Nous présentons Pierre Milán y Quiñones de León. Descendant du roi Alphonse XIII, et reconnu par les spécialistes de la famille royale d'Espagne, il est né en 1949, fils d'un père russe et de Juana Alfonsa Milán y Quiñones de León (1916-2005).

Juana Alfonsa était née du roi Alphonse XIII et de sa relation avec Béatrice Noon, une  lectrice irlandaise en fonction au Palais.

Elle bénéficia de ce nom : Milán y Quiñones de León. Le nom de Milán correspondait à une ancienne possession théorique des rois d'Espagne, et celui de Quiñones de León, à l'un des amis et confidents du roi, l'Ambassadeur d'Espagne à Paris, et "qui possédait les secrets du souverain".

Nous reparlerons très prochainement de Pierre Milán y Quiñones de León.

Pierre Milán y Quiñones de León en compagnie de celle qui est devenue cet été son épouse.

En 2012, à San Diego, mourait Alfonso de Bourbon. Sans descendance, il avait 83 ans et se considérait le fils du Comte de Covadonga et de sa première épouse.

Le fils aîné du roi Alphonse XIII, Alphonse, fut connu sous le nom de Comte de Covadonga. Prince des Asturies, héritier du trône d'Espagne, il avait renoncé en 1933 en épousant une Cubaine, Eldemira Sampedro y Robato. C'est alors que son père lui attribua le titre de Comte de Covadonga.

Ce prince néanmoins sportif, souffrait d'hémophilie. Il descendait par sa mère, Victoria Eugénie, de la Reine Victoria. En Juillet 1937, il se remariait civilement à Marta Esther Rocafort y Altazurra, mannequin de haute couture, également cubaine. L'année suivante, il mourait le 6 Septembre 1938 à Miami, des suites d'un accident de voiture.

Alphonse de Bourbon, représenté sur ces clichés, né à Lausanne, avant le mariage de ses parents, où le Comte de Covadonga séjournait fréquemment pour se soigner, apprit sa filiation par des religieuses. Il vécut en Europe, puis devint interprète aux Nations Unies à New-York, puis s'installa à La Jolla dans les années 1970. Il ne rencontra jamais sa mère présumée, morte en 1994 en Floride.

En 1987, il révéla publiquement sa filiation supposée. Il reçut plus tard la visite d'un journaliste espagnol, José María Zavala, qui a souvent parlé des Bourbons. Ce dernier le considérait comme le descendant certain du Comte de Covadonga, par sa ressemblance avec les Bourbons et en particulier, avec Alphonse XIII.

Alphonse de Bourbon fut donc toujours ignoré par la Cour, qui ne le connut jamais, du moins, officiellement. Mais pour le cas où cette filiation serait exacte, alors, d'après les règles dynastiques françaises, il aurait été l'héritier théorique de la monarchie française.

Il ne réclamait rien, se contentant d'accepter les invitations à San Diego. Il avait refusé de faire reconnaître judiciairement son nom.

Il serait juste de réfléchir à la possibilité de faire figurer ce prince discret et philosophe, dans la liste des héritiers.

        ABC

Ci-dessus, Copyright Realeza Foros.

Né à Madrid en 1925, mort à Marbella le 27 Juillet 1995, cet acteur de cinéma appartenait à une grande famille espagnole. L'une de ses soeurs n'est autre que la Reine Fabiola des Belges.

Il était un des fils et filles du Marquis de Casa Riera, et de Blanca de Aragón y Carrillo de Albornoz, Barroeta-Aldamar y Elío.

Il enchaîna plusieurs emplois modestes avant de rencontrer quelques rôles au théâtre et au cinéma. Il figure dans le film La Folie des Grandeurs (1971), avec Louis de Funès, Yves Montand et Alice Sapritch, dans un rôle qu'il connaît : celui d'un grand d'Espagne, le Marquis de Priego.

Il joua dans plusieurs films espagnols, et dans un film britannique, Nicholas and Alexandra (1971), histoire du Tsar Nicolas II et de la Tsarine Alexandra.

Ce mondain au caractère original, aimant les tenues excentriques, marié en 1958 avec une actrice mexicaine puis en 1962 avec Margit Ohlsen, un ancien mannequin suédois, était sans descendance.

Il contribua, en compagnie du Prince de Hohenlohe, à faire de Marbella une station les plus célèbres du monde. Une avenue et une statue perpétuent son souvenir.

