• La Rédaction

     

    Marianne restera l'emblème du passé, déjà acquis. Tous les efforts pour donner une image humaine à "la République", concept qui ne signifie rien à force de trop vouloir lui faire dire, n'y parviendront pas.

    Employons à cette occasion de la parution du nouveau timbre français appelé La Marianne de l'avenir... l'expression royaliste, au sujet de la République qui pour nous reste la femme sans tête.

    Qu'on y place un minois n'y changera rien. Même comme cela fut fait avec le profil de la belle Bardot nationale.

    Sinon marquer dans le camp des insignifiants ceux qui, avec une obstination vulgaire et un goût déplacé évocateur de ces journalistes-pythies de la presse écrite, presque toujours vieux, et qu'il faille sans cesse ressusciter l'illusion, pour faire croire que le symbole serait encore parlant auprès du Peuple, en dit long.

    Ressuscitons l'usage des royalistes de jadis, sans pour autant récupérer leurs erreurs : oblitérons, tête à l'envers, nos lettres.

    La République, dans les cœurs, est déjà oblitérée.

     

    L'avenir est le passé déjà acquis

     


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    De Gaulle   ;   Une vie  - Jean-Paul Barré

    L’homme de personne  ;  1890-1944 ; 1er tome 

    Grasset   ;    18 oct. 2023  ;    992 p.;   30€.

     

    Rappel : Sauf rare exception, les ouvrages présentés ne sont pas lus.

    De Gaulle    -    Jean-Paul Barré

    M. de La Garde pour RoyautéNews :

    Celui-ci nous interpelle : L’homme de personne. Ce sous-titre de haute devise incarne au sommet de ce que fut Charles de Gaulle. Ce parfait indissociable, et de son être, et de l’Histoire, fut sa Geste.

    Mais fut-elle comprise ? 

    Pour nous, la trajectoire de l’homme immense s’est perdue... loi du Temps qui dissout tout ? dans les méandres de la Traversée du Désert. Lorsqu’elle s’achève, si la ferveur indescriptible, de haute vibration, spirituelle, intense et de lien d’âme, quasi hypostatique, unit toujours l’homme de Colombey au Peuple Français, son œuvre est descendue dans l’heure du moment, sécularisée dans les traverses de la vie passagère.

    Et ces œuvres-là ne durent pas. La sienne aura-t-elle maturation plus longue, son ferment profond lèvera-t-il de futures moissons ? Où est la France aujourd’hui ? Dans la tourbe si vile où elle gît.

     

    Présentation officielle : L’auteur s’est fondé en grande partie sur les archives du Général, qu’il a été le premier historien à pouvoir exploiter et sur quantité d’écrits inédits tirés de sa correspondance ou exhumés des manuscrits de ses Mémoires. Il s’est appuyé également sur des fonds d’archives publics ou privés en France et à l’étranger, dont certains accessibles depuis peu. Un salutaire retour aux sources.
    Loin de tout esprit hagiographique, Jean-Luc Barré s’est attaché à saisir l’homme du 18 juin dans toute sa complexité. Il n’occulte rien de ses aspects les plus contestables. En privilégiant une approche critique et équilibrée, il bouscule bien des contrevérités ou idées toutes faites sur sa vision de l’Histoire, de la France, de l’Europe et du monde, sa conception de l’Etat, des institutions, de l’exercice du pouvoir, de l’action politique, sociale et économique, de ses choix diplomatiques. Il révèle ainsi un de Gaulle guidé très tôt et avant même son entrée dans l’histoire par une vision, des principes et des convictions qui expliquent la cohérence de sa politique et n’ont rien à voir avec le seul pragmatisme qu’on lui a prêté. Il montre ainsi comment le Général eut, dès les années 30, l’intuition de la fin du système colonial, comment il Inventa les institutions de la Cinquième république en 1941 ; en quoi il fut dès cette époque un européen conscient des limites du nationalisme ; et ce qui fit de lui, réputé de droite, un contempteur souvent féroce des valeurs bourgeoises et du monde de l’argent.
    On trouvera aussi dans ce premier volume des éléments nouveaux sur la part déterminante que son apprentissage du théâtre a joué dans l’élaboration de son personnage et son sens de la communication ; sur la véritable tragédie personnelle que représenta pour lui sa longue période de captivité durant la Grande Guerre, tournant majeur de son existence qui marque la fin prématurée de ses rêves de soldat et la naissance de l’homme d’Etat ; sur sa conversion de monarchiste en républicain de raison; sur ses relations avec Pétain, la résistance et les communistes ; son rôle dans l’assassinat de l’amiral Darlan ; son affrontement avec l’administration américaine; sa vision révolutionnaire d’un nouveau modèle de civilisation… Sa vie familiale, conjugale et sentimentale est ici traitée comme elle ne l’a jamais été auparavant, ainsi que ses relations avec les écrivains et intellectuels de son temps.

