• La Rédaction

     

    EM = mc3 ? Ou trois mandales Macron pour le prix d’une ?

    C’est splendide ! Il fallait y penser, et après tout, c’est dans la tendance... La présidence à vie, quasi-installée en Chine avec Xi Jinping. Le XXIème Siècle se situant sous le sceau des pires tyrannies... 

    À propos de longévité, nous trouvions mauvais que l’hyperprésident Sarkozy ait limité à deux mandats présidentiels consécutifs... Ce qui prive un bon président de profiter au pays (en théorie... Comme le disait de Gaulle à propos des chercheurs : « Des chercheurs qui cherchent, on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche... ») et il s’agissait comme toujours de basse démagogie, comme au mieux de ce système.

    Fondamentalement, ce n’est pas l’âge qui gêne, surtout avec Macron le plus jeune des présidents, mais la nuisance.

    Et c’est ce qui risque de se produire. Les lecteurs du Figaro ont pu être sidérés il y a deux semaines, de lire l’avis d’un ancien garde des sceaux (Urvoas) expliquant que Macron pourrait se représenter en 2027, malgré la limitation imposée par la Superballe qui rebondit partout, Sarkozy.

    Le tout a été repris par BFM, que l’on peut consulter en ligne. Une décision du Conseil d’État a permis au Premier ministre Polynésien de se représenter après deux mandats consécutifs, ce qui ne lui est pas permis ; du fait qu’il n’a exercé son premier mandat que quatre ans au lieu de cinq, ayant accédé à cette fonction par la démission de Gaston Flosse.

    Urvoas suppose une dissolution, que Macron perde les Législatives, puis démissionne. Le tour serait joué.

    D’autant ajoutons-nous, qu’un scénario quelconque, celui-là ou un autre semblait flotter dans l’air pour 2027.

    N’oublions pas que le Conseil d’État n’est pas indépendant, il est sous la tutelle du Premier ministre, qui en est le président, bien que la présidence opérative, la direction, soient effectuées par le vice-président du Conseil d’État... Encore une des ambiguïtés de la Constitution de la Vème République que l’on porte aux nues on se demande pourquoi.

    Certes, des spécialistes du Droit ou des personnages comme Balladur  considèrent que ce n’est pas possible, ou pas envisageable, ce qui n’engage qu’eux mêmes, selon nous et d’après l’évidence que la France est sortie de l’époque du Droit... La sinistre affaire du CoVID l’a assez montré.

    Où ça devient inquiétant, c’est que Raffarin nous offre une nouvelle raffarinade !

    Dans Nice-Matin du 9 décembre, ce pilier du Système déclare vouloir permettre au président de cumuler plus de deux mandats consécutifs. Sujet repris aujourd’hui par Le Figaro.

    L’une des choses qui peut sauver le pays de Macron en 2027 est que chez certains des actionneurs de marionnettes on voudrait se défaire de Macron, ce, au plus tôt, car il ne veut pas suivre la consigne de l’austérité budgétaire. Il n’en prend d’ailleurs pas le chemin puisque la France va emprunter, en 2023, 270 milliards, sur les 1200 (ou 1400, à vérifier) que les pays européens vont souscrire pour aggraver la dette. Et qu’il a besoin d’enveloppes à distribuer partout.

    Comme le bestiau est malin et manœuvrier, il y a des chances qu’il se maintienne jusqu’en 2027... ou 2026. La bonne nouvelle est que cette supplémentaire atteinte au droit de vivre sans Macron va finir par agacer un nombre toujours un peu plus grand, et ouvrir les yeux de pas mal d’autres... D’ici là, ce pourrait être le moment propice, pour un net et décisif coup d’épaule, sans bavure (donc, velléités brouillonnes des Droites dures écervelées, on ne veut pas de On a perdu la 7ème Compagnie donc abstenez-vous) pour mettre à genoux le système.


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  • La Rédaction

     

    Pour des raisons techniques, (ce qui ne vous avance pas beaucoup mais c’est une formule de circonstance) la chronique traditionnelle du dimanche soir est reportée vers le milieu de la semaine du 12.

    Nous dirons brièvement ce soir que nous voulons apporter soutien aux nationalistes Corses qui ont été arrêtés ces jours derniers par les forces de répression qui occupent la France.

