• La Rédaction

     

     

    C’est avec une grande peine que nous avons appris, à la Rédaction, le départ vers le Père, survenu le 8 novembre 2024 du Prince Antoine d’Orléans-Bragance, muni des sacrements de l’Église.

     

    Né en 1950, Il était le jeune frère de Dom Bertrand, devenu le Chef de la Maison Impériale du Brésil en 2022 par la mort de son frère aîné Dom Luiz.

     

    Son épouse est la Princesse Christine de Ligne. Leurs enfants sont Pedro Luiz (  ), Amelia, Rafael, et Maria Gabriella.

     

    Il avait été désigné en 2022 par son frère Prince Impérial du Brésil.

     

    Il était très engagé dans l’œuvre de restauration monarchique, sillonnant le pays.

     

    Il s’est éteint dans la partie Sud de Rio de Janeiro, où il vivait depuis 2015. Il souffrait depuis le mois de juillet d’une affection respiratoire et avait été hospitalisé.

     

    Le matin du samedi 9 novembre il a été célébré une messe à l’église de la Confrérie Impériale Notre-Dame de Gloire de la Colline, en présence des enfants du défunt, et de la Marine Brésilienne.

     

    Brésil : mort du Prince Antoine d’Orléans et Brangance


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  • La Rédaction

     

     

    Lecteurs, organisez des pétitions à Retailleau pour qu’il s’abonne à RoyautéNews.

     

    Tant que c’est encore gratuit, il y apprendra quelques bases dans l’art de gouverner.

     

    Nous l’avons dit il y a un an sinon plus, on n’arrêtera pas le commerce des substances dites illicites.

     

    Faire du Sarkozy.

    On ne rattrape pas en gesticulant, en faisant du Darmanin, du Walls, du Sarkozy, quarante ans au moins de cession programmée. [ pour le complément d’objet direct, s’abonner à RoyautéNews, et être patient].

    Pas plus qu’au lancer de formules.

    On en est gênés pour ceux qui croient encore à ces personnages dépourvus de toute idée qu’ils sont ridicules.

    Dans la présente société désemparée, c’est autant, voire beaucoup plus, la faute de ceux-là, que celle de ceux-ci ! Les premiers de concert, autorisant les seconds !

     

    Pour l’instant nous considérons que les polices n’ont plus à encombrer l’espace public. Leur présence en général, déjà inutile, provocatrice et brouillonne, dans le cas précis des trafics sera un atout sincère et décisif pour qu’ils se multiplient.

     

    Au menu :

     

    1. Aucun plan gouvernemental présent ou à venir pour éradiquer le " trafic " ne réussira.

     

    Prenons date !  Nous saurons le rappeler aux décérébrés de l’Union de l’Ordre et de la Matraque !

     

     

    2.  Les organisateurs du commerce des produits concernés sauront faire preuve d’organisation, et d’une ingéniosité déjà prouvée.

     

    Ils trouveront la clé, et ce, d’une manière stupéfiante !

     

    Ils rendront, en agissant eux-mêmes, la tranquillité aux villes étonnées ! 

     

     

    3.  La consommation a considérablement évolué. Il est inadmissible de l’interdire à des usagers raisonnés et a priori raisonnables. Les vrais drogués sont désormais pris en charge par des structures d’accueil. L’usage individuel, occasionnel, ou même régulier mais modéré autant que faire se peut, et se contenant dans ce qui doit demeurer de la responsabilité personnelle, cette denrée que l’ordre établi cherche partout à éliminer, n’a pas à être artificiellement criminalisé. Encore moins pour des raisons infondées, ni pour celles qui souhaitent demeurer obscures !

     

    Ce, sur fond de l’envie hypocrite de l’État de s’emparer du marché des substances interdites... Et de conserver aux lobbies pharmaceutiques leur privilège français d’empoisonner massivement la population et de façon la plus sournoise, au travers des tranquillisants et des neuroleptiques !

     

    Le faux combat des lobbies politiques est motivé par une toute autre visée que de démanteler les " trafics ". Il s’agit, ni plus ni moins, de donner l’impression d’agir  [ une des formes de la fameuse gesticulatio que nous avons précédemment définie ].

