• La Rédaction

    Cette collection d’infos sous l’article fait suite à celle donnée dans notre article La semaine des quatre jeudis.

    Plus tard dans la soirée notre éditorial de fin d’année.

    RoyautéNews apporte son soutien total à Taïwan, dans sa lutte pour rester indépendante. Nous formons des vœux pour la Chine Libre, et pour la Présidente Tsai Ing-wen.

    Nous restons, cela va de soi, des amis de la Chine et des Chinois, que nous saluons où qu’ils soient dans le monde. Les liens naturels entre RoyautéNews et la Chine n’ont rien à voir avec les questions politiques, et un Chinois ne saurait être un clone ni un serf numéroté et tracé, appartenant à une vague sous-humanité, au bon vouloir d’une caste communiste et mal éduquée.

    La question du Tibet, et celle des Ouïghours, ne passeront pas ! Pas plus que jamais nous n’admettrons la dictature en Chine !

     

    Iran : Nous espérons, sur RoyautéNews, que l’Iran trouve la paix et se débarrasse de ceux qui emprisonnent ses habitants.

     

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    Le gouvernement Meloni supprime sur les papiers d’identité les mentions « géniteur 1 », « géniteur 2 » par maman et papa.

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    Mike Borowski : Un agriculteur offre 1 million d’€ afin de rénover l’église de son village. N’ayant pas d’héritier il ne veut pas qu’à sa mort « cet argent aille à l’Etat ». De plus en plus de Français ont vu le vrai visage de l’Etat. Il n’est pas là pour votre bien.

    Que l’argent n’aille pas à l’État ! Tout-à-fait dans l’esprit de RoyautéNews !

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    Mike Borowski : « Donc l’Union Européenne qui donnera pouvoir à Amazon société américaine afin de créer l’euro numérique c’est légal, mais le Capitaine Juving-Brunet créant des Francs libres ça c’est illégal ??? Quelqu’un à l’explication ? Relayez partout »

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    Laurent Ozon, citant le magazine Newsweek : Le colonel Milburn fondateur et PDG du Mozart Group, compagnie militaire privée engagée dans les combats en Ukraine, accuse des soldats ukrainiens "d'atrocités" de guerre, et l'Ukraine d'être un pays corrompu dirigé par des détraqués.

    Laurent Ozon :

    Une nouvelle étude montre la corrélation frappante entre la fréquentation scolaire et les suicides des jeunes. Perturbations hormonales, besoin d'intégration sociale et instincts grégaires, font de l'école, un lieu de violence psychologique intense.

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    Signalons, bien que nous ne soyons pas obsédés par ce thème ( et nous reviendrons dire pourquoi ) :

    Merigi : La viande de porc disparaît des cantines scolaires. Pourtant c’est la viande la moins chère et très appréciée des enfants. Là, je ne comprends vraiment pas ce qu’il se passe. Il doit pourtant bien y avoir une raison

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    Wikiagri signale :

    « A Paris, l’Académie du climat a réussi l’exploit d’organiser un débat pour « Imaginer l’agriculture de demain » sans avoir invité un seul agriculteur. La parole a été donnée à des « experts des questions agricoles » souvent déconnectés des réalités économiques et des enjeux alimentaires de notre pays. Les politiques agricoles prodiguées par certains d’entre mettraient en danger la sécurité alimentaire de la France et de l’Union européenne. »

    Experts... Cela rappelle quelque chose qu’on aimerait oublier...

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    Dr Naomi Wolf (États-Unis) : "Pfizer a ignoré l'horrible signal de sécurité concernant les accidents vasculaires cérébraux 90 jours après le lancement du vaccin... 50% des accidents vasculaires cérébraux se sont produits dans les 48 premières heures".

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    Nous vous demandons de faire savoir autour de vous que la propagande du gouvernement français pour la vaccination du CP à la Terminale !

    Un clic !    #ÉtatHorsdenosVies

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    Le cardiologue américain Peter A. McCullough :

    "Il n'y a jamais eu de vaccin qui ait causé plus de problèmes aux médecins en exercice que les vaccins génétiques COVID-19."

