• La Rédaction

     

    Le Duc et la Duchesse d’Édimbourg sont depuis quelque temps en première ligne, du fait de l’éloignement du roi, en cours de traitement, et de celui, plus ancien, de la Princesse de Galles.

    Le roi remplit quelques-uns des rendez-vous de son agenda mais il est remplacé dans des sorties de représention moins politiques, par la reine Camila et par la Princesse Royale, ainsi que par le Prince Edward et la Duchesse d’Édimbourg.

     

    Le Duc et la Duchesse d’Édimbourg

     

    Le 10 mars le Duc d’Édimbourg a reçu l’Ordre du Chardon, l’un des plus prestigieux Ordres de la Couronne.

     

    Depuis février, la Duchesse d’Édimbourg est installée dans notre Galerie où elle demeurera une abonnée en raison de son charisme. Anne y entre aussi, tant elle est présente sur le front et, pour elle, cette présence dans les engagements à un rythme soutenu est ancienne.


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  • La Rédaction

     

    Les Ducs de Hohenberg

    Des individus profèrent parfois des énormités, dangereuses car Internet les expose et parce que la contre-partie véritable ne se fait pas voir aisément.

    Certains, dont il semble qu’on ne puisse en rencontrer le specimen qu’en France, et que l’on trouve mystérieusement aux abords des sujets relatifs aux monarchies, élucubrent des théories prenant source dans une prétention délirante et dans une ignorance savamment combinées.

    S’ils ne sont pas toujours du nombre des figurants du courant Orléanien, leur délire ressemble au leur, en est, même involontairement, imprégné du fait que ces thèmes ont été abandonnés par d’autres tandis que les derniers érudits ont disparu.

    L’un d’eux ( à moins qu’ils n’écrivent en groupe) prétend que... les Ducs de Hohenberg " pourraient revendiquer le titre de Duc de Lorraine "... au motif, selon lui, qu’ils seraient les aînés de la maison de Habsbourg-Lorraine.

    Sans nous arrêter à d’autres erreurs, il affirme tout aussi invraisemblablement que " plus personne ne peut porter ces titres "...

     

    Mais voilà. Les Ducs de Hohenberg, en plus de ne pas pouvoir succéder au trône d’Autriche-Hongrie, après le renoncement de François-Ferdinand, ne font plus partie de la maison de Habsbourg. Ils n’en sont donc pas les aînés. Et pour être précis ils n’en ont jamais fait partie.

     

    La famille des Ducs de Hohenberg a été créée pour la descendance de l’Archiduc François-Ferdinand d’Autriche et de son épouse, née Comtesse Chotek von Chotkowa und Wognin, tués en 1914 à Sarajewo, attentat qui servit d’étincelle au déclenchement de la 1ère Guerre Mondiale.

    Leur nom de Hohenberg provient du titre attribué à la Comtesse Sophie après son mariage, assorti peu après de celui d’Altesse Sérénissime et destinés à leur descendance.

    Cela est commun dans les familles royales germaniques, pour les descendants qui ne sont pas successeurs au trône.

     

    Quant au titre de Duc de Lorraine, il appartient naturellement aux autres héritiers actuels de cette maison, qui ne sont pas les Habsbourgs. Habsbourgs qui peuvent aussi le porter, quoi qu’en dise le distributeur éclairé (et auto-institué) ci-dessus.


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    Les InfréKentables   -   Eustace Mullins

    Kontre Kulture  ;    406 p.;   21€.

     

    Présentation officielle :  « Le présent ouvrage, fruit d’une quarantaine d’années de recherches et d’investigation, est une suite logique de mes ouvrages précédents : l’exposition du contrôle international de l’émission monétaire et des pratiques bancaires aux États-Unis ; un travail ultérieur révélant le réseau secret d’organisations à travers lesquelles ces forces étrangères exercent un pouvoir politique ; les comités secrets, les fondations et les partis politiques à travers lesquels leurs plans cachés sont mis en œuvre ; et maintenant, à la question la plus vitale de toutes, la manière dont ces déprédations affectent la vie quotidienne et la santé des citoyens américains.»

    Ainsi débute Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé, où l’auteur décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

     

    Eustace Mullins (1923-2010) est un essayiste américain et activiste politique. Il travailla comme chercheur à la bibliothèque du Congrès, puis comme rédacteur dans plusieurs revues et journaux tout en se consacrant à l’étude de thèmes majeurs, comme la banque, l’ordre mondial ou l’histoire de la bombe atomique. Ami du poète Ezra Pound, c’est sous son impulsion qu’il s’attaqua à son premier ouvrage dénonçant la puissance d’intérêts privés dans la sphère publique, Les Secrets de la Réserve fédérale.