     


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    Le 14 juillet de Mirabeau   -   Loris Chavanette

    La revanche du prisonnier

    Tallandier  ;     26 oct. 2023   ;    400 p.;     23€50.

    Présentation officielle : « Comment, en dix ans, ce démon d’une famille est-il devenu le dieu d’une nation ? », interroge Victor Hugo sur cet homme-énigme que demeure Mirabeau. L’histoire a surtout retenu de lui sa tirade de juin 1789 : « Allez dire à ceux qui vous envoient… »

    Aristocrate débauché, homme politique corrompu, héros manqué ou plus grand orateur de la Constituante, on ne sait plus ce qu’il doit rester du député de Provence pour lequel on inventa le Panthéon à sa mort avant de l’en arracher sous la Terreur. Loris Chavanette rouvre une enquête palpitante sur l’héroïsme réel ou supposé du personnage à la lumière de l’été 1789.

    Dans un récit historique qui tient du roman d’aventures et sur la base d’archives inédites, l’historien montre le rôle décisif du tribun entre le 8 juillet, quand Mirabeau demande à Louis XVI le retrait des troupes royales disposées dans Paris et à Versailles, et le 16 juillet, quand il vient en personne participer à la démolition de la Bastille. Depuis ses 17 ans, son père l’avait fait enfermer à coups de lettres de cachet dans les prisons d’État du pays. Aussi le Provençal, devenu député, avait à cœur de prendre sa revanche sur les injustices du passé, dont la Bastille demeure le symbole. Il donne ainsi au 14 juillet la saveur d’une insurrection collective doublée d’une revanche personnelle contre l’Ancien Régime. Cette union entre le peuple et le député raconte l’une des plus héroïques pages de la Révolution.

    Comme l’éloge funèbre de Mirabeau le rappela le jour de ses funérailles en avril 1791 : « Alors on vit ce que peut un homme de génie aidé d’une Nation, ce que peut une Nation aidée d’un homme de génie. »

     

    L’une des biographies essentielles de Mirabeau est celle du duc de Castries, de l’Académie Française, parue en 1986 (Fayard) : Mirabeau, ou l’échec du destin. RoyautéNews

     

    Le 14 juillet de Mirabeau   -   Loris Chavanette


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    Les Écorcheurs   -   Christophe Furon

    Violence et pillage au Moyen Âge, 1435-1445 ;

    Arkhê  ;    272 p.;   21€.

    Alors, des troubles profonds expliquaient ces exactions. Ce qui se passe aujourd'hui est inacceptable, quand le territoire est quadrillé par les mercenaires du pouvoir qui fliquent la population tout en soutenant l'invasion de la violence souhaitée par les pouvoirs discrets et par les pouvoirs officiels, tout comme l'invasion frontalière, cette dernière rendue possible par la complicité du Judiciaire.

    Remettre les choses en bonne place nécessitera autre chose que les discours stériles, et probablement ralliés, même de manière semi-consciente du moins chez une partie d'entre eux, des fameux " partisans de l'ordre ". RoyautéNews

     

    Présentation officielle : Monthermé, 17 mai 1445. La petite ville des Ardennes s’est paisiblement endormie, blottie dans un méandre de la Meuse. Soudain, en pleine nuit, des guerriers déferlent au cœur de la cité. Ils hurlent : « Tue ! Tue ! Tuons tout ! », forcent les portes des habitations, défoncent les fenêtres, violentent les habitants et s’emparent férocement du moindre objet de valeur. Enfin, ils rançonnent les familles et les torturent pour accélérer le paiement. Gilesson Raigniel, « ung jeune enfant aagé de dix ans ou environ », est pendu dans le conduit de la cheminée jusqu’à ce que ses parents donnent douze francs. Girard Teteig, cent ans, est attaché à la queue d’un cheval et traîné dans les rues de la ville, tandis que ses tortionnaires crient « Avant ! Avant, viellart ! » avant de l’égorger. Monthermé est saignée à blanc, sa population brisée et ruinée.
    Ce déferlement de violence n’est qu’un épisode de la dernière chevauchée qui a ravagé le royaume, la dernière d’une longue séquence de près de dix ans que les contemporains appellent avec effroi « Écorcherie ».
    Au cœur d’un royaume de France déchiré par la lutte contre les Anglais et les Bourguignons, ces écorcheurs se livrent à un pillage en règle de populations déjà durement fragilisées par la guerre. Ils deviennent dès lors un enjeu de taille pour le pouvoir royal.


