• Churchill Le dictionnaire -  Antoine Capet

    tempus ;  (Janv. 2018)  14 nov. 2019 ;   16€.  

    Présentation officielle :  "Un ouvrage monumental pour cet homme d'Etat qui ne le fut pas moins." Le Figaro Magazine

    S'il existe de nombreux livres - essais et biographies - s'intéressant à l'emblématique Winston Churchill, aucun volume rassemblant le maximum de données sur cette figure de proue aux multiples facettes n'avait jusqu'alors été publié. C'est précisément l'ambition de ce dictionnaire. Au moyen de courts chapitres et notices, Antoine Capet offre une synthèse complète de tous les faits qui ont marqué la vie, publique et privée, de Churchill.
    Puisant aux meilleures sources, chaque notice permet aux lecteurs de s'informer rapidement sur tel ou tel événement de son admirable carrière militaire, politique et littéraire, sur ses liens d'amitié ou d'hostilité vis-à-vis de ses compatriotes et des autres décideurs qu'il a connus de près, sur sa difficile vie familiale en dehors de son bonheur conjugal, ou encore sur ses goûts et loisirs d'homme privé.
    Cet ouvrage aide à mieux cerner la vie et l’œuvre d'un être exceptionnel, avec ses nombreuses contradictions, ses vertigineuses faiblesses, ses dons étincelants et ses éclairs de génie.

    Churchill Le dictionnaire -  Antoine Capet


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  • La Rédaction

    Delphine Boël

    Fin novembre, un jugement final sera prononcé dans l'affaire de Delphine Boël.

    Cette jeune femme belge réclame une reconnaissance de paternité, et son père, l'ancien roi des Belges Albert II a effectué voici quelques mois un test de paternité à la demande de la Cour d'appel de Bruxelles. Ce test restera secret jusqu'à la décision de la Cour de cassation.

    Nous souhaitons à Delphine Boël d'obtenir une satisfaction suffisante dans sa recherche en reconnaissance.

    Par ailleurs, elle souhaite aussi pour ses enfants, régler la situation que subit son fils âgé de 11 ans, qui figure sur une scandaleuse liste noire bancaire comme "personne politiquement exposée", comme elle l'a exposé le 17 novembre à Paris-Match.


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  • Pour le plaisir & pour le pire  -  Laure Hillerin

    La vie tumultueuse d’Anna Gould et Boni de Castellane ;

    Flammarion ;   6 nov. 2011 ;   576 p.;  24€90.

    Le catastrophique mariage du célèbre Boni et d'Anna Gould. Mais la confrontation ratée entre deux différences ne se situe pas dans la trop facile distinction entre Ancien et Nouveau monde... Laure Hillerin est notamment l'auteur de La Duchesse de Berry ( 2010). RoyautéNews

    Extrait de l'éditeur :  1895. Boni de Castellane, jeune et séduisant fleuron de la noblesse française, n’ayant pour seuls biens que son panache et ses rêves d’esthète, épouse Anna Gould, héritière convoitée de la plus grosse fortune d’Amérique. Mais le conte de fées tourne bientôt au cauchemar. À travers ce couple improbable, deux mondes s’affrontent, l’Ancien et le Nouveau : une France aristocratique, catholique et libertine, où flotte encore un parfum d’Ancien Régime ; l’Amérique du Gilded Age, puritaine, vouée au culte de l’argent et du self-made man.
    Ce roman vrai commence à New York sous une profusion de fleurs et de diamants et s’achève à Paris en 1969, dans les décombres d’une demeure légendaire, le Palais Rose. En toile de fond : les fastes de la Belle Époque et l’effondrement de la vieille Europe, que le comte Boni avait prévu de longue date. Ses prophéties n’échappèrent pas à Marcel Proust, toujours en embuscade pour nourrir la Recherche, dont l’auteure nous livre ici de nouvelles clés.

    Pour le plaisir et pour le pire  -  Laure Hillerin


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  • Le Duel ; Napoléon III et Victor Hugo -  Frédéric Mitterrand

    Xo ;   14 nov. 2019 ;   368 p.;   19€90.

    Présentation officielle : Avec Le Duel, Frédéric Mitterrand nous fait vivre le terrible affrontement qui opposa deux géants de l’histoire: Napoléon III et Victor Hugo. 

