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     Soutien à l’Arménie du Haut-Karabagh, au Tibet, à Hong-Kong, à Taïwan, à Gaza... etc.

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    Rubrique essentielle de RoyautéNews

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    Mardi nos articles

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    Léopold Sédar Senghor - Jean-Pierre Langellier

    tempus  ;   ( oct. 2021 )  poche, 18 janv. 2024  ;    624 p. ;     11€.

     

    Cet ouvrage paru en 2021 et réédité en  format de poche a reçu le Prix Goncourt de la biographie Edmonde Charles-Roux 2022.

     

    Présentation officielle : La biographie de référence de Léopold Sédar Senghor, récompensée par le prix Goncourt de la biographie en 2022. Tout à la fois chef d’État emblématique et poète de génie, Senghor connaît de nombreux bouleversements en près d’un siècle d’existence (1906-2001) : il grandit au Sénégal – alors colonie française – au début du XXe siècle ; il prend une part active à la Seconde Guerre mondiale en intégrant les tirailleurs sénégalais ; il œuvre à l’indépendance de son pays dont il devient le premier président en 1960 ; en 1983, il est le premier Africain élu à l’Académie française, véritable consécration de son immense carrière littéraire. Au cours de sa longue vie, Léopold Sédar Senghor a une seule volonté : valoriser les cultures et les peuples d’Afrique noire. Il y parvient d’abord à travers la littérature, notamment en créant le concept de « négritude » avec Aimé Césaire. Sa vie de chef d’État fait le reste : symbole de la coopération entre la France et ses anciennes colonies, Senghor permet au Sénégal de s’affirmer comme carrefour culturel et Dakar comme vitrine artistique. Lorsqu’il démissionne en 1980, il laisse à ses successeurs un héritage aussi rare que précieux sur le continent africain : la démocratie, le pluralisme, l’alternance du pouvoir et la préservation de l’unité nationale.

    Léopold Sédar Senghor  -  Jean-Pierre Langellier


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  • La Rédaction

     

    Entendu ce jour à l’homélie quelque chose d’intéressant.

    Le sujet général de ce dimanche de l’Évangile qui est « si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas... », étant qu’il faut d’abord et surtout une adhésion au Christ, plus que de " tout bien faire", comme par exemple envoyer ses enfants aux Scouts d’Europe, venir à la messe tous les dimanches, participer à ceci, à cela... et cocher toutes les cases, et c’est valable aussi pour des prêtres, car certains, malgré tout cela, restent " à l’extérieur"...

    Et son propos arrive ici : « la Passion n’est pas quelque chose qu’on aborde en vainqueur... en arrivant avec « Catholiques et Français », et en faisant claquer les drapeaux... etc. ».

    « Ceci est en réalité un vieux résidu de paganisme, qui prend sa source dans la Germanie des premiers siècles Chrétiens, et dans la pensée Aryenne, où le Christ est moins perçu comme Dieu ou Fils de Dieu mais comme un super-homme. »

     

    Et au-delà de ce propos qui paraît être un raccourci, ceci nous amène à détromper ceux qui voient dans le Christianisme, qu’il confondent d’ailleurs avec " la culture chrétienne ", le moyen de ne plus être submergé par " la Gauche" ni par l’inversion de certains rapports de force... La seconde, la culture chrétienne au premier abord n’avait pas d’intérêt pour eux mais qui soudainement, leur apparaît utile car elle leur est rapportée comme un outil de militantisme... Ni cet outil ni aucun autre ne compenseront l’indigence de leurs théories bondées de la nostalgie d’un âge dominateur de la France pour nous révolu à jamais... tel quel du moins et ce n’est pas pour dire qu’il faille un jour en reforger un autre.

     

    Note aussi bien valable pour ceux de l’Impensé de tout le Bloc Droito, que pour certains courants royalistes qui en appelleraient, pour faire plus simple, à Dieu pour solder leurs affaires non résolues du Siècle... Avec un circuit fort différent, les uns commes les autres sont des adeptes de la pensée magique.


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  • La Rédaction

     

     

    Amiral de Gaulle

    La mort de Philippe, l'Amiral de Gaulle, à cent-deux ans, est l'occasion de survoler brièvement certains aspects de la plus actuelle implication de nos sociétés, issue de l’œuvre seconde de son père.

    Né en 1921 avant le début de la Légende de Charles, il sera resté à la fois dans l'ombre, et dans la réserve la plus totale, bien après la mort du Général, et ce, malgré ses apparitions de figurant - il fut sénateur - d'une scène politique qui ne l'atteignait pas, mais dont les partis bien éloignés de la cause de son père s'estimaient bien servis de pouvoir revendiquer un tel nom.

    À la mort de Charles, il aurait pu lui succéder, s’il s’était présenté aux suffrages, il aurait vraisemblablement supplanté ceux qui aspiraient au pouvoir, tant sa ressemblance avec son père était frappante, et du moins il aurait ouvert une crise de légitimité. Mais cette idée jamais ne l’effleura.

     

    Deux ou trois petits-fils du Général ont tenté quelques rôles de figurants dans le jeu de dupes de la basse et vulgaire politique politicienne que leur grand-père abhorrait. 

    Lui-même, Philippe de Gaulle, avait encensé Macron... qui plus est durant la crise du Covid...

    Ce qui donnait raison une fois de plus à la citation de son père, La vieillesse est un naufrage.

    Au fond, et c'est la base de la tragédie, le mythe de Gaulle n'a plus eu de consistance après la mort du Général que dans l'esprit de ceux qui ont vécu depuis. Sous la forme de regrets, non sous les auspices d’une continuité même lointaine.

     

    Où il aurait dû s’implanter naturellement une dynastie - et il en existe, des dynasties, dans les affaires politiques comme dans l'Industrie ou dans les arts - après Charles, plus rien.

    C'est ce qui nous fait penser que la main divine, quelque bien grandes que furent ses qualités, ne reposait pas sur le principe qu’il incarna si parfaitement malgré les contradictions de son système. Nous n’ouvrirons pas ici la grande question de savoir s’il eut tort ou raison dans telle ou telle circonstance.

    Si les concours qui avaient placé le Grand Charles à si étroite proximité de la Route des dieux, certains choix en ont décidé autrement et il n’est pas notre propos en cette occasion d’ouvrir le jugement de ces choix ni encore moins de sa personne.

    il faut se borner à constater qu'il s'était écarté du prestigieux lignage dans l'ordre transcendant, dont l’espérance semblait s’être attaché à sa personne et avait lui quelques années.

