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    Salazar  ;  Le dictateur énigmatique  -   Yves Léonard

    Perrin  ;     paraîtra le 18 avril 2024  ;    528 p.;   26€.

     

    Présentation officielle :  Le mystère Salazar.

    Né en 1889, António de Oliveira Salazar a dirigé le Portugal d’une main de fer pendant quarante ans. Professeur d’université à Coimbra, spécialiste de finances publiques, chantre de l’austérité, il accède au pouvoir en 1928 en tant que ministre des Finances, avant d’être adoubé par les militaires comme président du Conseil en 1932. Il met alors en place la dictature de l’Estado Novo, avec l’aide de la police politique et de la censure, soutenu par l’Église, la hiérarchie militaire et le patronat. Ce n’est qu’en septembre 1968 qu’il doit se retirer, victime d’un AVC, avant de mourir deux ans plus tard. Son régime lui survit jusqu’à la révolution des œillets, il y a cinquante ans, en avril 1974. Dictateur méconnu, singulier – ni chef militaire, ni leader charismatique, mais universitaire mal à l’aise en public –, Salazar s’est montré maître dans l’art de durer, à la fois implacable et ductile, notamment sur la scène internationale pendant la Seconde Guerre mondiale et la guerre froide. « Marié à la nation », « moine-dictateur » et misanthrope, il est longtemps resté un mystère que cette biographie parvient à percer, s’intéressant de près à ses origines modestes, ses vies parallèles, ses cercles relationnels et à sa vie privée. Si le salazarisme est mort avec Salazar, ses séquelles sont encore bien présentes, teintées parfois de nostalgie. Le livre référent qui manquait, fondé sur l’exploitation d’archives portugaises inédites.


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    Diên Biên Phu    -    Pierre Pélissier

    tempus  ;     paraîtra le 28 mars 2024   ;     864 p.;    12 € 50.

     

    On pourra lire ou relire ici la Biographie essentielle du Général de Castries de RoyautéNews Clic!

     

    Présentation officielle :

    « Remarquable biographie de la bataille. » Le Temps.

    Empêtrés dans le conflit indochinois depuis 1947, l'état-major français décide au printemps 1954 que la plaine de Diên Biên Phu sera le lieu de l'ultime bataille dans le conflit qui l'oppose au Viet-Minh de Hô Chi Minh. Du 13 mars au 7 mai 1954, les troupes françaises, sous les ordres du général de Castries et du colonel Bigeard, vont livrer bataille. Les combats sont d'une très grande violence : 5 000 Français sont tués et 6 000 autres faits prisonniers (une part infime des prisonniers reviendra en vie). Grâce aux témoignages d'anciens combattants et à un travail minutieux en archives, Pierre Pellissier raconte cette lutte tragique qui a amené le Vietnam à son indépendance et la France à son plus grand désastre militaire en Orient.

    Diên Biên Phu   -   Pierre Pélissier


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    Diên Biên Phu ; Les leçons d’une défaite - Pierre Servent

    Perrin  ;    paraîtra le 28 mars 2024  ;  400 p.;     23€.

     

    On pourra lire ou relire ici la Biographie essentielle du Général de Castries de RoyautéNews Clic!

     

    Présentation officielle : Le long chemin de croix du corps expéditionnaire français, de Diên Biên Phu à son départ d'Indochine.

    7 mai 1954. Chute de Diên Biên Phu. La victoire spectaculaire du Viêt Minh après cinquante-six jours de combats scelle le départ de la France, présente depuis plus d’un siècle dans cette partie du monde. Soixante-dix plus tard, Pierre Servent n’exhume pas cette bataille indochinoise à seule fin de sacrifier au rituel classique des anniversaires, mais se penche sur les enseignements qu’elle a encore à nous livrer, y compris pour aujourd’hui. Malgré les ingrédients singuliers, propres à ce conflit indochinois, l’auteur y détecte le même « mal français », déjà identifié dans les guerres nationales, les grands travers hexagonaux qui ont favorisé l’échec : même sempiternelle querelle des chefs alors que le conflit fait rage, même désajustement entre le pouvoir politique et la sphère militaire, même arrogance qui conduit à sous-estimer l’ennemi et à se surestimer, même goût pour l’idée toute faite au lieu d’une approche par la réalité du terrain, même refus de prendre en compte les signaux faibles ou forts de danger émis par les officiers du renseignement, même insouciance permettant aux ennemis de connaître les plans à l’avance, même décalage permanent entre les ambitions et les moyens dévolus, même légèreté politique empêchant de faire montre d'une continuité dans l’effort. Mais la défaite s’explique aussi par le fait que, structurellement, l’ennemi marxiste était épargné par nombre de ces défauts français, bénéficiant de certains avantages inhérents à la nature même de son régime idéologique.

