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Rubrique essentielle de RoyautéNews
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Censure
Soutien aux Arméniens
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Par RoyautéNews le 29 Septembre 2023 à 20:00
Le goût du risque - Andrea Marcolongo ; Patrice Franceschi ; Loïc Finaz
Grasset ; 20 sept. 2023 ; 144 p.; 16€.
Se reporter aussi à l’interview du Figaro Magazine d’Andrea Marcolongo. RoyautéNews
Présentation officielle : Célébrer la liberté, ne pas craindre l’incorrect, ne pas fuir la mort, chercher la bagarre, danser après l’échec, refuser l’abus des normes, tuer le principe de précaution, ne pas s’attarder à vivre, être pleinement l’homme ou la femme que l’on veut être, aimer la solitude, oser croire, chérir l’inutile, aventurer la vie sans cesse : voilà ce que proposent les auteurs de cet ouvrage pour affronter notre époque de doute et de désarroi.
Les pandémies, les catastrophes naturelles, l’intelligence artificielle nous poussent vers le repli jusqu’à la tétanie. Dans ces pages vives et ardentes, Andrea Marcolongo, Patrice Franceschi et Loïc Finaz combattent sans concession la peur et la prudence qui l’emportent aujourd’hui trop souvent sur la liberté. Puisque le risque est consubstantiel à la vie, faisons preuve de courage intellectuel et moral. Bref, retrouvons le goût du risque.
Bien plus qu’un libelle contre nos temps d'asphyxie, un éloge de la vie, imprévisible et joyeuse.
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Par RoyautéNews le 29 Septembre 2023 à 19:30
C’était Georges, mon père - Alain Pompidou
Robert Laffont ; 28 sept. 2023 ; 234 p.; 18€50.
Commentaire de RoyautéNews : Seulement pour connaître cette époque.
Nous aborderons un jour ou l’autre ce qui est reproché à Pompidou.
Dans un autre registre, nous apprécions la rondeur du personnage bon vivant, sa phrase devenue culte, qu’il ne faut cesser de placarder sur tous les frontons et, si l’on est Français, interposer entre soi et tous les représentants de l’État et, sauf exception, des membres de l’Administration : Cessez d’emmerder les Français !
Jusqu’à sa légendaire cigarette, comme sur la couverture du livre, on peut regarder avec nostalgie cette époque d’après de Gaulle qui faisait entrer la France dans le début des incertitudes, mais n’était pas encore infestée de la folie qui a peu à peu gagné la vie publique, puis tous les secteurs, puis la société elle-même.
Présentation officielle : L'ancien président de la République raconté comme jamais.
En 1989, Pierre Messmer se demandait ce qu'un jeune Parisien répondrait à la question : " Pour vous, que signifie le nom de Georges Pompidou ?" Il imaginait qu'on évoquerait, la plupart du temps, Beaubourg et les voies sur berge.
Le jeune Parisien d'aujourd'hui ne donnerait sans doute pas une réponse très différente. Ses parents se souviendraient peut-être de l'affaire Marković ou de son travail à la banque Rothschild. Ses grands-parents se rappelleraient mai 1968 et les accords de Grenelle.
Pourtant, l'existence des Français est encore imprégnée de son action : la mensualisation des salaires, c'est lui ; le SMIC, c'est encore lui ; l'élargissement du congé maternité à toutes les salariées, c'est toujours lui. Président sensible et mesuré, loin du froid banquier parisien dépeint par ses opposants, il fut aussi un khâgneux dilettante et engagé, un professeur de français dynamique, un amoureux de la nature, un passionné d'art et de poésie, un mari, un père.
C'est le quotidien de cet homme méconnu qu'a partagé Alain Pompidou, son fils unique. Avec lui, il a joué aux cartes les week-ends à Orvilliers, écouté du Bach en vacances à Cajarc, chassé chez les Rothschild à Ferrières, pris des petits déjeuners à Matignon et à l'Élysée... Retraçant sa vie, de son enfance dans le Cantal à sa mort après des années de maladie, il nous fait pénétrer dans l'intimité de son père et nous révèle quelle était la personnalité de ce président qui a tant marqué la France.votre commentaire
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Par RoyautéNews le 25 Septembre 2023 à 22:10La RédactionPour des raisons techniques nous ne publions pas pour l’instant de billets sur les événements immédiats, ce n’est que partie remise dans un monde qui ne s’enfonce plus du tout mais a presque achevé de couler.À moins qu’il s’agisse d’un montage ?.. De type "ChatGPT" ou deep-fake ou de la stupide et malveillante "intelligence artificielle"... Cette question-précaution/mise-en-doute-de-principe/et-de-contestation-par-principe doit s’apposer sur tout sujet désormais et c’est pour nous la règle. Mais là, cela semble vrai.Le Parlement Canadien, en présence de Zelensky, a applaudi debout un homme de 98 ans, ancien de la 14ème Division de la Waffen SS Galicia. Parce qu’il a défendu l’Ukraine contre l’Union Soviétique.Quand on cherche sur Gougueul "Jaroslav Gunka Parlement canadien"Ceci s’affiche en haut de la page. Sans commentaire."Jaroslav Gunka Parlement canadien"Les résultats ci-dessous semblent changer rapidementS'il s'agit d'un nouveau thème, la publication d'informations par des sources fiables peut parfois prendre du temps
- Vérifiez la source
- Est-elle fiable sur ce thème ?