     

    Charles de Gaulle avait la force de créer un nouveau système, adapté à la France, et il ne l'a pas fait. Un autre concept qu'une monarchie, ou une monarchie mais bien éloignée de celle du passé comme on se l'imagine ou plutôt, il s’agit d’une caricature... 

    Il pouvait dessiner un solide concept, puisqu’il a rénové bien des aspects institutionnels.

    Au contraire il a rappelé la République et l'a solidifiée, pour résultat que l’on sait, ce pur cadavre qui n’en finit pas d’occuper l’espace et de tout empester.

    À quoi bon tant d’efforts, pour patauger depuis des décennies dans le merdier républicain...

     

    Sans reprendre ici la critique d’ordre fondamental de ce qu’est la République, c’est le moment de dire que l’absence d’instauration de long terme et de projection n’est pas viable ; et d’un système qui n’engendre que des brûlots constants, et constante instabilité, n’a de principe en lui même que les trahisons et coups bas perpétuels pour se remettre à flots ou plutôt, surnager sur un océan de mensonges.

    On éprouve l’envie de gifler Ciotti lorsqu’il déclare à propos de l’Amiral : « Sa vie dédiée au service de la France, dans la Marine comme au Sénat, incarne l’exemplarité républicaine. »  

     

    Certes, Philippe de Gaulle a toujours voulu ne faire aucune ombre au legs de son père, et c’était bien difficile d’être le fils du Général, comme il en avait convenu récemment, et pour une telle abnégation il faut lui rendre cet honneur.

    La seconde génération, si on veut la regarder à partir du Grand Charles,  a fait quelques bons mariages, l’Amiral, avec Henriette de Montalembert de Cers, filleule du Comte de Paris ; ce qui favorisait les rapprochements intervenus quelques années plus tard entre Henri Ier d’Orléans, regardé alors comme la seule hypothèse d’un recours monarchique apparaissant momentanément au plus grand nombre, et le Général.

    Et Élisabeth de Gaulle, épousant le futur Général de Boissieu, demeuré longtemps Grand Chancelier de la Légion d’Honneur.

    Tout cela est pour dire que la personne de l’Amiral a donné une preuve que l’œuvre de son père n’a pas trouvé de continuité, quoi que chacun puisse penser par ailleurs de cette œuvre.

    Une monarchie ne réside pas toute entière dans les évocations funèbres, au contraire, elle est un système vivant... Sans dire que nous voulons un système calqué au leur, du moins les monarchies vivantes d’aujourd’hui, témoignent si vigoureusement de cela, et que leurs pays sont si éloignés de la pesanteur étouffante de la République en France surtout, qui s’ajoute à tous les autres maux qu’elle avive au plus haut degré.  


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    La Salamandre de Trévarez   -   Joël Raguénès

    Calmann Lévy ;  25 janv. 2023  ;  400 p.;  21€90.

     

    En souvenir de notre ami Jehan-Richard d'Amphernet. RoyautéNews

     

    Présentation officielle : Le roman de Louise du Grégo, femme libre dans la tourmente de la Révolution.

    Fille unique du marquis du Grégo, une des plus grosses fortunes de Bretagne, Louise du Grégo est mariée à dix-sept ans, en 1787, à Antoine-Henri d’Amphernet, cadet d’une famille normande de vieille noblesse. Un fils naît de cette union et Louise aurait pu filer des jours heureux si ne se levait déjà le vent de la Révolution. Très vite l’étau se resserre sur les aristocrates. Menacé, le père de Louise est contraint à l’exil. Quant à son mari, il part rejoindre l’armée des émigrés. Restée seule, Louise fraye secrètement avec les rebelles chouans et vendéens tout en composant avec le nouveau pouvoir. Mais quand est décrétée la confiscation des biens des émigrés, pour éviter que le patrimoine de son père et celui de son mari ne soient mis à l’encan, elle entreprend de se gagner de solides protections. Entre loyauté royaliste et complaisance à l’égard des chefs républicains, notamment Hoche, venu pacifier l’ouest de la France, la sémillante et intrépide Louise va jouer avec le feu au risque de se brûler...

    La Salamandre de Trévarez   -   Joël Raguénès


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     Le Porte-éventail roi

    Ce passeriforme est un moucherolle, oiseau des sous-bois des forêts tropicales d'Amérique du Sud. Il porte aussi le nom de Moucherolle royal. Cette image représente un mâle de l'espèce.


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  • La Rédaction

     

    Grands vins   -   le 14 mars 2024

    La maison Millon organise la vente de 338 lots de bouteilles de vin de prestige et quelques Whiskies ou spiritueux, quelques Champagne, le 14 mars à 14 h.

    Pour connaître les informations relatives à cette vente, se renseigner aux Salons du Trocadéro, 5, Avenue d’Eylau, 1er étage.

    Pour s’inscrire à la vente, s’adresser auprès de la maison de ventes Millon (voir au bas de l’article).

    Pour les acheteurs, n’oubliez pas les frais de vente de 28 % TTC, et que l’emportement des lots est à votre charge.

     

     

    L’évocation des crus proposés à elle seule a de quoi faire défaillir. Si vous êtes sensible à leur Poésie sublime, tâchez d’être arrimé. Et loin de nous tout clin d’œil.

    Certains lots débutent à l’estimation dès 40 euros.

    Certes, c’est la règle pratique de toute enchère, le montant de départ  sous-estime, selon nous, parfois de beaucoup celui de la cote, et à coup sûr, celui, dans " l’absolu " et selon nous encore, qui devrait être.

    Convenant ainsi de rendre hommage aux Vins de qualité, et plus encore, aux crus d’exception.

    Hommage à la création combinée du Créateur céleste, et de l’expertise vigneronne jointe à celle de l’éleveur ainsi qu’à tout le génie de l’Art du Vin.

     

    De cette date consacrée à « la  cave d’une vie » d’après la maison Millon, car il s’agit de la cave d’un particulier, qui ne collectionnait pas mais organisait sa cave pour lui-même et ses amis, dans les conditions les plus parfaites, extrayons quelques exemples significatifs.

    Passons tout de suite aux vins, rouges, car il y a quelques Sauternes, et pour se limiter aux vins français. Quelques bouteilles d’Italien (Toscane), ou de Suisse, seront vendues également.

    « Romanée-Conti, Echezeaux, La Tache, Romanée-Saint-Vivant, Richebourg, Grand-Echezeaux, Leroy, Musigny, Petrus, Rayas, Margaux, Yquem, Guigal, Haut-Brion et tant d'autres... » décrit la société Millon.

     

    Notons les lots qui se placent d’entrée dans les plus hautes vibrations.