    Si Diên Biên Phu n’entraîna pas la fin immédiate des combats – le dernier soldat français ne quitta le sol indochinois que le 14 septembre 1956 –, elle fut une bataille hautement symbolique dont Pierre Servent fait revivre au lecteur toute l’intensité, avant de raconter les derniers mois de la France en Indochine.

    Diên Biên Phu  ;   Les leçons d’une défaite  -  Pierre Servent


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  • La Rédaction

     

    Entendu ce jour à l’homélie quelque chose d’intéressant.

    Le sujet général de ce dimanche de l’Évangile qui est « si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas... », étant qu’il faut d’abord et surtout une adhésion au Christ, plus que de " tout bien faire", comme par exemple envoyer ses enfants aux Scouts d’Europe, venir à la messe tous les dimanches, participer à ceci, à cela... et cocher toutes les cases, et c’est valable aussi pour des prêtres, car certains, malgré tout cela, restent " à l’extérieur"...

    Et son propos arrive ici : « la Passion n’est pas quelque chose qu’on aborde en vainqueur... en arrivant avec « Catholiques et Français », et en faisant claquer les drapeaux... etc. ».

    « Ceci est en réalité un vieux résidu de paganisme, qui prend sa source dans la Germanie des premiers siècles Chrétiens, et dans la pensée Aryenne, où le Christ est moins perçu comme Dieu ou Fils de Dieu mais comme un super-homme. »

     

    Et au-delà de ce propos qui paraît être un raccourci, ceci nous amène à détromper ceux qui voient dans le Christianisme, qu’il confondent d’ailleurs avec " la culture chrétienne ", le moyen de ne plus être submergé par " la Gauche" ni par l’inversion de certains rapports de force... La seconde, la culture chrétienne au premier abord n’avait pas d’intérêt pour eux mais qui soudainement, leur apparaît utile car elle leur est rapportée comme un outil de militantisme... Ni cet outil ni aucun autre ne compenseront l’indigence de leurs théories bondées de la nostalgie d’un âge dominateur de la France pour nous révolu à jamais... tel quel du moins et ce n’est pas pour dire qu’il faille un jour en reforger un autre.

     

    Note aussi bien valable pour ceux de l’Impensé de tout le Bloc Droito, que pour certains courants royalistes qui en appelleraient, pour faire plus simple, à Dieu pour solder leurs affaires non résolues du Siècle... Avec un circuit fort différent, les uns commes les autres sont des adeptes de la pensée magique.


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  • La Rédaction

     

    Dagmar  ; Marie Feodorovna & Her Family - Coryne Hall

    This new biography published on March, 12th, 2024, is now available on Amazon in the USA, UK, Canada, Australia, France, Germany, Spain, Italy, Netherlands, Poland, Sweden and Japan

     

    https://www.amazon.co.uk/dp/B0CXY9RWHZ


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  • La Rédaction

     

     

    Amiral de Gaulle

    La mort de Philippe, l'Amiral de Gaulle, à cent-deux ans, est l'occasion de survoler brièvement certains aspects de la plus actuelle implication de nos sociétés, issue de l’œuvre seconde de son père.

    Né en 1921 avant le début de la Légende de Charles, il sera resté à la fois dans l'ombre, et dans la réserve la plus totale, bien après la mort du Général, et ce, malgré ses apparitions de figurant - il fut sénateur - d'une scène politique qui ne l'atteignait pas, mais dont les partis bien éloignés de la cause de son père s'estimaient bien servis de pouvoir revendiquer un tel nom.

    À la mort de Charles, il aurait pu lui succéder, s’il s’était présenté aux suffrages, il aurait vraisemblablement supplanté ceux qui aspiraient au pouvoir, tant sa ressemblance avec son père était frappante, et du moins il aurait ouvert une crise de légitimité. Mais cette idée jamais ne l’effleura.

     

    Deux ou trois petits-fils du Général ont tenté quelques rôles de figurants dans le jeu de dupes de la basse et vulgaire politique politicienne que leur grand-père abhorrait. 

    Lui-même, Philippe de Gaulle, avait encensé Macron... qui plus est durant la crise du Covid...

    Ce qui donnait raison une fois de plus à la citation de son père, La vieillesse est un naufrage.

    Au fond, et c'est la base de la tragédie, le mythe de Gaulle n'a plus eu de consistance après la mort du Général que dans l'esprit de ceux qui ont vécu depuis. Sous la forme de regrets, non sous les auspices d’une continuité même lointaine.

     

    Où il aurait dû s’implanter naturellement une dynastie - et il en existe, des dynasties, dans les affaires politiques comme dans l'Industrie ou dans les arts - après Charles, plus rien.

    C'est ce qui nous fait penser que la main divine, quelque bien grandes que furent ses qualités, ne reposait pas sur le principe qu’il incarna si parfaitement malgré les contradictions de son système. Nous n’ouvrirons pas ici la grande question de savoir s’il eut tort ou raison dans telle ou telle circonstance.

