• La Rédaction

     

    République : les deux côtés obscurs de la Farce

    Que l’on ne tombe pas dans le double panneau de la pseudo-démocratie des systèmes ultra-néolibéraux, ceux des sociétés post-démocratiques comme en France.

    Le premier est sa façade, ou panneau de pub, de prétention démocratique, la démocratie ne signifiant plus rien ni en pratique ni en théorie, mais qui vend encore énormément, vu le système de digestion très lent de l’homo republicanus. Elle n’est qu’un outil temporaire, à durée indéterminée et à usage de communication, elle est appelée à se dissoudre officiellement après s’être déjà dissoute dans les faits.

    Le second panneau où il ne faut pas tomber, ce sont les outils d’esbrouffe et de dernier recours. 

    Le plus insupportable est le referendum. Si la République à la française a peu d’efficience en matière de joie de vivre, de tranquillité et de prospérité, c’est peu de le dire, elle possède en atout-maître son art de la comédie, qui allie un lyrisme patrio-toto de fête foraine, au goût du spectacle, si prisé des organismes digestifs. Le referendum fait tout cela.

    Après quelques séries de baffes épiques, la sérénité revient comme par enchantement, avec la grande nuit étoilée, sur le vieux village Gaulois.

     

    Quand on ne sait rien faire, c’est la posture qui compte. On se découvre alors toutes les justifications insoup...çonnées de la soupe, c’est le côté théâtral du Gaulois. Lequel n’a jamais empêché l’invasion romaine. Ni, sa justification d’après coup, la salade du même nom. Le pire c’est d’y croire.

     

    Nous conseillons de ne pas se prêter à la mise en scène de Carnaval des referendums, réclamés par diverses compagnies théâtrales de la Politique, sur l’Immigration, ni d’ailleurs sur quelque thème que ce soit.

    Leur issue, on la connaît. Ils ne prêtent leur théâtre que pour panthéoniser des faits irréversibles déjà actés par le coup de maillet régalien déja tombé, et qui, lui, n’a rien de démocratique.


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  • La Rédaction

     

     

    L'incurie hors limites de l'État français, et par ruissellement, du fatras d'institutions publiques et privées, se constate chaque jour et partout.

    Que la Tour Eiffel ne soit pas classée, relève au moins du roi Ubu.

     

    Nous saluons la démarche de Rachida Dati demandant à ce que la Tour Eiffel soit classée.

     

    Ces jours-ci survenait une question sur la fréquence des travaux de peinture d'entretien de la Tour.

    Pour un délégué syndical, relayé sur les réseaux sociaux avant que la presse s'en empare, le recouvrement complet de la Tour remonterait à 14 ans alors que la fréquence habituelle à laquelle on la repeint d'ordinaire, selon le souhait de Gustave Eiffel, est tous les sept ans.

    Le CoVID n'explique pas tout, même s'il a bien entendu ralenti ces travaux puisqu'on a mis presque le monde entier en panne.

    On apprend donc que la détection de hauts taux de plomb dans les couches de peinture rouillée, explique le retard de la campagne de peinture débutée en 2019 et qui aurait dû être terminée en théorie en 2022.

    Ajoutons qu'auparavant, il y a quelques décennies en arrière, (à vérifier cependant) la Tour Eiffel était, sinon en permanence en peinture, du moins, en cours d'entretien général  permanent, bout par bout.

    Pour l'époque contemporaine, la campagne dure de dix-huit mois à trois ans, et bénéficie des nouvelles techniques sécurité pour le travail en hauteur, tandis que la plupart du temps, d'après le site officiel, « les peintres travaillent encore aujourd'hui avec des méthodes traditionnelles déjà utilisées du temps de Gustave Eiffel : la peinture de la tour Eiffel s'applique la plupart du temps manuellement à la brosse guipon ».

     

     #Paris


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    Justice : la colère qui monte - Béatrice Brugère

    Éditions de L’Observatoire  ;  28 février 2024  ;  83 p.;   22€.

     

    Commentaire de RoyautéNews : Enfin ! Et que cela vienne d’un magistrat.

