la loi  ; puisque les hommes politiques ne se battent pas pour défendre la nourriture, qui est notre premier médicament, notre héritage et notre culture, nous, citoyens, devons agir pour une révolution délicieuse.

    Comme beaucoup d’entre vous, j’ai connu des épreuves.
    Mais, aussi paradoxal que cela puisse paraître, ces épreuves ont été une chance et elles m’ont incité à poursuivre mes rêves et à m’engager.
    À 20 ans, laissé pour mort en pleine rue par une bande de violents, j’ai réappris à respirer, à marcher et à vivre grâce à la cuisine.
    La seconde rupture, je l’ai connue plus tard, alors que j’étais au firmament de ma carrière. Un problème de santé m’a frappé et m’a permis de prendre conscience d’une nouvelle responsabilité, celle de mener un combat qui me tient à cœur depuis si longtemps : protéger nos petits producteurs talentueux à travers le monde pour qu’ils vivent décemment de leur métier. Pour que ces sentinelles de la biodiversité œuvrent à préserver notre patrimoine alimentaire.

    Des cercles vertueux existent déjà, un simple geste suffit souvent pour les mettre en place et sauver les hommes, la nature et notre alimentation à tous.

    Puisque les hommes politiques ne veulent pas se battre, nous, citoyens, pouvons nous lever pour une révolution délicieuse. Aujourd’hui, j’aimerais mener avec vous, tous unis, ce soulèvement alimentaire pacifiste et joyeux. Nous battre pour qu’enfin nous reprenions en main notre destin et arrachions des griffes des industriels ce trésor de l’humanité qu’est la nourriture.
    Car la nourriture est tout à la fois notre premier médicament, notre héritage et notre culture.
    Il est essentiel de transmettre le goût d’une cuisine écologiquement saine à nos enfants, comme nous leur apprenons à marcher, lire et compter.
    Face à l’état de la planète, la cuisine est une des clés de la transition écologique qui s’impose à notre société.

    Pour une révolution délicieuse - Olivier Roellinger


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  • Soyez gentils  -  Georges Saunders

    Petit éloge de la bonté à l'usage des générations futures ;

    Fayard ;   paraîtra le 13 nov. 2019 ;   64 p.;   10€.

    Présentation officielle : Le 11 mai 2013, l’écrivain George Saunders était invité à prononcer le discours de remise des diplômes de l’université de Syracuse, dans l’État de New York. Soyez gentils  reprend, sous une forme légèrement remaniée, l’intégralité de ce discours, où il livre avec verve et humour une touchante méditation sur la gentillesse.

    Le 11 mai 2013, l’écrivain George Saunders était invité à prononcer le discours de remise des diplômes de l’université de Syracuse, dans l’État de New York.
    Soyez gentils reprend, sous une forme légèrement remaniée, l’intégralité de ce discours.
    Avec humour, verve et sensibilité, George Saunders livre une méditation touchante et profonde sur la gentillesse, invitant chacun d’entre nous à ne jamais se
    lasser d’errer sur la voie de la bonté.

    Soyez gentils  -  Georges Saunders


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  • Mon dernier voyage  -  Raoni - Jean-Pierre Dutilleux

    Arthaud ;   8 mai 2019 ;   254 p.;   19€.

    Présentation officielle : « J’ai vécu une longue vie. Elle m’a donné joies et tristesses. Elle m’a aussi beaucoup appris. Pour moi, l’heure est venue de vous transmettre mon savoir. »
    Raoni a confié ses mémoires à Jean-Pierre Dutilleux en 2009 et en 2017. Depuis leur première rencontre en 1973, il n’est plus le même homme. Il a découvert le monde qui l’entoure au Brésil et au-delà des mers. Ce recueil inédit éclaire les pistes et fondations du monde des premiers habitants de la forêt amazonienne. Raoni souhaite que ce testament puisse inspirer certains à suivre ce chemin et tenter de protéger les Indiens, gardiens des dernières forêts primaires qui, toutes, sont attaquées. Avec elles, disparaissent des trésors de biodiversité, indispensables à la survie de notre planète, de milliards d’êtres humains, d’espèces animales et végétales.
    « Après ma mort, j’aimerais que les Indiens vivent tranquilles dans la forêt, qu’ils puissent chasser, pêcher et aussi chanter et danser au village. C’est cela la vie des Kayapos. »

    Mon dernier voyage  -  Raoni - Jean-Pierre Dutilleux


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  • RN 1 pour La Rédaction

    Entre deux bains de mer, deux randonnées estivales olympiques ou dilettantes, ou encore deux échappées en déambulateur pour anciens vigoureux n'ayant pas raccroché l'aventure, un excellent moment vitaminique !

