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    Afrique Adieu   -   Jean-Pierre Augé

    Mémoires d'un officier du secteur Afrique noire de la DGSE

    Mareuil Éditions  ;  paraîtra le 4 avril 2024 ;   334 p.;   21 € 90.

     

    Présentation officielle : Pendant près de 20 ans, Jean-Pierre Augé a été l’une des chevilles ouvrières des services spéciaux français en Afrique.

    Dans Afrique adieu, il raconte l’action secrète de la France dans ses anciennes colonies africaines où recrutements et manipulations de sources humaines clandestines sont le lot commun du métier pour recueillir le renseignement à haute valeur ajoutée.

    Tour à tour officier de liaison auprès des autorités nigériennes durant la rébellion touarègue, conseiller spécial du président tchadien Idriss Déby, chargé de mission à la présidence ivoirienne sous les mandats d’Henri Konan Bédié, du général putschiste Robert Gueï sans oublier Laurent Gbagbo, le colonel Augé a été durant toutes ces années untémoin de premier plan de l’évolution hors-norme qu’a connu le continent africain.

    Dans ce livre de mémoires, il fait découvrir au lecteur pour la première fois « SR/N », le secteur Afrique noire de la DGSE, un département opérationnel mythique des services secrets français, en rendanthommage à ses prédécesseurs à la tête de ce secteur et aux hommes de l’ombre de la DGSE engagés sur le terrain africain.

    À l’heure où les anciennes colonies africaines tournent le dos à la France, ce récit permet de mieux saisir le dessous des cartes et notamment la perte d’influence de notre pays depuis le trépas de la France-Afrique. Un témoignage rare et authentique.

    Afrique Adieu   -   Jean-Pierre Augé


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  • La Rédaction

     

    La marche à la guerre

    Ce n’est pas un des chapitres sur la 1ère Guerre Mondiale pour l’entrée à Sces Po, ça se passe aujourd’hui et nous devrions écrire : La course à la guerre.

    Nous devrions, tous, le savoir, le suspense n’est jamais vraiment invité à ces sortes de jeux, où les gagnants sont toujours les mêmes, les perdants, aussi. Devinez lesquels.

    Ces derniers temps la Rédac’ accumulait les articles clés, demeurés impubliés... Fatigue, devant tant de Bêtise dans les principaux sujets d’actualité, débitée par mégatonnes ? Certainement, mais divers impondérables nous ont montré que les sujets les plus graves, et il y en a eu tant ces dernières semaines, derniers mois, n’accrochent plus rien. C’est-à-dire, plus personne. Une morosité lourde, statique, même chez les premiers en ligne, multipliant la pesanteur chez ceux qui défendent, ceux qui luttent. Comme si les recours étaient verrouillés, par exemple le passage en force à l’Assemblée récemment, à peine grâce à une argutie, et maintenant à nouveau, la question du CETA... et à côté de tout cela, la machine sourde, inéluctablement en mouvement. Dans ce mécanisme implacable à côté duquel une guerre, organisée méticuleusement par des esprits pervers déguisés en philanthropes, et relayée par des fous : de l’ado poseur boxeur, au Général va-t-en-guerre je ne sais plus ton nom ça vaudra mieux pour toi, ne sera au fond qu’une anecdote. Puisque plus rien n’est réel.

    Nous reviendrons sur les poses du boxeur, bien qu’il soit très difficile de parler de qui n’est plus tout frais et que d’autres ont déjà dit.

    Il y a eu quelques jours de flottement, d’affirmations et de démentis, par ceux qui commentent, au sujet de l’envoi ou non d’un contingent de militaires Français en Ukraine. 

    Il semble que la machine à recruter ne soit pas un fake, et c’est ici que ça se passe : Clac ! 

    L’info arrive de tout-à-l’heure par un internaute, Alexandre Juving-Brunet (citer n’est pas approuver ses démarches diverses) disant :

    " Visiblement ce ne serait pas un faux site. Donc on est bons pour une bonne guerre. L'engrenage est désormais inexorable. "

    Vrai ou faux, laissons le bonne, et continuons de nous ranger à notre conviction que les Russes, et leur Président, ont assez de sang froid et de maîtrise pour ne pas être tentés même d’entrer à plus ou moins longue échéance, dans cet engrenage.