    Si les concours qui avaient placé le Grand Charles à si étroite proximité de la Route des dieux, certains choix en ont décidé autrement et il n’est pas notre propos en cette occasion d’ouvrir le jugement de ces choix ni encore moins de sa personne.

    il faut se borner à constater qu'il s'était écarté du prestigieux lignage dans l'ordre transcendant, dont l’espérance semblait s’être attaché à sa personne et avait lui quelques années.

     

    Charles de Gaulle avait la force de créer un nouveau système, adapté à la France, et il ne l'a pas fait. Un autre concept qu'une monarchie, ou une monarchie mais bien éloignée de celle du passé comme on se l'imagine ou plutôt, il s’agit d’une caricature... 

    Il pouvait dessiner un solide concept, puisqu’il a rénové bien des aspects institutionnels.

    Au contraire il a rappelé la République et l'a solidifiée, pour résultat que l’on sait, ce pur cadavre qui n’en finit pas d’occuper l’espace et de tout empester.

    À quoi bon tant d’efforts, pour patauger depuis des décennies dans le merdier républicain...

     

    Sans reprendre ici la critique d’ordre fondamental de ce qu’est la République, c’est le moment de dire que l’absence d’instauration de long terme et de projection n’est pas viable ; et d’un système qui n’engendre que des brûlots constants, et constante instabilité, n’a de principe en lui même que les trahisons et coups bas perpétuels pour se remettre à flots ou plutôt, surnager sur un océan de mensonges.

    On éprouve l’envie de gifler Ciotti lorsqu’il déclare à propos de l’Amiral : « Sa vie dédiée au service de la France, dans la Marine comme au Sénat, incarne l’exemplarité républicaine. »  

     

    Certes, Philippe de Gaulle a toujours voulu ne faire aucune ombre au legs de son père, et c’était bien difficile d’être le fils du Général, comme il en avait convenu récemment, et pour une telle abnégation il faut lui rendre cet honneur.

    La seconde génération, si on veut la regarder à partir du Grand Charles,  a fait quelques bons mariages, l’Amiral, avec Henriette de Montalembert de Cers, filleule du Comte de Paris ; ce qui favorisait les rapprochements intervenus quelques années plus tard entre Henri Ier d’Orléans, regardé alors comme la seule hypothèse d’un recours monarchique apparaissant momentanément au plus grand nombre, et le Général.

    Et Élisabeth de Gaulle, épousant le futur Général de Boissieu, demeuré longtemps Grand Chancelier de la Légion d’Honneur.

    Tout cela est pour dire que la personne de l’Amiral a donné une preuve que l’œuvre de son père n’a pas trouvé de continuité, quoi que chacun puisse penser par ailleurs de cette œuvre.

    Une monarchie ne réside pas toute entière dans les évocations funèbres, au contraire, elle est un système vivant... Sans dire que nous voulons un système calqué au leur, du moins les monarchies vivantes d’aujourd’hui, témoignent si vigoureusement de cela, et que leurs pays sont si éloignés de la pesanteur étouffante de la République en France surtout, qui s’ajoute à tous les autres maux qu’elle avive au plus haut degré.  


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    La Salamandre de Trévarez   -   Joël Raguénès

    Calmann Lévy ;  25 janv. 2023  ;  400 p.;  21€90.

     

    En souvenir de notre ami Jehan-Richard d'Amphernet. RoyautéNews

     

    Présentation officielle : Le roman de Louise du Grégo, femme libre dans la tourmente de la Révolution.

    Fille unique du marquis du Grégo, une des plus grosses fortunes de Bretagne, Louise du Grégo est mariée à dix-sept ans, en 1787, à Antoine-Henri d’Amphernet, cadet d’une famille normande de vieille noblesse. Un fils naît de cette union et Louise aurait pu filer des jours heureux si ne se levait déjà le vent de la Révolution. Très vite l’étau se resserre sur les aristocrates. Menacé, le père de Louise est contraint à l’exil. Quant à son mari, il part rejoindre l’armée des émigrés. Restée seule, Louise fraye secrètement avec les rebelles chouans et vendéens tout en composant avec le nouveau pouvoir. Mais quand est décrétée la confiscation des biens des émigrés, pour éviter que le patrimoine de son père et celui de son mari ne soient mis à l’encan, elle entreprend de se gagner de solides protections. Entre loyauté royaliste et complaisance à l’égard des chefs républicains, notamment Hoche, venu pacifier l’ouest de la France, la sémillante et intrépide Louise va jouer avec le feu au risque de se brûler...

    La Salamandre de Trévarez   -   Joël Raguénès


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    Tsars sans empire   -  Boris Prassoloff

    Perrin   ;   paraîtra le 14 mars 2024  ;   416 p.;   24€.