     

    Le lot 60 est un Châteauneuf-du-Pape, Rayas, 1978 estimé à l’entrée de 1000 à 1 200 euros.

    Le lot 62, deux bouteilles, du même 1996, de 1000 à 1 100 euros.

    Le lot 63, du même, 1999, trois bouteilles, de 1 800 à 1950 euros.

    72. 4 bout. de Côte-Rôtie, "La Turque" 2003 de chez Guigal, de 1 200 à 1 320 euros.

    75. Ermitage, "Ex Voto", 4 bout., de chez Guigal, 2003, de 920 à 1 040 euros.

    99. Côte-Rôtie "Maison Rouge" 6 bout. Georges Vernay 2015, 480 à 540€.

    108. Condrieu, Gangloff, 2018, 4 bout.  400 à 480 €.

    135.  Montrachet, DRC 1988, 1 bouteille, de 3 500 à 4000 €.

    146.  Romanée-Conti, 1982, DRC, 1 bout., de 5000 à 6000 €.

    147.  Romanée Saint-Vivant " Marey-Monge", 1990, DRC 1 bout., de 2 300 à 2 600 €.

    149.  Du même, 1995, 2 bout., de 2 600 à 4000 €.

    150.  Échézeaux, 1996, 1 bout.,   1 500 à 1 800 €.

    151.  La Tâche, DRC 1996, 2 bout., de 4 800 à 5 200 €.

    152.  Du même, 1996, 1 bout., de 2 200 à 2 500 €.

    153.  Richebourg, DRC 1996, 3 bout., de 6 000 à 6 600 €.

    154. Du même, 1996, 1 bout.,  2 200 à 2 600 €.

    155.  Romanée Saint-Vivant " Marey-Monge", 1996, 2 bout., de 3 200 à 3 600 €.

    156.  Romanée-Conti, 1996, DRC, 1 bout., de 10 000 à 12 000 €.

    157.  Romanée-Conti, autre bout., 1996, DRC, de 10 000 à 12 000 €.

    158.  Échézeaux, DRC, 2 bout., 1997, de 2000 à 2 400 €.

    159.  Échézeaux, 2000, DRC, 1 bout.,  1 800 à 2000 €.

    160.  Échézeaux, 2000, DRC, 3 bout., de 5 400 à 6000 €.

    161.  La Tâche, DRC 2000, 3 bout., de 9000 à 9 900 €.

    162.  Richebourg, DRC 2000, 3 bout., de 6 600 à 7 200 €.

    163. Richebourg, DRC 2000, 1 bout.,  de 2000 à 2 400 €.

    164.  Richebourg, DRC 2000, autre bout., de 2000 à 2 400 €.

    165.  Romanée Saint-Vivant " Marey-Monge", DRC 2000, 2 bout., de 4 400 à 4 800 €.

    166.  Romanée Saint-Vivant " Marey-Monge", DRC 2000, 3 bout.,  de 6 600 à 7 200 €.

    167.  Romanée-Conti, DRC 2000, 1 bout., de 11 000 à 13 000 €.

    168.  Échézeaux, 2001, DRC, 2 bout., de 3 200 à 3 600 €.

    169.  La Tâche, DRC 2001, 3 bout., de 7 500 à 8 400 €.

    171.  Richebourg, DRC 2001, 3 bout., de 6 600 à 7 200 €.

    172.  Romanée-Conti, 2001, DRC, 1 bout., de 11 000 à 13 000 €.

    173.  Romanée-Conti, 2001, autre bout., de 11 000 à 13 000 €.

    174.  Échézeaux, 2006, DRC, 2 bout., de 3000 à 3 600 €.

    175.  Échézeaux, DRC 2006, 1 bout., 1 800 à 2000 €.

    176.  La Tâche, DRC 2006, 3 bout.,  de 7 500 à 8 400 €.

    177.  Richebourg, 2006, DRC, 1 bout., 2000 à 2 200€.

    178.  Richebourg, 2006, DRC, autre bout., 2 000 à 2 200 €.

    179.  Romanée Saint-Vivant, " Marey-Monge", 2006, DRC, 2 bout., 3 600 à 4000 €.

    183.  Beaune, Les Teurons, Leroy 2009, 5 bout., de 1000 à 1 3200 €.

    184.  Échézeaux, 2009, DRC, 1 bout., de 1 500 à 1 800 €.

    185.  Grands-Échézeaux, 2009, DRC, 2 bout., de 3 600 à 4000 €.

    186.  La Tâche, DRC 2009, 1 bout., de 3 300 à 3 600 €.

    187.  La Tâche, DRC 2009, autre bout., de 3000 à 3 300 €.

    188.  Richebourg, DRC 2009, 2 bout., de 4 600 à 5 200 €.

    189.  Romanée Saint-Vivant " Marey-Monge", 2009 DRC, 1 bout., de 1 800 à 2000 €.

    190.  Romanée-Conti, DRC 2009, 1 bout., de 11 000 à 13 000 €.

    191.  Santenay 1er cru, La Comme, Leroy 2009, 10 bout., de 1 500 à 1 800 €.

    192.  Volnay, Leroy 2009. 6 bout., de 1 380 à 1 560 €.

    193.  Volnay, Leroy 2009, 5 bout., de  1 150 à 1 300 €.

    194.  Vosne-Romanée 1er cru, Aux Brulées, Leroy 2009, 3 bout., de 13 500 à 15 000 €.

    195.  Clos-Vougeot, Ph. d’Issoncourt, 2011, 6 bout., de 240 à 300 €.

    196.  Clos-Vougeot, Ph. d’Issoncourt, 2011, 1 bout., de 80 à 100 €.

    197.  Clos-Vougeot, Ph. d’Issoncourt, 2011, 1 magnum, de 120 à 150 €.

    198.  Clos-Vougeot, Ph. d’Issoncourt, 2011, 1 magnum, de 100 à 120 €.

    199.  Musigny, Ph. d’Issoncourt, 2011, 5 bout., de 600 à 750 €.

    200.  Musigny, Ph. D'Issoncourt, 2011, 3 bout., de 360 à 420 €.

    201.  Musigny, Ph. d’Issoncourt, 2011, 6 bout., de 720 à 900 €.

    202.  Nuits-Saint-Georges, Les Lavières Les Bas de Combe, Hospices de Nuits 2012 Cuvée Guillaume Labye, 12 bout., de 240 à 300 €.

