• La Rédaction

    On nous recommande cette marque pour les produits de la pêche bretonne. Nous les avons testés : les bocaux et conserves sont de la meilleure qualité et délicieuses !

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    Le site de La Pointe de Penmarch'

    La Pointe de Penmarch'


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  • Christophe Colomb ; vu par un marin - Jean-Baptiste Charcot

    Paulsen ;  21 septembre 2017 ;  23x23 ; 352 p.;  300 illustrations ; 56€.

    Le célèbre explorateur italien raconté par un aventurier du XXe siècle. Un texte incroyablement vivant, accompagné ici, par plus de 200 illustrations; Préface de Paul Chack ;

    Christophe Colomb ; vu par un marin

    Près de 400 ans après les expéditions de Christophe Colomb, Jean-Baptiste Charcot, le « gentleman des pôles », entreprend d’écrire sur le grand navigateur qui l’a précédé. Riche de son expérience d’explorateur et de marin au long cours, doté d’une solide connaissance des sciences grâce à son père médecin, c’est l’homme de métier qui s’exprime en expert, raconte le capitaine de navire moderne qu’était Christophe Colomb (l’un des premiers à utiliser des instruments tels que la boussole, le quadrant, le gouvernail d’étambot ou encore le bâton de Jacob) et dresse, à travers le personnage, un état des lieux de la Marine à la fin du XVe siècle.

    Il s’étend sans détour ni exagération, à la manière des véritables marins, sur sa prodigieuse aventure maritime, en nous faisant partager des épisodes de la vie des matelots embarqués, entre chants collectifs, labeur quotidien, mutineries et découvertes fantastiques. Conquistador, astrologue, chef d’expédition, marchand, vice-roi des Indes... On oublie souvent la qualité première du célèbre explorateur italien : son art des sciences de la navigation. Jean-Baptiste Charcot nous la rappelle dans un texte incroyablement vivant, ici accompagné par plus de 200 illustrations.


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  • La roseraie de Joséphine - Renée Grimaud

    Prisma ;  16 mars 2017 ;  244 p.;  16€95.

    "Pour le palais des Tuileries, Catherine de Médicis fit aménager un jardin à l’italienne où elle s’entretenait en toute discrétion avec ses secrétaires d’État. André Le Nôtre défia forêt et marécage avant de créer à Chantilly des miroirs d’eau qui éblouirent ses contemporains. Louis XIV aimait déambuler dans son potager et y cueillir dès mars les premières fraises. Quant à l’impératrice Joséphine, passionnée de botanique, elle collectionna de précieuses variétés de roses au château de Malmaison."

    La roseraie de Joséphine - Renée Grimaud


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  • La Rédaction

    Nous avons demandé à M. de La Garde, qui l'a bien connu et avec lequel il a travaillé en 2014 de manière rapprochée, un résumé biographique du défunt.

     

    Le baron Jean-Michel Parasiliti di Para (1942-2017) est issu d'une famille sicilienne installée à la fin du 19° siècle à Marseille avec son grand-père.

    Il suivit pendant une durée de vingt à vingt-cinq ans, le mouvement Scout, sa première formation sociale qui lui apporta le goût de l'altruisme et du service. Lorsqu'il quitta le scoutisme, il chercha une autre activité pour le remplacer, sans la trouver immédiatement.

    Il fut chef d'une compagnie de combat durant la Guerre d'Algérie, une expérience qui semblait l'avoir marqué, mais il ne souhaitait pas que l'on en parlât dans son groupe d'Araucanie.

    Ensuite il exerça jusqu'à sa retraite dans l'univers spécialisé de l'éducation pour enfants trisomiques, dans l'administration française où il atteint le niveau le plus élevé, celui de directeur général.

    C'est au cours de sa carrière professionnelle qu'il mérita cette décoration parmi les plus considérées des décorations françaises : celle de Chevalier du Mérite Agricole (il en devint ensuite Officier). De concert avec un ami chargé d'un autre service de l'administration - agricole celui-ci - et lui, faisant participer les élèves de son établissement, ils permirent de sauver la race porcine typiquement limousine des "culs noirs", qui était en voie de disparition.