    Engrenage fabriqué, qui n’aura pas le prétexte d’un Dantzig. Laissons aux futures cours martiales, dont on peut dire qu’elles sont, comme les tribunaux civils... déjà débordées en prévision et ce n’est pas un fake, et concentrons-nous sur nos devoirs de fourmis.

    Sans assommer son voisin de caisse pour un pot de Nutella, tranquillement effectuons de solides achats de subsistance, alimentaire et matérielle.

    N’oubliez pas une radio. De quoi vivre dehors. Et tout ce qu’il faut pour verrouiller dedans.

    Prévoyez de quoi lire en format petit facile à transporter, et par exemple des mots croisés et jeux fléchés, Sudoku, etc.

    Faites des stages tout seul ou à deux, trois, ou quatre, sans télé ni téléphone(-mouchard), vous verrez, c’est palpitant.

    Si on attend que ces gens-là donnent le signal pour respirer... il y aura beaucoup de cadavres.

     

    Certains disent qu’une guerre permettrait la libération de certains capitaux coinçés pour l’instant. Pourquoi pas, mais il y a tant d’autres raisons plus profondes pour une guerre... Qu’elle soit très proche, ou à moyenne échéance, qu’elle soit fixée à une période précise, ou qu’elle survienne par malchance ou par accident... peu importe au fond ? L’important est d’être le plus préparé possible, non surpris, et ce qui doit venir, finira par arriver.

    L’important est de ne pas être tracé, et bien décidé à mener sa vie loin des pouvoirs gouvernants et de leurs innombrables relais de miliciens.

    On leur doit bien ça. Au moins, quand on lit RoyautéNews, on sait que l’ennemi c’est... tout le reste, ou à peu près, donc, tout le reste.

    De beaux rêves. Une fois les puces insérées dans le crâne, les rêves ne seront plus certains d’exister. Sauf peut-être pour les citoyens dociles respectueux de l’ordre établi.

     

    Oh, nous allions oublier... Jacques Hogard vient de déclarer lors d’une émission que M. Kouchner aurait couvert un trafic d’organes durant la Guerre du Kossovo.

    Le trafic d’organes a pour plaque tournante l’Ukraine aujourd’hui...


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  • La Rédaction

     

    Voici le texte d’une affiche rapportant des passages d’un discours de Thiers à la Chambre.

    Nous proposerons de revenir dans quelque temps, examiner ces propos et, plus généralement l’attitude de Thiers et de son camp.

    On se contentera d’apprécier le fait que, (3ème paragraphe), ce n’est pas l’invasion étrangère qui aura mis à bas le gouvernement de juillet mais la révolte populaire devant la faillite de ses orientations libérales et ploutocratiques. Elles sont les ancêtres directs de la faillite actuelle, plus particulièrement engagée dès les années Pompidou malgré les apparences de prospérité économique d’alors, et dont on recueille aujourd’hui les presque ultimes soubresauts.

     

     

    LES

    Bourbons

    Jugés par M. Thiers

    _________

     

    Oui, cette dynastie est étrangère pour la France, non pas depuis vingt, trente ans, mais depuis plus d’un siècle. Depuis plus d’un siècle, elle a cessé d’être associée à nos mœurs, à nos désirs, à nos vœux : elle s’en est au contraire éloignée, elle s’est enfermée dans un palais au milieu des désordres pour y maudire le génie de la France et ses progrès ; retrouvant quelques vertus sous Louis XVI, c’est cependant encore sur l’étranger qu’elle s’est reposée. La France a commis une grande faute, elle lui a rendu des titres en lui infligeant des malheurs épouvantables. Ces titres sacrés du malheur c’est encore par l’étranger qu’elle les a fait valoir. Quinze ans lui ont été donnés pour se rapatrier dans nos mœurs, dans notre esprit, pour se rapatrier en quelque sorte avec nous : elle est restée étrangère à nos avances, elle a fini par un parjure. Qu’elle reste donc dans le sein de l’étranger qui est plus sa patrie que la France. Ce n’est pas nous qui l’a lui avons faite, mais c’est la destinée des Stuarts, qui a été, qui sera toujours la sienne.

                       (Bravos unanimes, sensation prolongée).