    Réjouissons-nous, que selon la presse, l’obligation faite sur tout le territoire sinon français du moins celui du système, de déclarer ou... d’abandonner... à l’État ( ! ) jusqu’au 2 décembre 2022 les armes à feu non enregistrées, n’ait pas été suivie en Corse.

    Ailleurs, elle ne l’a pas été beaucoup... Sinon, la possibilité de le faire ne demeurerait pas ouverte, et même sans limitation...

    Nous conseillons aux détenteurs d’armes à feu non déclarées de les conserver, sans les déclarer !

    Ce n’est pas la première campagne pour déposséder les Français de leurs armes, anciennes pour la plupart car elles ont été héritées, souvent armes de chasse et conservées en souvenir, ou reliques venues d’une guerre. On voit bien, même pour certains si on ne l’avait pas encore compris, que l’État n’est pas net, et qu’il veut se prémunir contre tout moyen de révolte. Rien que pour cela, il n’en est que plus urgent, face au contre-la-montre serré du plan de Contrôle Social... d’en expurger le pays.


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    Tant que se dresseront les pierres - Marina Dédéyan

    Plon ;  roman ;  8 nov.  2018  ;   556 p.;   21 € 90.

    Présentation officielle :  Et si la Bretagne retrouvait son indépendance ? Le rêve d'une poignée d'exaltés ? Tous les possibles s'ouvrent dans une France divisée, sidérée par sa défaite face à l'Allemagne.

    Terre de la résistance la plus farouche aux nazis, victime la plus meurtrie des bombardements alliés, pétrie de tradition catholique comme de paganisme celtique, gardant la mémoire de la chouannerie et foyer ardent du communisme, mais avant tout éprise de liberté, la Bretagne gronde.


    Trois frères, trois chemins différents qui les conduiront au bout de leur engagement. Témoins de leur confrontation, de leurs déchirements, un père privé de parole et la jeune émigrée russe venue prendre soin de lui. Au travers du destin d'une famille, c'est celui de la Bretagne qui se joue.

    Tant que se dresseront les pierres  -  Marina Dédéyan


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    Ne faites jamais confiance à la justice de votre pays  -  Claude Butin

    2021, Les trois colonnes.  Orphie,  5 fév. 2022 ;  272 p.;   19€.

    Présentation officielle : La magistrature française est en souffrance. « Juger, c’est apprécier », « Il faut respecter le temps de la justice ». De beaux principes ! Mais le pouvoir d’appréciation du juge se réduit de jour en jour, sous la pression de sa hiérarchie et sous le poids de lois opportunistes toujours plus contraignantes. On a récemment intégré dans la grille d’évaluation des juges un critère de rentabilité : une prime annuelle est versée en fonction du nombre de dossiers traités. Les juges sont-ils encore capables de se prononcer en leur âme et conscience ? La justice peut-elle vraiment être rendue en toute liberté, sans tenir compte de ce qu’attend la hiérarchie ? Existe-t-il encore des magistrats prêts à exercer leur mission sans être d’abord préoccupés par leur avancement? Ce livre est le témoignage sincère d’un juge passionné qui n’avait cessé de croire en la justice… jusqu’au jour où il a dû rendre compte à ses pairs, après s’être déplacé place Vendôme pour mettre son propre ministre en examen. Une plongée dans le monde de la justice, un constat sans concession qui fait froid dans le dos. Après avoir lu ce livre, vous réfléchirez à deux fois avant d’avoir recours à un juge…

    RoyautéNews : Ce magistrat pourtant retiré depuis dix ans, a été convoqué en raison de ce livre par le CSM, le tristement célèbre Conseil de la Magistrature, dont le nom à lui seul évoque l'infamie du système...

    Ne faites jamais confiance à la justice de votre pays  -  Claude Butin


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  • La Rédaction

     

    Honneur au Prince Henri Reuss

    On a l’habitude : si l’on n’est pas d’accord avec les Occupants, c’est-à-dire les gouvernants de la Dark Enterprise, Entente internationale à Tête de Mort et leurs mafias jurées, on entre spontanément dans la catégorie réprouvée de « l’Extrême-Droite », conçue par les décideurs (mêmes que précédemment, ou leurs acolytes) et censée faire éprouver des frissons au bon peuple, toujours crédule comme devant Grand Guignol.