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  • La Rédaction

     

    Certains se désolent du "retour" de la violence (autocar attaqué par jet de pierres, entraîneur blessé) à l'occasion d’un match de Football. Les violences du début d’octobre, celles-là étaient moins médiaticogéniques.

    On s’offusque. On se déclarerait presque trahi. Le sport sanctuaire, c’est ça ?.. Mais dans quel monde vivent-ils ? La pensée à trous coïncide-t-elle avec ce sport parallèle, revenu par le pays aux fromages à trous mais sport non encore reconnu (aucune raison qu’il ne le soit pas un jour). Un entraîneur au visage maculé de sang est une très bonne photo, de première page comme sur un journal (son nom demain). Les auteurs de ces violences se diront qu’ils ne se sont pas donné du mal pour rien et se sentiront renforcés dans leur vocation.

    Le point à retenir est l'inaptitude hallucinesque à être lucide. Ce qui introduit d'avance notre prochain billet. 

    Accessoirement, la violence n'a jamais pris de congé, sa forme hooliganesque s'était en apparence éloignée d'une actualité qui ne manque pas d'un substantiel choix de violence à son menu, et revient en force depuis cette année par les Pays-Bas et profite vraisemblablement de ses attiseurs mandatés comme chez les Black Blocs des manifestations.

    On ne voit d'ailleurs pas pourquoi il faudrait qu'il n'y ait pas de violence. Nous sommes étonnés qu'il n'y en ait pas déjà beaucoup, beaucoup plus. Jauge comprise du nombre d’actes, recensés, tus par les médias régulateurs de l’ordre. La violence est naturelle en son milieu naturel le Chaos.

     

     

    La créature Élyséenne décidément toujours est à sa place. Et des trombes d'eau bénite n'y suffiront pas.

    La ridicule « cité internationale de la langue française ». Tant dans la ligne chiraco-gadget. Nous ne dirons jamais assez, qu'à avoir accepté l'ère effrenée de la Pantomine, dans les 90, les Français ont perdu cet héritage encore possible alors, de voir s'écouler de nouveau des jours heureux, définitivement révolus avant le prochain Grand Retournement.

    Sauf que le pantin Halloweenesque n'a aucun droit de parler de "nation", le mot qui fait fureur dans les deux camps, ni aucun autre à parler de "la France" ni en son nom.

     

    Le projet de loi pour inscrire l'IVG dans la Constitution.

    C'est excellent. Pour des esprits immunes, comme ici, à la rédac', ni d'effet primaire ni secondaire. Seulement, comme plus haut, le cours des choses suivant sa logique.

    Pour les autres en phase de dégoût final : cela ne saurait mieux illustrer ce qu'est devenue la Constitution de la République française : la poubelle de l'horreur et l'égout de tous les dégoûts.

    Jusqu’à ce qu’on veuille depuis les récentes années, y inclure des choses niant la dignité humaine, la Constitution républicaine était assez bonne de ce point de vue. Bon nombre de lois, en France, ne respectent pas la Constitution, ce qui apporte au moulin de la République tout ce qui va l’emporter inéluctablement.

     

    Une fois de plus le moment est venu de mettre à bas la Constitution, et bien sûr, du même élan la République et ce n'est pas en raison d’un supposé monarchisme, de type classique, que les lecteurs inhabituels nouvellement surfant sur nos vagues attribueraient par automatisme à notre Site en raison de son nom et de son emblème.

    C'est là le coin déjà ouvert de longtemps, séparant les opposants de nul effet, arnaqueurs du politique et de leur Théâtre vide, et notre pensée.

    Les voilà, eux et les suiveurs, prêts à avaler les coings verts et la confiture perfide des pièges de cette république. Selon une expression paternelle, vérolée aux coins. Et pas seulement les coins. Coincoin !

    En échelle de gravité, la violence apparente, fruit d’une société recuite, pressurée et désespérée, est sans commune mesure avec ce qu’il faut un peu dénoncer et beaucoup détruire : hooligans républicains et hooligangs politico-mafieux, ainsi que le non-discours patamollesque des Hypocrisies Droito-Réunies ! Pour ne pas créer de jaloux, idem, diktats Gauchos de montés en graine Facho !