    Un lobby secret doté de moyens puissants, comme il en existe aujourd'hui avec ces sectes d'illuminés, prétend obliger l'espèce humaine à "s'améliorer" au moyen des machines... L'histoire sordide que nous vivons déjà actuellement !

    J'ai aimé les acteurs, le scénario simple, le petit clin d'oeil MacLaren dans les embouteillages, les exploits (presque tous) réalistes et maîtrisés, la fin.

    Si la bagarre finale peut être discutée d'un point de vue technique, c'est vraiment un détail et ce film est une ode à ce qui est sain et naturel.

    Un film très frais, et le critique du Monde en sera pour les siens. Puisqu'il prend à contre-pied la pensée ambiante obligatoire, il ne pouvait pas plaire au critique cinéma du journal Le Monde. Nous, nous aimons ce qui est vrai, pas la "réalité augmentée" ni les utopistes dangereux. Rien que pour ça, c'est bien d'aller voir cet épisode en spin off Hobbs & Shaw.

    Cinéma : Fast & Furious  : Hobbs & Shaw


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  • La Rédaction

    15 Août, Assomption de Notre-Dame. Le 25 Août, Fête de Saint-Louis.

    Ces deux dates sont idéales pour choisir la Fête nationale en France. La seconde, parce qu'elle est proche de la rentrée, est idéale comme par sa substance historique.

    Napoléon III faisait célébrer, le jour de la Saint-Louis, la Saint-Napoléon. Une église, dont l'élévation fut dotée par l'Empereur, figure ses traits dans un vitrail dédié à Saint-Louis, sur le personnage représentant le Saint.

    Une fête vraiment nationale, évoquant la force d'une histoire apaisée et universellement glorieuse, et parlant à tous sans tromper sur la nature de ses sources, ne peut que se tenir loin des trafics de la IIIème république.

     

    Nous invitons les Français à célébrer, dans les faits, dès l'an prochain, 2020, à célébrer, le 15 ou le 25 Août, leur Fête nationale à une date qui les rassemble et qui parle d'eux !


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  • La Rédaction

     

    Le Versailles auvergnat attend votre visiste ! Le château des Lastic, une des plus plus illustes de France mérite une visite, lui et ses collections de peinture des XVII et XVIII° siècles.

     

    mercredi 10:30–12:30, 14:00–18:00
    jeudi(Assomption) 10:30–12:30, 14:00–18:00Les horaires peuvent être modifiés.
    vendredi 10:30–12:30, 14:00–18:00
    samedi 10:30–12:30, 14:00–18:00
    dimanche 10:30–12:30, 14:00–18:00
    lundi 10:30–12:30, 14:00–18:00
    mardi 10:30–12:30, 14:00–18:00

    Parentignat


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  • RN 2 a préparé cet article pour La Rédaction

    Le Prince Alphonse de Bragance, héritier du trône de Portugal, était devenu membre du Corps des Pompiers Volontaires de Lisbonne, après le tragique incendie, entraînant la mort de quarante-neuf personnes, blessant soixante-dix autres, et emportant plus de 17 000 hectares de la Pinède de Leiria, le 17 octobre 2017.

    Cet incendie a été attribué à un acte criminel mais l'affaire n'est toujours pas entièrement élucidée.

    Mais nous pourrions avancer que cet incendie ne fut pas causé par un hasard même combiné d'un acte criminel, ni même probablement ne fut l'œuvre d'un pyromane, mais pourrait être un crime planifié par des négociants en bois pour avoir du bois bien sec à prix dérisoire pour faire des "pellets" pour chaudières.

    Le Prince lors d'une cérémonie l'été dernier, pour les 150 ans de l'Association Royale du Corps des Pompiers Volontaires de Lisbonne.

     

    Le Duc de Beira pompier

     


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  • RN 2 et La Rédaction pour un article collectif.

     

    Titre franquistes 

    Le Premier ministre espagnol, Sánchez, veut faire supprimer une trentaine de titres, dont un bon nombre sont des grandesses, qu'il qualifie à tort de "franquistes". Cela  montre qu'en Espagne le personnel politique n'est pas en reste en fait d'obsession idéologique par rapport aux Français, ultra-champions en la matière. Ce qui n'est pas un bon signe d'avenir serein.

    Franco a maintenu la monarchie espagnole. Et, chef de cette monarchie, il avait le droit de créer des titres, et on ne saurait y voir de Franquisme ni "d'exaltation du fascisme", comme Sánchez qui en éprouve des visions.