     


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  • La Rédaction

     

    On sait depuis un bon moment, grâce aux bons observateurs, que l'une des faces de l'hyperdictature mondiale aux fils déjà noués, et l'une de ses étapes pratiques, passent par l'OMS.

    La répétition préalable qui consistait en l'OpérationCovid ayant dépassé les plus inespérés résultats, il n'y avait pas de raison que ces gens-là ne poursuivent pas à grande allure la mise en place des étapes suivantes. Devant la splendeur universelle de la Bêtise humaine, ils auraient tort de s'en priver.


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    Charles-Joseph Bonaparte  ;  Fondateur du FBI  -   Daniel de Montplaisir

    Perrin  ;     2 nov. 2023  ;    384 p.;    24€.

     

    Présentation officielle :   Un Bonaparte fondateur du FBI !

    Au début du XXe siècle, sous la présidence de Theodore Roosevelt, les États-Unis rêvent de devenir une social-démocratie. Parmi les artisans les plus en vue de cet ambitieux projet, figure le propre petit-neveu de Napoléon Ier : Charles-Joseph Bonaparte, né en 1851, petit-fils de son frère Jérôme, lequel avait épousé une Américaine de Baltimore. Devenu avocat dans cette ville après des études de droit à Harvard, animé de la passion de l’intérêt général et du service public, Charles-Joseph entend contribuer à rendre la société américaine plus juste et la nation américaine plus forte, deux objectifs qui, à ses yeux, vont de pair. Son destin le rattrape. Devenu Ministre de la Marine, il veut doter son pays d’une des premières flottes de guerre du monde. Puis Ministre de la Justice, il combat les abus des trusts et fonde ce qui deviendra le fameux FBI. Rendu à la vie civile, mais toujours agitateur d’idées, il plaide, dès 1914, en faveur de l’entrée en guerre des États-Unis et déplore en 1919, deux ans avant sa mort, la faillite prévisible d’une paix fourvoyée. Catholique fervent et patriote américain sans état d’âme, il demeure fidèle à son nom mais ne prête que peu de considération à ses ancêtres, portant même quelque mépris au culte napoléonien. Il reste néanmoins à ce jour le dernier des Bonaparte à avoir exercé de hautes responsabilités gouvernementales.

    Charles-Joseph Bonaparte   -   Daniel de Montplaisir


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  • La Rédaction

     

    Paul, 82 ans, expulsé de chez lui par "  la Justice "

    On apprend par BFMTV qu’un homme de 82 ans doit quitter la maison qu’il occupe depuis quarante ans par décision de " justice "... L’article de BFM rapporte aussi un article de La Dépêche de février relatant que l’électricité lui avait été coupée... 

    Après la mort de sa compagne, à laquelle il n’était pas marié, les deux filles de cette dernière ont décidé de vendre la maison, sans égard pour Paul.

    Un de ses voisins a ouvert une cagnotte pour racheter cette maison pour 150 000 euros, qui alors, ira après Paul à la Fondation Abbé Pierre.

     

    Ce matin, 3. 393 euros avaient été récoltés, et à 22 h 11, ce sont 13 393 euros, ce qui montre que cette cagnotte peut réussir.

     

    Pour participer, c’est ici!

     

    20 mars : 24 heures après, le 5ème de l’objectif est atteint ! À 21 h 58, plus de 30 000 euros ont été donnés.


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    Robert le Pieux  ; L'enracinement dynastique  -   Yves Sassier

    Fayard  ;    7 févr. 2024   ;   25€.

     

    Yves Sassier est l'auteur d'un classique : Hugues Capet : Naissance d'une dynastie, en 1986, pour nous un ouvrage fondamental par sa clarté et aussi parce qu'il évite certains écueils trop fréquents d'historiens, notamment universitaires, dans leurs ouvrages consacrés aux monarques en général ou à diverses dynasties. RoyautéNews

     

    Descriptif officiel : À bien des égards, le règne du successeur de Hugues Capet a fait l’objet de récits où s’entremêlent histoire et légende. Robert le Pieux (972-1031) fut considéré par son contemporain et « hagiographe » Helgaud comme le premier roi thaumaturge, détenteur d’un pouvoir miraculeux permettant de guérir ses sujets. Certains auteurs des xixe et xxe siècles l’ont quant à eux décrit comme un homme dirigé par ses passions amoureuses, qui l’auraient conduit à des comportements aux retombées préjudiciables à sa renommée. Le roi de l’an mil fut en tout cas un dirigeant aux choix politiques parfois audacieux dans le contexte difficile d’une France « sans État », depuis plus d’un siècle disloquée entre zones de puissance ou d’influence concurrentes. En plongeant au cœur des sources, narratives autant que diplomatiques, Yves Sassier s’efforce de restituer au plus près toute la complexité d’un règne qui permit de consolider la toute jeune dynastie capétienne, promise à un grand avenir.

