• La République, ou la quadrature du cercle vicieux

    La Rédaction

     

    1er volet d’une suite : La République, ou la quadrature du cercle vicieux.

    La République, ou la quadrature du cercle vicieux

     

    Par quelle fatalité un pays s’abîme-t-il dans les affres de la dernière indécence, faisant de ce qui fut perçu, jadis, le Phare de l’Occident, et qui l’était peut-être, le zélé petit télégraphiste de toutes les mafias à gueule mondialiste qui veulent le croquer tout cru ?

    Plus près de nous, par quel prodige, de monstruosité d’horreur, subit-il, et sans broncher ! ces nombreux fous virulents qui le cravatent, gouverno-mutants, mafias parasitaires - on connaît - mais épaulés depuis les derniers scutins par des électeurs-mutants dont le nombre (après piqure) a explosé !

    Quel est le point commun, entre le dépouillement permanent des Français du fruit de leur travail, l’État omnivore, les menaces déliroïdes de ses « dirigeants », le mal-être généralisé de tout un Peuple et qui n’est plus seulement un mal-être mais une plaie, une maladie profonde de l’âme et de l’esprit... Une centrale à profits, d’un flux détourné de sa source. Pays riche sur le papier et pour les statistiques officielles... Tandis que sa pauvreté a rejoint celle des pays dits jadis du Tiers-Monde.

    Et pour ce Peuple d’être à la merci de l’incompétence faite reine, de l’impuissance et d’un cynisme ubuesque comme modes de gouvernement ! 

    Quel est le point commun, quelle est la source, de cette société infernale, sinon la République. Cette viscosité qui colle partout, sur chaque mur, dans chaque rue et à nos basques, y compris celles de nos Basques bien-aimés !

    Cette prétention incalculable, cette abomination !

    En second mouvement, on se dit que toute hypothèse, toute volonté de modifier en juste substance l’ordinaire de nos jours, et d’améliorer les cadres, se heurte immanquablement, implacablement, à l’état des choses, c’est-à-dire à l’État, c’est-à-dire à la République.

    Quel crime impayable ce Peuple de larves a-t-il commis, pour être sucé de ces Succubes ? 

    Pourquoi ce cadre, qui devrait être le commun moyen, se dote-t-il d’une vie propre ? Vivant par-dessus, prospérant, au détriment mortel du pays et de son Peuple ?

    Il ne s’agit pas ici de dénoncer des États dans l’État, mais bien de dénoncer l’État lui-même, devenu l’Ennemi Public n° 1 !

    On se dit que la Procédure de grand Retournement aura bien du mal à ne pas actionner la mécanique du rasoir... contre les conjurés du républicanoïde, si nombreux, collabos agglomérés par le ciment congruent du bébête, des profils du hargneux frustré, et de la trouille.

    Ce magma visqueux ne serait qu’une république - et pas plus - que ce ne serait pas gênant. Mais, de fait, la république n’existe pas : c’est la République, avec un grand "R", avatar du Grand Cric et des conjurations Jacobines, et Révolutionnaires, qui continue d’opprimer !

    Comment se fait-il que, malgré tous les aléas de l’Histoire française depuis le début du 19ème siècle, ce truc provisoire, arrivé chaque fois par surprise et sans légitimité, réussisse à surnager, à s’agripper, sans être mis en accusation, alors qu’il est le dénominateur de tous les maux?

    Une république, dans un inconscient à définir, aurait une vertu de calme. Le terreau français, malheureusement ne le permet pas. Une simple république. Non couplée au Système, non actionnée par la roue des idéologues de l’ordre noir...

    Comment se fait-il que cette excroissance cadavéreuse ne soit jamais la préoccupation de quiconque, en tant que telle, et pour ce qui est de s’en défaire, ou de la revisiter, mais alors de fond en comble ? Où sont les constitutionnalistes, les penseurs, les idéalistes, sinon dans le formol ?

    Comment ce magma persiste-t-il encore et toujours, bien qu’on sache qu’il ait colonisé les "esprits"..? Comment cette blessure transgénérationnelle se transporte-t-elle, comme une malédiction ?

    Le mystère de cette prégnation sordide, sera un thème central d’étude pour les générations de psychiatres et d’étudiants d’Histoire de l’Après. Car c’est de l’Après dont nous nous occupons.

     

    Fin du 1er volet.


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