    Présentation officielle : Délais de jugement, illisibilité des procédures, vaine technocratie, hyperinflation normative, trop grande politisation, corporatisme, différence de traitement entre les victimes et les délinquants, perte de souveraineté... De nos jours, les critiques contre l'institution judiciaire ne manquent pas. De plus en plus violentes, elles délégitiment la justice et sapent assurément son autorité. La justice en France semble en effet marcher à reculons : plus on la réforme et moins elle progresse ! Mais c'est un fait : les citoyens n'acceptent plus ni sa lenteur, ni sa complexité, ni ses décisions incompréhensibles ou laxistes. La mise à sac récente du tribunal d'Aurillac ou l'incendie du tribunal de Nanterre constituent autant d'alertes à prendre très au sérieux. Pour Béatrice Brugère, sauver ce qui peut l'être de la justice en France ne se réglera pas de manière strictement budgétaire ou technique. La justice ne retrouvera sa vocation profonde qu'à la condition d'une complète refondation : protéger les plus faibles, sanctionner vraiment les délinquants, sauvegarder les libertés menacées, apprendre aussi à devenir plus accessible et plus humaine. Au travers de ces pages, la magistrate nous donne malgré tout des raisons d'espérer et de se battre. Elle propose notamment, avec lucidité et courage, un changement de cap complet : pour que la justice reprenne toute sa place... mais rien que sa place.

    Justice: la colère qui monte   -   Béatrice Bruguère


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  • La Rédaction

     

     

    Se protéger sur Internet, quand on veut d'abord éviter les pièges et les fake news officielles, revient d’abord et en priorité à se protéger, non d’éventuels pirates, mais d’Internet même.

    Cet article bref inaugure la série annoncée sur le sujet. Il fera également partie de la suite consacrée aux fake news

    Une campagne s’est intensifiée depuis environ deux ans, où les hébergeurs de messagerie insistent très lourdement auprès de leurs usagers, on peut dire sans exagérer qu’ils leur forcent la main, d’une part, pour "centraliser" leurs connexions... (premier piège dans le piège) et  proposer des identifications en deux étapes, suggérées aussi en divers endroits comme certains réseaux sociaux, et d’autre part, pour les sensibiliser, entre autres par ces procédés, au fait qu’il existerait des modes beaucoup plus sûrs, et les habituer à ce qui est entré sournoisement et par effraction, dans notre existence. De ceux que la filmographie d’aventures, la première, a révélé l’existence et qui sont employés aujourd’hui pour pénétrer certains lieux ultra-protégés : reconnaissance rétinienne, reconnaissance veineuse, par exemple. Quant à la reconnaissance faciale, suggérée comme l’une des seules capables d’être sûres y compris dans les connexions Internet... elle fait quasi-partie de la triste réalité en de nombreux pays du monde, et en France sa multiplication se voit boostée, et justifiée... par les Jeux Olympiques...

     

    Plus récemment, une autre campagne, elle aussi, s’intensifie pour habituer l’usager à l’idée d’abandonner ses mots de passe (au choix, et pour toucher un éventail plus large de pigeons, les mots de passe seraient trop difficiles à mémoriser... ou alors une perte de temps, ou encore, un risque pour la sécurité... et là, on a tout dit ).

    Tout cela n’est que manipulation des esprits.

    Un bon mot de passe suffit, et suffira encore, tant que ne seront pas mises au point certaines technologies dont on parle beaucoup, mais qui n’existent pas dans leur application pratique, telles que l’informatique quantique, si vaste, et surtout qui ne veut rien dire pour l’instant et dont on parle tant pour fasciner les gens, et les laisser, sans réaction devant toutes ces  " révolutions qui se préparent " dans tous les domaines et sont déjà à l’œuvre, mais sans eux.

    En attendant, ils font tous leurs efforts pour convaincre les utilisateurs du danger, par exemple des mots de passe, qui ont fait leurs preuves.

    A priori un bon mot de passe n’empêche pas les cyberattaques, ni les vulgaires vols de données qu’on présente comme des cyberattaques alors qu’elles ne sont qu’un commerce de fichiers de données d’utilisateurs de tel ou tel service, réseau, banque, etc.

    Certes, il peut être gênant, mais d’une gêne limitée, de savoir que ses données se trouvent en vente auprès d’acheteurs, officiels ou simples petits escrocs.

    Mais il existe des moyens de se prémunir, surtout contre ces derniers, et beaucoup d’utilisateurs aujourd’hui ont appris à se méfier des mails et des sms non sollicités.