     

    Qu’il me soit permis d’ajouter quelques mots sur les moyens mêmes dont cette cause réprouvée se sert pour rentrer sur le sol de la France ;  les moyens sont dignes de la cause. Il y en a trois qu’elle emploie sans cesse audacieusement, et dont la preuve est partout : l’invasion étrangère, la guerre civile et l’anarchie.

                                            ( marques d’assentiment).

     

    . . . . .       elle reconnaît que l’invasion étrangère peut seule renverser le gouvernement de juillet. Voilà sa pensée : elle est allée assiéger toutes les cours de ses intrigues ;  heureusement elle n’y a trouvé que le dédin1 qui était dû à des princes qui avaient joué le sort du monde et l’ordre social en Europe.

    . . . . .  Jamais un gouvernement qui a ces trois moyens à son usage ne sera celui de la France.

     

                   ( Moniteur universel). - Compte rendu 

                                   de la séance du 5 janvier 1833.

     

    1. Tel quel sur l’affiche.

    Les diatribes de Thiers contre la famille royale


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    La guerre en Ukraine   -   Jacques Hogard

    Regard critique sur les causes d'une tragédie

    Hugo Doc  ;   28 févr. 2024  ;    300 p.;   19€95.

     

    Présentation officielle : « Les États n’ont pas d’amis mais que des intérêts».

    Ce récit argumenté et historiquement documenté, offre un éclairage nouveau et vient à contre-courant des opinions généralement admises et répandues en France, en Europe et dans les pays Occidentaux. Son objet est d’évaluer les causes et les responsabilités à l’origine d’un conflit qui achèvera, le 24 février 2024, sa deuxième année.

    L’auteur met en particulier l’accent sur ce qui relève de la responsabilité des États-Unis d’Amérique - notamment en matière de désinformation – pointant du doigt, à l’instar d’un certain nombre de conflits modernes, la politique étrangère des États-Unis et la poussée vers l’Est de l’OTAN, comme leur volonté d’empêcher l’émergence d’une Europe des nations souveraines et indépendantes, quitte à propulser la Russie dans les bras de la Chine, une alliance contre-nature dangereuse pour l’Europe et la paix du monde.

    La guerre en Ukraine, ne serait que l’expression de l’affrontement de grandes puissances dont la malheureuse Ukraine fait les frais. Partant de ce constat d’une « responsabilité partagée », comment dès lors sortir de l’impasse et mettre fin à la guerre ?

     

    La guerre en Ukraine   -   Jacques Hogard


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    Histoire du 1er Régiment Étranger de Parachutistes - André-Paul Comor

    Perrin  ;    16 nov. 2023  ;   grand format ;    480 p.;   24 €.

     

    Présentation officielle : Histoire et déclin d'un régime d'élite, pris dans les tourmentes des guerres de décolonisation

    Le premier régiment étranger de parachutistes, entré dans la postérité pour avoir été le fer de lance de la " fronde des généraux " d'Alger qui a provoqué sa dissolution par le général de Gaulle le 30 avril 1961, occupe une place singulière dans l'histoire de la Légion étrangère. Simple bataillon créé au début de la guerre d'Indochine à Sidi-Bel-Abbès, il est engagé au Tonkin dès novembre 1948. Il y fait ses premières armes jusqu'à sa destruction au cours de la bataille de la RC4 ( septembre-octobre 1950). De toutes les grandes grandes opérations, le 1er REP est une nouvelle fois anéanti pendant la bataille de Diên Biên Phu. Transformé en régiment d'intervention à son retour en Algérie, rattaché à la 10e division parachutiste du général Massu, il participe à la campagne de Suez, aux batailles d'Alger (1957) et des frontières (1958) et aux grandes opérations du plan Challe (1950-1960). L'histoire retient que le régiment a connu depuis la création du bataillon quatorze chefs de corps dont quatre par intérim et surmonté plusieurs crises qui, sans le socle des traditions légionnaires servies par les caractères d'exception de son encadrement, auraient pu compromettre son unité. Quatre officiers d'exception marquent cette épopée : le commandant Segrétain, tué sur la RC4, le colonel Jeanpierre, disparu dans la région de Guelma, le colonel Brothier et enfin le commandant Denoix de Saint Marc, archétype de l'officier de Légion pris dans la tourmente des guerres de décolonisation entre la discipline et la fidélité à la parole donnée. L'ouvrage de référence sur un régiment mythique.