    Parfois, on retrouve à proximité quelques éléments épars - même pas ! en fait des paumés comme en fabrique à la pelle le Système - qui s’étiquettent néo-nazis... une manière à bon compte d’éprouver le grand frisson ; et pour "en haut" le tour est joué ! Si on n’en trouve pas, on invente, ça ou autre chose, et on trouvera toujours.

    C’est d’une certaine façon ce qui est arrivé à un groupe d’Allemands : on crie au « complot de l’extrême-droite ». « Un prince, d’anciens soldats d’élite, une Russe et une ex-députée de l’extrême-droite organisaient un coup d’État, selon le parquet ». Selon Le Figaro du 8 dont nous publions des extraits.

    Le prince est au nombre des huit personnes placées en garde à vue. Le 7, « vingt-cinq membres et soutiens présumés d’un groupe terroriste ont été arrêtés dans sept des seize länder, ainsi qu’en Autriche et en Italie. Une opération à laquelle s’ajoutent 150 perquisitions menées dans onze régions et impliquant 52 prévenus : il s’agit de la plus importante offensive judiciaire menée contre l’extrême-droite depuis des décennies, réalisée avec le concours de 3000 policiers. »

    Deux figures principales : le Prince Henri XIII Reuss, et Rüdiger von P., un ex-lieutenant-colonel de la Bundeswehr.

    « Le premier () était la vitrine politique du mouvement et pressenti pour devenir le nouveau chef d’État allemand. Le second, dont l’identité n’est pas encore dévoilée, était le représentant de sa branche militaire, chargé de recruter des hommes en vue du putsch. Les deux hommes, ainsi que leur entourage, étaient familiers des théories conspirationnistes, elles-même nourries par le mouvement américain d’extrême-droite QAnon, a précisé le parquet général : selon eux, l’Allemagne serait dirigée par les membres d’une clique appartenant à un État profond malfaisant...»

    C’est aussi déprimant que les manchettes de Détective ou les communiqués de la Pravda soviétique.

    Mais on ne voit là-dedans rien que d’évident. « Parmi les personnes interpellées, mercredi, figure une ancienne députée fédérale du parti (l’AfD), Birgit Malsak-Winkemann, violemment antimigrants. » On ne voit pas le problème, argumentairement pas plus en tous cas que ceux qui sont violemment promigrants...

    Comme si le pouvoir appartenait... (par droit divin ?) à ceux qui se réservent le pouvoir, tous les pouvoirs...

    Et comme ici, nous sommes opposés à la Clique, nous sommes prêts à nous allier avec n’importe qui. Sauf avec Sandrine Rousseau la Dinguesse, bien sûr. Il ne faut pas exagérer !

    En apprenant cette affaire, et même si la tentative n’a pas abouti, nous nous sommes dit : l’Allemagne rentre chez elle !

    Henri XIII (c’est une vieille habitude dans cette famille de nos cousins, ils s’appellent tous Henri et se différencient par un numéro ; régulièrement ils replacent le comptage à zéro) fait partie, non seulement du cercle étroit des maisons souveraines allemandes, mais encore, de celles qui ont régné jusqu’en 1918, au sein d’un Empire Allemand dissous un peu vite selon nous, par la manigance des sectes accréditées... et avec la béatitude idiote du camp des vainqueurs, de ses mauvais souffleurs et qui, en humiliant l’Allemagne de 18 et suivantes, comme on le sait n’ont pas raté leur coup.

    C’est le moment de se souvenir des leçons de l’Histoire... Vœu inefficient sur les cervelles françaises.

    Notre conseil à tous les parties prenantes du Ras-le-Bolisme en Europe (et ailleurs) : arrêtez de préparer des putschs. Faites-les.


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  • Charles Quint, entre grandeur et humilité -

    Isabelle de Montgolfier ; Pierre Angotti

    Médiaspaul  ;   27 oct. 2022 ;  168 p.;  17€.