Organisé par Lys de France, un Bal de la Saint Nicolas se tiendra au Château de Breteuil le Samedi 7 Décembre 2013.

Tous ceux qui souhaitent y participer trouveront tous les renseignements nécessaires : programme, horaires, conditions, et tenue, sur la page ci-jointe. Clic !

par RN 2 et RN 1

La presse en a déjà parlé depuis environ deux ans. L'idée ne fait que se développer.

L'école, prise dans son ensemble, répond de moins en moins à la mission qui était la sienne, voire même, pour de nombreux établissements, n'y répond plus du tout.

Sans établir une comparaison entre les écoles - ou des classes, cela dépend d'abord du maître - qui offrent esprit d'étude et compétence, en même temps qu'indépendance d'esprit et neutralité, et toutes les autres, beaucoup de parents ont choisi de ne plus se poser la question.

Ils ont préféré se tourner vers l'enseignement à domicile. Eux-mêmes n'ont pas toujours le temps ? N'importe ! Des cours de qualité, parfois de qualité bien supérieure à la grande moyenne de l'enseignement public, permettent de procurer aux enfants le savoir nécessaire pour se présenter aux examens, sans le formatage du Système.

Voici trois Cours très sérieux par correspondance, sélectionnés sans tenir compte de leur orientation générale, mais d'après la qualité testée de leur enseignement.

   - Le CEFOP : Cours St Dominique Savio et Ste Maria Goretti : du CP, Onzième, à la Terminale. On peut limiter son choix à certaines matières pour le Secondaire. Tendance Fraternité St Pie X.

    - Le Cours Hattemer (le célèbre Cours Hattemer) : de la Douzième à la Terminale, fractionnelle, lui aussi. D'inspiration Protestante. (Dans le Secondaire, parfois partis pris erronés mais cela n'est pas insurmontable). Ils ont également une école et des lycées à Paris. Existe depuis 1885.

     - Le Cours Ste Anne : inspiré du précédent, seulement pour le Primaire, et jusqu'à la 6° incluse.

Par ailleurs, les tarifs semblent relativement modérés, au moins pour le premier, vérifié. Complément d'information demain avec RN 2.

CEFOP : au début du Primaire, 180 € par trimestre, ensuite, les tarifs évoluent. Inscription : 27 € de la Onzième à la Neuvième, et jusqu'à 73 € pour la Terminale.

Au Cours Hattemer, c'est un  peu plus du double (sachant que chez eux, le Primaire commence en Douzième, à cinq ans ; ce qui je trouve correspond bien aux enfants : à cinq ans on a bien l'âge d'apprendre à lire et à compter, faute de pouvoir écrire et de rester tranquille de longues heures) RN 2

L'idéal pour enfants ayant des difficultés scolaires, un moyen pour eux de réussir, avec tous les atouts sans être broyés par le système scolaire, grande usine ( à gaz ?), et aussi, pour parents inquiets qui souhaitent pouvoir faire confiance à un enseignement de parfaite qualité, sans que leur enfant subisse la propagande du Système... Idéal aussi pour les enfants précoces.

par RN 1

La Science, on le sait si l'on suit ses résultats en de nombreux domaines, n'est pas sérieuse. Il n'est pas d'année, de mois, voire de semaine, que "la Science" ne décrète de nouveaux dogmes aberrants ou ne publie de nouvelles découvertes voulues sensationnelles (parfois déjà connues), présentées comme des révélations.

Je me souviens d'une cassette, celle du film La Guerre du Feu, et je crois bien qu'on y estimait, (donc, au moins, comme on doit le faire toujours) l'âge des découvreurs du Feu, estimation plausible dans une fourchette très vaste, il y a 80 millions d'années. Mais il n'existe pas une voix scientifique sur cette apparition de l'homme, ni sur les étapes de sa progression, il n'y a que des versions multiples, contradictoires, sans cesse contredites, et finalement, dépourvues de sérieux. Une vérité est certaine : la Science ignore tout, et elle s'est recyclée dans l'effet d'annonce, proportionné aux intérêts du moment, conditionné par les crédits de recherche.

Utile, la Science dans son ensemble ? Tout le monde n'est pas Louis Pasteur ni les Curie. Ces scientifiques qui abusent de la crédulité humaine, sont-ils pires que l'Eglise qui professait autrefois que l'âge de l'Humanité avait tout au plus cinq mille ans ? Au moins, l'Eglise, elle, n'était pas scientifique.