    203. Vosne-Romanée 1er Cru Aux Genaivrières, Domaine Leroy, 2012, 3 bout., de 7 500 à 8 400 €.

    204.  Vosne-Romanée 1er Cru Aux Genaivrières, Domaine Leroy, 2012, 1 bout., de 3000 a 3 500 €.

    205.  Aloxe-Corton 1er Cru, Ph. d’Issoncourt, 2013, 3 bout., de 60 a 75 €.

    206.  Clos-Vougeot, Domaine Leroy 2013, 3 bout., de 18 000 à 21 000 €.

    207.  Corton, Ph.d’Issoncourt, 2013, 4 bout., de 160 à 200 €.

    208.  Gevrey-Chambertin, Leroy 2013,  1 bout., de 2450 a 300 €.

    209.  Nuits-Saint-Georges, Aux lavières, Domaine Leroy 2013, 1 bout., de 2 400 à 2 600 €.

    210.  Pommard, Les Vignots, Domaine Leroy 2013, de 1 800 à 2000 €.

    211.  Romanée-Saint-Vivant, Domaine Leroy 2013, 3 bout., de 24 000 à 30 000 €.

    212.  Vosne-Romanée 1er Cru, Les Beaux Monts, 2013, Domaine Leroy, 1 bout., de 2 500 à 2 800 €.

    213.  Vosne-Romanée 1er Cru, Les Beaux Monts, 2013, Domaine Leroy, autre bout., de 2 500 à 2 800 €.

    214.  Chambolle-Musigny, Les Groseilles, 1er Cru, La Pousse d’Or, 2014, 3 bout., de 150 à 180 €.

    215.  Chambolle-Musigny, Les Groseilles, 1er Cru, La Pousse d’Or, 2014, 5 bout., de 150 à 175 €.

    216. Nuit-Saint-Georges 1er Cru, " Les Chabœufs", 2014, Ph.d’Issoncourt, 6 bout., de 150 à 180 €.

    217.  Nuits-Saint-Georges 2014, Les Fleurières - Les Plantes au Baron, Cuvée des Sœurs Hospitalières, Hospices de Nuits, 4 bout., de 120 à 160€.

    218.  Chambolle-Musigny, 2015, Ph. d’Issoncourt, 2 bout., de 40 à 50 €.

    219.  Fixin, 2015, Ph. d’Issoncourt, 5 bout., de 50 a 60 €.

    220.  Aloxe-Corton 1er Cru, 2013, Chambolle-Musigny 2015, Pommard 2015, Ph. d’Issoncourt, de 50 à 75 €.

    221.  Charmes-Chambertin Grand Cru, 2017, Domaine Tortochot, 5 bout., de 400 à 500 €.

    222.  Clos-Vougeot, Château de La Tour, 2018, 6 bout., de 480 à 600 €.

    223.  Haut-Brion, 1947, 1 bout., de 500 à 600 €.

    226.  Petrus 1966, 1 bout., de 1 400 à 1 600 €.

    227.  Château Margaux 1978, 2 bout., de 400 à 440 €.

    228.  Haut-Brion 1979, 2 bout., de 360 à 400 €.

    229.  Cheval Blanc 1981, 1 bout., de 150 à 180 €.

    230.  Lafite Rothschild 1981, 2 bout., de 500 à 600 €.

    231.  Petrus 1981, 2 bout., de 2000 à 2 400 €.

    232.  Lafite Rothschild 1982, 1 bout., de 900 à 1000 €.

    233.  Brane-Cantenac, 6 bout., dont 1975, 1978, 1972, et 3 de 1997, de 210 à 240 €.

    234.  Haut-Brion 1984, 3 bout., de 390 à 480 €.

    235.  Lafite Rothschild 1985, 2 bout., de 600 à 660 €.

    236.  Latour 1985, 1 bout., de 500 à 560 €.

    237. Latour 1985, 1 bout., de 220 à 250 €.

    238.  Petrus 1986, 1 bout., de 900 à 1000 €.

    239.  Ch. Margaux 1988, 1 bout., de 180 à 200 €.

    240.  Montrose 1988, 7 bout., de 280 à 315 €.

    241.  Lafite Rothschild 1989, 1 bout., de 350 à 400 €.

    242.  Lafleur 1989, 1 bout., de 600 à 700 €.

    243.  Batailley 1994, 3 bout., de 60 à 75 €.

    244.  Cheval Blanc 1994, 1 bout., de 180 à 200 €.

    245.  Petrus 1994, 1 bout., de 1 100 à 1300 €.

    246.  Calon Ségur 1995, 4 bout., de 160 à 200 €.

    247.  Le Bahans du Château Haut-Brion 1995, 3 bout., de 150 à 180 €.

    248.  Mouton Rothschild 1995, 1 bout., de 250 à 280 €.

    249.  Montrose 1996, 3 bout., de 330 à 390 €.

    250.  Petrus 1996, 3 bout., de 5 400 à 6000 €.

    251.  Chasse Spleen 1997, 3 bout., de 45 à 60 €.

    252.  Cheval Blanc 1997. 1 bout., de 180 à 200 €.

    253.  Petrus 1997, 1 bout., de 1000 à 1 200 €.

    254. Haut-Marbuzet 1999, 2 bout., Calon Ségur 1997, 1 bout., et Les Pagodes de Cos 2012, 2 bout., de 125 à 150 €.

    255.  Maucaillou 1997, 4 bout., et de 2000, 2 bout., de 90 à 120 €.

    256.  Pichon-Longueville 1997, 1 bout., et de 2006, 1 bout., de 100 à 120€.

    257.  Branaire, 1996, et 1998, Branaire-Ducru 2007, Gruaud-Larose 2008, Cantenac Brown 1994, Alter Ego (Palmer) 1998, : 6 bout., de 180 à 210 €.

    258.  Connétable de Talbot 1996, 1 bout., 2 de 1998, et 8 de 1999. 12 bouteilles ( il en manque une, ou alors il n’y en a que onze), de 150 à 180€.