    C’est la partie visible du trafic, c’est l’apparent trouble à l’ordre public, qu’ils craignent ! Un enjeu électoral, doublé d’une obsession de faire croire à l’État !

     

     

    Dessert :  

     

    La question est aussi qu’on ne devra plus tolérer, de la part des personnages politiques que leur lâcheté / ou leur organisation convenue de la nuisance, leur serve de rente.

     

    Dans ce qui n’est pas une guerre, sinon dans le terrorisme du jargon officiel à quotient politico-réactif, nous espérons que les gangs gagneront haut la main la partie. Avant que leur activité s’auto-sécurise.

    Nous les y aiderons autant que possible sinon que nécessaire.

     

    Les risques effectifs qu’ils représentent sont avérés, il n’est pas question de l’ignorer, ainsi que les vies qu’ils peuvent prendre, mais ils se situent sur un plan hors de toute comparaison avec le but ultime que nous voulons obtenir : la reddition, de fait ou dans l’esprit de nos contemporains, de l’État et de ce qu’il représente aujourd’hui.

    Toute victoire, qu’il emporterait, serait d’apparence car une défaite pour les libertés et pour l’authentique démocratie. N’accordons pas à l’État et à l’ordre politique qui le traduit, le dividende de ses crimes sur la société, et des altérations toutes aussi mortelles qu’il y a produites depuis trop de décennies.


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  • La Rédaction

     

    Réserves alimentaires et de ménage à constituer

     

    La menace se précise.

    Le très complotiste Le Point le rapporte, ça ne peut être que faussement vrai.

     

    Aliments, eau, médicaments : en vue d’une Crise majeure ! C’est le rapport remis par l’ancien Président Finlandais le 30 octobre 2024 à la " Commission européenne "... (?) et qui conseille aux "citoyens européens"... ( ?? ) d’en effectuer des réserves. Bien limitées, au reste.

     

    Passons pour cette fois sur le « citoyen européen » qui se voit affublé d’une citoyenneté qui n’existe pas.

     

    72 heures, c’est peu... Mais suffisant pour saisir que le Complotisme Étatique ( Supra-Étatique sera plus juste ) a de beaux jours devant lui.

     

    Soit ça relève d’une stratégie d’infiltration, destinée à récupérer les sensibilités responsables ; soit pour se couvrir, et pouvoir dire  : Nous l’avions dit... il y aurait par conséquent de la méga-crise dans l’air, officiellement inscrite au Programme ; soit enfin qu’il ait fallu associer au pire, le retour prévu et évident du Donald Trump triomphant.

     

    C’est vrai qu’on ne nous dit pas tout, dit l’énervante sagesse populaire, et que les Centrales des Opérations combinées de Catastrophes ne manquent pas de scénarios du Tunnel de l’Horreur que, seules, peuvent concocter les entités maléfiques qui se sont emparées, par toute l’étendue du monde, des pouvoirs visibles et invisibles.

     

    Nous, modestes survivalistes, qui n’attendions pas une telle recommandation quasi-officielle de nos travaux, savons déjà quoi faire. Et distinguer les prédateurs déguisés du reste du troupeau.

     

    Et s’il s’agissait aussi de se défausser sur le « Citoyen »... 

    Citoyen, combien de tours pendables commet-on en ton nom !

    C’est sublime de transparence !  « En renforçant la résilience des individus, l’UE espère bâtir une "Union de la préparation" capable de faire face aux situations d’urgence sans dépendre exclusivement des États et des structures publiques. »

    Un peu comme à Valence, quoi... la cité martyre de la pluie et du gouvernement espagnol.

     

    Ben oui, il ne faudrait pas habituer les habitants à vivre en éternels parasites grevant les comptes d’un Système déjà suffisamment généreux. Un peu de civisme.

    N’oublions pas qu’en Chine, le montant de la balle qui exécute un mauvais citoyen est réclamé par facture, expédiée à sa famille.

     

     

    Plus tard en soirée, la brève Chronique.


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  • La Rédaction

     

     

    Le Président !

     

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    Le Président !

     

    Le Président !

     


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  • La Rédaction

     

    La leçon du roi d’Espagne vaut pour tous et partout

     

    Cet article n’est pas destiné à commenter la scène espagnole et l’attitude du pouvoir après la catastrophe naturelle de la région de Valence, ni les responsabilités des gouvernements espagnols qui n’ont fait qu’imiter au fil du temps des comportements observés ailleurs.