    Et ces titres créés par Franco se sont vus refuser, après la Transition démocratique, l'autorisation d'être transmis à leur héritiers.

    Mais Sánchez a fait sien le principe qui consiste, lorsqu'on gouverne, à mécontenter et à diviser. Pourquoi unir et refermer les plaies ? On se le demande. Aussi cabochards que les Français, et ce n'est pas peu dire. Pourtant, Sánchez a eu affaire à forte partie dans l'Affaire de Los Caídos (le projet d'exhumer Franco de son mausolée). Mais ces gens-là, quand on leur ferme la porte, rentrent par la fenêtre.

    Toujours est-il que la nouvelle carotte du fin politique est de s'attaquer notamment au titre de Duc de Franco. Dans son aveuglement, il a oublié que ce titre n'a pas été décerné par Franco, mais par Jean Charles, l'ex-roi d'Espagne. Il est aujourd'hui porté par la petite-fille du Généralissime, qui n'est autre que Carmen Martínez Bordiú, célébrité espagnole, mère de Louis de Bourbon.

    Autant dire que pour Sánchez, il vaut mieux ne pas compter sur ce chiffon rouge qu'il agite à nouveau devant ses yeux, puisqu'il n'en est pas à sa première tentative. Version agitée de la politique de l'autruche, et plutôt que résoudre les problèmes, les énergumènes politiques, toujours taillés de même façon, répondent à deux critères de fabrication. Enfourcher des chimères, et prouver qu'ils n'ont toujours pas évolué, contrairement au monde qu'ils prétendent gouverner.

    Les deux bénéfices de cette histoire : le socialisme va s'y ridiculiser, et, les titres sont pris au sérieux en Espagne, y compris chez les socialistes. Et c'est vraiment très bien.


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  • Lettre à un Inuit de 2022  -  Jean Malaurie

    Pluriel ;   272 p.;   09 mai 2019 ;    8€.

    Lettre à un Inuit de 2022  -  Jean Malaurie

    Présentation officielle : « Voici bientôt soixante ans que je parcours l’Arctique, du Groenland à la Sibérie, ses immenses déserts glacés habités par des sociétés ancestrales au destin héroïque.
    Adressée aux citoyens du grand Nord, cette lettre est un cri d’alarme : Résistez mes amis ! En n’acceptant l’exploitation des richesses pétrolières et minières de l’Arctique qu’avec votre sagesse. L’Occident est mauvais et nous avons besoin de vous. Le matérialisme nous conduit à notre perte.
    Puisse le citoyen inuit de 2022 voir le rêve des explorateurs se réaliser : un pôle non pollué où règnera un humanisme écologique. Il est urgent de reconnaître la prescience des peuples premiers et de prendre enfin humblement conscience que leur volonté obstinée de respecter cette nature ne fait pas d’eux des retardataires, mais des précurseurs. Telle est la force de leur pensée sauvage. »
     
    Né en 1922 à Mayence, géo-ethno-historien, président et fondateur de la célèbre collection « Terre Humaine » aux éditions Plon, Jean Malaurie est le premier homme à atteindre en traîneaux à chiens le pôle géomagnétique Nord le 29 mai 1951. En 1990, il a révélé, après l’archéologue Serge Aroutiounov, l’Allée des baleines, le Stonehenge de la Sibérie, en Tchoukotka.
    Ce vibrant appel est celui d’un ambassadeur de bonne volonté de l’Arctique à l’Unesco qui observe, avec un regard angoissé, la disparition d’une part de l’intelligence humaine et de ses mystères.

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  • La Rédaction

     

    Aujourd'hui, en politique, tuer l'autre ne se fait plus par le poignard ou la poudre. C'est au travers de la délation, du soupçon, du crime d'irrespect de la personne humaine que s'effectue l'essentiel de l'industrie politique. Ne parlons pas de ces agences, comme Médiapart, dont les effets sont des précipités furieux servant de guillotine et de Terreur sur le quotidien.

    En gros, le spectacle des questions publiques se tient comme dans une émission grand public à ciel ouvert. Toutes les autres affaires d'importance sont elles aussi conduites par les médias et par une autre catégorie de journalistes de premier plan et toute question est jugée en direct. La Justice sert de greffe et de chambre d'enregistrement.

    Les formations politiques, auxquelles les Français ont la bêtise de confier leurs espérances, ne font rien d'autre que cela : chercher, depuis leur obscurité noire, à tuer les autres, leurs adversaires. Dans ce jeu improspère et négatif, est enfermé le Peuple Français qui signe chaque jour son arrêt de mort en déléguant à des pîtres soigneusement sélectionnés sa vie et son destin.