    Un récit écrit à hauteur d’homme, vivant, tendu, marqué par la passion et la violence, sur les convulsions de la haine en politique et le rapport de fascination entre hommes de pouvoir et écrivains.
    Le 2 décembre 1851, le président de la République Louis Napoléon Bonaparte viole la Constitution et s’empare de tous les pouvoirs avant de se faire proclamer empereur. Un homme suit pas à pas, depuis des mois, celui qu’on appelle désormais Napoléon III. Il le connaît fort bien et l’a souvent rencontré. Il dénonce son forfait et s’oppose à lui farouchement. C’est Victor Hugo, député de l’Assemblée dissoute et écrivain célèbre.
    Dans ce combat, l’empereur se révèle bien plus stratège et subtil que la caricature qu’on en a faite. Quant au second, il apparaît tel qu’il est vraiment : génial, égocentrique, autoritaire avec ses proches.
    Ce duel passionné entre le voleur et son ombre durera vingt ans. Jusqu’à la chute honteuse de l’aventurier politique et l’apothéose du prophète du retour de la République…

    « Victor Hugo, le héros du romantisme, contre Napoléon III, le héros romanesque. Leur duel domine l’histoire du XIXe siècle, mais il se prolonge jusqu’à aujourd’hui, car c’est celui de la pensée et du pouvoir. »
    Frédéric Mitterrand

    Le Duel  -  Frédéric Mitterrand


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  • La Rédaction

    La mini-série Le Bazar de la Charité diffusée par TF1 a été jugée peu crédible par Marie-Béatrice du Cray, descendante d'une des victimes de la catastrophe de 1897, qui s'est exprimée sur Le TV mag du Figaro.

    L'incendie du Bazar fit, selon les sources, 121 à 135 victimes.

    Parmi elles, La Duchesse d'Alençon, sœur de Sissi de Bavière1, et Henriette de Belgique, Duchesse de Vendôme.

    Selon Marie-Béatrice du Cray, « La lutte entre les hommes et les femmes n’existait pas au XIXe siècle. Il y a un anachronisme. C’est une fiction pour Marlène Schiappa (secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, ndlr), pour que les spectateurs d’aujourd’hui s’y retrouvent.»

    Beaucoup de créations cinématographiques, et aussi beaucoup de réalisations télévisuelles certainement (personne, parmi la rédaction de RoyautéNews ne regarde la télévision...) se trouvent dans le même cas, des personnages du passé se comportant d'une manière qui travestit la réalité.

     

    1. Nous n'utilisons sur RoyautéNews que le nom de Sophie de Bavière et non la forme "Sophie en Bavière".


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  • Quand la science explore l'Histoire - Philippe Charlier ; David Alliot

    Texto ; Préface de Bernard Proust ; (2016)   9 oct. 2019 ;   256 p.;   9€50.

    Présentation officielle : Aujourd’hui, les vivants ont besoin des morts. Grâce aux nouvelles techniques de la médecine légale et de l’anthropologie, il est désormais possible d’identifier les maladies et les causes de mort de personnages décédés il y a plusieurs siècles.

    Qu’ils soient célèbres – Richard Cœur de Lion, Agnès Sorel, Henri IV, Robespierre – ou anonymes, ces patients témoignent post-mortem des progrès fantastiques de la science. Empoisonnement ou mort naturelle ? Tumeur ou malformation ? Suicide ou crime maquillé ? De la Préhistoire au XIXe siècle, le docteur Philippe Charlier parcourt les carnets de santé de ces défunts pas comme les autres, et nous entraîne dans un fascinant voyage scientifique et historique.

    Quand la sience explore l'Histoire - Philippe Charlier ; David Alliot

     


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  • L'Interview d'Yves Bomati

    Notre Interview du chercheur et écrivain Yves Bomati, spécialiste de l'Iran, est disponible ici.

     

    A lire ici


  • 24 h dans l'Égypte ancienne - Donald P. Ryan

    Préface de Mario Pasa ;  Traduction d'Hélène Colombo-Amblard ;

    Payot ;   oct. 2019 ;  288 p.;   20€.

    Présentation officielle : Un portrait très vivant de l'Egypte d'Amenhotep II (vers 1442 av. J.-C.) sur 24 heures, avec un personnage par heure, du pharaon au simple potier, de l'embaumeur au voleur de tombes, en passant par la sage-femme et la pleureuse - ou comment un archéologue de renom nous aide à comprendre une civilisation complexe au moyen d'un docufiction sur papier, dans l'esprit des livres d'Alberto Angela sur l'Antiquité romaine.

    24 heures dans l'Egypte ancienne - Donald P. Ryan

     


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  • La situation de l'Iran pourrait voir s'améliorer, à travers ses relations avec certaines puissances telle que les États-Unis... on pourrait l'espérer...

     

      à suivre ici.

     


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  • Le Grand Colbert  -  Thierry Sarmant ; Mathieu Stoll

    Tallandier ;   3 oct. 2019 ;   512 p.;   25€90.