Aujourd'hui, on vante au public des découvertes de spécimens d'hommes datant de mille cinq cents ans... Il y a quelques années, les savants juraient leurs grands dieux scientifiques que jamais, l'Homme de Néandertal n'avait été un ancêtre de l'homme d'aujourd'hui. Avant de faire machine arrière, pour finalement déclarer que l'humanité comporte une part de cet ancêtre, mélangée à d'autres types. Il suffisait d'observer parfois dans la rue des réminiscences physiques, lointaines certes, chez quelques-uns de nos contemporains. Tant il est vrai que certaines évidences communes ont peu de chances d'être croisées si on vit dans un laboratoire sans jamais se promener dehors. Et c'est le même va-et-vient, la constante du credo scientifique, que de revoir régulièrement à la baisse, ou autrement, sur de nombreuses questions, les vérités qui avaient été offertes, imposées, et sur quel ton, à un public décidément, comme pour le reste, bien crédule et bien trop patient.

On sait, heureusement, que les inventeurs ne se trouvent pas toujours dans les centres de recherches. Les nombreuses innovations du domaine High-tech ou du multimédia par exemple en témoignent ; ou dans des inventions simples comme cette lampe à chaleur humaine d'une jeune canadienne de quinze ans.

Derrière la Tête d'Henri IV, se cachent des intérêts dynastiques, doublés de rivalités scientifiques. Notamment, le fait que l'on n'ait pas utilisé, pour son authentification, des résultats préalablement publiés en l'an 2000 pour le Coeur de Louis XVII.

Et c'est ainsi que, sans cesse, le public se voit conduit par le bout du nez dans le feuilleton de la guerre d'annonces que se livrent les laboratoires concurrents.

L'un des derniers sujets dans lesquels la Science s'est illustrée : le Yéti ! En général je dirai donc aux scientifiques : si vous n'apportez rien de vraiment utile, au moins, taisez-vous !

Pour ne plus recevoir de telles sornettes, à la portée de n'importe quel philosophe de comptoir, il vaudrait mieux effectuer une coupe sombre d'au moins 80% dans les effectifs de la recherche. Le chômage n'augmenterait qu'à peine, mais quelle manne financière préservée pour les urgences de ce monde, au lieu de s'occuper de détruire les rêves, les convictions, les réalités aussi, que dans leur étroitesse d'esprit, les scientifiques, formés à l'image du Système - il n'y a pas de hasard - cherchent à détruire, tandis que d'autres, au lieu de nourrir les habitants du monde, s'emploient à découvrir de nouvelles planètes habitables, (les exoplanètes) nouvelle folie qui cimente déjà les futurs millénaires de l'éternel esclavage de cette humanité.

Entendons le cri de Mathieu Janin, Rédacteur en chef adjoint de VSD : "Je n'irai pas par quatre chemins : c'est un scandale total ! Ainsi, a-t-on appris la semaine dernière, que oui, le yéti existe ou a existé mais que non, il ne s'agit pas d'un cousin velu égaré dans la montagne mais un vulgaire ancêtre des ours polaires. C'est en tous cas la thèse d'un très sérieux scientifique britannique. Pourquoi pas ? me direz-vous. On voit de toutes façons peu d'ours polaires ou de migous dans nos contrées, je vous l'accorde bien volontiers. Mais avouez que ça commence à faire beaucoup. Déjà, il y a quelques semaines, la CIA affirmait que la fameuse zone 51 n'abritait pas d'aliens mais de simples avions top secret. Maintenant, le yéti. Et demain, quoi ? Quel autre mythe la science va-t-elle fouler aux pieds ? Allez, je prends les paris : on découvrira qu'il n'y a jamais eu de président socialiste sous la V° République."

par RN 1

Anticipant d'éventuelles futures crises en l'un des lieux où se joue (un peu) le sort du monde, au sein de la rédaction, et bien qu'elles soient improbables mais il faut faire comme s'il en pouvait exister, je proposerai un langage essentiellement fédérateur.