- Revenez plus tard
- D'autres sources fourniront peut-être plus d'informations à ce sujet dans quelques heures ou jours
__________Le malaise du journal Le Monde :votre commentaire
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Par RoyautéNews le 21 Septembre 2023 à 14:04
Elizabeth II ; La Reine - Jean des Cars
Perrin ; 10 mars 2022 ; 456 p.; 22€.
Présentation officielle : A l'occasion de l'exceptionnel et historique "jubilé de platine" célébrant en 2022 les 70 ans du règne d'Elizabeth II, Jean des Cars nous conte la vie de la femme la mieux informée du monde, véritable icône des XXe et XXIe siècles.
Respectée, souvent adulée, Elizabeth II règne sur le temps. Si la souveraine est la femme la plus célèbre du monde, elle reste pourtant largement secrète et méconnue. Depuis 1952, elle a toujours étonné ses contemporains, évoluant avec son époque tout en restant la même afin de préserver la monarchie dont elle est l'héritière et la garante. Elle incarne un univers qui serait impensable sans elle, sans ses inévitables chapeaux, son sourire de rigueur et sa discrète façon de battre la mesure de son pied droit lorsqu'une fanfare défile devant elle.
Âgée de 95 ans, celle que rien ne prédestinait à monter sur le trône connait aujourd'hui le plus long règne de la monarchie britannique.
Puisant aux meilleures sources, Jean des Cars nous plonge dans la vie d'Elizabeth II, de son enfance à son accession au trône en passant par tous les petits et grands épisodes, publics et privés, qui ont marqué sa vie : guerre mondiale, mort de son père, rumeurs sur son couple, décès de son mari, vie dissolue de sa sœur, problèmes conjugaux de ses enfants, relation avec son oncle damné, "rébellion" de son petit-fils Harry, sans oublier sa passion pour ses Corgies et ses chevaux... Le maître des cours européennes nous invite dans l'intimité de "The Queen".
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Par RoyautéNews le 21 Septembre 2023 à 13:47
Les sept vies de Jacques de Molay - Philippe Josserand
Les Belles Lettres ; 15 sept. 2023 ; 192 p.; 21€.
Présentation officielle : « Je suis historien. J’ai publié une biographie de Jacques de Molay en 2019. Elle fait à présent partie des travaux d’autorité sur les Templiers et leur dernier grand-maître. Et, pourtant, elle ne me suffit pas. Savons-nous toujours ce que sont les vies que nous, historiens, racontons ? L’énigme biographique survit inévitablement à l’écriture biographique. Ce constat est encore plus vrai lorsque la mort d’un personnage l’emporte sur sa vie, au point d’en conditionner le récit. C’est le cas de Jacques de Molay. Il me faut revenir à cette vie. Il me faut changer de méthode. Et faire parler les vivants et les morts. » Philippe Josserand.
Sous la plume de Philippe Josserand, sept proches de Jacques de Molay, contemporains du dignitaire ou de nous, racontent, chacun leur tour, à travers lettres, dialogue et monologues, « leur » Molay. De ces témoignages d’une vie en polyphonie ressort une inédite orchestration biographique qui conserve à l’histoire, par la littérature, la recherche de la vérité comme fin première.votre commentaire
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Par RoyautéNews le 21 Septembre 2023 à 13:42
Libres de couleur - Frédéric Régent
Tallandier ; 14 sept. 2023 ; 496 p.; 25€.
Présentation officielle : Libres et noirs de peau, tels sont les libres de couleur. Affranchis ou descendants d’affranchis, noirs ou métis, ils n’ont pas la même place que leurs coreligionnaires blancs.