    Le feuilleton se poursuit. Les Français ne peuvent s'empêcher de triturer ce qui a déjà été acquis. Leur hargne est à la hauteur de leur mortelle impossibilité d'organiser  le présent, de sortir des impasses de leur cerveau emprunté. Alors, il arrachent les cadavres à leur tranquillité, pour faire des procès. RoyautéNews

    Présentation officielle : Jean-Baptiste Colbert, qui fut jadis une des figures mythiques du « roman national », est aujourd’hui violemment remis en cause, comme le sont la plupart des « grands hommes » de l’histoire de France. On s’interroge sur les ressorts de son ascension, on s’inquiète de l’origine douteuse de sa fortune, on conteste la pertinence de ses réformes, on souligne son penchant pour l’autopromotion.

    Pour y voir plus clair, les auteurs explorent de nouvelles sources, dressent pour la première fois un bilan d’ensemble de l’action de Colbert pendant les deux décennies où il fut le ministre de Louis XIV et suivent, sur près de quatre siècles, les avatars du « mythe Colbert ». L’itinéraire de Jean-Baptiste n’est pas séparé de celui des Colbert qui l’ont précédé et de ceux qui l’ont suivi. Le portrait de famille éclaire la personnalité de l’homme, dont la psychologie est à son tour révélatrice de l’imaginaire des élites françaises.

    Replacée dans la longue durée de l’histoire de France, son œuvre se révèle complexe, foisonnante, pas toujours couronnée de succès sur le court terme, mais incroyablement féconde avec le temps. Elle est une des bases sur lesquelles repose l’État tel que nous le connaissons : en ce sens, Jean-Baptiste Colbert mérite bien de demeurer le « grand Colbert ».

    Le Grand Colbert  -  Thierry Sarmant ; Mathieu Stoll


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  • Histoire des favoris  -  Jean-François Solnon

    Perrin ;  17 oct. 2019 ;   448 p.;  24€.

    Présentation officielle : Une histoire inédite des favoris de l'Ancien Régime au XIXe siècle. Un favori est celui qui partage l'intimité du prince et exerce sur lui un ascendant inaccessible aux ministres. Participer presque quotidiennement à la vie privée du monarque, être l'objet de sa tendresse révélée par des gestes affectueux et une correspondance intime, habiter sous le même toit et parfois dans un appartement voisin du sien, disposer d'un accès direct auprès de sa personne et l'interdire à d'autres, exercer des charges de cour jusque-là réservées aux nobles titrés et se voir combler de faveurs qui donnent à sa promotion un caractère exceptionnel sont les signes visibles de l'élection à cette place enviée.
    Tellement enviée que la mémoire collective n'a jamais été bienveillante à leur endroit, et qu'ils ont été soustraits à la recherche historique. Et pourtant leur nombre, la personnalité exceptionnelle de quelques-uns et leur importance dans l'Histoire méritent d'en saisir l'émergence et d'en identifier le rôle. Jean-François Solnon brosse avec maestria le portrait d'une vingtaine d'entre eux - Buckingham, Cinq-Mars, Menchikov, Potemkine, Godoy et Disraeli notamment - et nous fait pénétrer dans les coulisses les plus secrètes des cours européennes.

    Histoire des favoris  -  Jean-François Solnon


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  • Douze protestants qui ont fait la France  -  Frédérick Casadessus

    Éditions du Cerf ;   26 sept. 2019 ;   224 p.;   18€.

    Présentation officielle : De la Réforme à nos jours, quelles personnalités protestantes ont participé à la construction de la France ? Quel a été le sens de leur action, et à quels moments se sont-ils signalés ?

    Pour répondre à ces questions, Frédérick Casadesus dessine ici douze portraits de protestants sans qui notre pays ne serait pas devenu ce qu’il est : le brillant théologien, Jean Calvin ; la protectrice des arts et des humanités, Marguerite de Navarre ; le roi converti au catholicisme, Henri IV ; le fondateur de La Gazette, premier journal français sous le règne de Louis XIII, Théophraste Renaudot ; la courageuse prisonnière de la tour de Constance, Marie Durand ; l’infatigable défenderesse des Lumières, Mme de Staël ; le célèbre architecte de Napoléon III, le baron Haussmann ; le plus grand ministre de Louis-Philippe, François Guizot ; un des pères fondateurs de la laïcité, Ferdinand Buisson ; l’illustre résistant assassiné par la Milice, Jean Zay ; l’implacable homme d’État et opposant de François Mitterrand, Michel Rocard ; sans oublier le génial cinéaste de la Nouvelle vague, Jean-Luc Godard.

    Humanistes, artistes ou républicanistes, tous ont servi la plus grande gloire de notre roman national. Une fresque passionnante !

    Douze protestants qui ont fait la France  -  Frédérick Casadessus


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  • La Rédaction

    Le principe d'une réforme est astucieux pour beaucoup de raisons de la part de François Hollande mais il se prend les pieds dans le tapis. Il souhaite un sextennat, et un mandat de 4 ans pour les députés.