    Pour ne pas revenir sans cesse à des modifications de la Constitution, nous proposerons généreusement au moins un choix à deux possibles (contrairement à la norme républicaine du choix unique et obligatoire).

    Abolir par acte spontané et cri du cœur de la population ce Truc Infâme qu’est l’État-Système, et expulser pour toute l'Histoire, dans un mouvement qui secoue vraiment, notre préférence, mais sans casser le matériel ni causer de dommages collatéraux), expulser tout d'un sac (et de corde), et République et le Macron, Manu Militari.

     

    Joyeux post-Halloween républicain !


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  • La Rédaction

     

     

    Pour ceux qui possèdent des comptes de messagerie Google, et si ces comptes sont inactifs depuis assez longtemps, ils pourraient être supprimés au 1er décembre 2023.

    La période d’inactivité est de deux ans.

     


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    La Marquise de Verneuil   -   Flavie Leroux

    Fayard  ;   4 oct. 2023  ;   320 p.;   23€.

     

    RoyautéNews : De nombreuses biographies ont été publiées, plus ou moins bonnes sur la Marquise de Verneuil. Les présentations de l’éditeur, comme ci-dessous, veulent-elles dire que, toute la trajectoire, la vie personnelle de l’héroïne de cette biographie, sont pour la première fois mises en lumière ? 

    Présentation officielle : Henriette de Balsac d’Entragues, marquise de Verneuil (1579-1633), fut l’une des femmes les plus célèbres de son temps. La postérité a pourtant effacé de l’histoire celle qui succéda à la belle Gabrielle d’Estrées aux côtés d’Henri IV.

    Maîtresse royale, criminelle de lèse-majesté, femme d’affaires : le parcours de cette figure d’exception, qui d’inconnue parvint en quelques mois à polariser l’attention de tous à la cour de France et au-delà, bouscule les conventions. La faveur du roi lui permit d’obtenir fortune, influence et pouvoir, mais provoqua aussi discrédit, déception, voire trahison. Car vint bientôt le temps des complots, durant lequel elle fut accusée, confrontée à la justice royale autant qu’à la vindicte de ses contemporains. Ce n’est qu’après la mort du monarque qu’elle se révéla sous un nouveau jour, à la manière d’une veuve, durant vingt-trois années passées entre ses enfants, ses domaines et ses œuvres charitables. Flavie Leroux restitue pour la première fois la trajectoire de cette figure centrale du règne d’Henri IV, longtemps méprisée, souvent ignorée, encore détestée, pourtant remarquable.

    La Marquise de Verneuil   -   Flavie Leroux


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  • La Rédaction

     

    Tout, tout, absolument tout.

    Comme une fatalité !

    Si on ne peut pas totalement arrêter, pour l’instant, ce flot torrentiel de folie déversé dans l’actualité et dans nos foyers, ce qu’il faut interdire, c’est d’avoir à en subir le poids.

    Pour n’évoquer " que " le plan pour détruire pan par pan toute prospérité, par l’étranglement des taxes et d’une sur-réglementation carrément dingue. En ce moment, c’est la chasse au moindre euro gagné par ceux qui louent quelques jours aux voyageurs, vacanciers, leur appartement ou une chambre. Par alignement sur des normes européennes comme par hasard et si pratique.

    Ou la suppression, suggérée par la Cour des Comptes, des demi-part et quart-de-part au foyer fiscal des citoyens diplômés, réputés émules du Fisc et de la République sinon du Pape si ça peut servir.

    Voici, parmi tant d’autres, l’activité honorable de tous ces " services " financés pour ce qu’on vous ait fait les poches, transformant la planète en goulag.

     

    Face à cela, ceux qui ne sont pas d’accord ne font pas entendre leur voix, ni encore moins, quand ils le devraient, faire parler la poudre. Et cela est vrai des innombrables secteurs où la faillite est scientifiquement planifiée par l’État.

    Nous ne sommes pas, au contraire des formules politiciennes, à bavarder, attirer le chalant comme autant de caravanes dans une fête foraine. Mais pour former des opérants résolus, et bien plus qu’une cinquième colonne.

     

    Nos conseils :

    Investir dans la cigarette de contrebande.

    Outre le sport amusant  qui consiste à inventer des moyens de doubler les Rantanplan qui suivent, en bons chiens, les trafics de paquets de contrebande.

    Secteur en pleine évolution. Appelé à se développer, mieux et plus que le chiendent fiscal. Surtout depuis que le Premier ministre Anglais a déclaré qu’il voulait éradiquer le tabac, toute forme de tabac, au Royaume-Uni ! Chez les Anglais, le jardinage est une affaire sérieuse.

