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    1814 Un Tsar à Paris - de Marie-Pierre Rey -

    Flammarion, Au fil de l'Hiistoire ; Paru le 5 Mars 2014 ; 22 .

     

    1814 Un Tsar à Paris - Marie-Pierre Rey


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  • Par RN 1  Mot choisis (2)

     

    Jacques Mailhot, le célèbre journaliste et animateur français, membre des Grosses Têtes, écrivait dimanche dernier dans le journal La Montagne :

     

    Si la pollution rend actuellement le climat de la France assez irrespirable, elle n'est pas le seul fait des particules fines. Peut-être faut-il aussi mettre en cause la disparition de certaines particules qui firent souvent une partie de l'honneur et de la qualité de ce pays".


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  • Par RN 1 - Merci à Liam.

     

    La Fête de la Saint-Patrick

     

    La Fête de Saint-Patrick, fêtée le 17 Mars, est la Fête Nationale des Irlandais.Elle est toujours très vivace, elle est surtout une fête suivie des immigrés irlandais.

    Depuis l'arrivée du Sinn Féin (début du processus de paix ; 1995), sont associés à la Fête de Saint-Patrick les Protestants, notamment à Belfast. Auparavant, la Reine était déjà  officiellement conviée pour une cérémonie en Angleterre.

    Ce jour-là, on arbore traditionnellement le Shamrock, dès qu'on l'aperçoit, on va boire en son honneur avec la personne que vous avez croisé. Mais le port de cet insigne, surtout dans le Nord de l'Irlande, entraînait parfois une atmosphère tendue, car il représentait aussi un symbole d'opposition au régime britannique. Cet aspect s'est heureusement effacé depuis l'instauration du nouvel équilibre.

     

    Autrefois, le matin du 17 Mars, en Irlande, on cherchait le Shamrock, le symbole irlandais, une feuille de trèfle à trois feuilles : elle évoque la Trinité. Et surtout, pas de trèfle à quatre feuilles : celui-ci n'a rien d'irlandais !

    Parmi les villes du monde où la Fête de Saint-Patrick est particulièrement célébrée, sont New-York, Melbourne, Wellington, Londres...

     

    On envoyait autrefois le Shamrock, qui certes voyageait assez mal de cette manière, à New-York, à Londres, et dans tous les autres endroits où l'on avait de la famille, accompagné d'une carte similaire aux voeux de Noël.

    Autrefois encore, étaient expédiés à cette occasion vers l'Irlande, de grands colis en provenance de Philadelphia, de Chicago, de toutes les villes dans lesquelles l'immigration irlandaise était nombreuse, des vêtements, etc. La St-Patrick était, et demeure toujours aujourd'hui, la Fête du ralliement pour les immigrés.

    Elle est une grande occasion de joie, elle permettait autrefois de danser le Jig, danse traditionnelle rapide qui manifeste le caractère joyeux et expansif des Irlandais, et qui n'est autre que l'origine de "danser la Gigue", cette dans connue autrefois en France. 

    Ce jour-là, en Irlande, tous les hommes et toutes les femmes sont des "Padys" et des "Brigittes". Aujourd'hui, en Irlande, la Fête demeure une grande occasion de joie et conserve son esprit traditionnel, même si certains caractères se sont en partie effacés. Son organisation pratique est matériellement encadrée, sponsorisée, par la célèbre marque Guinness.

    La Fête de Saint-Patrick en France n'a rien de commun avec la fête authentique des Irlandais. Elle a été mises en place par certains établissements (bars, brasseries) dans un but d'occasion commerciale.

     

    Saint Patrick, Patron de l'Irlande, est indissociable de Sainte Brigitte, sa contemporaine et dont elle fut proche. Bien que les historiens attribuent majoritairement une origine Galloise à Saint Patrick, les Irlandais répugnent à cette origine et préfèrent croire qu'il était d'origine Gauloise.

     

    Nous souhaitons aujourd'hui à tous les Irlandais une très joyeuse St-Patrick !


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  • par RN 1 et RN 2

     

    Preuve éclatante de notre point de vue publié à l'Automne dernier : la preuve par l'ADN n'est pas fiable.

     

    L'affaire d'Antibes (mais elle n'est pas la seule) a en effet apporté un démenti catégorique à ceux qui invoquaient cette méthode les yeux fermés.

     

    En Novembre dernier, des analyses concluaient à l'identification d'un ossement, d'un jeune homme disparu en 1994, "avec une probabilité supérieure à 99,95%".

    Les Procureurs de la République de Meaux et de Grasse publiaient le résultat de ces analyses. En décembre 2013, l'expert judiciaire faisait marche arrière, après de nouveaux tests contradictoires. Le Procureur de Grasse, M. Guttierez, conseillait la prudence : "Dans le domaine génétique, on a tendance à suivre les expertises judiciaires avec beaucoup de force. On imagine qu'il s'agit de la reine des preuve alors qu'il faut continuer d'être prudent."

    Et pourtant, L'analyse avait été effectuée grâce à des prélèvements maternels... Ce qui est singulier dans cette affaire d'Antibes, est qu'il a suffi pour contredire les premiers résultats d'effectuer de nouveaux tests sur les autres membres de la famille.

     

     

    Avant de conclure officiellement le premier grand volet de cette Affaire de la Tête par la publication de notre étude historique, nous pouvons cependant réaffirmer clairement que les "résultats Cassiman", présentés en 2013 ne sont pas de nature à assurer à cette énigme de la Tête dite d'Henri IV, de réponse certaine, et que selon nous, ils ne satisfont nullement aux questions légitimes.


