• Les nouvelles en provenance du front d'Araucanie

    La Rédaction

    L'actualité semble être riche en ce moment et depuis quelques mois pour ceux qui suivent ses activités.

    Le secrétariat du Chef de la maison royale a informé qu'un certain nombre d'actions ont été lancées contre des personnes ayant gravité autour du Royaume d'Araucanie ou l'ayant rencontré.

    C'est le cas d'un reporter du Point, M. Baudoin Eschapasse, visé par des poursuites pénales pour avoir refusé de publier un droit de réponse à la suite d'un article honteux dont notre site avait fait part, en Novembre dernier. Le refus de droit de réponse est un délit de presse sanctionné en France de manière précise et lourde.

    L'AFP serait en contentieux avec les représentants du royaume pour son refus de ne pas publier des images interdites.

    Seraient visés également, la revue L'Incorrect, organe droitisant aux contours comme aux intentions floues, ayant publié des informations fausses, et aussi Minute, le célèbre hebdomadaire mais nous n'avons pas de détail.

    Du côté "intérieur", le maire et conseiller départemental de Tourtoirac (en Périgord), fait l'objet de plusieurs avis pour avoir organisé plusieurs cérémonies, au cours de ces dernières années, autour du Royaume d'Araucanie en compagnie d'un groupe de personnes qui en ont détourné le nom. Il lui est aussi reproché son refus d'attribution de parcelle à l'issue d'une offre publique et un comportement discriminatoire à l'égard du Chef de la maison royale.

    Quant à M. Luz, responsable du groupe des conseillers fraudeurs qui ont accaparé les instruments du royaume1 il s'est vu signifier ces jours derniers une interdiction d'organiser ses réunions sous forme publique. Il avait reçu, le 29 mars, une invitation de la part du Chef de la maison royale à participer à une réflexion dans l'intérêt des Indiens, à laquelle il n'a pas répondu.

    Quant au groupe Parvulesco, il se voit aujourd'hui signifier la même interdiction.

    1. Il a succédé à M. Parasiliti di Para, mort en déc. 2017.

    Ces épisodes promettent peut-être quelques rebondissements au cours de cet été, en pleine Année Tounens lancée par le Chef de la maison royale, Philippe Orllie.

    Rappel des faits : début 2014, mort du Prince d'Araucanie. Les membres du Conseil désignent hors droit pour lui succéder et contre les volontés du Prince et aussi contre le bon sens, M. Parasiliti di Para, après avoir engagé une réunion dans la plus grande précipitation. Quelques semaines plus tard, on voit l'apparition d'un prince de fantaisie surgi de l'imagination d'un personnage qui, insatisfait pour des raisons personnelles de cette désignation, l'installe avec la complicité inavouée mais totale du filleul du défunt - lequel avait pourtant assuré à notre site que la désignation de Parasiliti s'était très bien passée. (janvier 2014).

    Plusieurs événements disposés au cours de la même année, plusieurs retournements du chef de ce groupe des ex-conseillers du défunt,  ont permis de conclure que les orientations de l'équipe qui, officiellement, occupait la succession, ne remplissait ni la charge ni les engagements pris, dont une partie avait été exprimée sur notre site, étaient contraires à l'intérêt du Royaume. 

    Philippe Orllie, fin 2014, prenait en charge les destinées du Royaume afin d'assurer l'indispensable continuité et une succession sans faille, et, délaissant le titre de Prince d'Araucanie, prenait ceux du Chef de la Maison Royale, Successeur du Prince Philippe et Gardien de la Monarchie Araucanienne.


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