• ADN, pile ou face ? Validité d'une méthode contestée

    par RN 1 et RN 2

     

    Preuve éclatante de notre point de vue publié à l'Automne dernier : la preuve par l'ADN n'est pas fiable.

     

    L'affaire d'Antibes (mais elle n'est pas la seule) a en effet apporté un démenti catégorique à ceux qui invoquaient cette méthode les yeux fermés.

     

    En Novembre dernier, des analyses concluaient à l'identification d'un ossement, d'un jeune homme disparu en 1994, "avec une probabilité supérieure à 99,95%".

    Les Procureurs de la République de Meaux et de Grasse publiaient le résultat de ces analyses. En décembre 2013, l'expert judiciaire faisait marche arrière, après de nouveaux tests contradictoires. Le Procureur de Grasse, M. Guttierez, conseillait la prudence : "Dans le domaine génétique, on a tendance à suivre les expertises judiciaires avec beaucoup de force. On imagine qu'il s'agit de la reine des preuve alors qu'il faut continuer d'être prudent."

    Et pourtant, L'analyse avait été effectuée grâce à des prélèvements maternels... Ce qui est singulier dans cette affaire d'Antibes, est qu'il a suffi pour contredire les premiers résultats d'effectuer de nouveaux tests sur les autres membres de la famille.

     

     

    Avant de conclure officiellement le premier grand volet de cette Affaire de la Tête par la publication de notre étude historique, nous pouvons cependant réaffirmer clairement que les "résultats Cassiman", présentés en 2013 ne sont pas de nature à assurer à cette énigme de la Tête dite d'Henri IV, de réponse certaine, et que selon nous, ils ne satisfont nullement aux questions légitimes.


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