     

    Présentation officielle : L'exil des Romanov, ou comment reconquérir le trône de Russie à tout prix.

    La dynastie des Romanov n’a pas été anéantie par le massacre du tsar et de la famille impériale en 1918. Après avoir échappé à la révolution, les membres de la famille cadette et rivale de Nicolas II ont émigré en France et ont tout fait pour revenir au pouvoir. Le chef de cette branche des Wladimirovitch, le grand-duc Cyrille, cousin du tsar et premier Romanov à faire allégeance au nouveau pouvoir en février 1917, a rallié autour de lui une partie de l’importante émigration russe et s’est autoproclamé en 1924 empereur de Russie. Après son décès, son fils le grand-duc Vladimir a appelé en juin 1941 à soutenir les Allemands qui venaient d’attaquer l’Union soviétique et leur a fait en vain des offres de service. Après la Libération, il se réfugie chez Franco et demeure interdit de territoire français jusqu’en 1956 pour « activité proallemande durant l’Occupation ». Il foule le sol russe pour la première fois en 1991, au moment où la Russie se désagrège, et meurt l’année suivante, alors que Boris Eltsine envisage de le placer sur le trône d’un pays en plein désarroi. Fort de témoignages d’époque et de nombreuses sources russes, l’auteur retrace avec brio l’histoire diplomatique de la Russie, du XIXe siècle à la révolution de 1917, décrit les diverses branches des Romanov, retrace leur exil, leur vie quotidienne – à Paris, en Bretagne, sur la Riviera –, les violentes rivalités au sein de l’émigration, révèle l’extraordinaire pénétration de l’émigration russe en France par les services secrets soviétiques et brosse un portrait saisissant du grand-duc Vladimir, né en exil, envisagé par les Allemands avant-guerre comme éventuel « tsar d’Ukraine » et promoteur d’une « croisade » nazie contre les bolcheviks. Une histoire passionnante, tragique et romanesque, brillamment racontée par Boris Prassoloff, fils de Russes blancs émigrés en 1917.

    Tsars sans empire   -  Boris Prassoloff


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     Le Porte-éventail roi

    Ce passeriforme est un moucherolle, oiseau des sous-bois des forêts tropicales d'Amérique du Sud. Il porte aussi le nom de Moucherolle royal. Cette image représente un mâle de l'espèce.


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    Ximénès Doudan ( 1800-1872)   -   Laurent Théis

    Perrin  ;  22 févr. 2024  ;   368 p.;    23€.

     

    Présentation officielle : « Une perle inconnue », disait de lui François Guizot. En ouvrant la coquille bien fermée, on découvre en effet une société, une écriture, une personnalité extraordinaires.

    En 1876 parurent quatre volumes de Mélanges et Lettres, portant le nom de Ximénès Doudan. Pour Henry James, Barbey d’Aurevilly, Amiel et tant d’autres, ce fut une révélation, qu’il fallut d’urgence rééditer. On évoqua Mme de Sévigné et Saint-Simon. Proust s’empara de l’auteur, qui donna à Swann certains de ses traits. Puis le silence se fit, et Doudan emporta son mystère. Quel personnage pourtant ! Esprit comparable à Voltaire pour Victor Cousin, « directeur des consciences littéraires » (notamment féminines) pour Sainte-Beuve, Doudan, modeste pion de lycée venu de Douai, fut bientôt apprécié du milieu intellectuel et politique qui fréquentait le salon libéral de la duchesse de Broglie, fille de Mme de Staël, et du duc Victor, futur président du Conseil de Louis-Philippe, qui l’avaient recruté comme précepteur et dont il devint l’ami et le confident de la famille durant plus de quarante ans. Infatigable épistolier, il décrit avec lucidité et humour la société parisienne, dont des figures de proue comme Guizot, Rémusat, Mérimée, Tocqueville devinrent des proches, commente l’actualité culturelle et politique, de la mort de Louis XVIII jusqu’à la Commune, juge sans ménagement les livres qui paraissent, et qu’il a tous lus, et leurs auteurs, qu’il connaît pour certains : Kant, Stendhal, Balzac, Hugo, Lamartine, F. Cooper, Musset, Flaubert, G. Sand, Renan… tous y passent, dans un style éblouissant.
    Laurent Theis reconstitue la destinée de ce « célibataire de l’art », qui dissimula jalousement sa vie privée, et dresse un portrait sensible du personnage dans son environnement d’une richesse exceptionnelle. Suit une sélection de lettres, pour certaines inédites, choisies pour la variété des sujets abordés, leur importance historique, leur qualité littéraire et leur substance humaine, toutes soigneusement annotées.

    Ximénès Doudan ( 1800-1872)   -   Laurent Théis

     


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