    Directions

    Ce sont aux individus qui veulent se révolter contre l'aberrance et le Néant noir du Système de placer autour du blabla des personnages politiques un cordon sanitaire de silence. Ne plus écouter leurs émissions, les recouvrir d'un silence le plus grand. Nous verrons plus tard qu'il s'agira d'entrer, sitôt compris, en résistance passive contre toute manifestation ou avis officiel, politique et pas seulement.

    Notre proposition de la Semaine du Silence Politique doit être rappelée : insuffisante, mais si on l'appliquait elle convaincrait, devant ses bienfaits, de la répéter chaque mois et même toutes les semaines ! Une trêve-Dieu contre la malsonnance et le trou noir politiques !

     

    Ça a fleuri de toutes parts, ces dernières années : les cercles de réflexion, les think tanks, les espaces de réflexion de toute espèce. Pendant qu'ils servent à détourner l'attention des gens de bonne volonté, ont-ils produit un résultat ? Sous la Révolution dite Française, les comités réfléchissaient (un peu) puis opéraient : condamnaient, arrêtaient, tranchaient dans le vif ! A quoi servent ces think tanks, sinon à endormir les gens et les canaliser, tout en les séparant les uns des autres ? Voilà l'un des points de gripperie de la machine. Penser à la Droite, passée maître en blablatage obscur, depuis qu'elle est entièrement passée sous contrôle de lobbies et autres, et comme pour effacer ce qu'elle est : une effroyable machine à perdre mais pire encore : un piège pour les siens - et on sait bien, que réfléchir n'est pas leur fort - qui, plus encore que perdre indéfiniment, voient, désespérément, le piétinement de tout ce à quoi ils tiennent !

    Perdre toujours, et dans le déshonneur ! Avec l'approbation de tous les cocus ! Une vieille histoire française. On ne se refait pas. On comprend mieux les vagues de découragement d'un de Gaulle...

    Qu'on laisse tomber, pour ceux qui s'y font prendre, les Valeurs Actuelles et tous ces machins-là qui blablatent à longueur de numéro, et resservent la même semoule à longueur de génération ! Pour quel profit, quel résultat ?

    Ils ne produisent rien, seulement des points de rencontre pour des esseulés de la critique, et ont pour constante de ramener, de recycler vers des impossibles tous les courants de la population lorsque s'ouvre, comme un collecteur d'égoûts, la mécanique électorale !

    Pour sauver, (un noyé, un Peuple) il faut agir. Ne pas déléguer. "Ils vont s'en charger pour nous..." Non, la preuve, ça ne fonctionne pas. Le même constat vaut à Gauche, et aussi pour les Centres, et pour les sphères à fibre écologiste : ça ne fonctionne pas !

    Pistes et ce n'est qu'un début : 

    - Remettre en cause le droit automatique des personnages publics à se répandre dans les médias à propos de tout et de rien. C'est par leur omniprésence, qu'ils suffoquent l'atmosphère ! Les meurtres commis par les particuliers, toujours plus nombreux - qui étrangement n'offusquent jamais les bien-pensants de Droite - sont un résultat de la grisaille perpétuelle dans laquelle la politique oblige chacun à vivre. Grisaille intelligente, artificielle et augmentée, puisqu'elle se double de schizophrénie incessante ! Ces crimes toujours plus nombreux trahissent une désespérance quasi-universelle !

    Il existe un lien direct entre la schizophrénie virulente des personnages politiques et la désespérance des individus : crimes familiaux, autres crimes commis par des individus qui n'appartiennent pas au monde des voyous. C'est bien d'un cordon sanitaire qu'il faut se prémunir contre la malfaisance obstinée des personnages politiques. Ils doivent se taire. Accomplir leur besogne, et se taire.

     

    Voilà une part de notre "programme" (remettre en cause la délégation vers des systèmes faussés ou passés sous contrôle ; la démocratie représentative est un leurre anti-démocratique) offert en kit à ceux qui voudront s'en saisir pour envoyer valdinguer la république par dessus les moulins. Ce n'est pas moindre, que d'imposer le silence à ces personnages qui s'imposent sur tout et sur rien sous prétexte d'avoir été élus !

    Les sortes de mouvements, royalistes ( vigies ) sont dans le même état d'inutilité que les think tanks visés plus haut. C'est le cas de l'Action Française, qui par seule habitude voit converger, par réflexe, les journalistes qui ne connaissent rien au royalisme mais qui se font souffler son nom par une standardiste, ou se souviennent d'un reste de cours "Vie politique en France au début du XX° s." (S'est encore produit récemment). L'Action Française, que propose-t-elle d'utile ? Rien, sinon se morceller en deux ou trois groupes ces derniers mois. Nous y reviendrons ultérieurement. Va-t-elle enfin finir par proposer quelque chose de concret, c'est-à-dire, de possible et d'utile ?