    259.  Côtes de Bourg 1999, Roc de Cambes, 11 bout., de 550 à 660 €.

    260.  Les Tourelles de Longueville, 1999, 6 bout., de 90 à 120€.

    261.  Duluc 1999, 5 bout., de 50 à 60 €.

    262.  Lafite Rothschild 1999, 4 bout., de 1000 à 1 120 €.

    263.   Lascombes 1999, 2 bout., 50 à 60 €.

    264.  Phélan Ségur 1999, 3 bout., de 40 à 50 €.

    265.  Cos d'Estournel 2000, 6 bout., de 660 à 780 €.

    266.  Cos d'Estournel 2000, 3 bout., de 330 à 390 €.

    267.  Figeac 2000, 1 bout., de 120 à 140 €.

    268.  Figeac 2000, 12 bout., de de 1 800 à 2 160 €.

    269.  Figeac 2000, 1 bout., de 120 à 160 €.

    270.  Haut-Bages Averous 2000, 6 bout., de 120 à 150 €.

    271.  Haut-Brion 2000, 2 bout., de 700 à 800 €.

    272.  Latour 2000, 2 bout., de 900 à 1000 €.

    273.  Latour 2000, 1 double magnum, de 2 200 à 2 500 €.

    274.  Ch. Margaux 2000, 2 bout., de 800 à 900 €.

    275.  Petrus 2000, 2 bout., de 5000 à 5 600 €.

    276.  Pichon-Longueville 2000, 4 bout., de 460 à 560 €.

    277.  Moulin de La Lagune 2000, 5 bout., de 75 à 100 €.

    278.  Ducru-Beaucaillou 2001, 12 bout., de 1 080 à 1 320 €.

    279.  Ducru-Beaucaillou 2001, 6 bout., de 540 à 660 €.

    280.  Laroze 2001, 4 bout., de 80 à 100 €.

    281.  Lynch-Bages 2001, 2 bout., 140 à 160 €.

    282.  Clos du Clocher, Pomerol, 5 bout. de 2000, 1 de 2006, de 120 à 150 €.

    283.  Clos du Clocher, Pomerol, 1 bout. de 2000, 2 de 2002, 120 à 180 €.

    284.  Franck Phélan 2002, 3 bout., de 40 à 50 €.

    285.  Ch. Margaux 2002, 2 bout., de 400 à 440 €.

    286.  Ch. Margaux 2002, 6 bout., de 1 200 à 1 320 €.

    287.  Clos du Clocher 2003, 3 bout., de 150 à 180 €.

    288.  Clos du Clocher 2003, 12 bout., de 240 à 300.

    289.  Clos du Clocher 2003, 1 impériale, de 160 à 190 €.

    290.  Les Ormes de Pez 2003, 6 bout., de 45 à 60 €.

    291.  Pape Clément 2003, 5 bout., de 250 à 300 €.

    292. Gloria Saint-Julien 2001, Ch. Dassault 2003, Pontac Monplaisir 2007, = 3 bout., de 40 à 90 €.

    293.  Mayne-René 1996, 2 bout., avec Clos du Clocher 2003, 3 bout., de 100 à 125 €.

    294.  Clarke 1999, 1 bout., et 2004, 5 bout., de 90 à 120 €.

    295.  Les Hauts de Pontet-Canet 2004, 8 bout., de 100 à 120 €.

    296.  Cheval Blanc 2004, 6 bout., de 1 080 à 1 200 €.

    297.  Ducru-Beaucaillou 2004, 8 bout., de 640 à 720 €.

    298.  Montrose 2004, 3 bout., de 150 à 180 €.

    299.  Pape Clément 2004, 5 bout., et 2006, 1 bout., de 240 à 300 €.

    300.  Pavie-Macquin 2005, 2 bout., de 120 à 140 €.

    301.  Maucaillou 2005, 12 bout., de 180 à 240 €.

    302.  Maucaillou 2005, 7 bout., de 105 à 140 €.

    303.  Grand-Puy-Lacoste 1986, 1 bout. ; 1996, 1 bout. ; 1998, 1 bout. ; 1999, 1 bout.; 2003, 1 bout. ; et 2005, a priori 7 bout. pour un ensemble de 12 bout., de 600 à 720 €.

    304.  Ducru-Beaucaillou 1994, 1 bout.; 2005, 4 bout.; 2008, 1 bout.; de 660 à 780 €.

    305.  Pape Clément 2005, 3 bout., de 270 à 330 €.

    306.  Pape Clément 2005, 3 bout., de 180 à 210 €.

    307.  Poujeaux 2005, 1 magnum,, de 40 à 50 €.

    308.  Petit-Village, Pomerol, 2005, 5 bout., 2009, 1 bout., de 300 à 360 €.

    309.  Pontet-Canet 1994, 1 bout.; Pedesclaux 2000, 1 bout.; Les Hauts de Pontet-Canet 2004, 1 bout.; Duhart-Milon 2006, 1 bout.; Haut-Batailley 2010, 1 bout. ;  = 5 bout., de 150 à 175 €.

    310.  Clos du Clocher 2005, 2006, 2007 = 3 magnums ; de 150 à 310 €.

    311.  Latour à Pomerol 2006, 2 bout., de 80 à 90 €.

    312.  Château Gazin 2006, 5 bout., de 250 à 300 €.

    313.  Haut-Marbuzet 2006, 2 bout., de 40 à 50 €.

    314.  Haut-Brion 2006, 2 bout.,  480 à 520 €.

    315. Haut-Brion 2006, 1 bout., de 240 à 260 €.

    316.  Ch. Margaux 2006, 2 bout., de 440 à 500 €.

    317.  Ch. Margaux 2008, 3 bout., de 660 à 750 €.

    318.  Talbot 2008, 4 bout., de 160 à 180 €.

    319.  Clos du Clocher 2010, 2 bout., 100 à 120 €.

    320.  Vieux Maillet, Pomerol, 2010, 4 bout., de 60 à 80 €.

    321.  Lascombes 2007, 1 bout., 2011 : 2 bout. ; de 90 à 105 €.

    322.  Léoville Las Cases 2011, 1 magnum, de 160 à 190 €.

    323.  Pontet-Canet 2012, 1 magnum, de 80 à 100 €.

    324.  Château Gazin 2014, 3 bout.; de 105 à 120 €.

    325.  Lynch-Bages 2014, 1 impériale, de 600 à 700 €.

    326.  Château Canon 2015, 1 magnum, de 200 à 240 €.

    327.  Pape Clément 2015, 3 magnums, de 150 à 180 €.

    328.  Pape Clément 2016, 4 bout., de 180 à 200 €.

    329.  Palmer 2017, 6 bout., de 600 à 720 €.

    330.  Pape Clément 2017, 1 magnum, de 80 à 90 €.

    331.  Château Canon 2018, 2 bout., de 100 à 120 €.

    332.  Château Canon 2018, 4 bout., de 240 à 280 €.

    333.  Le Clarence de Haut-Brion 2018, 6 bout., de 360 à 420 €.

    334.  Pape Clément 2018, 3 magnums, de 270 à 330 €.

    335.  Valandraud 2019, 6 bout., de 420 à 480 €.

    336.  Valandraud 2019, 3 magnums, de 450 à 540 €.

    337.  La Gaffelière 1989, (1 bout.) ; Bellerose Figeac 2000, (1 bout.) ; Château Saint-Georges, Saint-Georges-Saint-Émilion 1989 ( 2 bout.) ;  Château Haut Pougnan 2016, Bordeaux, (1 bout.) ;  de 40 à 50 €.