    Et rappellons que ces produits ne sont pas des vaccins..

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    Le site Profession Gendarme indique :

    « La panique se propage sur les réseaux sociaux à la suite d’une nouvelle étude de la FDA reliant les piqûres de covid à la coagulation du sang »

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    Repris par certains, il semble que ce soit Éric Z. qui ait écrit cela. Tout-à-fait d’accord, sur ce point seulement. Très bien qu’il se soit réveillé, après la bataille.

    « Macron a choisi de nommer Anastasia Colosimo comme conseillère à l’Élysée à partir de janvier 2023… Elle déclarait sur LCI en décembre 2021 : « Laisser mourir les non-vaccinés est un bon moyen de sélection naturelle »… Elle veut que ça reste caché : alors on fait quoi? »

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    L'avocat américain Tom Renz : Des documents non classifiés confirment que le SRAS-CoV-2 a été créé par EcoHealth Alliance à l'Institut de virologie de Wuhan coordonné par Peter Daszak. Il a été conçu pour être délibérément virulent et humanisé, entraînant 6,5 millions de morts.

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    Céline d’Arc : Australie : après avoir elle-même subi de graves effets indésirables, Dr Kerryn Phelps change d'avis et ne recommande plus du tout les injections transgéniques expérimentales. Israël, Japon, et maintenant Australie, de grands experts font amende honorable. À quand la France ?

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    Un autre internaute publie :

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    Loïk Le Floch-Prigent: « Le fait de produire de l’énergie d’origine nucléaire à 40 euros, de la vendre à 42, et ensuite de la racheter le 21 juillet à 397 euros devrait faire s’interroger tous les Français. »

     

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    Soutenez L’Œuvre d’Orient ! 

    Les Chrétiens en ont besoin ! 

    Honte à la chaîne Arte !

    Aleteia : La chaine franco-allemande Arte a annoncé mardi 20 décembre son refus de diffuser les spots payants de L’Œuvre d’Orient, dans le cadre de la campagne de Noël.


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  • La Rédaction

     

    Adieu Benoît XVI

     

    Nous apprenons la mort du Pape Benoît XVI, qui vient d’entrer dans la Lumière.

    Nous présentions hier son dernier ouvrage, co-écrit avec le Cardinal Sarah.

    Alors que le Pape François prenait ces jours derniers des dispositions pour le cas où lui-même ne pourrait plus remplir sa mission, il avait visité une dernière fois son prédécesseur.

    Le roi Charles III a salué les efforts constants pour rapprocher catholiques et protestants, et a fait part de sa profonde tristesse.

     

    Le Pape Benoît XVI est celui qui a gardé la totale doctrine de l’Église, et pour cela il doit être aimé comme l’une des pierres intangibles de la foi.

    Ses funérailles seront célébrées jeudi 5 janvier 2023.


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  • La Rédaction

     

     
    Ce n’est pas parce que le combat mené par les forces russes de Vladimir Poutine est juste, que la population ukrainienne ne souffre pas dans ce conflit qui s’éternise : c’était notre réflexion dans les jours précédant Noël. La propagande de rouleau compresseur anti-russe, à l’échelle planétaire, n’était pas en cause. Mais qu’un certain enlisement apparent, de fait retardait des négociations de paix dont personne, à l’Ouest, ne semble vouloir. Pouvait-on se demander si la Russie avait cessé sa protection, ses précautions, manifestes au long des mois à l’égard de la population, et si devant l’escalade, elle ne tenait plus compte d’elle dans sa volonté de garder la main, face au pouvoir Zelensky appuyé de toutes parts ?
     
    Voici notre réponse du 23 décembre.
     
    En apparence, il semble que le massacre de Boutcha soit attribuable, documents à l’appui, à la Russie, selon le NYTimes d’aujourd’hui (le 22 décembre 2022), qui publie un dossier dont il est dit qu’il est le résultat d’une enquête de plusieurs mois. 
     
     
    Il n'est pas, et n'a jamais été attribuable à la Russie. Il y a eu d'abord les éléments chronologiques.
     