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  • André Tardieu - Maxime Tandonnet

    tempus  ;   (2019)  7 mars 2024  ;    384 p.;   9 €.

     

    Présentation officielle : André Tardieu, visionnaire et incompris.

    Héritier de Clémenceau puis de Poincaré, précurseur du général de Gaulle et de la Ve République, trois fois président du Conseil et ministre à plusieurs reprises, André Tardieu (1876-1945) fut l'une des personnalités politiques les plus remarquables de son époque. Fondateur de l'éphémère Centre républicain, grand visionnaire, il eut pour ambition de rediriger la politique en faveur du bien commun et soutint ainsi un ambitieux programme d'investissement public et de hausse des revenus populaires, instituant en outre l'assurance vieillesse pour tous les salariés. Il n'eut de cesse également de participer à la modernisation du pays, favorisant l'électrification des campagnes et la construction de vastes infrastructures. Homme d'État – et écrivain – d'une rare puissance intellectuelle, entraîné par ses intuitions, en particulier sur le péril hitlérien, celui que Léon Daudet surnommait " le Mirobolant " se heurta cependant au pacifisme et à l'incompréhension de la classe politique, aussi bien à gauche qu'à droite, ce qui le conduisit à se retirer de la vie publique après avoir dénoncé les dérives de la IIIe République dans des manifestes étincelants. Dans cette biographie d'une rare densité, Maxime Tandonnet livre avec son talent coutumier la vie de ce personnage complexe et tourmenté. 

    Commentaire de RoyautéNews : Pour que des personnages d’aussi grande qualité existent, tels que cette présentation en témoigne comme cela fut reconnu pour Tardieu en son temps et depuis, et que pourtant, un pays, son Peuple, leur Histoire, ne puissent jamais sortir de la catastrophe permanente sous quelque forme qu’elle se manifeste, c’est en profondeur, au sujet des structures sur lesquelles ils sont appuyés qu’il faut enfin s’interroger, s’interroger pour en sortir.

    André Tardieu   -   Maxime Tandonnet


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  • Le roman secret de Chantilly - Emmanuel Maury

    Perrin   ;    paraîtra le 4 avril 2024  ;   416 p.;    25€.

     

    Présentation officielle, extrait : L'incroyable histoire d'un chef-d'œuvre préservé des aléas des âges et de la politique.

    L'incroyable histoire d'un chef-d'œuvre préservé des aléas des âges et de la politique. Le château de Chantilly, qui attire plus de 500 000 visiteurs chaque année, a donné lieu à de nombreuses publications sur son architecture, son fameux musée Condé, son parc, ses chasses, son domaine hippique ou certains de ses personnages iconiques comme le Grand Condé, le duc de Bourbon ou le duc d'Aumale. Mais, aussi étonnant que cela paraisse, aucune – hormis certaines très anciennes et parcellaires – n'a jusqu'à présent raconté son histoire. Une histoire riche et passionnante, se déroulant sur quelque mille ans, étroitement liée à celle de la France, faite de multiples rebondissements, avec ses dynasties, ses périodes de gloire, nombreuses, et ses malheurs.

    Plus qu'un livre d'histoire, le présent ouvrage se présente comme un roman " vrai ", où tout ce qui est raconté repose sur des sources fiables et tenant compte des dernières découvertes scientifiques. On y trouvera aussi des révélations à partir de nouveaux documents inédits. Dans cette immense fresque, on voit défiler certains de nos plus grands monarques – Henri IV, Louis XIII, Louis XIV ou Louis XV –, des figures illustres comme Anne de Montmorency, le célèbre mécène de la Renaissance, le Grand Condé, Le Nôtre, Molière, La Fontaine, Racine, Bossuet, Mme de Sévigné, Buffon ou la comtesse du Barry. Mais aussi des personnages moins connus, comme Vatel, au destin non moins extraordinaire.

     


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    Fabuleuses cartes au trésor - Marie-Ève Sténuit

    Éditions du Trésor  ;   14 mars 2024  ;    224 p.;    21 €.