     

    À propos, transformez vos abris de jardin en ce que vous voulez, pour supprimer au fisc la taxe qu’il vole, comme toutes les autres.

    Ou faites-la disparaître en la camouflant... par exemple en toilettes. La petite cabane au fond du jardin !

    Une idée : transformez-la en carré potager. Jardinage, pré carré, tout passe par le jardin !

     

    Enfin, demander une autorisation de port d’arme. D’après des services préfectoraux, les demandes explosent. Normal.

     

    Là, vous serez un bad boy. Enfin utile au pays, à son Peuple historique, car la France n’est pas " une vision "... 

    Ce n’est qu’un début, dans la liste des conseils. Mais leur application est pour chacune, validante dans le combat radical qui va s’engager, et qui l’est déjà.

    Car de ce qui se fomente à l’insu du citoyen télévissé malinformé et noyé par la Division Diversion Multiple, l’affaire n’est pas terminée et il est fort vraisemblable que l’espèce n’est pas éteinte et que nous referons parler les Chassepots.

     

    Ce sera tout pour aujourd’hui.


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  • VPN

    La Rédaction

     

    Un VPN est la base.

    Pour se protéger, et pas seulement lorsqu’on navigue sur le Net, mais dans toute sa vie ! Le détournement des données personnelles atteint beaucoup de choses en dehors de votre écran.

    Les systèmes VPN, qui se téléchargent, servent selon nous contre les vrais voyous : les États. Avec tout ce que ça ne suppose plus mais qui s’applique, comme le traçage-flicage, le fisco-flicage, et la police de la pensée. Services transformant la planète en goulag.

    Pour ceux pour qui la liberté n’a pas de prix, que l’exercice de l’opinion se protège coûte que coûte, l’adoption d’un VPN est indispensable et il permet de contourner une partie de la censure, masque votre adresse IP et crypte votre navigation.

    Si vous êtes de ceux « qui n’ont rien à cacher », vous éviterez ainsi le rhume de cerveau, ce qui n’est pas négligeable, mais si vous déambulez en tenue d’Ève, sachez, zélés citoyens, que cela est interdit on se demande d’ailleurs pourquoi et les drones fliqueurs surveillent aussi les trottoirs. 

     

    Nous conseillons plus volontiers Nord VPN, parmi les deux autres qui se trouvent classés en tête par des sites spécialisés : ExpressVPN et CyberGhost VPN.

    Utiliser un VPN payant permet a priori de protéger ses données, alors que les VPN gratuits revendent les données de leurs utilisateurs. Cet abonnement est assez réduit. En ce moment, chez Nord VPN une offre le baisse de 69 %.

    Pour éviter qu’on sache, la banque par exemple, que vous prenez un VPN, selon notre méthode déjà exposée : faites régler votre abonnement par un parent ou un ami, et réciproquement. Le mieux étant de fonctionner en triangle, avec trois personnes pour commencer. A règle l’abonnement de B, qui règle celui de C, qui règle celui de A. Ainsi de suite.

     

    Vers 21 h la chronique !


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    Les Téméraires   -   Bart Van Loo

    Quand la Bourgogne défiait l'Europe

    Traduit du Néerlandais : Daniel Cunin, Isabelle Rosseline

    Flammarion  ;   7 oct. 2020  ;  688 p.;   29€. déjà présenté en 2021

     

    Présentation officielle : L'histoire des ducs de Bourgogne est une véritable aventure militaire, politique et artistique, qui relève autant du conte de fées que d’un Game of Thrones. La raconter est un joli défi dont Bart Van Loo s’est emparé et qui nous entraîne sur les routes médiévales, de la Scandinavie des Burgondes à Dijon, en passant par Bruxelles, Gand, Bruges et Lille. D’une plume enjouée et érudite, Bart Van Loo fait revivre avec passion ces grands ducs téméraires et ambitieux, dont la puissance et la splendeur firent l’admiration et l’envie de toute l’Europe et surtout de Paris. À leur apogée, les ducs voyageaient de Mâcon à Amsterdam sans passer une seule frontière. Ils unifièrent d’immenses territoires, dont la partie septentrionale devint le berceau de la Belgique et des Pays-Bas. De cette époque glorieuse, il reste désormais les témoignages d’artistes de génie tels Claus Sluter, Rogier Van der Weyden ou encore Jan Van Eyck, dont les œuvres ont laissé à jamais l’empreinte de cette prestigieuse famille sur le patrimoine français.

    Les Téméraires   -   Bart Van Loo


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