    Le gadget des 6 ans : ce que l'on ne peut réaliser en 5 ans, ne peut mieux se faire en 6 ans. Couper entre la bonne longueur, qui aurait dû rester celle du septennat, et le quinquennat, relève du gadget montre le niveau peu subtil des politiciens.

    Lorsqu'une campagne commence trop tôt, comme en 2017, cela écourte le mandat en cours et perturbe son déroulé. Or les primaires (remis il est vrai en cause par F. Hollande), allongent et alourdissent considérablement la pré-campagne.

    Le quinquennat est déjà bien trop long d'après nous compte-tenu des hommes et de la pauvreté de leurs programmes. Il aurait été valable lors des périodes de construction. Pour piloter à vue, nul besoin des cinq ans, qui sont une longueur insupportable.

    Quant au régime présidentiel, il a été rejeté par les Français lorsqu'ils ont désavoué Nicolas Sarkozy, qui en était le défenseur et qui l'avait partiellement mis en place. Le régime présidentiel est violemment contraire à la V° République.

    François Hollande souhaite aussi renforcer les pouvoirs de l'Assemblée... Vieux serpent de mer, qui permet de caresser dans le sens des écailles une des institutions les plus inadaptées du pays, et vieux réflexe des régimes perdus. Cela sent depuis longtemps la naphtaline, et même, le cadavre.

    Le Parlement est le contresens majeur du format politique français. Il détourne la parole du Peuple, la confisque, au profit des intérêts de la caste politique pré-entendue. Si de Gaulle se méfiait considérablement du Parlement, ce n'était pas pour rien.

    L'ex-président veut aussi supprimer le poste de Premier ministre. Là encore, il reprend à son compte la copie de Nicolas Sarkozy... qui souhaitait un régime à l'américaine. Pour François Hollande, « (un chef,) accompagné d'un Premier ministre dont on ne voyait plus tellement le rôle institutionnel. Car le chef de l'État, élu par tous les Français, est le seul acteur majeur de l'exécutif.» Lourde erreur, et pour comprendre le rôle du Premier ministre, il suffisait seulement d'appliquer les institutions et non de les dévoyer. D'ailleurs c'était alourdir tout l'appareil, en instaurant le quinquennat, insupportablement plus long qu'un septennat car la longueur n'est plus rythmée par le contrôle exercé par l'élection législative, sans parler de la classe, sombrement décadente à laquelle appartiennent les trois derniers exemplaires élyséens... dont le dernier en cours d'usage.

    Il est illusoire et trompeur de bouleverser ce qui fonde la Ve République, sans changer de fond en comble un régime qui n'a déjà plus grand chose à voir avec les institutions d'origine. La Ve véritable est morte depuis bien longtemps, ce régime qui appelait, pour le remplir, des hommes d'État.

    Et surtout, François Hollande semble ignorer, dans sa proposition de rechapage institutionnel, les hommes, qui devraient en être le pivot... Illusion fatale. Ce ne sont pas les institutions en elles-mêmes qui sont mauvaises, et mauvaises, elles le sont. Mais comme pour tout, les mauvais ouvriers ont toujours de mauvais outils...

    Il y aurait beaucoup à dire encore et nous ne proposerons pas une analyse en profondeur... L'essentiel est là cependant.

     Critique du régime présidentiel souhaité par l'ex-président Hollande


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  • Frais de palais   -   René Dosière

    Éditions de l'Observatoire ;  paraît demain le 6 nov. 2019 ;  230 p.;  19€.

    Si René Dosière a fait un excellent travail durant des années, nous ne sommes pas favorables à "la transparence" forcenée. C'est la porte ouverte à des abus qui paralysent un État et fragilisent ses dirigeants. Il faut se souvenir du contexte de l'époque, une France encore riche, pour la partie concernant Mitterrand. RoyautéNews

    Présentation officielle : Spécialiste incontesté de la gestion des finances publiques, le député René Dosière nous dévoile les secrets des dépenses présidentielles. 110 millions d'euros : voici le chiffre réel du budget de l'Élysée. Réel, car pour la première fois dans notre histoire, les dépenses du président de la République sont transparentes et contrôlées. Un cas unique au monde ! Finis les emplois fictifs, les contrats opaques et les fastes d'un autre temps (délégations de plusieurs centaines de personnes lors de voyages officiels ; jusqu'à 450 000 euros de fleurs par an ; une garden-party du 14 juillet à 732 000 euros...). Cette « révolution », on la doit à l'action de René Dosière. Durant vingt-cinq ans de vie parlementaire, l'ancien député n'a cessé de lutter pour une plus grande transparence de la gestion publique. Désormais à l'écart de la poli-tique active, et fort d'une expertise unanimement reconnue, il révèle les coulisses du combat mené pendant six ans pour percer le « secret-dépense » de l'Élysée - objectif atteint en 2008 avec Nicolas Sarkozy. Déplacements, réceptions, salaires, logements, sécurité, chasses... autant d'aspects de la vie quotidienne à l'Élysée que l'auteur évoque dans un récit rempli d'anecdotes, du général de Gaulle à Emmanuel Macron, sans oublier les « premières dames » et les anciens chefs de l'État. Une lecture réjouissante et passionnante qui dévoile les derniers secrets du Palais.