    Quant aux mails que vous échangez avec vos proches, vos relations, et avec d’autres, pour la plupart ils ne contiennent aucun secret d’État, ni risque pour quiconque. Ceux qui, comme nous, à la rédaction, caressent le désir, les dimanches pluvieux, de craquer la Réserve Fédérale américaine, ont d’autres moyens que de passer par des messageries foireuses, même cryptées, ces messageries-là sont d’ailleurs celles qui sont le plus chargées de mouchards...

    La peur des attaques fait partie des grandes manœuvres pour entrer dans la forteresse en carton de vos données. Et le Cheval de Troie, c’est vous, quand vous abandonnez votre sécurité personnelle, sous la forme de vos données, à l’État, ou à ses services. Là est le piège, et celui-ci est mortel.

     

    Récemment, la plus grande fuite de données de l’histoire informatique a eu lieu, et nous en parlions iciClic ! et où nous omettions volontairement de fournir le lien permettant de savoir si on a été "piraté"... car piège possible aussi, quand on ne sait pas qui est derrière ce genre d’outil.

    Internet a-t-il pour autant cessé de tourner ? Non. Lorsque se produisent des cyberattaques, des systèmes de protection se mettent en place, mais surtout, d’autres, de compensation existent préalablement.

    En définitive, l’usage d’un mot de passe solide, conseil bien connu auquel nous ajoutons celui de RoyautéNews qu’il faut un mot de passe rigoureux et que l’on change régulièrement...

    Un test vient d’être effectué récemment sur seize millions de mots de passe réels, appartenant à des utilisateurs,  par un spécialiste de cybersécurité americain, certes avec un outil d’IA, (" Intelligence artificielle " ) qui n’est pas tout frais puisqu’il a quelques années, ce qui, dans ce domaine, relève presque de la Préhistoire.

    Cependant, son critère demeure valable encore. Le système a réussi en moins d’une minute à trouver seulement 51% des mots de passe.

    Il lui a fallu une heure pour parvenir à trouver 61 %. Il lui a fallu attendre une journée entière pour monter à 71 %. Et un mois pour 81 %.

    Et elle a échoué sur les mots de passe complexes de plus de quinze caractères. Le plus vertigineux est qu’il lui faudrait plus d’un milliard d’années pour parvenir à révéler ces mots de passe, et ça, on le sait depuis longtemps, et ce que ne disait pas l’article que nous avons consulté sur ce sujet, c’est que ce nombre de + de 15 est la limite naturelle de la puissance de calcul informatique. Sauf à atterrir dans une nouvelle dimension, quantique par exemple, comme vu plus haut. Le terme étant la limite poétique actuelle pour décrire tout ce sur quoi la science butte.

     

    Où certains veulent voir une nécessité, sans la justifier... d’abandonner les mots de passe pour sauter dans l’inconnu, nous pensons au contraire, d’abord que ce test témoigne de l’efficacité des bons mots de passe. Et ensuite, que la sûreté de ces outils traditionnels, ou, à l’opposé leur obsolescence si de nouveaux outils de décryptage apparaissaient demain, ne consisteront jamais à nous faire adopter des systèmes biométriques qui enferment la personne au sein de son propre système de "sécurité" ( pour pigeons) auto-généré !


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  • La Rédaction

     

     Le Prince de Galles et les sans-abri

    Dans la suite du programme lancé en juin 2023, le Prince William vient d’engager la construction de maisons pour les sans-abri, dans une localité de son Duché de Cornouailles.

    « Des maisons chaleureuses », à l’empreinte carbone la plus basse, seront bâties, à partir de septembre, dans le respect du style local, et seront livrées un an plus tard en 2025. Les sans-abri seront suivis pour leur réinsertion professionnelle.

     

    Cette idée se situe dans la mouvance de ce que le roi Charles espérait, lorsqu’il a attribué à William et à Catherine, les titres écossais que lui-même portait avant son accession au trône.


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  • La Rédaction

     

    Alessandra de Osma

    La Princesse des Andes, Alessandra de Osma, épouse du Prince Christian de Hanovre, a donné naissance à une fille, le 15 février 2024.

     

    Déja placée dans notre nouvelle galerie Clic ! créée dans la première quinzaine de ce mois, c’est une nouvelle raison pour elle d’y figurer ! 

     

    L’égérie de Dior en Espagne est déjà la mère de deux jumeaux, le Prince Nicolás et la Princesse Sofía de Hanovre.


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    Les réseaux secrets de la police   -   Frédéric Ploquin

    nouveau monde  ;   18 oct. 2023  ;   368 p.;    21€90.