     

    Présentation officielle : Le destin de Charles Quint ne cesse de surprendre : pourquoi et comment le monarque le plus puissant d’Europe choisit-il d’abandonner le pouvoir, de se séparer de ses biens et de se retirer dans un monastère à Yuste en Espagne pour y vivre une vie relativement austère et discrète ?
    À travers une méditation fictive par laquelle ils font parler Charles Quint sur son renoncement volontaire au pouvoir, les auteurs nous aident à explorer les raisons de ce détachement. Ce livre témoigne aussi du combat ininterrompu que Charles Quint mena pour la paix et l’unité de la chrétienté.
    Charles Quint aimait lire les auteurs anciens. En dialoguant avec eux, il nous invite à les (re)lire pour découvrir qu’ils n’ont pas pris une ride ! C’est ainsi que dans son dialogue imaginaire avec Thucydide, l’Empereur nous fait prendre conscience des risques attachés à l’exercice du pouvoir, quand celui-ci possède les moyens de la puissance. Un sujet hélas toujours très actuel !
    Tout en respectant l’exactitude historique, cet ouvrage offre le récit intime de l'abdication du souverain le plus puissant de son temps, méditant sur la fragilité de l’être humain. Il dresse la mémoire d’un homme souverain qui tout au long de ses itinéraires européens se voit confronté aux ambiguïtés de son règne. Au-delà de ses déchirements intérieurs, Charles livre son cheminement spirituel pour se libérer de ses titres et de ses rôles afin d’être plus en vérité avec lui-même.

    Charles Quint, entre grandeur et humilité - Isabelle de Montgolfier ; Pierre Angotti


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  • La Rédaction

     

    1er volet d’une suite : La République, ou la quadrature du cercle vicieux.

    La République, ou la quadrature du cercle vicieux

     

    Par quelle fatalité un pays s’abîme-t-il dans les affres de la dernière indécence, faisant de ce qui fut perçu, jadis, le Phare de l’Occident, et qui l’était peut-être, le zélé petit télégraphiste de toutes les mafias à gueule mondialiste qui veulent le croquer tout cru ?

    Plus près de nous, par quel prodige, de monstruosité d’horreur, subit-il, et sans broncher ! ces nombreux fous virulents qui le cravatent, gouverno-mutants, mafias parasitaires - on connaît - mais épaulés depuis les derniers scutins par des électeurs-mutants dont le nombre (après piqure) a explosé !

    Quel est le point commun, entre le dépouillement permanent des Français du fruit de leur travail, l’État omnivore, les menaces déliroïdes de ses « dirigeants », le mal-être généralisé de tout un Peuple et qui n’est plus seulement un mal-être mais une plaie, une maladie profonde de l’âme et de l’esprit... Une centrale à profits, d’un flux détourné de sa source. Pays riche sur le papier et pour les statistiques officielles... Tandis que sa pauvreté a rejoint celle des pays dits jadis du Tiers-Monde.

    Et pour ce Peuple d’être à la merci de l’incompétence faite reine, de l’impuissance et d’un cynisme ubuesque comme modes de gouvernement ! 

    Quel est le point commun, quelle est la source, de cette société infernale, sinon la République. Cette viscosité qui colle partout, sur chaque mur, dans chaque rue et à nos basques, y compris celles de nos Basques bien-aimés !

    Cette prétention incalculable, cette abomination !

    En second mouvement, on se dit que toute hypothèse, toute volonté de modifier en juste substance l’ordinaire de nos jours, et d’améliorer les cadres, se heurte immanquablement, implacablement, à l’état des choses, c’est-à-dire à l’État, c’est-à-dire à la République.

    Quel crime impayable ce Peuple de larves a-t-il commis, pour être sucé de ces Succubes ? 

    Pourquoi ce cadre, qui devrait être le commun moyen, se dote-t-il d’une vie propre ? Vivant par-dessus, prospérant, au détriment mortel du pays et de son Peuple ?

    Il ne s’agit pas ici de dénoncer des États dans l’État, mais bien de dénoncer l’État lui-même, devenu l’Ennemi Public n° 1 !

    On se dit que la Procédure de grand Retournement aura bien du mal à ne pas actionner la mécanique du rasoir... contre les conjurés du républicanoïde, si nombreux, collabos agglomérés par le ciment congruent du bébête, des profils du hargneux frustré, et de la trouille.

    Ce magma visqueux ne serait qu’une république - et pas plus - que ce ne serait pas gênant. Mais, de fait, la république n’existe pas : c’est la République, avec un grand "R", avatar du Grand Cric et des conjurations Jacobines, et Révolutionnaires, qui continue d’opprimer !