    Frais de palais   -   René Dosière


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  • Une histoire érotique de l'Elysée  -  Jean Garrigues

    Payot ;  9 oct. 2019 ;   256 p.;   18€90.

    Présentation officielle : A en juger par les affaires amoureuses, et tumultueuses, de nos récents présidents, un parfum d'érotisme envelopperait le palais de l'Elysée. Rien de surprenant en réalité quand on sait que le comte d'Evreux, qui l'avait fait édifier avec la dot de sa femme, l'habita avec sa maîtresse, à peine son épouse congédiée le jour de son inauguration en 1720 ! De la marquise de Pompadour procurant de jeunes proies à Louis XV aux liaisons des présidents de la Ve République étalées au grand jour, en passant par les chassés-croisés érotiques du couple Murat et des Bonaparte, les "petites impératrices" de Napoléon III, les mondaines d'Adolphe Thiers, les comédiennes peu farouches de Félix Faure, Clemenceau et Raymond Poincaré, l'obsession pour les femmes d'un Pétain et la passion de la conquête d'un Chirac ou d'un Mitterrand, les frasques des locataires de l'ancien hôtel particulier ne datent décidément pas d'hier ! Une peinture enlevée des dessous d'un lieu de pouvoir autant que de plaisirs qui, par-delà les anecdotes savoureuses, nous en apprend tout autant sur l'évolution de notre société dans ses rapports hommes-femmes que sur les liaisons dangereuses entretenues de tous temps entre ivresse des sommets et extases charnelles.

    Une histoire érotique de l'Elysée  -  Jean Garrigues


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  • La Rédaction

    Notre conseil à Fabrice Luchini pour l'Académie Française

     

    Le dernier film Alice et le maire avec Fabrice Luchini et Anaïs Demoustier. Luchini y est au complet de lui-même. A noter, un clin d’œil aux royalistes dans ce film...

    A regretter que le film manque de tonus vers la fin, la faute au scénario...

    On appréciera les très beaux décors d'une des mairies de Lyon. Pas l'Hôtel de Ville, Gérard Collomb ayant refusé que le film y soit tourné, car il croyait que le scénario le concernait...

     


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  • La Rédaction

    Situé à Pouchkine, dans ce qui était la résidence de Tsarkoïe Selo, le Palais Alexandre a été la résidence principale de la famille impériale de 1905 jusqu'au massacre de 1917.

    Il était destiné à une vie familiale simple, une vie familiale intime. D'où son nom de « palais intime ».

    C'est l'an prochain qu'il sera ouvert au public, qui pourra visiter huit de ses pièces restaurées par le Musée de Tsarkoïe Selo. C'est là que le pays renoue depuis ces derniers années, avec son passé de la Russie éternelle, qu'il avait mis de côté mais n'avait jamais oublié.

    C'est là qu'après son abdication, le Tsar et ses cinq enfants ont été assignés à résidence avant leur déportation vers Ekaterinenbourg.

    Le Palais Alexandre rénové

    Ouest-France ; Photo DR

    Le Palais Alexandre rénové

    © AFP


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  • L'Illustration - Présenté par Jean-Louis Festjens

    Michel Lafon ;   17 oct. 2019 ;  240 p.;  grand format ; 39€95.

    Présentation officielle : La France est née vers 1900. Au moins aux yeux des Français. Jusque-là, il y avait deux France. Une France politique, bourgeoise et culturelle, la France de Paris et des autres grandes villes, et puis la " province ", une France agricole, traditionnelle, dont les habitants n'avaient pour la plupart jamais dépassé les limites de leur département.
    Vers 1900, l'essor des chemins de fer et les débuts de l'automobile permettent à un nombre croissant de Français de quitter leur ville, leur village, leur " pays ", et de partir à la rencontre d'une France que l'immense majorité d'entre eux ne connaissait pas. Cette période de découverte – marquée par l'Exposition universelle de 1900 – culmine en 1936 avec le Front populaire et l'instauration des congés payés, qui envoient sur les routes des millions de Français curieux de découvrir leur pays. L'Illustration multiplie alors les pages " tourisme " afin de présenter à ses lecteurs toute la diversité des régions, des villes, des merveilles naturelles et des traditions folkloriques d'un territoire aux multiples identités.
    Pour la première fois rassemblés dans cet ouvrage foisonnant, les reportages, dessins et photos de l'époque nous invitent à voyager dans la France du siècle dernier telle que les Français l'ont découverte.