     

    Présentation officielle : La police est constituée de chapelles qui souvent s’ignorent, quand elles ne se font pas la guerre. Cela laisse une grande marge de manœuvre aux réseaux plus ou moins secrets, souvent transversaux. Une habitude qui remonte à la Résistance et qui s’est solidifiée à l’époque du SAC, le service d’action civique, milice des gaullistes, où se côtoyaient des policiers de tous grades. Pour la première fois, ce livre raconte comment ces « familles » se sont créées, qu’elles soient fondées sur l’origine géographique (Corses, pieds-noirs, Parisiens…), la politique (RPR, PS, clan Pasqua, « Sarko boys »…), la franc-maçonnerie ou plus récemment le sexe. Une histoire inédite de la Place Beauvau sous la Ve République à travers ses réseaux. Une kyrielle d’affaires de ripoux ont marqué ces dernières années la vie de la police, avec un terreau commun : les liens occultes noués dans le secret des loges ou de ces « écuries » en marge des hiérarchies habituelles. Et avec un moteur récurrent : l’argent, les prébendes, l’influence. Ce livre raconte aussi ces affaires, avec à l’appui les témoignages de nombreux acteurs de premier plan, gardiens de la paix, commissaires ou préfets. Du brigadier-chef qui régnait sur la préfecture de police de Paris au début des années 80 à la loge Athanor – un scandale récent qui a laissé des cadavres en chemin –, voici mis en lumière quarante ans de coups tordus dans la police.

    Frédéric Ploquin est journaliste, spécialiste de la police et du grand banditisme. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels Les Narcos français brisent l’omerta (Albin Michel, 2021) et La peur a changé de camp (Albin Michel, 2018).

     

    Les réseaux secrets de la police   -   Frédéric Ploquin


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  • La Rédaction

     

     

    Ira, ira pas ? Mais elle restera dans le cœur de ceux qui l’ont connue.

    Elle fut si longtemps de toutes les fêtes planétaires de cette partie de la haute société internationale éprise du soleil et elle a attaché son nom à la légende de Marbella.

    Elle a fait rayonner Paris, et tant d’autres lieux, pour une vie qui l’aura vue  abandonner par ses deux maris et elle partageait - mais sans la tristesse - à peu de choses près le destin flamboyant d’une Soraya.

     

    Les funérailles de la Princesse Ira ont été célébrées ce matin à Rome en la Basilique Santa Maria in Montesanto, auxquelles assistaient son fils Hubertus et son épouse Simona Gandolfi, ainsi que le Prince de Windish-Graetz, ou des célébrités comme Inès Sastre, ou encore des parents comme John Elkann et son épouse Lavinia Borromeo.

     

    Virginia Ira de Fürstenberg, née en 1940 était la fille du Prince Tassilo de Fürstenberg, et de Clara Agnelli, sœur de l’Avoccato, Gianni Agnelli, petit-fils du fondateur de l’empire Fiat et qui en fut lui-même longtemps la tête.

    La Princesse Ira était germano-hongroise, par son père qui avait également une origine anglaise. La mère d’Ira, italienne, alliant le clan Agnelli aux Bourbon del Monte ( famille sans lien avec les Bourbons ), avec une origine américaine, et plusieurs familles princières italiennes.

    Par son grand-père elle était une cousine du Prince Louis de Bourbon, celui-ci par sa grand-mère, Emmanuelle, issue des Princes Ruspoli.

     

    Cette beauté très italienne fut mannequin à l’âge de treize ans, et épouse à quinze en 1955 du Prince très hispanique Alfonso de Hohenlohe, l’emblématique séducteur qui fonda Marbella, iconique rendez-vous d’une Jet-Set qui y vit naître et baptiser son nom. 

    À Marbella, de bas en haut, c’est Alfonso de Hohenlohe ! dira le Poète, en ses vers pas encore publiés, preuve qu’il est un bon poète, mais passons là-dessus.

     

    Alfonso appartient lui aussi à une des familles souveraines allemandes, et le chef de sa famille, et espagnol grâce à l’union madrilène de son père.

     

    Leur premier fils, Christophe, dit Kiko (  2006 ), né en 1956, a pour marraine la reine Victoria Eugénie d’Espagne. Hubertus, musicien, photographe, et qui sera longtemps skieur de rang olympique naît en 1959.