    Les Russes ont annoncé leur retrait le 28 mars. A Boutcha, ils sont effectivement parti le 30, avec l'armée ukrainienne qui osait "enfin" leur tirer dessus. Le 31, la mairie de Boutcha a organisé une "fête de la libération", ils croyaient sans doute que cela suffirait à éviter les assassinats par l'armée Ukrainienne. Il n'y avait évidemment pas de cadavre dans les rues...
    Le 1er au matin, une unité de déminage de l'armée ukrainienne a sillonné la ville, tout en filmant. Il n'y avait toujours pas de cadavre. Et le 1er en début d'après-midi, photo satellite montrant des cadavres (il y a des logiciels pour dater les photos satellites...), et une autre unité ukrainienne montre des cadavres jonchant les rues...
     
    Par la suite, la Gendarmerie nationale a examiné les corps, et a trouvé 3 groupes. Un groupe tué par une bombe à fragmentation à fléchettes (seule l'armée ukrainienne en utilise encore dans le monde, et en avait déjà utilisé en 2014) ; une bombe à fragmentation d'un modèle qui n'est plus utilisé par les Russes depuis une vingtaine d'années — et c'est un crime d'utiliser une bombe à fragmentation contre des civils ! — mais que les Ukrainiens utilisent sans cesse contre les populations ukrainiennes (qu'eux appellent russes et contre lesquelles ils mènent un génocide avec une rhétorique tout à fait nazie) de l'Est et du Sud, hostiles au régime.
     
    Enfin, un troisième groupe, portant le brassard bleu qui signalait, pendant l'occupation russe, les personnes assurant la liaison entre la population et l'armée russe, et le sac plastique rose caractéristique de l'aide alimentaire distribuée par les Russes pendant leur présence sur place. Si ce n'était pas un message clair à la population, de la part du régime, de se tenir à carreau...
     
    Mais par conséquent, alors que jusqu'ici les gens du nord du pays étaient plutôt favorables au régime tout en déplorant ses excès (ils n'étaient pas aussi fanatisés que ceux de Galice), entre l'occupation bon enfant par l'armée russe et les exactions par le régime ukrainien qui ont suivi le départ de l'armée russe, ils ont aujourd'hui compris qui étaient les bons et qui étaient les méchants, et ce pourrait être une région plus facile à dénazifier.
     
    On peut penser que le New York Times cherche à confirmer le message d'allégeance au nazisme envoyé pour le premier jour de la Hanouka (dimanche dernier) : des mots croisés en forme de croix gammée. Mais il n'y a qu'en France, pour l'instant, qu'on ose parler ouvertement de "convergence des luttes". Aux États-Unis, on en est encore aux messages amicaux (même plus codés).
     

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    Le Prêtre   -   Cardinal Sarah

    Fayard  ;    540 p.;   15€.

    Le Prêtre   -   Cardinal Sarah

    Présentation officielle : La réunion dans une édition majeure de deux livres capitaux sur la figure du prêtre. Tous deux apportent des réponses concrètes à la crise sans précédent que traverse l’Église catholique.

    Dans Pour l’éternité, le cardinal Robert Sarah nous enjoint à regarder la vérité en face : « Le sacerdoce semble vaciller. Comment ne pas s’interroger à la lecture de certains récits d’abus sur des enfants ? Comment ne pas douter ? Le sacerdoce a été instrumentalisé ; la recherche de la gloire, du pouvoir, de l’argent s’est infiltrée dans le cœur de certains. Nous ne pouvons pas faire comme si tout cela n’était qu’un accident de parcours. Pourquoi tant de corruption, de dévoiement et de perversion ? Il est légitime que l’on nous demande des comptes. » Dans Des profondeurs de nos cœurs, le pape émérite Benoît XVI et le cardinal Sarah s’expriment sur un des sujets les plus importants pour l’Église : l’avenir des prêtres, la juste définition du sacerdoce catholique et le respect du célibat. Les deux auteurs se répondent, se complètent et livrent une démonstration parfaite. Ces deux livres capitaux sont réunis ici dans une édition majeure consacrée à la figure du prêtre. 

    Robert Sarah, né en Guinée, fut le plus jeune évêque du monde. Il a été créé cardinal par le pape Benoît XVI. Il a été préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements de 2014 à 2021.