    L'Illustration  -  C'était la France  -  Jean-Louis Festjens


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  • Jaune   -   Michel Pastoureau

    Seuil ;   3 oct. 2019 ;  240 p.;   39€.

    Michel Pastoureau est un historien héraldiste de notoriété mondiale devenu expert dans l'étude des couleurs. RoyautéNews

    Résumé officiel du livre : Abondamment illustré, Jaune est le cinquième ouvrage d’une série commencée en 2000 et consacrée à l’histoire des couleurs en Europe, de l’Antiquité à nos jours. Il fait suite à Bleu. Histoire d’une couleur (2000), Noir. Histoire d’une couleur (2008), Vert. Histoire d’une couleur (2013) et Rouge. Histoire d’une couleur (2016).

    Jaune   -   Michel Pastoureau


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  • RN 2 et la Rédaction

    Il aura échappé au typhon Hagibis qui a tué cinquante-six personnes le 12 octobre. Mais il a été dévoré par les flammes voici quelques heures.

    Il faut regretter que les mesures de sécurité n'aient pas été suffisantes pour déclencher l'alerte pour ce monument rebâti à la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

    Il est situé près de Naha, capitale de l'Archipel d'Okinawa, qui fut très bombardé durant cette guerre.

    le nom de Naha est associé à l'histoire du Karaté, auquel il a donné un style majeur de l'Art dont a été tiré le Karaté moderne.

    Japon : le Château de Shri détruit par les flammes


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  • Rubrique Économie

    Endetté  à titre personnel, Arnaud Lagardère risque de tout perdre, et ce, à brève échéance. Le Crédit Agricole, qui lui même rencontre des difficultés, le contraint à se séparer pan par pan de toutes ses activités. Il a déjà vendu Elle en 2018, et va être contraint de céder Europe 1, qui est passé en cinq ans de 13% d'écoute à seulement 5%... Par ailleurs, la société de production télévisuelle, qui travaille pour TF 1 et réalise des bénéfices, est en vente et ne trouve pas preneur.

    Dans ces mouvements, qui consistent pour de grands groupes comme le Crédit Agricole, qui prend par ailleurs des positions dans plusieurs domaines (presse, par exemple) à se sécuriser, doit-on voir le crack, annoncé depuis longtemps, et qui semble se préciser ? Depuis peu on reparler d'un crack qui semblerait inévitable compte tenu des taux négatifs.

    Comme toujours, les risques qui sont peut-être un peu trop vite agités, risquent d'ajouter la panique à une économie mondiale qui est tout, sauf saine.

    Pour revenir à Arnaud Lagardère, il vend des actions personnelles du groupe familial, après que le Crédit Agricole vienne de prendre le contrôle de sa fortune personnelle.

    La vente d'Europe 1, puis celle de Virgin radio semble être la prochaine étape.


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  • La Rédaction

    Le conseil de RoyautéNews à Fabrice Luchini pour l'Académie Française

    Le comédien a abandonné rapidement l'ambition, évoquée en novembre 2018, d'être élu à l'Académie française. Il en avait été question dès 2012, et il semble que l'initiative en soit revenue à l'époque à Jean d'Ormesson. Depuis, il en fut reparlé, par ce dernier, et Valéry Giscard d'Estaing, frère spirituel  et académique de celui-ci, a soutenu lui aussi cette idée.

    Mais nous pensons que Fabrice Luchini devrait nourrir une autre ambition, se consoler plus glorieusement, en n'entrant pas sous la coupole.

    Qu'il suive, pour garder sa fraîcheur, une idée moins vétuste que de suivre la clique partie d'inconnus illustres, vivants emplâtres comme auditionnés pour un lugubre musée de cire.

     

    Nous l'empruntons au spirituel Paul Guth qui avait déjà une réponse toute prête pour lui... Il conseillerait aujourd'hui Fabrice Luchini de postuler pour le 41ème fauteuil. Mais un 41ème fauteuil revisité par ses soins.

    Dans son Discours de Déception à l'Académie française (1987), l'aimable auteur reprend l'idée d'Arsène Houssaye, qui eut une activité littéraire importante comme auteur et directeur de revue au XIXe s. En 1855 il écrivit qu'il manquait un 41ème fauteuil pour tous ceux qui, pour une raison ou pour une autre, n'avaient pas été reçus, avant de publier Le 41ème fauteuil de l'Académie Française.

    Mais Paul Guth approfondit l'idée de Houssaye, qui avait été complétée par Maurice Genevoix, tout en ridiculisant soigneusement les Quarante. Paul Guth propose en effet qu'il soit établi un véritable 41ème fauteuil, pourvu par les Quarante, choisi parmi tous ceux qui avaient été rejetés ou tous ceux qui ne songeaient pas à présenter leur candidature par désintérêt, ou pour cause de profil inadéquat aux critères des Immortels.