    Ne parlons pas des Légitimistes, qui par leur inaction programmée se condamnent volontairement à leur fantomisation auto-reconstituée !

    Tant qu'ils n'abdiqueront pas leur entêtement, eux, les autres, et tous, (royalistes ou pas) la France signera son destin naturel qui est de crever, et si possible dans la plus grande abomination ! 

     

    Eux, mais tous les autres Français, sont imprégnés de la vieille culture du coup de pied au cul, du Chef, et de l'homme providentiel, qu'ils redoutent pour ce qui est des royalistes et sur ce dernier point, ils n'ont pas tort.

    Les Français n'en sortiront jamais, tout leur fonds d'attitude étant mal orienté. Au fond, ils sont des assistés, eux qui, à Droite en tous cas, sont entraînés comme des bêlants à répéter un discours qui en réalité n'a rien de commun avec " la Droite"...(on en voit encore, sur les réseaux sociaux !) que les autres sont des assistés. Eux qui ont détruit toute prospérité, notamment avec leurs querelles de chef et par leur implacable bêtise.

    Ces gens-là n'ont rien à dire, ne proposent rien. A Gauche, c'est le même marasme.

     

    La République ? Un gouvernement de garçons coiffeurs. Ce dont il faut se débarrasser, ce n'est pas de la République, en soi, mais des garçons coiffeurs. 

    Ceux qui veulent surmonter cette poisse infernale collée au destin de la France doivent cesser de soutenir Droite et Gauche ( 1 ) qui n'ont d'autre justification que de tuer leur semblables, c'est-à-dire leurs adversaires. C'est la politique qu'il faut réduire. Empêcher, réduire, expulser !

    Ce n'est pas Macron et sa bande qu'il faut mettre à la porte, c'est le système et ses serviteurs : ceux de droite ou de gauche, ou ceux en convergence, c'est d'eux qu'il faut expurger le pays.

    Ajouté le 5 août. ( 1 ) Par Droite et Gauche il faut comprendre : les formations politiques actuelles qui vident, presque toujours, le contenu originel de ces sensibilités mères, beaucoup plus, cependant, à Droite qu'à Gauche.

     

     

    Cet article est dédié à Gérard (pas celui auquel certains pensent, mais à l'autre...), et à quelques autres.

    Nous reprendrons tous ces thèmes séparément et progressivement jusqu'à la rentrée.


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  • La Rédaction

    Pour nous, sans cérémonie en présence de la branche aînée et légitime pouvant représenter le lien avec les rois de France, et hors toute considération "politique", rien dans les commémorations déjà organisées ou à venir ne revêt d'intérêt.

    La présence du Comte de Paris et de son épouse, à une des cérémonies d'avant l'été, constitue une anomalie.

    Seuls les Princes de Bourbon Parme ont une légitimité à Chambord, qu'ils ont possédé jusqu'en 1930. Et la branche aînée, Anjou, est seule avec ses soeurs Parme et Siciles, qui puisse représenter dignement le souvenir - car il s'agit bien de cela - des rois de France.

    La présence du Comte de Paris à une des cérémonies, la plus officielle puisque le président de la République et son épouse la présidaient, peut être questionnée comme un fait de connivence, voire, un conflit d'intérêts, le responsable administratif (directeur général) du domaine national de Chambord étant le beau-frère du Comte de Paris.


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  • La Rédaction

    L'actualité semble être riche en ce moment et depuis quelques mois pour ceux qui suivent ses activités.

    Le secrétariat du Chef de la maison royale a informé qu'un certain nombre d'actions ont été lancées contre des personnes ayant gravité autour du Royaume d'Araucanie ou l'ayant rencontré.

    C'est le cas d'un reporter du Point, M. Baudoin Eschapasse, visé par des poursuites pénales pour avoir refusé de publier un droit de réponse à la suite d'un article honteux dont notre site avait fait part, en Novembre dernier. Le refus de droit de réponse est un délit de presse sanctionné en France de manière précise et lourde.

    L'AFP serait en contentieux avec les représentants du royaume pour son refus de ne pas publier des images interdites.

    Seraient visés également, la revue L'Incorrect, organe droitisant aux contours comme aux intentions floues, ayant publié des informations fausses, et aussi Minute, le célèbre hebdomadaire mais nous n'avons pas de détail.