    Le couple se sépare en 1960, leur mariage sera annulé en 1969, et Ira se remarie en 1961 avec un industriel brésilien, mais ils divorcent en 1964.

    Alfonso aura une relation avec Ava Gardner, et avec Kim Novak, et se remariera notamment en 1973 avec l’actrice et mannequin russo-anglaise Jocelyn Lane. Il aura aussi une relation avec l’actrice et modèle Heidi Balzer, dont il aura une fille.

    Ira pose pour les plus célèbres photographes, comme Helmut Newton et Cecil Beaton. Puis elle fait des apparitions dans près d’une trentaine de films qui ne rencontreront pas de succès, et elle effectue un retour vers la mode au début des années 70.

     

    À partir de 1992, la vente de ses objets uniques, pièces de joaillerie qu’elle confectionne elle-même, sont autant d’événements mondains.

    Elle fut dès les années 80 un fidèle soutien de son cousin le Prince Rainier après la mort de la Princesse Grace, et auquel elle fut souvent mariée par une presse qui rêvait encore.

     

    La Princesse Ira soutenait, entre autres, la Children of Africa Foundation, créée par Dominique Ouattara, l’épouse du Président de Côte-d’Ivoire.

     

    Elle était retirée depuis 2020 après avoir célébré ses quatre-vingts ans au célèbre Palais de Liria, propriété des Ducs d’Albe.

     

    La Princesse Ira de Fürstenberg

     

    La Princesse Ira de Fürstenberg

    ©Getty Images


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    L’orgie capitaliste - Marc Dugain

    Allary   ;    8 févr. 2024   ;    224 p.;    20€90.

     

    Présentation officielle : Pour la première fois, Marc Dugain partage ses convictions tranchées sur notre époque et ses principaux bouleversements : la dictature consumériste, la croyance libertarienne dans le progrès, les catastrophes écologiques, la surveillance numérique… En tirant le fil de ses intuitions et en explorant ses thèmes de prédilection, cette conversation au long cours nous fait pénétrer dans la fabrique de ses romans. Comment déconstruit-il les récits officiels tout en tenant à distance les théories complotistes ? Comment transforme-t-il sa colère en moteur de changement ? Comment sa connaissance de la psychologie de ceux qui nous gouvernent peut-elle nous aider à anticiper l’avenir ? Il fallait la puissance, la clairvoyance et la liberté de pensée du romancier pour décrypter une réalité qui dépasse souvent la fiction.

    L’orgie capitaliste  -   Marc Dugain


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    La Folle vie d'une duchesse de Napoléon - Gilles de Becdelièvre

    deBorée  ;  roman historique   ;  1er sept. 2022  ;    20€.

     

    Présentation officielle : Laure de Permon, témoin privilégiée et méconnue de la période napoléonienne, fille de la bourgeoisie, deviendra duchesse d'Abrantès. Sa vie offre une plongée originale au cœur de la vie au temps du Consulat et de l'Empire. Maniant l'art de recevoir comme personne, l'épouse du général Junot contribuera à faire de Paris la capitale mondiale du divertissement.
    Du faste des réceptions à l'importance de l'étiquette, des descriptions des proches de Napoléon aux multiples rivalités amoureuses, c'est sans complaisance et avec drôlerie que cette femme séductrice et cultivée retrace sa vie et dresse le portrait de l'univers aussi superficiel qu'indispensable dans lequel elle évolue.

    Une autre présentation :  La vie de Laure Permon, duchesse d’Abrantès, mariée au général Junot, est calquée sur l’ascension et la chute de Napoléon, leur proximité remontant à leur enfance corse. Son existence n’est qu’une succession d’excès et de folies. Elle profite de tous les ors de l’Empire et côtoie au quotidien les « grands » de cette époque. Mais, à l’identique de la cour impériale, elle est asphyxiée par trois vices : la frivolité, les dépenses excessives et un libertinage forcené.  À la suite de l’abdication de l’Empereur, ses liens avec Balzac, Hugo ou Dumas lui permettront de lancer son salon littéraire, avant de tomber, percluse de dettes, dans un puits de misère. Ce récit dénonce les difficultés d’une femme de son temps où virilité guerrière et masculinité priment avant tout.  Qu’est-ce cette duchesse « abracadabrantès » ? se plaisait à dire Théophile Gautier.

     

    La Folle vie d'une duchesse de Napoléon   -   Gilles de Becdelièvre

     


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