    L'origine de la forme actuelle du nom Parasiliti di Para

    Son père, André Parasiliti, était le directeur du cinéma le Grand Rex à Marseille. Ses amis l'appelaient Para. Le nom se modifia en « Parasiliti dit Para », qui passa à l'Etat-Civil et subsiste parfois encore sous cette forme, mais la seconde, Parasiliti di Para est portée officiellement depuis 1972.

    Son orthographe « di » provient de la patente signée du roi d'Italie Umberto II, alors en exil au Portugal, en 1972, lors de la remise du titre de baron Parasiliti di Para. Cette forme est donc légale et reconnue car elle a été enregistrée en Espagne.

    C'est par hasard qu'il rencontra l'existence de l'Ordre de Saint-Lazare. Il s'y engagea, à l'époque où il n'existait guère qu'une seule branche principale, celle d'Espagne, à côté de la branche française, dite alors Brissac. Il s'engagea d'ailleurs aussi dans la seconde et suivit fidèlement les activités des deux branches et après une durée qui devait être de l'ordre de vingt-cinq ans, il fut désigné Commandeur, dans l'une et reçut la Grand-Croix de Saint-Lazare, puis, et c'est plus rare, de l'autre branche il reçut les mêmes distinctions.

    Il avait trouvé, à la mort de son père, des papiers conservés dans un grenier, et qui lui apprirent que son grand-père avait été en relations avec Achille Ier, le successeur du roi Orélie-Antoine, et que le père de ce dernier aurait même reçu à Marseille, usant d'un conditionnel prudent à ce sujet. L'histoire semble s'être transformée depuis, et la légende officielle aurait fait de son grand-père un ministre de Laure-Thérèse, la fille du 3eme roi, tandis que l'arrière grand-père aurait accueilli à Marseille, non plus Achille mais le roi Orélie-Antoine. De l'aveu même du défunt, rien n'existait plus d'effectif dans l'organisation du Royaume au temps de Laure-Thérèse, et nous ne nous avancerons pas sur ces deux questions.

    En 2012, le baron Jean-Michel Parasiliti di Para suivit une nouvelle branche de l'Ordre de Saint-Lazare, qui venait de se créer. Constituant autour de lui une petite équipe ne dépassant pas l'effectif d'une commanderie, et dans ce résumé nous ne formulerons pas de jugement de valeur à ce sujet, il devint Grand-Prieur de France de la branche Malta.

       Il faut signaler et reconnaître au défunt ce trait caractéristique : une connaissance historique précise de toutes les dynasties, une passion inaltérable pour les décorations assortie d'une précision en la matière que je n'avais jamais rencontrée, et en général, il avait la connaissance d'une foule de détails rares dans le domaine religieux et celui des Ordres de Chevalerie et n'intéressent qu'une poignée d'amateurs, avec un goût du détail particulièrement minutieux, et véritablement très érudite. Mais il est à noter que jamais, ni lui ni ses compagnons les autres conseillers du Royaume ne furent engagés dans les questions monarchiques, et c'est leur absence de connaissance dynastique qui était certainement leur point faible comme on l'a vu en 2014 - mais là, nous sortons du sujet.

    Il était devenu en 1995 Président du Conseil du Royaume, fonction singulièrement honorifique à l'ordinaire, comme toutes les autres fonctions du Royaume de l'ère du Prince Philippe. Mais il avait participé en cette qualité à l'élaboration des actes voulus par le Prince Philippe, qui instituaient une régence de l'épouse lors de la vacance. C'est à cette seule occasion, si rare, que le Conseil du Royaume était sollicité, et pour le reste, une nomination en son sein ne servait que de récompense aux membres que le Prince voulait distinguer.

    Il avait reçu du Prince Philippe le titre de baron de San Pedro de Hueyusco, transformé plus tard en titre de Duc. Il était deux fois Grand Croix de l'Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem, et Croix du Merite Pro Merito Melitensis de l'Ordre Souverain de Malte. Ne parlons pas des décorations automatiques, comme celle du Mérite National dont il était officier, il était aussi Officier des Palmes Académiques. Et bien entendu, titulaire des Ordres du Royaume.