    338.  La Louvière 1998, (2 bout.) ;  Larrivet Haut-Brion 1999, (3 bout.) ;  Moulin de La Lagune 2000 ( 1 bout.) ;  Château Tour Léognan, année non communiquée (1 bout.) ; Château Saint-Robert ( Graves) 1993  (1 bout.) ;  de 70 à 100 €.

     

     

    Note de RoyautéNews : pour les amateurs de bouteilles de la meilleure qualité mais devenues rares, les deux derniers lots sont plus qu'intéressants, et leur mise de départ plus que symbolique, est vraiment dérisoire.

    C'est le cas des Larrivet Haut-Brion 1999 (dernier lot, 338), introuvable aujourd'hui sauf occasion rare comme ici. Et c'est aussi le cas de ce millésime du Moulin de La Lagune.

    Le lot 337 "défie l'entendement", c'est une pépite  ! Outre La Gaffelière 1989, le Château Saint-Georges de 1989 est " en voie d'extinction"...

     

     

     

     

      ( fin de la présentation en soirée )  

           soir 12 mars 2024, présentation terminée.

     

    Nous avons inséré la quasi totalité des vins, pour permettre aux vrais amateurs de trouver des entrées de pris abordables à (presque) toutes les bourses.

     

    Note : Nous avons rectifié les erreurs de la liste officielle. RoyautéNews

     

    (.... article en cours )  suite demain ;

     

    Monsieur X est le même que celui dont les livres ont fait l’objet de notre article pour le 13 mars   Clic! 

     

    Contacter Vincent ETTER  +33 (0)6 35 15 42 32     grandsvins@millon.com

     

    #RoyautéNews

    #VentesdePrestige

    Grands vins   -   le 14 mars 2024


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  • La Rédaction

     

     

    Ce titre aurait pu servir aux prochains Jeux Zolympic, les ZolymPicsou. Nous trouverons autre chose si nous nous y attardons.

    Nous l’avons dit, pour eux : Boycott.

    Pour les Zorropéennes des 8 et 9 juin, notre conseil sera de gonfler l’Abstention, notre seul et unique candidat, le premier parti de France !

    Pour ceux qui nous suivent et sont d’autres pays, et ont la faiblesse de voter, le conseil est le même.

    Si les ZolymPicsou sont devenus une Olympiade des Pigeons, un faire-valoir politique et un enjeu d’adhésion du Troupeau à l’unité, et si nous ne fêtons pas Halloween ce n’est pas pour vivre un cauchemar public permanent offert par la Canaille.

    Pour les Pique-Assiettes du truc dit Européen, non au vote unique obligatoire ! Tous les programmes se valent. La seule orientation voulue par ses partisans l’emporte toujours.

    On ne réforme pas des terroristes et des assassins, on les élimine. Déjà en ignorant leurs combines, pour le reste on verra plus tard. Seulement pour dire que toutes les options sont ouvertes.

    Les institutions dites européennes n’ont aucune raison d’exister. Elles sont un Coup d’État permanent, au politique, et pour le reste un détournement colossal des moyens budgétaires soustraits aux Peuples pour être redistribués par ceux qui n’ont pas à le faire !

    Le pire pour une victime est de participer au rite du boucher.

    Nous ne conseillerons pas pour cette occasion un moins-pire choix destiné à ceux qui s’obstinent à voter. 

    A priori, il est préférable d’être inscrit sur les listes électorales afin de faire son devoir de ne pas voter. 

    Ça porte mieux que de ne pas être comptabilisé, car le Système, lui, se moque que vous existiez ou non. Le seul modeste moyen de l’atteindre est de lui dire que vous n’en voulez pas, dans la case Abstention.

    Donc pas de conseil de notre part pour une liste Chasse par exemple, dont les profits en voix seraient récupérés à Strasbourg ou plus tard, lors des Non-Élections présidentielles par le RN par exemple.

    Profitez du droit de Non-Vote, tant qu’il est encore temps. Quand vous aurez une fiche dans l’oreille, comme une vache, outre que vous aurez l’air fin, votre vote effectué sans vous sera comptabilisé automatiquement et même, il n’y aura plus de vote du tout puisque ça ne sert à rien !

    Le geste doit compter. Voter pour une liste opposée aux institutions européennes, comme l’UPR, le parti d’Asselineau, c’est perdre son temps et concourir à valider le Système !

    Un bon Non-Citoyen ne vote pas ! Faites votre devoir de Non-Citoyen en allant activement et résolument Ne pas voter.

     

    12 mars 2024 : voir aussi cet article de 2022    Clic!


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  • La Rédaction

     

    Nouvelles du Gotha

    La petite fille née au foyer du Prince Christian de Hanovre et d’Alessandra de Osma,  a reçu le prénom d’Alexia.

    *

     

    Fernando Gómez-Acebo, cousin germain du roi Felipe, est mort le 1er mars à l’âge de quarante-neuf ans après de graves ennuis de santé.

    Il était le dernier des  cinq enfants du Duc de Badajoz († 1991) et de la défunte Infante Pilar.

    Le roi Felipe s’est rendu à ses obsèques le 3 mars, célébrées dans la plus stricte intimité.

    *

     

    Le roi Harald de Norvège se trouve en convalescence à Oslo après avoir été rapatrié de Malaisie pour une infection.

    Le monarque, qui au mois de janvier écartait fermement l’hypothèse d’une démission, a exercé une activité intense récemment. Il a notamment accompagné aux Pays-Bas une délégation d’entrepreneurs norvégiens.

     


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  • La Rédaction

     

     

    Ceci est une clarification destinée d'abord à Charles-Philippe d'Orléans.

    ...

     

    Avertissement :

    Il est possible qu’après relecture ce texte puisse être partiellement remanié. Ce texte aura une suite ultérieure à une date indéterminée.

    ©Copyright RoyautéNews

    __________

     

    Quant au titre abusif et insignifiant de Duc d'Anjou, attribué, en réalité par erreur, par le défunt Comte de Paris, et nous garderons pour nous pour l'instant la raison de cette remarque, Jean, le Comte de Paris avait précisé dans son communiqué que son cousin pourrait, s'il le voulait conserver son titre de Duc d'Anjou.

    Nous comprenons bien qu'il n'ait pas voulu désavouer son père.