    _______

    Le rôle d’un roi d’Espagne n’est pas d’accompagner un ministre ou un premier ministre. Le roi doit jouer son rôle, loin de leur sillon, et ne tient pas son autorité des ministres et de la politique.

     

    En n’ayant pas cette pertinence, à l’instar des autres familles royales, tant ils sont tous les mêmes... eux aussi !.. tant leur esprit est gangréné par un air ambiant proche du gaz mortel des présentes sociétés... le roi d’Espagne a affaibli sa fonction et le symbole qu’il représente.

    _______

     

    L’article sert d’abord à illustrer aux gouvernants français, de tout échelon, de tout bord, ce qui va se produire inévitablement et à courte échéance.

     

    La mésaventure du roi Philippe, insulté et visé par des jets de boue - dans le fait qu’un roi d’Espagne n’a aucune action gouvernementale -  est à propos pour illustrer que la raison objective, le fait, sa réalité, leur explication, n’ont aucune prise sur la colère d’un peuple, et lorsque trop, c’est trop.

     

    Lorsque le flot, subit, vraiment subit, indiscernable dans son commencement, imprévisible quant à son moment, déferlera, pour eux il sera trop tard.

     

    C’est, sera, valable pour les dirigeants politiques, les baveux, les magistrats, et tous les tenants du système, du directeur général d’Administration centrale jusqu’au lampiste, des innocents se trouvant, malheureusement pour eux, sur la trajectoire, comme des zélés ou des pires jurés de l’État profond.

     

    Ce sera valable aussi pour les bons et pour les honnêtes, il y en a, car un ouragan déferlant ne concèdera pas de ces passes subtiles comme celles d’un torero.

     

    Nous ne dirons pas : À bon entendeur...

    C’est pour nous mêmes que nous avons dit cela, et pour le fait de l’avoir dit, et pour ceux qui le liront, et en seront convaincus, et pour ceux qui soutiennent notre motion générale et vision. 

     

    Nous savons, tous, nous qui comprenons la marche principale des choses, qu’ils n’écouteront pas, et ne changeront pas. Leur destin s’accomplira, et il est déjà écrit.

     

    Ils seront aux premières loges, pour subir, et nous pour contempler ce mouvement inexorable.


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  • La Rédaction

    Qu’en est-il, de la Sécurité ?

     

     

    Ceux qui découvrent depuis peu le Site ne le savent pas mais, selon notre conception, le Chaos est un état des choses ordinaire, voulu par ceux qui ont façonné la présente société, et aussi, un élément de gouvernement. Pour faire comprendre ce dernier point, c’est un peu comme la fameuse variable d’ajustement en matière de chômage ( le volant de 5% de chômeurs )... inventée dès les années 60 sauf erreur et pour la France ( Giscard ministre), car la notion fut inventée plus tôt. 

    Lorsqu’on étudie depuis longtemps les phénomènes sociaux, leurs transformations, on parvient à l’évidence de cette réalité, vérifiant ainsi ce que d’autres ont observé avant nous et qu’il nous ont transmis.

    Ces transformations ne proviennent pas d’une pioche sortie du hasard.

     

    _________

     

    Quant à la notion de sécurité, dès qu’on s’inquiète à son sujet de manière récurrente, c’est un aveu que la société va mal, et ce stade a été dépassé voici fort longtemps, quelques décennies.

    On, ici, tout le monde, s’est habitué à cette absence de la sécurité, elle est perçue comme appartenant, avec tant d’autres à ce décor de la fatalité qu’on admet comme celui du monde moderne, et pour cela entre diverses raisons multiples, comme par exemple qu’il s’agirait de contraintes, vues comme un prix à payer de nos conditions de vie, un peu comme les inévitables charges en sus du prix d’une location, pour tout cela, et dépossédé de tout recul, on ne sait plus agir.

     

    Lorsque la sécurité individuelle, et la sécurité collective n’existent plus, et que leur double absence se vérifie, on ne peut qu’aboutir à conclure de ce vaste défaut de l’État, comme cela fut jadis lors de périodes profondément troublées, comme au temps des Grandes Compagnies. Mais alors des raisons propres agissaient, bouleversant l’effet du naturel établi, et opéraient en leur nom. Toutes les ressources disponibles, situées du côté du naturel établi, bondissaient dès que possible vers les fauteurs de trouble.