    La comparaison, entre ceux qui ont appartenu, et ceux qui n'ont pas appartenu à l'Académie française est sans appel. Si vous rêvez d'appartenir à la plus illustre des confréries, sans hésiter abandonnez la chimère de devenir Immortel.

     

    Sacha Guitry lui aussi avait établi quelques statistiques, non pour y entrer car il ne fut jamais été tenté de se glisser dans l'habit vert, mais pour mettre en relief l'évidence que, le plus grand nombre des illustres auteurs ne fit jamais partie de l'Académie.


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  • The other side of the coin : the Queen, the dresser and the wardrobe - Angela Kelly

    Harper Collins ; paraît aujourd'hui en Anglais le 29 oct. 2019 ; 304 p.;  15£.

    Styliste de la reine depuis dix-sept ans, l'anglaise Angela Kelly raconte ses souvenirs de styliste de la reine et de couturière qui travaillait déjà au Palais de Buckingham depuis une dizaine d'années avant de devenir styliste officielle en 2002. Ce livre a été présenté par la secrétaire particulière de la reine, Samantha Cohen décédée en 2018. RoyautéNews

    The other side of the coin : the Queen, the dresser and the wardrobe - Angela Kelly


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  • La Rédaction

    Le Monde dans la mire de la Chine

    Les autorités françaises conseilleraient discrètement aux cabinets comptables de ne pas embaucher de chinois.

    Voici quatre jours, La Voix du Nord révélait que "le renseignement militaire français s'inquiète des mariages entre militaires bretons et jeunes chinoises". Et de citer le livre d'Antoine Izambard : France-Chine, les liaisons dangereuses.

    De fait, des chinois ou chinoises photographient tout, absolument tout, comme le faisaient autrefois, les Japonais devant les devantures de magasins. Là, les panneaux Decaux sont soigneusement enregistrés, et tant d'autres choses encore.

    La Chine, on le sait, et cela se voit, ne cesse de progresser sur tous les fronts. Elle s'est approprié en Afrique de très nombreuses bases économiques, coupant l'herbe sous les pieds des Français incapables, par exemple.


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  • La Rédaction

     

    « J'ai ressenti hier une intense émotion en portant le cercueil de mon grand-père. L'acte est inqualifiable. La monarchie a été ré-instituée par le Général Franco. C’est cela que l’Histoire retiendra.»
     
    On peut ajouter que le Généralissime, Caudillo et Chef de l'État espagnol, Francisco Franco, aura résisté aux propositions qui lui furent faites par le Chef du IIIe Reich. Si l'Espagne avait apporté son soutien au régime Nazi, sans nul doute le basculement ultérieur serait devenu impossible.
     
    Il faudra retenir que les errements des républiques aboutissent inexorablement à des chaos auxquels sont confrontées par la suite, des personnalités hors normes mais qui, placées au sommet de l'état alors qu'elles ne l'avaient pas souhaité, n'ont pas été formées à l'exercice du gouvernement. Toutes les questions, tous les abus, qui peuvent à juste titre être reprochés au régime franquiste, sont la conséquence d'un lot d'erreurs et d'aveuglements, qui remonte au 19e siècle et au mélange des erreurs du libéralisme politique à des républiques dépourvues de solidité.

    Louis de Bourbon rend hommage à son aiëul

     

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  • La Rédaction

    Chinois

    Il est vraisemblable que les trente-neuf chinois retrouvés morts dans un camion en Angleterre et probablement partis s'installer en Occident appartenaient à un atelier de couture.

    La présence d'un adolescent confirme cette hypothèse, qui ne semble pas avoir été relevée par les autres médias.

     


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  • Jean Jacob, l'homme de 120 ans - Jacques Berlioz ; Antoine de Baecque

    Tallandier ;  paraîtra le 7 nov. 2019 ;   224 p.;  19€90.

    Présentation officielle : Dans la presse, en octobre 1789, on peut lire : « Jean Jacob, le bon vieillard, s’est présenté ; les membres de l’Assemblée nationale se sont levés et cet homme extraordinaire (proche de 120 ans), qu’on peut appeler le doyen des hommes, qui a vu trois règnes si différents – ceux de Louis XIV, de Louis XV et de Louis XVI –, est venu s’asseoir au milieu des législateurs. »

    Cet étonnant destin exigeait une enquête historique. Retrouver les empreintes laissées par l’existence de Jean Jacob. Retracer sa vie d’infortune et de providence par les monts et les vallées du Jura. Comprendre comment s’est fabriquée sa célébrité et pourquoi il s’est soudain trouvé à Paris. Éclairer la portée symbolique d’une telle cérémonie du grand âge en politique.