    Joseph Ratzinger, né en 1927, est l’auteur d’une œuvre théologique majeure. Il a été élu pape sous le nom de Benoît  XVI en 2005 et a renoncé à son ministère en 2013.


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    Jeanne d'Arc   -   Claude Gauvard

    Gallimard ;   10 fév. 2022 ;  192 p.;  18€.

    Jeanne d'Arc   -   Claude Gauvard

    Présentation officielle : Elle a fait la France de son vivant et plus encore pendant les siècles qui suivirent son martyre. Son irruption dans la guerre de Cent Ans change le cours de l'Histoire. Guidée par des voix qui lui intiment de bouter les Anglais hors du royaume, Jeanne devient la Pucelle, chef de guerre et héros politique. Elle communique sa hardiesse à ses compagnons d'armes et à Charles VII, qu'elle fait sacrer à Reims. Mais sa renommée, jusqu'au-delà des frontières, ne se résume pas à sa vaillance. Elle est également édifiée par tous ceux qu'effraie la figure d'une femme prophétesse et guerrière : Jeanne d'Arc terrorise les Anglais et sans doute ses juges. Ils font d'elle une "putain ribaude" et une sorcière, la capturent, l'emprisonnent, la soumettent à un procès inique qui la condamne au feu. C'est la construction d'un personnage maléfique que ce livre donne à lire, en interrogeant les sources à frais nouveaux. Le procès de condamnation, véritable tribunal d'inquisition, fabrique des chefs d'accusation pour déshonorer la Pucelle : son alliance avec le diable, ses échanges avec les démons, le signe mystérieux qu'elle aurait présenté à Charles VII pour le persuader d'asseoir son pouvoir légitime... Pourtant, son courage et son supplice n'ont pas suffi à lui attirer la reconnaissance du roi. Pour lui, Jeanne d'Arc a en partie échoué dans ses prophéties comme dans la guerre. Reste le peuple, dont on explore ici les croyances et les peurs ; car c'est le peuple qui restitue finalement à Jeanne d'Arc son honneur, avant que la légende ne s'en empare.


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    Philippe Le Bel   -   Jacques Krynen

    Gallimard ;  6 oct. 2022 ;   160 p.;  17€.

     

    Philippe Le Bel   -   Jacques Krynen

    Présentation officielle : Attentat d’Anagni, persécution des templiers, expulsion des Juifs du royaume, manipulations de la monnaie…, ou, au contraire, première réunion des états généraux. Dans notre mémoire nationale, la figure de Philippe le Bel reste attachée à une dérive autoritaire de la monarchie capétienne. Ce roi a pourtant fait la France à plus d’un titre, et c’est cette œuvre de fondation que ce livre s’attache à restituer. Il donne à comprendre comment, sous l’autorité d’un monarque encore médiéval, a été opéré un véritable modelage idéologique et politique de la France. Le petit-fils de Saint Louis n’a pas seulement "fait la France" par une régénération des moyens et des méthodes d’action de l’État en formation. Son gouvernement antiféodal, ses guerres, sa diplomatie, ses rapports à l’Église, tous participent de la même ambition : instaurer sur le monde chrétien une domination de la France, une domination perpétuelle. Ce dessein n’a pas eu pour seul foyer le Conseil du roi. Il a été secondé sur le terrain doctrinal par de grands universitaires, propagé par d’ardents prédicateurs, mis en œuvre à travers le pays par les officiers royaux et avalisé par les représentants des trois ordres. Autour des années 1300, c’est une remarquable poussée d’orgueil "nationale" qui prend forme, savamment enracinée dans la religion, l’histoire, le sentiment dynastique et le droit. La marque insigne de ce naissant complexe de supériorité du royaume est qu’il ne s’éteindra guère : jusqu’au XXe siècle, la France ne pourra plus se passer de l’idée élective de se voir, et de se vouloir, différente.