    En outre, retirer formellement ce titre, c'est-à-dire l'interdire à son cousin reviendrait plus ou moins et en apparence - en apparence seulement - à remettre en cause celui dont, comme femme légitime, la Princesse Diane, Duchesse de Cadaval bénéficie, et continue de bénéficier, et elle, n'est pas cause de ces disputes familiales.

     

    Charles-Philippe peut donc conserver son bonnet d'âne, qui le désigne comme ayant été complice autrefois des manigances de son clan contre les détenteurs légaux et naturels du titre de Duc d'Anjou.

    Le magazine Gala revient sur le sujet le 3 mars, en mélangeant tout bien entendu. Et rappelle des propos tenus l’an dernier par Charles-Philippe à Point de Vue. Nous rapportons l’extrait de Gala, sans nous porter caution de l’exactitude de ces propos invraisemblables que l’on croirait provenus de l’émotion. Pourtant la réaction future de son cousin Jean était prévisible...

     

    "Je ne dois demander à personne l'autorisation de me marier, prétendre le contraire serait contre la loi" déclarait selon Gala Charles-Philippe d'Orléans à Point de Vue.

     

    "Je suis né Altesse Royale, prince d'Orléans et petit-fils de France. C'est dans mon sang. Je le resterai toute ma vie. Personne n'a légalement le pouvoir ou l'autorité pour me le retirer. La France est une république."

     

    De ce mixage étrange, retenons :

    " Altesse Royale, etc." Bien. Tout-à-fait vrai. Jamais Jean d’Orléans n’a empêché son cousin de se remarier.

     

    Tout l’objet tient dans la conséquence de ce remariage.

    La tradition veut que les qualités demeurent à son possesseur, toute sa vie. Mais elles ne sont pas transférables à un conjoint en cas d'interdiction du chef de la famille d'Orléans. Ou en cas d’un tel remariage, ce qui revient au même.

    Cette interdiction se confond avec l’empêchement dynastique, pour les éventuels rejetons mâles, et pour le remariage lui-même.

    Par ailleurs les titres d’une manière générale dans la famille royale sont ordonnés par le chef de famille, donc, par le Comte de Paris, qui garde autorité sur ce qui appartient à sa famille.

    Le propos de Charles-Philippe sur l’autorité est aberrant... surtout pour un ex-officier...

    Le point va donc ici au Comte de Paris.

    _______

    A priori, et en attente de relecture de notre part des propos du Comte de Paris, ou d’éventuels nouveaux propos qui auraient pu être tenus et dont nous n’aurions pas connaissance [ en fait, ce nouvel article de Gala est un réchauffé, il n’apprend rien de nouveau et ne fait qu’embrouiller l’histoire ] ce dernier ne semble pas en capacité de tout supprimer des titres d’un membre de sa famille.

    Soit il le fait, pour une partie, et il semble que tout soit lié dans la version actuellement suivie par les Comtes de Paris successifs, soit pour le tout. S’il supprime des qualités qui, c’est le cas ici et dans toutes les branches de la famille royale, ne sont pas reliées et conditionnées à une fonction, (à l’inverse de l’Angleterre d’aujourd’hui), et ne sont traditionnellement pas aléatoires, Jean d’Orléans s’enfonce de nouveau ou régresse, dans les erreurs commises autrefois, d’abord du vivant de son grand-père, et dans d’autres erreurs, venues ensuite.

    Exclure un membre de la famille royale ? Ça n’existe pas ! Ça n’existe, et encore en partie, que sur la planète Orléans et encore... dans la version la plus éloignée de la pratique de la famille royale, à laquelle elle veut s’identifier... Mais c’est risqué, pour Jean d’Orléans. Ce serait mettre un nouveau coup de canif à la façade péniblement édifiée pour tenter de faire croire, puisque c’est leur seul moyen d’exister, que les Orléans représentent assez fidèlement le modèle ancien... 

     

    Le ferait-il, il s'expose à une flambée de critiques par quelques militants, pas toujours opportuns, qui se réclament de Louis de Bourbon. L'expliquer, maintenant, serait hors de portée du lecteur non averti et il convient que notre présent article demeure compréhensible au non-initié.

     

    La déclaration malhabile de Charles-Philippe vient rouvrir une plaie depuis longtemps refermée. Elle rappelle la mésentente qui survint entre Henri Ier l'Illustre, et son fils aujourd'hui défunt, le précédent Comte de Paris, Henri II le Poète.

     

    On aurait aimé qu'il (Charles-Philippe) ait eu assez de dignité autrefois pour réprimer le mensonge, lorsque le petit groupe d'agités qui faisaient à eux seuls l'ordinaire de ce qu'il y avait à dire de la part de leur camp, insultaient sans cesse le Prince Louis. Seul possesseur, et détenteur du vrai titre de Duc d'Anjou.

    Surtout, lorsque ces mêmes agités répandaient partout, de leur bave, que Louis de Bourbon n'était même pas, ou même plus, selon les commentaires, Altesse Royale en Espagne. Ce qui n’a d’impact bien entendu sur l’hérédité fondamentale qu’il a reçue, sans aucun rapport avec les contingences ordinaires, qui, elles, fluctuent.

    Nous prenons acte logiquement que Charles-Philippe reconnaitrait donc de fait, par extension de sa déclaration, au Prince Louis de Bourbon sa qualité à vie d'Altesse Royale espagnole. Même si les conditions espagnoles ne sont pas les mêmes que celles qui prévalent en France, soit, dans les sphères ou espaces succédant aux divers régimes monarchiques, il existe cependant quelques similitudes.

     

    En particulier pour "Petit-Fils de France"... Nous nous bornerons à dire qu'il faudrait des tomes pour traiter du bien-fondé de cette qualité, mais surtout par là, des raisons sur lesquelles elle s'appuierait, pour la bonne raison que la famille d'Orléans elle-même s'y perd.

     

    Du moins, nous donnerons le point ici à Charles-Philippe, sur le fait que les qualités de naissance ne s'effacent pas. Quant à les transmettre, c'est tout-à-fait autre chose.

    Et de fait, sous aucun système, un fils éventuellement à naître de Charles-Philippe n'aura part à la succession dynastique, qu'elle soit comprise depuis un point de vue ou depuis un autre.

     

    Au moins, c'est un point commun partagé depuis le point d'observation Légitimiste, comme du point d'observation pro-Orléans, ( des points, au pluriel... selon l'humeur, le moment), comme aussi de notre propre point ici, lequel ne couvre ni l'un ni l'autre tout-à-fait, des deux précédents et sans entrer dans le détail.

    Il semble que, dans la version actuelle des positions des Orléans sur ces " règles de la maison de France ",  il n’y ait pas de séparation possible entre les titres et appellations dynastiques et les titres de Princes d’Orléans, ces derniers titres étant intégrés aux autres.