    Comment se fait-il que, malgré tous les aléas de l’Histoire française depuis le début du 19ème siècle, ce truc provisoire, arrivé chaque fois par surprise et sans légitimité, réussisse à surnager, à s’agripper, sans être mis en accusation, alors qu’il est le dénominateur de tous les maux?

    Une république, dans un inconscient à définir, aurait une vertu de calme. Le terreau français, malheureusement ne le permet pas. Une simple république. Non couplée au Système, non actionnée par la roue des idéologues de l’ordre noir...

    Comment se fait-il que cette excroissance cadavéreuse ne soit jamais la préoccupation de quiconque, en tant que telle, et pour ce qui est de s’en défaire, ou de la revisiter, mais alors de fond en comble ? Où sont les constitutionnalistes, les penseurs, les idéalistes, sinon dans le formol ?

    Comment ce magma persiste-t-il encore et toujours, bien qu’on sache qu’il ait colonisé les "esprits"..? Comment cette blessure transgénérationnelle se transporte-t-elle, comme une malédiction ?

    Le mystère de cette prégnation sordide, sera un thème central d’étude pour les générations de psychiatres et d’étudiants d’Histoire de l’Après. Car c’est de l’Après dont nous nous occupons.

     

    Fin du 1er volet.


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  • La Rédaction

     

    Plus que danger sur l’économie mondiale : les rumeurs devenues certitudes, les certitudes devenues officielles et toutes s’accordant, ( comme c’est bizarre... ) sur 2023. Et plutôt début 2023 que la fin 2023.

    Nous conseillons dèsmaintenant à tous de retirer leurs avoirs : comptes, revenus, épargne, du système bancaire.

    Ça va plus que secouer. Et c’est plus que de la prudence, que de ne pas être la proie facile de tous les Madoff. D’autant que le Système a prévu depuis quelques années, d’autoriser « légalement » (!) les banques de ponctionner, et même de vider les comptes bancaires... comme ce fut le cas ces dernières années au Liban, et à Chypre si nous ne faisons pas d’erreur.

    Tous les signaux, comme on dit, sont au rouge. Le journal Les Échos de ce week-end, ne dit pas autre chose pour ce qui est de la nouvelle montée des taux d’intérêts et de ce que les financiers appellent l’inversion des courbes.

    La seule médecine est de sortir du piège bancaire. Et de conserver ses liquidités, car il ne s’agit pas de trôner sur des lingots, mais de survivre dans les mois et anées qui viennent. Quel que soit le moment de la grande Déflagration.

    Un lecteur de RoyautéNews en vaut au moins dix.


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  • La Rédaction

     

    Ce n'est pas nouveau que des détournements ont lieu.

     

    Le Canard enchaîné révèle que 20 sièges Louis XVI signés par l'un des plus grands ébénistes de l'époque ont été bradés par le ministère de l'Agriculture pour seulement 6.240€. Selon plusieurs experts, ces 20 sièges datant de 1780 en valaient entre 300.000 et 500.000€.

     

    Même vendus à prix d'or, ce mobilier appartient au patrimoine des Français.

    Les voleurs-détourneurs rendront des comptes. Pour ça, comme pour Tout le reste.

    Prenons date.


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  • La Rédaction

     

    RoyautéNews du 30 novembre ;

     

    On y voit un peu plus clair sur la situation actuelle. Les anti-confinements avaient l'habitude de se transmettre des informations juste en passant à proximité de diffuseurs de nouvelles, grâce à une fonction d'Apple qui permet, sur option, de diffuser et recevoir certains fichiers de/vers tout ordinateur proche. Il y a quelques jours, Apple a envoyé une mise à jour urgente à tous les i-Phone (donc téléphones portables et non ordinateurs) dans le monde, mais qui n'a d'effet que sur ceux vendus en Chine continentale, qui désactive cette fonction au bout de dix minutes.

    Comme il est à peu près impossible de la réactiver toutes les dix minutes, les anti-confinements ont perdu un outil de diffusion essentiel.

    On sait donc que ceux qui organisent ces confinements sont les alliés de l'administration Biden, les opposants à Xi. Il y aurait eu des gens brûlés vifs dans leurs maisons. Et Apple, qui jusqu'ici était un allié peu visiblement actif du Deep State, a dû s'engager dans le vif de la bataille.

     


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