Les sociétés esclavagistes qui se développent à la faveur de la colonisation de l’Époque moderne sont perçues en noir et blanc, les maîtres blancs exploitant les esclaves noirs. Or la réalité se révèle plus nuancée. Un nombre croissant d’esclaves est affranchi. Leurs descendants sont libres d’entreprendre, de commercer, libres également de posséder des esclaves. Victimes du préjugé de couleur, ils constituent malgré tout une population à part. Le constat qu’en fait Alexis de Tocqueville, au début du XIXe siècle, est implacable : « Vous pouvez rendre un Nègre libre, mais vous ne sauriez faire qu’il ne soit pas vis-à-vis de l’Européen dans la position d’un étranger. »
Des premiers affranchissements dans les colonies d’Amérique latine au XVIe siècle, jusqu’à la veille des abolitions aux Antilles ou aux États-Unis, Frédéric Régent analyse, à l’appui d’archives et de données jamais encore réunies, la condition de millions de descendants d’esclaves. Une enquête inédite.
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Par RoyautéNews le 20 Septembre 2023 à 13:23
L'Empire mérovingien - Ve - VIIIe siècle - Bruno Dumézil
Passés / Composés ; 13 sept. 2023 ; 346 p.; 23€.
Présentation officielle : Des temps mérovingiens ne surnagent aujourd’hui que quelques images d’Épinal : le vase de Soissons, la culotte du bon roi Dagobert… Si rien ne prédisposait les rois des Francs à diriger un vaste territoire en Europe, il y eut pourtant une dynastie qui occupa le trône trois siècles durant, plus que toutes autres à l’exception des Capétiens. Comment les Mérovingiens parvinrent-ils à un tel succès ?
Pour comprendre la création de cet empire informel et sa pérennité, Bruno Dumézil sollicite, à nouveau frais, l’ensemble de la documentation. De Childéric et son fils Clovis aux « rois fainéants », l’auteur montre que le monde mérovingien se maintint parce qu’il fut sans cesse agité de mouvements, que l’on peut considérer comme des crises ou comme des réformes, mais qui obligeaient de multiples acteurs à s’investir dans la vie du royaume : institutions, relations avec le roi, identités présentes ou passées, tout pouvait être discuté ou reformulé. Tel fut le monde de Théodebert le Grand, Brunehaut, Chilpéric Ier, Frédégonde et de leur famille, tel fut l’empire des Mérovingiens.
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Par RoyautéNews le 18 Septembre 2023 à 10:16
Panorama - Lilia Hassaine
Gallimard ; 17 août 2023 ; roman ; 240 p.; 20€.
Présentation officielle : « C’était il y a tout juste un an.
Une famille a disparu, là où personne ne disparaissait jamais.
On m’a chargée de l’enquête, et ce que j’ai découvert au fil des semaines a ébranlé toutes mes certitudes. Il ne s’agissait pas d’un simple fait-divers, mais d’un drame attendu, d’un mal qui irradiait tout un quartier, toute une ville, tout un pays, l’expression soudaine d’une violence qu’on croyait endormie. »
Hélène, ex-commissaire de police, reprend du service pour retrouver un couple et leur petit garçon, Milo. Elle rencontre les dernières personnes à avoir été en contact avec eux. Depuis que la France a basculé dans l’ère de la Transparence, ces hommes et ces femmes vivent dans un monde harmonieux, libéré du mal, où chacun évolue sous le regard protecteur de ses voisins. Mais au cours de son enquête, Hélène va dévoiler une vérité aussi surprenante que terrifiante.
À travers cette contre-utopie, c’est le monde d’aujourd’hui que l’auteur interroge. Ce roman haletant montre des êtres en proie à leurs pulsions et à leurs fêlures derrière leur apparente perfection.Commentaire de RoyautéNews : Ce roman, très salué, semble situer son intrigue dans un futur sans doute beaucoup plus proche que 2049 où elle s’inscrit, et qui finalement existe déjà dans tous ses mécanismes : la tyrannie de la transparence et du regard des autres, de la délation, fondements des pires tyrannies en cours. Roman à ne pas manquer.
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Par RoyautéNews le 18 Septembre 2023 à 00:49
La Rédaction
Donnez du pouvoir à un imbécile, et vous en ferez un tyran.
Platon
Vu sur un tweet avec la photo du soldat Macron. Mais aujourd’hui, bien plus qu’aux ères des pouvoirs personnels, les responsabilités sont collectives.
La Tyrannie est le fait collectif, pensé par des groupes, mis en place verticalement par des suites nombreuses d’individus, révoltés contre eux-mêmes et contre les leurs, agents fébriles de cette Tyrannie. Contre ceux-là, le réveil sera fort dur, plus dur encore peut-être que pour les Dindons à plumes.