    Mais ce « supercentenaire » n’échappe pas à ces interrogations : Jean Jacob a-t-il vraiment vécu 120 ans ?   Est-il un vénérable phénomène ou un imposteur ? L’enquête ici déployée au plus près des archives y répond. Car si l’on connaît l’usage politique que fit la Révolution de Jean Jacob, « doyen du genre humain », les faits n’en possèdent pas moins une implacable vérité.

    Jean Jacob, l'homme de 120 ans - jacques Berlioz ; Antoine de Baecque


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  • Dans les châteaux de la République  -  Fabien Oppermann

    Tallandier ;  paraîtra le 24 oct. 2019 ;   288 p.;   20€90.

    Présentation officielle : Qui sait ce qui se trame dans les châteaux de la République, cachés par les arbres et de hauts murs, équipés de caméras, où présidents, ministres, diplomates, parlementaires, conseillers, grands patrons, amis et familles se retrouvent, échangent ou se reposent à l’abri des regards...

    Loger à Versailles pour les hôtes officiels du général de Gaulle, chasser à Rambouillet pour les invités de Valéry Giscard d’Estaing, admirer la vue du fort de Brégançon pour ceux de Georges Pompidou, monter à cheval à Souzy-la-Briche pour la fille de François Mitterrand… Nicolas Sarkozy et François Hollande, eux, préfèrent passer leurs week-ends à la Lanterne, tandis que les chefs d’État africains apprécient le charme si discret du château de Champs-sur-Marne. Les principaux intéressés ne s’épanchent pas sur ces lieux privilégiés, et le mystère règne sur ce qu’il s’y passe.

    À l’appui d’archives inédites et de nombreux témoignages, Fabien Oppermann nous ouvre les portes de ces châteaux, palais, résidences d’été, pavillons de chasse et belles demeures où se distraient nos présidents et leurs invités et où se nouent des intrigues. Entre politique, diplomatie et famille, l’histoire des résidences secondaires de la République est aussi celle des pratiques du pouvoir.

    Dans les châteaux de la République  -  Fabien Oppermann


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  • Sapé comme jadis  -  Yvane Jacob

    Robert Laffont ;  17 oct. 2019 ;   192 p.;    22€.

    Yvane Jacob, chroniqueuse sur Radio Nova et acheteuse pour la marque & Other Stories.

    Présentation officielle : Chaque vêtement a une histoire. 60 portraits drôles et inattendus qui montrent que l’habit n’est jamais neutre.

    Pourquoi Jules César s’est-il accroché à sa toge ? Catherine de Médicis avait-elle une culotte ? Pourquoi le Che portait-il toujours un béret alors qu’il n’était même pas basque ? Pourquoi Élisabeth II s’habille-t-elle comme un panneau de signalisation ? Pour quelle raison Donald Trump refuse-t-il d’avouer qu’il met des peignoirs ?
    Yvane Jacob explore la garde-robe de 60 illustres personnages. En même temps qu’elle révèle le sens caché, ou oublié, du vêtement, c’est l’évolution des mentalités et des rapports sociaux qui se dessine. On ne s’habille pas seulement pour se protéger du froid ou pour cacher sa nudité : en se parant, on se révolte, on se distingue, on séduit, on conteste, on interpelle… On s’exprime ! Aux préoccupations intimes et esthétiques se mêlent des considérations économiques, sociales et politiques.
    Si le bonnet ne fait plus le docteur ni la robe le magistrat, le vêtement reste un langage. Ces 60 portraits tentent de le décoder, dévoilant avec légèreté mais sans frivolité tout ce que revêt l’habit.

    Sapé comme jadis  -  Yvane Jacob


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  • Des Américaines à Paris  -  Gérard Bonal

    Tallandier ;  3 oct. 2019 ;   384 p.;    10€50.

    Présentation officielle : Mary Cassatt, Winnaretta Singer, Isadora Duncan, Gertrude Stein, les sœurs Klumpke… Le Paris de la Belle Époque vibre sous les assauts de ces Américaines éprises de liberté.

    Elles sont riches, artistes, philanthropes. Elles peignent, écrivent, dansent, jouent de la musique, tiennent salon, aiment. Paris est une fête pour ces femmes aux mœurs libres qui fuient l’Amérique puritaine.

    Le salon de la princesse de Polignac ; l’atelier de la rue de Fleurus où Gertrude Stein arbitre le match Picasso-Matisse ; le temple de l’amitié de Natalie Barney, rue Jacob, où l’on croise Colette, Ernest Hemingway, Jean Cocteau… Autant de lieux qu’elles ont rendus célèbres dans le monde entier grâce à leur énergie et leur talent.

    Des Américaines à Paris  -  Gérard Bonal


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