     

    Présentation officielle : Butins de pirates enterrés sur des îles mystérieuses, mines d’or prodigieuses, épaves de galions aux précieux chargements, caches de trésors nazis, mirifique tombeau du dernier empereur inca… Si certaines cartes au trésor ont effectivement conduit leurs propriétaires au magot espéré, d’autres sont probablement aussi fausses que légendaires. Mais ce sont en réalité bien moins ces fabuleuses richesses elles-mêmes que la promesse de leur existence qui fait rêver les aventuriers depuis la nuit des temps. Or, la carte constitue la matérialisation de ce possible. Aux côtés de Marie-Ève Sténuit, découvrez les histoires pleines de péripéties qui se cachent derrière les dix cartes au trésor emblématiques réunies dans ce livre.

    Historienne de l'art et archéologue, Marie-Ève Sténuit pratique l'archéologie sous-marine et a participé à des fouilles terrestres au Proche-Orient pendant près de vingt ans. Elle partage le reste de son temps entre la Belgique et l'Indonésie.

    Fabuleuses cartes au trésor   -   Marie-Ève Sténuit


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    Sang, feu et or   -   Estelle Paranque

    L’histoire d’Élisabeth Ire et de Catherine de Médicis

    Armand Colin   ;    6 mars 2024  ;    304 p.;     23 € 90.

     

    Présentation officielle : En un temps façonné par François Ier, Charles Quint ou encore Soliman le Magnifique, deux reines ont marqué le XVIe siècle : Elisabeth Ier et Catherine de Médicis. Elisabeth Ier était reine d'Angleterre. Fille du Roi Henri VIII, elle était le dernier membre de la dynastie des Tudor. Son règne fut marqué par la restauration de l'Église Protestante (aux dépens de l'Église Catholique), l'épanouissement du théâtre (Shakespeare, Marlowe), un renouveau architectural, la permanence des colonies et la découverte d'un nouveau monde à travers les voyages de grands explorateurs. Catherine de Médicis était reine de France. Originaire d'Italie, mariée au futur Henri II, elle règna de 1547 à 1559 (puis fut mère régente jusqu'en 1563). Durant son règne, elle pousuivit une politique culturelle ambitieuse destinée à soutenir la monarchie : mécénats artistiques et fêtes. Son nom demeure toutefois irrémadiablement attaché aux guerres de Religions qui opposèrent catholiques et protestants. L'une était reine d'Angleterre et protestante, l'autre était reine de France et catholique en un temps où les guerres de Religions scindaient les territoires. Avec cette biographie croisée, Estelle Paranque jette un regard neuf sur deux femmes emblématiques de l'Histoire et tisse le fil de leur relation, entre amitié et rivalité. Une histoire de trente ans qui a marqué l'Europe de la deuxième partie du XVIe siècle.

     

    Sang, feu et or   -  Estelle Paranque


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  • Napoléon face à la Russie - Vladimir Fédorovski

    Balland  ;   21 mars 2024  ;    333 p.;    20€.

     

    Présentation officielle par l’auteur : Pour comprendre en profondeur la confrontation actuelle entre la Russie et l'Occident il faut d'abord et avant tout relire les grands auteurs de la littérature russe. Léon Tolstoï reste, pour moi, la meilleure clé permettant de déchiffrer notre époque. Ce géant de la littérature mondiale a mis au centre de son chef-d'œuvre Guerre et Paix, Napoléon face à la Russie. Sa grande épopée est un magnifique tableau de la société russe durant les grandes guerres napoléoniennes, de 1805 à 1815. Quel titre prémonitoire pour le XXIe siècle alors que nous sommes toujours dans le même face à face ! Au-delà des mythes et des fictions romanesques, quelle a été l'authentique histoire de la confrontation de l'Occident et de la Russie en 1812 décrite par Tolstoi dans son épopée ? Au fil des pages nous allons revenir sur cette campagne de Russie, - sur les pas de Napoléon vers Moscou, - à travers les témoignages de Stendhal, de Koutouzov, des maréchaux célèbres... Ce sera un voyage dans le temps et dans l'espace : Paris, Moscou, Saint-Pétersbourg. La fureur de l'Histoire, la volupté de la neige ! Le vrai héros de notre voyage dans le temps et dans l'espace, c'est l'Histoire éclairée par des archives rares ou inédites. C'est l'Histoire comme clé pour déchiffrer l'actualité...

    Napoléon face à la Russie   -   Vladimir Fédorovski


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