    Du côté "intérieur", le maire et conseiller départemental de Tourtoirac (en Périgord), fait l'objet de plusieurs avis pour avoir organisé plusieurs cérémonies, au cours de ces dernières années, autour du Royaume d'Araucanie en compagnie d'un groupe de personnes qui en ont détourné le nom. Il lui est aussi reproché son refus d'attribution de parcelle à l'issue d'une offre publique et un comportement discriminatoire à l'égard du Chef de la maison royale.

    Quant à M. Luz, responsable du groupe des conseillers fraudeurs qui ont accaparé les instruments du royaume1 il s'est vu signifier ces jours derniers une interdiction d'organiser ses réunions sous forme publique. Il avait reçu, le 29 mars, une invitation de la part du Chef de la maison royale à participer à une réflexion dans l'intérêt des Indiens, à laquelle il n'a pas répondu.

    Quant au groupe Parvulesco, il se voit aujourd'hui signifier la même interdiction.

    1. Il a succédé à M. Parasiliti di Para, mort en déc. 2017.

    Ces épisodes promettent peut-être quelques rebondissements au cours de cet été, en pleine Année Tounens lancée par le Chef de la maison royale, Philippe Orllie.

    Rappel des faits : début 2014, mort du Prince d'Araucanie. Les membres du Conseil désignent hors droit pour lui succéder et contre les volontés du Prince et aussi contre le bon sens, M. Parasiliti di Para, après avoir engagé une réunion dans la plus grande précipitation. Quelques semaines plus tard, on voit l'apparition d'un prince de fantaisie surgi de l'imagination d'un personnage qui, insatisfait pour des raisons personnelles de cette désignation, l'installe avec la complicité inavouée mais totale du filleul du défunt - lequel avait pourtant assuré à notre site que la désignation de Parasiliti s'était très bien passée. (janvier 2014).

    Plusieurs événements disposés au cours de la même année, plusieurs retournements du chef de ce groupe des ex-conseillers du défunt,  ont permis de conclure que les orientations de l'équipe qui, officiellement, occupait la succession, ne remplissait ni la charge ni les engagements pris, dont une partie avait été exprimée sur notre site, étaient contraires à l'intérêt du Royaume. 

    Philippe Orllie, fin 2014, prenait en charge les destinées du Royaume afin d'assurer l'indispensable continuité et une succession sans faille, et, délaissant le titre de Prince d'Araucanie, prenait ceux du Chef de la Maison Royale, Successeur du Prince Philippe et Gardien de la Monarchie Araucanienne.


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  • La Rédaction

    The Village Survival Guide

     

    Il s'agit d'un guide [ Le Guide de survie rurale ; Comment bâtir une forte communauté ] de plus d'une centaine de pages publié avec l'aide du Prince Charles, destiné aux communautés rurales.

    C'est un ensemble de conseils à ceux qui vivent dans des zones retirées, et leur donne des idées diverses pour sortir de l'isolement  : comment créer un service de bus, mettre sur pied une coopérative afin d'obtenir plus de bande passante pour le Wi-Fi, établir une liste de numéros de secours, ou encore, comment s'organiser pour une solidarité active entre les individus.

    C'est dans un esprit d'écologie humaine que se situe cette démarche qui complète l'œuvre du Prince Charles en matière de production alimentaire saine, et d'aide constante aux petites entreprises.


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  •  La Rédaction et Team Blason  Cet article pourra être amélioré.

    Ci-dessous l'un des nouveaux blasons de la famille royale belge créés et rendus officiels par un arrêté du 12 juillet. (Celui de l'héritière, Élisabeth, Duchesse de Brabant).

    Notre article est la critique du changement d'armoiries, non de la presse.

    Ce sont les justifications apportées, tant dans l'arrêté que dans la presse, qui les a repris en les exagérant, et dans certains articles, en inventant des suppositions absentes du texte, qui sont insupportables. N'est responsable, dans une démarche officielle, que ce qui évite de susciter polémique, ou récupération, surtout lorsqu'elles sont prévisibles.

    Il n'était pas adéquat de prétendre "remédier aux risques de confusion ouvrant la voie à des usages héraldiques inappropriés et dommageables..." Si les textes sont imprécis, ou peu prévoyants, ou encore retardataires pour ce qui est du dernier arrêté, il était peu utile de le chanter.

    Croire que l'on puisse "moderniser" un blason est méconnaître la nature et la précision subtile des règles formulées au Moyen-Âge. La pensée des siècles savants était autrement plus "moderne" et plus riche que la présente époque. Et à force de tailler dans les budgets, on aura eu du mal cette fois-ci à trouver un véritable expert en science du blason.

    Une nouveauté est à saluer : l'inscription dans les trois langues officielles de la Belgique de la devise "L'Union fait la force".