Tyrannie collectivement exercée, la République est un imbécile, et détient autant de trop, qu’autant du pouvoir qu’elle exerce.
La Tyrannie n’a pas de visage. La République n’a pas de visage. Le Système, encore moins.
L’État, leur faux-frère, devra être assailli collectivement, équitablement, et réservé au sort que méditent pour tous les Tyrans, aussi bien la morale générale que le sens de l’Histoire. Laquelle se réinventera autant qu’il le faudra, ne serait-ce que pour ne manquer de fêter si somptueuse occasion.
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Par RoyautéNews le 17 Septembre 2023 à 21:29
La Rédaction
Sur l’uniforme à l’école, la question est plus difficile qu’il n’y paraît.
Notre premier réflexe, est de dire, qu’à l’uniforme, se relie tout ce qui est Fasciste. Rouge ou Brun.
Nous pensons aussi que la formation de la personnalité s’effectue au moyen du vêtement et de la tenue générale.
Mais il est à retenir l’argument suivant :
De ce qui se passe dans beaucoup de cours de récréation, de parents pauvres qui se mettent dans une situation financière inextricable pour que leur enfant ne se sente pas exclu...
C’est pour cette raison suffisamment forte que nous acceptons finalement l’idée de l’uniforme à l’école, mais on doit la considérer comme circonstancielle, et non pour verser dans un réflexe irréfléchi républicain facho-agressif, ni pour aider les pouvoirs turpides dans leur obsession d’assimilation intégriste !
Ni fusion, ni acquisition !
Enfin, on ne doit pas ignorer que, dans le fond, c’est un double faux problème, parce que les ménages situés au bas de l’échelle du pouvoir d’achat ne devraient pas se trouver contraints de mesurer leurs dépenses en matière d’habillement...
Et parce que la situation (racket, comportements violents, harcèlement) signe l’échec complet de l’école républicaine contemporaine ( ou anti-républicaine ?), comme l’échec complet de toute une société.
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Comme toujours les questions ne se situent jamais sur le bon axe.
Pour cette raison nous serons en contradiction avec tout et tous, et ça tombe bien, c’est notre vocation.
Qui, une seule fois, parmi le personnel politicien ou chez les éditorialistes, au cours des décennies de rupture, aura exprimé l’idée pourtant simple que les tenues sportives doivent demeurer dans les enceintes sportives ? Pourquoi, ce qui semble naturel et indispensable à l’entrée d’une boite de nuit, ne l’est plus dans l’espace public ?
Nous avions une idée, ancienne, que nous n’avons pas tentée. Nous voulions suggérer à Jean-Charles de Castelbajac de dessiner quelques modèles civils, à destination des jeunes des banlieues. Il avait dessiné des chasubles pour un événement catholique papal ( était-ce pour une venue du Pape en France ?..). Il avait un profil qui aurait fait accepter ses créations.
Nous y avons renoncé ( à tort, à raison...) voyant que le couturier acceptait des contrats avec des municipalités et d’une manière générale semblait ne pas se trouver selon nous, dans un univers éloigné de la connivence.
Plus tard, nous avons pensé : de toutes façons, c’est trop tard, aucune adaptation même relative n’est possible désormais tant la " séparation " [ d’avec la France, pas d’avec la République...] est irréversible.
Cela aurait pu modifier, la perception qu’ont d’eux-mêmes les crétins des cités.
Les traîne-la-savate des cités, uniformément vêtus, n’existant et n’allant que par bandes, regardant tous au même endroit, vague cerveau pour vingt ou trente.
La mode chez eux avait été d’adopter des sacoches à design Louis Vuitton, hautement ridicules, par ceux qui percevaient des revenus de base de la drogue, et par ceux qui voulaient imiter ce statut...
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La blogueuse Mia (Mi-Souris), amie de notre Site des premières années, qui avait signé chez nous quelques articles, (Pied-Noire aux origines Corse, Italienne, et aussi ? Espagnole) nous disait quelque chose comme : « Chez nous, et c’est vrai en Corse, en Italie, en Espagne, dans le Sud méditerranéen de la France et dans tous les pays latins du Sud, tout le monde, y compris les ouvriers, tout le monde s’habille, voire encore, se met en costume, pour aller au spectacle, même la semaine : au théâtre, à l’Opéra, et même au cinéma. »
On nous avait fourni un tract, provenant de l’ancienne municipalité de Clermont-Fd, aux alentours des années 2012-2013 ?.. (alors maire Fabiusien) en tous cas avant 2014, distribué dans les boites aux lettres. Nous l’avons conservé quelque part. Il disait en gros : « Parents, le dimanche, mettez-vous en survêtement et accompagnez votre enfant dans les gymnases pour découvrir les activités sportives etc... ». Voilà la politique de " la France " : aligner tout le monde sur le fait social irruptif des comportements louches du monde de l’immigration, monde pensé par les Socialistes nouvelle génération, avec la bénédiction des Droites prétendues.