    Robert le Pieux   -   Yves Sassier

     


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    Léopold Sédar Senghor - Jean-Pierre Langellier

    tempus  ;   ( oct. 2021 )  poche, 18 janv. 2024  ;    624 p. ;     11€.

     

    Cet ouvrage paru en 2021 et réédité en  format de poche a reçu le Prix Goncourt de la biographie Edmonde Charles-Roux 2022.

     

    Présentation officielle : La biographie de référence de Léopold Sédar Senghor, récompensée par le prix Goncourt de la biographie en 2022. Tout à la fois chef d’État emblématique et poète de génie, Senghor connaît de nombreux bouleversements en près d’un siècle d’existence (1906-2001) : il grandit au Sénégal – alors colonie française – au début du XXe siècle ; il prend une part active à la Seconde Guerre mondiale en intégrant les tirailleurs sénégalais ; il œuvre à l’indépendance de son pays dont il devient le premier président en 1960 ; en 1983, il est le premier Africain élu à l’Académie française, véritable consécration de son immense carrière littéraire. Au cours de sa longue vie, Léopold Sédar Senghor a une seule volonté : valoriser les cultures et les peuples d’Afrique noire. Il y parvient d’abord à travers la littérature, notamment en créant le concept de « négritude » avec Aimé Césaire. Sa vie de chef d’État fait le reste : symbole de la coopération entre la France et ses anciennes colonies, Senghor permet au Sénégal de s’affirmer comme carrefour culturel et Dakar comme vitrine artistique. Lorsqu’il démissionne en 1980, il laisse à ses successeurs un héritage aussi rare que précieux sur le continent africain : la démocratie, le pluralisme, l’alternance du pouvoir et la préservation de l’unité nationale.

    Léopold Sédar Senghor  -  Jean-Pierre Langellier


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    Salazar  ;  Le dictateur énigmatique  -   Yves Léonard

    Perrin  ;     paraîtra le 18 avril 2024  ;    528 p.;   26€.

     

    Présentation officielle :  Le mystère Salazar.

    Né en 1889, António de Oliveira Salazar a dirigé le Portugal d’une main de fer pendant quarante ans. Professeur d’université à Coimbra, spécialiste de finances publiques, chantre de l’austérité, il accède au pouvoir en 1928 en tant que ministre des Finances, avant d’être adoubé par les militaires comme président du Conseil en 1932. Il met alors en place la dictature de l’Estado Novo, avec l’aide de la police politique et de la censure, soutenu par l’Église, la hiérarchie militaire et le patronat. Ce n’est qu’en septembre 1968 qu’il doit se retirer, victime d’un AVC, avant de mourir deux ans plus tard. Son régime lui survit jusqu’à la révolution des œillets, il y a cinquante ans, en avril 1974. Dictateur méconnu, singulier – ni chef militaire, ni leader charismatique, mais universitaire mal à l’aise en public –, Salazar s’est montré maître dans l’art de durer, à la fois implacable et ductile, notamment sur la scène internationale pendant la Seconde Guerre mondiale et la guerre froide. « Marié à la nation », « moine-dictateur » et misanthrope, il est longtemps resté un mystère que cette biographie parvient à percer, s’intéressant de près à ses origines modestes, ses vies parallèles, ses cercles relationnels et à sa vie privée. Si le salazarisme est mort avec Salazar, ses séquelles sont encore bien présentes, teintées parfois de nostalgie. Le livre référent qui manquait, fondé sur l’exploitation d’archives portugaises inédites.


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    Diên Biên Phu    -    Pierre Pélissier

    tempus  ;     paraîtra le 28 mars 2024   ;     864 p.;    12 € 50.

     

    On pourra lire ou relire ici la Biographie essentielle du Général de Castries de RoyautéNews Clic!

     

    Présentation officielle :

    « Remarquable biographie de la bataille. » Le Temps.

    Empêtrés dans le conflit indochinois depuis 1947, l'état-major français décide au printemps 1954 que la plaine de Diên Biên Phu sera le lieu de l'ultime bataille dans le conflit qui l'oppose au Viet-Minh de Hô Chi Minh. Du 13 mars au 7 mai 1954, les troupes françaises, sous les ordres du général de Castries et du colonel Bigeard, vont livrer bataille. Les combats sont d'une très grande violence : 5 000 Français sont tués et 6 000 autres faits prisonniers (une part infime des prisonniers reviendra en vie). Grâce aux témoignages d'anciens combattants et à un travail minutieux en archives, Pierre Pellissier raconte cette lutte tragique qui a amené le Vietnam à son indépendance et la France à son plus grand désastre militaire en Orient.

    Diên Biên Phu   -   Pierre Pélissier


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