    Contrairement à un titre de la presse belge que nous voulons ne pas citer, il n'est nullement question de la reine Mathilde dans le texte officiel, même indirectement. On suppose cependant que l'allusion rencontrée dans la presse : que la reine emploierait désormais le même blason que le roi ; (ce qui est inexact puisque c'était déjà le cas dans la forme qui est la sienne [armoiries personnelles de la reine et celles du roi, jointes, accolées] ; cette différence supposée, concernerait-elle les différentes "tailles" d'armoiries (a) : petites, moyennes, et les grandes qui existent par déduction mais dont la mention ne figure pas explicitement dans l'arrêté, et leur application n'y étant d'ailleurs pas précisée !..  Nous demanderons des précisions à la cour à ce sujet)... aura pris source dans une confusion de commentateurs, vraisemblablement augmentée par suite d'une simplification visuelle plus grande des blasons. (a) : l'article, par ailleurs illogique d'un bout à l'autre, dont il est fait allusion évoque un blason qui aurait été jusqu'ici plus "riche" pour le roi que la reine ; il doit s'agir des grandes armoiries, et il suffit de rechercher si la reine Paola les utilisait.

    La critique à faire est que les dispositions mentionnées plus bas pour un roi - ou une reine - ayant abdiqué, auraient dû être prises depuis au moins la passation d'Albert à Philippe... D'autant que le départ du roi Albert et de la reine Paola n'a pas été subit mais était prévu et de longue date...

    Vient maintenant, la question du lambel. 

    Alors que l'on a certainement voulu mettre en valeur la future reine des Belges, l'utilisation du lambel fait contre-effet à cette volonté compréhensible et bénéfique, mais en outre elle est redondante. En science héraldique classique, on marque une seule fois les différences des personnages au sein d'une famille. Ici c'est la fonction de la couronne qui la remplit déjà, couronne royale dans les représentations publiées, tandis que les autres princes utilisent la couronne princière au-dessus de l'écu. Mais l'arrêté, lui, n'accorde à l'héritière qu'une couronne princière.

    Y aurait-il eu une erreur dans les représentations publiées ? En tous cas on tourne en rond. Images à vérifier.

    Si l'on a choisi, contre la tradition générale héraldique qui attribue au lambel la fonction de distinguer des branches, ou des cadets de leurs aînés, il est vrai que chaque pays possède des traditions héraldiques particulières. Ici, on aura choisi le lambel pour montrer qu'il ne s'agit pas du roi ou d'une reine qui règne actuellement, (1) comme le sera un jour pour la première fois Élisabeth, mais il s'agit d'un choix très malhabile.

    Nous, à RoyautéNews, sommes perplexes.

    Reste le fait que l'écu d'Élisabeth est désormais un losange. Mais ce n'est là que l'application des habitudes héraldiques... La préciser dans un acte ne fait que souligner la rigidité administrative, qui impose de préciser, même ce qui ne l'était pas...

    Si l'on avait voulu mettre en valeur la qualité féminine de l'héritière, d'après le sexisme anti-sexiste politiquement correct, il fallait laisser (ou donner, s'il était question d'introduire le règlement d'un cas inédit) un écu masculin, une porte déjà enfoncée par la science héraldique traditionnelle... Au contraire, c'est la forme classique qui a été heureusement retenue, alors que certains journaux chantent sa féminisation... On nage dans l'invraisemblable et surtout, dans ce langage de sourds typique de la société schizophrénique ! Ce qui renvoie à la présentation non prudente critiquée en ouverture.

     

    Maintenant, l'apparition d'armoiries propres à un roi ayant abdiqué, ou à une reine comme cela sera possible plus tard, comme le roi Albert. Nous désapprouvons le choix, et qui, là aussi, emploie en redondance à la fois un lambel et une modification de l'axe du heaume. Nous le désapprouvons car il "rétrograde" de façon trop appuyée, trop radicale, le roi retiré. Pourquoi deux signes, alors qu'un seul suffit largement à distinguer deux blasons, celui du roi qui règne, et celui du roi précédent ?

    Un autre changement assez notoire est que le casque est ouvert sur la couleur noire, et non plus la couleur écarlate. La description en atteste, mais n'exprime pas qu'il y a eu changement.

    Cette similitude entre un roi retiré et les armoiries de l'héritière, malgré une différence de coloris du lambel, souligne la garde sous tutelle  (renforce le mornage...) de l'héritière... censée au contraire étre mise en lumière ; et elle est une nouvelle, contradictoire et déconcertante maladresse.