     

         En lien avec la biographie officielle succinte publiée en 2014

    ©RoyautéNews


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  • Tito - Joze Pirjevec -

    Préface de Jean-Arnault Dérens ; Traduit du slovène par Florence Gacoin-Marks

    CNRS Editions ;  14 sept. 2017 ;  696 p.;  27€.

    Présentation officielle : Voici enfin traduite en français la grande biographie de Tito par Joze Pirjevec, saluée mondialement comme l’ouvrage le plus abouti sur l’ancien maître de la Yougoslavie. Fondée sur une quantité impressionnante d’archives inédites – découvertes à Belgrade mais aussi aux États-Unis, en Russie, en Grande-Bretagne, en Allemagne –, l’étude de Pirjevec explore les zones d’ombre, fait revivre les paradoxes et les ambiguïtés d’un Tito que rien ne semblait destiné à se hisser au rang des chefs d’État les plus influents du XXe siècle.

    Comment ce fils d’apprenti, ancien ouvrier d’usine, est-il parvenu à s’emparer du Parti communiste yougoslave ? Quelle fut la nature de son engagement dans les Brigades internationales du temps de la guerre d’Espagne ? Comment comprendre son rôle de partisan, passé maître dans l’art de la guérilla, durant l’occupation de son pays par les nazis ? Quelle fut sa responsabilité dans le massacre des Croates oustachis en 1945 ? Staline a-t-il vraiment cherché à l’empoisonner ? Comment, dans l’après-guerre, Tito s’est-il imposé comme l’une des principales figures des non-alignés ?

    Pirjevec n’élude aucune de ces questions, poussant son enquête dans les replis les plus intimes de ce grand amateur de femmes et de luxe, fasciné par le pouvoir qu’il exerça d’une main de fer malgré quelques timides concessions à la démocratie.

    Tito  -  Joze Pirjevec


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  • La Rédaction

    Le cercueil du roi Michel de Roumanie. Les funérailles ont été célébrées le 16 décembre à Bucarest. Les invités royaux : notre article du 15.

    © Maison royale de Roumanie


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  • La Rédaction

    Ce matin les obsèques de Jean-Michel Parasiliti di Para ont été célébrées à Notre-Dame de Marmande.

    Sa dépouille sera transférée à Marseille, dans le caveau familial.

    Suivra dans la journée une évocation biographique du défunt.

    Obsèques de Jean-Michel Parasiliti di Para

     

     


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  • La Rédaction

     

    Le documentaire  de Frederick Wiseman, actuellement sur les écrans, nous permet de visiter l'une des plus grandes bibliothèques du monde : celle de New-York. Sa durée : 3 h 17.


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  • La Rédaction

    Nous avons appris la mort de Jean-Michel Parasiliti di Para. Voici l'article que nous consacrons à cet événement.

    Il avait été notre invité en 2014, comme plus tard, l'avait été Stanislas Parvulesco en 2015.

    Pour nos lecteurs, et pour tous ceux qui souhaitent suivre l'actualité du Royaume fondé en 1860 par Antoine de Tounens, c'est François de La Garde qui avait pris la succession directe et légale du Prince Philippe comme l'indiquait un communiqué publié en Janvier 2015, et qui a adopté le nom de Philippe Orllie en 2016.

    M. de La Garde, ainsi connu sous cette appellation car c'est la tradition du Royaume, tradition suivie scrupuleusement par M. Parasiliti di Para, ne porte pas le titre de Prince d'Araucanie mais celui de Chef et Gardien de la monarchie Araucanienne, Successeur du Prince Philippe et Chef de la Maison Royale.

     

    Notre site publiera cette semaine une biographie complète du défunt.

    Décès de M. Parasiliti di Para

     M. Parasiliti di Para à la gauche du Prince d'Araucanie, au centre, il y a quelques années.


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