Je choisis donc de conseiller, en mon nom personnel, un film plaisant. Ce film, Quai d'Orsay, qui met en jeu Thierry Lhermite, tambour battant et derrière lui, Dominique de Villepin qui inspira directement la BD de même titre, comme celle-ci me permet accessoirement de mieux comprendre un moment de l'histoire récente, mais surtout de poser pour réflexion, le fonctionnement des pouvoirs actifs (ou inactifs selon) aux commandes, en France et dans tous les pays d'aujourd'hui.

Comme nous l'avions déjà dit, les systèmes contemporains ne sont au mieux, à travers leurs justifications et leurs promesses, que de la poudre de Merlin, de Perlin, Jospin, Raffarin, Villepin et Pinpin.

Je proposerai donc une seule question à la réflexion, assortie d'une réponse.

Qu'est-ce qui fait que des talents, des énergies, comme ceux d'un Villepin-Lhermite, et de tant d'autres, sont dilués, inutilisés, dans le système tel qu'il se colporte au gré du vent de l'insuffisance et de l'absence de pensée et de création ? En même temps, pourquoi tant d'énergie collective gaspillée pour rien ? M'étant intéressé à certains aspects de la riche histoire récente, j'ai observé que l'atterrissage forcé du système sur tous les sujets était proportionnel à la pompe prétentieuse du régime, si notable à partir de la deuxième moitié de la décennie 90. VGE écrivait ses discours. A partir de Mitterrand, une foule de conseillers rédigeait les discours. Parfois, jusqu'au nombre de 80. Il ne s'agit de rien d'autre dans Quai d'Orsay. Pour quel résultat, alors que certains considèrent le passage Villepin comme un grand moment, un tournant dans la façon d'aborder la conduite des affaires, voire comme un souffle. Un souffle... ou un courant d'air ?

La multiplication des courants d'airs et celle de l'inutilité. C'est tout le problème de la république, système dont l'unique justification est de paralyser tout, à seule fin de maintenir en place au long des époques un autre système, plus court, greffé sur le premier et ne bénéficiant qu'aux élites, celui des prébendes, des bénéfices, des rentes tirées du pouvoir. Ces dividendes ne se prennent plus sur des bénéfices d'entreprises, justifiables dans leur principe, mais sur les ressources de la nation, c'est-à-dire sur la richesse possédée collectivement par tous. Pour un résultat proche, et tendant vers le Vent.

Au-delà de cette remarque, et si l'on veut être optimiste, ce qui nécessite parfois une bonne dose de volonté, la république n'est surtout qu'un permanent courant d'air. Brassage, et longueur de Vent, font plus que force ni que rage. Telle est la vraie devise de la république. Certes, si l'on est encore à l'école, on pourrait imaginer la république, en théorie, comme un assemblage de beaux principes, un idéal à offrir en exemple à des écoliers vertueux.

Mais il existe des théories qui font mal, de n'être que des théories.

 article vers Minuit

Royauté-News annonce son soutien inconditionnel à la révolte des Bonnets Rouges et soutiendra sans réserve toute insurrection en Bretagne.

Nous conseillons à tous les participants de ne plus renouveler les destructions matérielles, tout en dénonçant les propos des responsables syndicaux qui les ont condamnées. Nous espérons vivement que le mouvement se poursuivra, s'organisera d'abord, et mettra en oeuvre de nouvelles actions de fond.

L'état français a passé la borne de ce que l'on pourra supporter. Dès à présent, Royauté-News soutiendra sans limite la révolte des Bonnets Rouges, y compris sur le terrain si la situation s'aggravait.          

Nous soutiendrons également tout mouvement de partition de la Bretagne, dans la tradition de Royauté-News. Nous la souhaitons, nous la soutiendrons, et l'accompagnerons jusqu'au bout.

Nous soutiendrons également toute initiative similaire en France, pour mettre à la porte ce gouvernement nuisible et proprement bon à rien, dont l'avatar présent tenterait presque d'égaler en insolence, l'insupportable massif d'imbéciles qui a déprimé depuis au moins trente ans toute prospérité et toute tranquillité.

Nous indiquons que toute violence policière devra être poursuivie par la violence.

La loi ne restera pas à l'état !

Royauté-News est favorable à la création d'un état souple pour les Roms en Europe Centrale.

Nous soutiendrons toute initiative en ce sens, ainsi qu'en général les propositions que pourrait présenter pour l'amélioration du Peuple Rom, M. Constantin Nigel Portica, ex-candidat aux élections présidentielles roumaines.