     

    Enfin, la réapparition d'un insigne familial [blason de Saxe (Saxe ancien), posé sur l'épaule du lion central, dans l'illustration ci-dessous], est une furieuse maladresse.

    Partant de la notion admise que la famille royale de Belgique, ayant été adoptée comme une dynastie nationale, il ne convient pas de nier aujourd'hui ce qui a été admis depuis 1831 !

    Préciser ici que, contrairement à la comparaison faite dans la presse avec la famille d'Angleterre qui abandonnait pendant la 1ère Guerre Mondiale les signes de son origine germanique, la cas de la famille de Belgique ne s'est jamais posé ; pas plus chez les Windsor, où il ne s'agissait que d'une précaution.

     

    Cela est même un irrespect et même une insulte notoire aux familles qui, légitimement, détenaient par droit et par priorité l'honneur de monter sur le trône de Belgique constitué en 1830, et qui en ont été écartées par la pression internationale pour une dynastie étrangère (Saxe-Cobourg) sans rapport avec la Belgique. En premier lieu, Ligne !

    La nouvelle famille royale belge est devenue en 1831 une dynastie nationale. Elle ne saurait être maintenant considérée comme une maison d'origine allemande, en raison de la fonction des blasons belges, exprimés en une forme simple, ne peuvant exprimer désormais autre chose que la dynastie belge. Nostalgie ? On a dit que le roi est attaché à son origine. Rien n'est plus légitime mais cela pourrait être interprêté, puisque, une monarchie aujourd'hui, c'est être l'instrument désigné et prédéterminé d'une critique ; mais rien n'empêche le roi Philippe de se choisir des blasons personnels.

    À décharge, il s'agit des nouveaux blasons royaux des personnes, non celui de la Belgique !

     

    1. Nous répugnons à dire "roi régnant", en raison du caractère agaçant de la formule quand il s'agit de monarchie décorative, et de l'emphase qui l'accompagne, et spécialement, pour " reine régnante" qui prête à confusion.

     

     


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  • La Rédaction

    La maison royale de Prusse et impériale allemande demande la restitution ou une indemnisation pour la confiscation de ses propriétés après la Seconde Guerre Mondiale, certaines se situant sur ce qui était alors le territoire de la RDA. Il s'agit d'un nouvel acte depuis la première demande de restitution effectuée lors de la réunification des deux Allemagne.

    RoyautéNews soutient cette position ainsi que la position du gouvernement allemand sur sa volonté de trouver une solution amiable.

    Le Gouvernement Soviétique, fauteur de ces confiscations, n'avait pas à s'immiscer dans la vie intérieure allemande.

    À cette occasion, RoyautéNews souligne que la désagrégation de l'Empire Allemand en 1918, et encore moins celle des États allemands n'étaient pas légitimes, s'étant opérées par surprise, et plaçaient le Peuple Allemand devant le fait accompli. Par voie de conséquence, les gouvernements allemands, dont ceux qui ont permis le régime Nazi, n'ont jamais été dotés d'une véritable légitimité.


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  • La Rédaction

    Mort du Duc de Hohenberg

    Georg, Duc de Hohenberg, s'est éteint le 25 juillet 2019. Il était né en 1929 au Château d'Artstetten, en Basse-Autriche.

     

    Il était le chef de la maison de Hohenberg, issue de François Ferdinand d'Autriche, et de son épouse la Comtesse Sophie Chotek, assassinés à Sarajevo le 28 juin 1914.

    Il était le fils de Maximilien, Duc de Hohenberg, et de la Comtesse Elisabeth von Waldburg und Walsee.

    Il avait épouse en 1960 la Princesse Eleonore von Auersperg-Breunner dont il eut deux fils ayant eu descendance, et une fille.

     

    Le mariage de l'Archiduc Héritier avait été jugé inégal par l'Empereur François-Joseph et pour cette raison, sa descendance éventuelle avait été écartée du trône. C'est pour cette raison que le trône passa à Charles, qui fut le dernier Empereur d'Autriche. Cette descendance adopta le nom de Hohenberg. Le défunt était le petit-fils du couple assassiné.

    L'attentat qui avait coûté la vie de l'Archiduc Héritier et de son épouse avait été le déclenchement de la Première Guerre Mondiale.

    Il y a quelques années, il avait déclaré à Point de Vue "qu'il n'avait plus de rancœur", sur le sujet implicite de l'écartement de sa famille.

    Parfois, on a considéré que la décision de François-Joseph avait été injuste. La famille de Sophie Chotek étant une très grande maison de l'Empire Austro-Hongrois. Mais cette famille n'étant pas souveraine, l'Empereur avait appliqué strictement la règle commune s'imposant pour tout mariage.


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