Nous n’approuverons pas la décision du ministre de l’Éducation, car les décisions du pouvoir, dans n’importe quel domaine, le sont pour des raisons qui ne jamais les nôtres. Il n’y a pas lieu d’être satisfaits quand, par hasard, le choix tomberait pile avec ce que nous aurions choisi, choix appuyé sur des motivations que nous condamnons.
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Présence sur le sol.
La présence sur le sol des immigrés et issus d’immigrés devait être conditionnée ( à partir d’une certaine époque ) par l’adoption du costume occidental. Part essentielle des mœurs et des coutumes de ceux qui ne se trouvent pas être des vacanciers, étrangers, ou qui n’appartiennent pas à un service diplomatique. Cette condition s’adressant prioritairement aux populations maghrébines, car la présence de chamans d’Afrique noire en tunique, à une époque, ne posait encore aucun ennui dans la Capitale (même s’il prenait trop d’ampleur dans certains quartiers intra muros, comme à Barbès), et quand le phénomène ne se dispersait pas.
C’est tout ce que la " Droite " Le Péno-éructante n’a jamais été capable d’exprimer en 40 ans d’embrouilles, pour le bonheur de la fausse Droite et de tous les autres secteurs, et s’il ne demeurait qu’une seule raison d’être Gaulliste, ce serait bien pour Les Français sont des veaux.
Costume pourtant encore utilisé par les vieux et dignes Maghrébins, Harkis ou non. Ce qui s’est entre-temps produit, ce gouffre abyssal, revient à la tare indélébile reposant sur la totalité du système politicien, et pour laquelle de notre part il n’y aura aucun pardon.
Ce sont les partis et organismes représentatifs de " Droite" , ceux qui systématiquement regardent ailleurs, qui pourrissent toutes les situations et dévient systématiquement la trajectoire des volontés d’un peuple de Droite qui a la faiblesse de persister à se vouloir de Droite, mais on ne peut lui reprocher cette erreur, par manque de formation et en raison même des motifs pervers de le maintenir dans un clivage aussi pervers que bénéfique au Système.
L’abaya.Le père d’une élève, à Clermont-Ferrand, a menacé d’égorgement si on ne laissait pas entrer sa fille en abaya à l’école.Il a écopé en jugement rapide de 3 ans de prison ferme et de 45 000 euros d’amende. Nous condamnons ce jugement abusif, et la justice qui le prononce. Outre la peine, trop lourde, une famille nécessairement modeste ne saurait acquiter une telle somme !Il est évident que, dans l’esprit de ce père [même si cela mesure l’endoctrinement qu’il a subi : la faute à qui ?] , et de beaucoup d’autres, ceux qui interdisent cette entrée de sa fille sont des criminels, et ne respectent pas les règles qu’ils ont édictées contre la discrimination dans un pays qui a inventé cette notion ! Il ne fait aucun doute que l’interdiction de l’abaya est comprise par ceux qui appartiennent à la confession de l’Islam, comme une lutte de l’État contre l’Islam, même si ce vêtement, l’abaya, n’est pas spécifiquement religieux mais civil.Contradiction, schizophrénie, de la République, qui volontairement prémédite et attise toutes les fractures et qui en invente quand il n’en existe pas !Pas question pour nous de cautionner l’hypocrite argument d’une fausse laïcité. À ne pas oublier pour éviter de se tromper : toute chose souhaitée par la République est à bannir !Que la République s’en débrouille, des conséquences de ses actes, il n’existe chez nous aucune connivence, aucun accord partiel avec ce qui émane d’une de ces trois origines : la République, l’État, le Système.Nous ne sommes nullement en ligne avec eux même quand il s’agit de faire croire à une mise à distance spéculative et de pure apparence, de l’Islam vis-à-vis de... De quoi au fait ?Nous ne le dirons jamais assez, la prévention, comme la résolution des maux de civilisation ne sont possibles que par une politique globale.Cela va de soi, en refus strict, absolu, des démagogues de l’autorité et du patrio-beaufisme.votre commentaire