    _______

    Nous conseillerons, par effet de prudence, autant au Comte de Paris qu'aux membres de sa famille d'éviter les déclarations pompeuses impliquant " les règles de la maison de France ", afin de leur éviter critiques, contestations et mises en difficulté.

    Car s'il est bien un terrain aussi mouvant que le sable, c'est celui de ces "règles de la maison de France" revisitées, sinon chaque semaine... mais bien trop souvent, par une famille qui a toujours démontré un certain décalage, et un décalage certain vis-à-vis des lois authentiques de la famille royale.

     

    Cette situation est propre à la maison d'Orléans. Les causes de cette situation ne résident pas toutes dans la personne de ses membres.

    _______

    *

    Mais que peut faire alors le Comte de Paris ?

    On l’a vu, retirer des qualités à un membre de la famille qui peut les conserver sa vie durant, revient à renier les règles ( traditionnelles...).

    Mais il peut décider qu’un membre, pour une raison grave, dans les habitudes, dans l’état officiel de la famille, et aussi dans le protocole mais il n’existe pas en France véritablement au sein des branches Capétiennes de protocole, ne bénéficiera plus des rangs et titres qu’il possédait, et (selon nous, dans tous les cas possibles et donc celui de Charles-Philippe) continue de posséder.

    *

    _______

     

    Heureusement, la République a assez à faire avec elle-même... sans s'embarrasser des histoires impossibles d'une famille qui fonce sans arrêt dans toutes les erreurs où ses conseillers la précipitent.

    Même si la famille d'Orléans lui doit beaucoup, la République n'a aucune main sur la manière dont les anciens rois ont défini les règlements de la famille royale.

    ____________

    République :

    Il faut partager les choses.

    La République n'y est pour rien. Elle n'a pas prise, et ne peut avoir prise sur des formules qui appartiennent aux normes dynastiques.

     

    En outre, la Justice a clairement exprimé son incapacité en la matière lors des conflits judiciaires qui ont opposé par le passé la famille des Princes d'Orléans à la maison de Bourbon, conflits dont la première a nettement été déboutée.

     

    Nous avions ajouté, dans un de nos précédents commentaires évoquant ces conflits anciens, antérieurs à notre existence, que la République avait eu la sagesse, pour elle-même, de modérer ainsi. C'était ni plus ni moins qu'une affaire de prudence, et celui qui modérait avait toute dignité à être écouté puisque, illustre référence, il avait été en 1958 le garant de la Constitution de la Ve République toujours en vigueur.

     

    _________

    Pour nous, et même s'il ne paraît pas en être question, précisons-le pour l'hypothèse, il est préférable que le Comte de Paris ne retire pas son titre de Duc d'Anjou à son cousin, en tous cas pas au motif du futur mariage non dynastiquement autorisé de Charles-Philippe. Cela entraînerait des discussions, des incompréhensions et surtout des incertitudes sans fin.

     

    _________

     

    Chacun sait que ce titre n'a existé que pour susciter un nouvel angle d'attaque contre la maison de Bourbon, querelle vaine, mais combien significative...

    Nous redirons pour les nouveaux lecteurs ou ceux qui atterrissent sur cet article, que nous sommes, et étions les seuls à pouvoir le faire, à avoir défini, précisé et établi les fondements et les contours par lesquels, d'un point de vue juridique, le titre de Duc d'Anjou appartient à la maison de Bourbon, dont la tête est le Prince Louis de Bourbon.

    Il nous plaît autant, que le parti dévôt du clan d'Orléans n'en tienne aucun compte, car eux, en particulier, les fauteurs de tout cela qui n'est pas du tout à la faveur des princes qu'ils prétendrent défendre, se désignent eux-mêmes à la réprobation.

     

     

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  • La Rédaction

     

     

    Quand la faiblesse des arguments consiste d’abord en une faiblesse, voire une absence, permanentes, en tout, sur tout sujet, d’attitude adéquate.

    Notre propos sera bref, tant parce qu’il y aurait beaucoup à dire et que ce n’est plus le moment, que parce que la Constitution de la République ne nous concerne pas.

     

    De cette inscription du " droit à " l’IVG acquise par les deux votes séparés de l’Assemblée et du Sénat déjà effectués, et qui sera votée demain, pure formalité, par la réunion des deux Chambres en Congrès, il faut retenir ce qui suit.

    D’abord, il ne le sait pas, le Système politique vient de s’administrer une dose de mort lente, de signer son propre arrêt de mort et son exécution à plus ou moins brève échéance. Elle l’a fait aussi par ses lois pseudo-sanitaires, l’avenir nous le dira, et nous y reviendrons.

     

    On ne peut considérer pour libre, une société qui ne recouvre plus et n’autorise plus aucune diversité d’opinion et dont les autorités et les médias invoquent " l’opinion " ( 2 sur 3 seraient favorables à cette inscription... ce que nous ne croyons pas et même, si c’était...).

    Ajouté :

    [   Une "opinion sondagière", même si elle n’était pas manipulée, et sachant que celles des femmes favorables à l’IVG, à la question Faut-il inscrire cela dans...  répondent "oui", pensant que cette inscription éliminera toute remise en cause future, supposée possible selon les activistes... ne remplace ni un solide débat clair et long, posé à la vue de tous et non préempté par des " représentants " et les lobbies hurleurs, ni toutes les formules et arguments contraires, masqués à dessein depuis l’origine dans ces questions de l’IVG et périphériques... ]

     

    Une société dans lequel la parole officielle s’est vue coloniser par les slogans les plus vulgaires de l’activisme le plus offensif, introduits et pilotés par les loges et leurs relais : « disposer de son corps... », et se confondre avec eux, au point que la légalité et le bon sens les plus élémentaires en aient été effacés, au point que tout et tous soient tombés partie prenante de ce délire criminel.

     

    Chaque vivant, qui se trouve sous l’emprise du Droit actuel de la République Française, peut, pourra, se voir un jour, ôter la vie ( "le droit de vivre"), au nom de n’importe quel principe que l’on trouvera, ou pas de principe du tout.

    C’est, bien au-delà de la question des enfants à naître que l’on assassine avec préméditation, et la victoire de haine de ces gens se veut d’abord dirigée contre Église... c’est que ce verrou qui vient de sauter ouvre l’ère décrite dans notre phrase précédente, et cela devra convaincre ceux qui sont plus timides que nous, ou encore attachés à lui, que le moment est venu de s’engager dans le but d’abattre à tout jamais ce système.

     


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