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  • La Rédaction

     

    Bien que nous ayons manifesté fermement notre position dans ce conflit, devenu au fil des mois par l’acharnement occidental une guerre, portant sur tous les fronts et dépassant les simples opérations militaires, il demeure que la souffrance du Peuple Ukrainien n’en est pas moins vive malgré les précautions prises par les forces russes.

    Afin de donner la parole à d’autres sensibilités, et bien que l’orientation des présentateurs diffère quelque peu de la nôtre, nous présentons cet ouvrage publié en France, qui rassemble quinze témoignages issus de différents points de vue, et qui a la particularité d’avoir été publié en Ukraine par les soins de La Guilde.

    La Guilde du Raid est présente en de nombreux pays et intervient pour des aides ciblées auprès des populations.

     

     

     


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  • RN 1 et La Rédaction

     

    ©Femme actuelle 

     

     

    #MesPréférées #RN1


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  • La Rédaction

     

    Nous conseillons aux Français de ne plus se marier en France.

    Au contraire, qu’ils contractent, dans un autre pays, un mariage civil, (et, ou religieux, selon leur choix et les règles du pays choisi) par esprit d’opposition au système et sans le dire.

    Tant qu’il n’est pas possible de supprimer cette obligation d’un totalitarisme sectaire et pervers, il convient de rompre avec ces pratiques démentielles.

    Il est indigne que les Français - avec la complicité des autorités de l’Église de France - soient obligés de souscrire un mariage civil, lorsqu’ils souhaitent se marier à l’église ! Que ceux qui veulent se marier civilement, le fassent ! Mais pour ceux qui veulent un mariage religieux, le mariage civil est profondément absurde, il est un aveu que la pratique religieuse est contrainte. Un aveu que ceux qui pratiquent la religion chrétienne (catholique surtout, celle qui était visée lorsque ces lois ont été mises en place) font l’objet de discrimination (la grande trouvaille multi-usages, sauf les bons, des deux à trois décennies), et plus perversement encore, que l’obligation du mariage civil induit une reconnaissance de fait de la République, non volontairement délibérée ! Le mariage civil obligatoire est une voie de fait. Il est aussi un viol de conscience, et pour les chrétiens, en tous cas les Catholiques, une injure commise par eux contre leur propre religion.

    Cette persécution de la population doit cesser.

    Assez de somnambulisme. Cela fait des décennies que l’on respire en France, sans y prendre garde, car on ne réfléchit pas au sens des choses, une atmosphère empestée. L’avenir départagera... les siens.


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    Chasseurs de trônes  -  Pascal Dayez-Burgeon

    Une seule obsession: régner. De Napoléon à Ibn Saoud

    Tallandier ; paraîtra le 26 janvier 2023 ;  368 p.;  22€90.

    Chasseurs de trônes  -  Pascal Dayez-Burgeon

    Présentation officielle : L'Europe du XIXe siècle a changé du tout au tout. Elle s'est modernisée, elle s'est industrialisée, elle s'est lancée à la conquête du monde. Politiquement, en revanche, elle est restée assez frileuse. Par peur du changement, amalgamant république et désordres, elle s'est cramponnée à la monarchie. À de rares exceptions – les États-Unis, la Suisse, la France d'après 1870 –, chaque révolution, chaque changement de régime, chaque indépendance s'est soldé par la proclamation d'un nouveau roi et la fondation d'une nouvelle dynastie. Napoléon ayant prouvé au monde qu'on pouvait aussi bien s'emparer d'un trône qu'en hériter, une foule de candidats ont tenté leur chance : cadets frustrés, généraux ambitieux ou aventuriers patentés.  En une soixantaine de portraits célèbres (Louis-Philippe, Napoléon III, Maximilien du Mexique, le dernier empereur de Chine) ou méconnus (Othon de Bavière, Faustin de Haïti ou Boris, roi d'Andorre), Pascal Dayez-Burgeon revient sur le parcours de ces candidats au trône, leurs illusions et leurs désillusions. Au-delà des anecdotes, cette «comédie princière» – qui dure de Napoléon à ibn Saoud – brosse le portrait d'une période où la monarchie était une évidence politique et où les têtes couronnées n'avaient pas encore laissé leur place aux comédiens, aux sportifs ou aux étoiles de la toile.


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