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    Grand Budapest Hôtel sera idéal pour les romantiques qui retrouveront quelques bribes de l'Europe Centrale et d'un monde définitivement disparu après la Deuxième Guerre.

    Au cinéma grand Budapest et Monuments Men

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    Au cinéma grand Budapest et Monuments Men

     

    Monuments Men a tous les ingrédients de ces films que les américains savent si bien fabriquer, même si celui-ci manque de densité et de suspense. S'il semble parfois long à démarrer, on passe cependant un bon moment en compagnie de ceux qui furent chargés de sauver les principales oeuvres d'art à la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

     

    Il s'inspire du roman Monuments Men, une histoire véridique, de Robert M. Edsel. Mais pour être complet, nous conseillons de lire aussi Les Reliques sacrées d'Hitler, de Sidney Kirkpatrick, publié d'abord en 2012 puis le 21 Février 2013. Histoire vraie elle aussi, sur la piste de trésors symboliques cachés par les Nazis : entre autres le Trésor Impérial Germanique.

     

    Au cinéma : Grand Budapest et Monuments Men

       Au cinéma : Grand Budapest et Monuments Men

     


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  • Philippe IV - Le siècle de Vélasquez - Alain Hugon -

    Payot ; paru le 12 Mars 2014 ; 27 .

     

    Philippe IV - Alain Hugon


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  • Par RN 1

     

    Faisons un rappel des positions du Comte de Paris. Il y a quelques années, j'apprenais qu'autrefois, du vivant de son père, quand il était le Comte de Clermont, [ à moins qu'il ne se fût agi de son père ? ] il avait accordé l'autorisation d'étudier des restes des rois de l'époque de Charles VII (je ne suis pas sûr de quels rois il s'agissait, j'avais retenu le fait, déjà symptomatique). C'était la première entaille à son image, que j'éprouvais.

    Ma première pensée fut qu'il était comme les autres. La seconde, qu'en confiant à des scientifiques des restes des rois, disparus depuis longtemps, il s'agissait ni plus ni moins que d'une intrusion malsaine, d'une profanation. On n'est jamais mieux servi que par ceux à qui l'on accorde confiance trop naturellement.

    Mais après la publication des résultats du Dr. Charlier fin 2010, le vivant Comte de Paris contestait dans un communiqué le résultat de ces travaux.

     

    Puis lorsqu'une nouvelle étude relative à la Tête dite d'Henri IV, fut publiée l'an dernier, assortie d'analyses ADN censées démontrer - laborieusement - que cette Tête ne serait plus celle du bon roi, cette nouvelle fut reçue avec empressement par le même. Pourtant, ceux qui se sont engagés à croire à cette nouvelle version, ne se rendaient pas compte des conséquences qu'elle entraînait. Mais nous le développerons très bientôt.

     

    Que faut-il en conclure ? Rien d'autre, que l'opinion d'un observateur est souvent, sinon toujours, influencée par la boussole personnelle de ses convictions, et ressemblant parfois, toujours ? au coq de nos clochers.

     

    Demain : L'ADN, pile ou face ? Validité d'une méthode contestée

     


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    Philippe le Bel - de Georges Minois -

    Perrin ; paru le 27 Février 2014 ; 28 .

     

    Philippe le Bel - livre de Georges Minois


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  • Dans Le Point de la semaine dernière, Franz-Olivier Giesbert rappelait fort à propos quelques vérités assez peu connues du grand public. Je le cite.   RN 1

     

    "Noublions pas l'Histoire : si une partie de l'Ukraine est russophone et russophile, le pays a des comptes a régler avec la Russie depuis qu'au début des années 30 Staline en fit, entre autres, son terrain pour exterminer par la faim entre 4 et 7 millions de personnes alors que l'Union soviétique continuait d'exporter du blé !

    Une forme de génocide, appelée "Holdomor", curieusement occultée pendant les derniers événements mais dont l'ombre ne s'est pas encore évanouie dans le pays et qui, plus tard, a inspiré Mao Tsé Toung dans sa politique de la grande famine qui fit une cinquantaine de millions de morts. Après ça, il ne faut pas s'étonner que l'Ukraine regarde surtout à l'Ouest.

    (...) [et ces propos appartiennent au même auteur, car pour nous, les français ne sont pas xénophobes; mais c'est l'occasion de rappeler  un ex (?)-royaliste. RN 1 ]

    L'excellent Thierry Maulnier, un ancien maurassien qui pensait à droite, est celui qui a le mieux décrit la xénophobie française avec sa célèbre formule qu'on ne se lassera jamais de citer : "La France est la patrie du genre humain et l'on y est très accueillant aux étrangers, exception faite, bien entendu, pour les amerloques, les angliches, les fridolins, les macaronis, les espingouins, les polacks, les macaques, les ratons, les youpins et autres métèques." A la liste il fait, hélas !, ajouter encore : les romanichels, les chinetoques et peut-être même les Ukrainiens !"


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  • Nous publierons avant le fin de ce mois-ci, nous l'espérons, notre étude historique qui effectue une critique précise des études précédentes.

     

    Nous conseillons à ceux qui souhaitent vraiment entrer dans les recoins de cette affaire, de lire les deux livres que nous avons déjà présentés.

     

    Nous publierons d'ici là deux ou trois articles consacrés au cadre de cette actualité : l'authentification de la Tête par le Dr Charlier en 2010, la remise en cause de ces résultats, remise en cause qui a abouti au retrait de l'article scientifique qui avait été publié. Ainsi demain, un article : l'ADN en question.

     

    La série des articles déjà publiés se trouve ici.

     

    La mauvaise tête, contre-enquête sur une prétendue découverte                     Réserves au sujet des analyses Cassiman sur l'ADN Bourbon