    C’est là que toute comparaison de ce genre est impossible. Source, et organisateur de tous les troubles, d’abord, et régulateur de fait de ces troubles et de l’absence de réponse à leur apporter, tant à travers de ses polices que de ses autres instruments de domination, ensuite, l’État, en sa forme actuelle, dévoyée, ne correspondant même plus à ce qui fit sa force durant des décennies, est l’auteur premier, voire unique, et l’entreteneur de tous ces troubles et de leurs conséquences, et parmi elles, de la disparition de la sécurité.

     

    L’État doit être répudié dès l’instant qu’il n’accomplit pas son rôle ou lorsqu’il s’affirme officiellement ou effectivement comme ne se devant pas de l’accomplir. Il y a lurette que tout cela se vérifie.

    D’où... etc., les évidentes conclusions qui en découlent.

     

    Cela, que nous exprimons, est la véritable position de l’État, c’est-à-dire, non définie à partir de l’État, État factuel, devenu, en France notamment, tel qu’il s’exprime et se comporte, et se traduit aujourd’hui, de façon très vive depuis deux ou trois décennies, mais émise à partir de l’idée, foncière, d’un État, bien sûr nécessaire.

     

    Mais qu’est-ce que l’État ?..

    _________

    Un État digne de ce nom ne se méfie pas de ses habitants s’il n’existe pas de rupture dans le Continuum de ce qu’il est attendu de lui.

     

    L’État de fait est non pertinent.

     

    La sécurité due par l’État n’est pas " une mission... " terme officiellement passe-partout servi par le technocrate ou par l’élu, radicalement impropre, et tendancieux sans qu’on perçoive facilement ce déportement du sens.

     

    Le piège est refermé. Le piège de l’État. [    .......   à compléter ultérieurement    ]. Cette situation de folie, qui serait aperçue de tout visiteur stellaire, ou de tout voyageur du Temps, demeurant inaperçue ici, va jusqu’à se trouver et être constatée, légale, de toute apparence.

    _________

    Le devoir de chacun est de se protéger et de protéger les siens. D’où le hiatus entre les citoyens et tout ce qui représente la nature organique de l’État ravalé au Système. Ne parlons même pas des personnages de la politique, exécuteurs (!) d’une tâche ou non, se greffant par-dessus.

     

    Éternelle plaie que cette police, qui non seulement n’accomplit pas sa tâche, mais peut se permettre, révélant ainsi sa nature, de persécuter les citoyens, même en détresse, par cause de l’interaction non-indépendante établie entre l’autorité et cette police, assurant son impunité.

     

    Les logiciels d’opinion sur ces questions doivent être changés. Notamment chez ceux qui, à Droite, réclameurs de sécurité... soutiennent sans limites ceux qui l’interdisent !

     

    _________

    Aboutissant à la question naturelle qui en dérive :

    la nécessité de se défendre.

     

    N’abordons pas ici l’obligation de se défendre contre la police, ni contre les instruments de rétorsion de l’État contre les habitants, comme les radars routiers par exemple.

     

    L’interdiction du port du couteau. Désormais sanctionné en France par une amende d’au moins 500 euros, et si on constate l’absence de raison légitime de le transporter... quand l’arbitraire règne en maître par le Flic !  jusqu’à 15 000 euros et un an d’emprisonnement. (1)

     

    C’est la même ligne qui a confisqué les armes à feu hors permis. Les gens sont désormais égorgeables, facilement, à volonté, par les assassins en uniforme ou sans uniforme, et assurés aussi de ne plus pouvoir se révolter contre ceux qui détournent, confisquent, la puissance publique pour la retourner contre la population.

     

    _______

     

    La multiplication des attaques à l’acide en Grande-Bretagne, en l’espace d’un an, en raison des peines bien plus lourdes qu’en France pour les agressions au couteau.

    Plusieurs de six cents se sont produites. Elles sont le fait des gangs de la drogue mais frappent aussi des citoyens non impliqués dans le commerce des drogues, pour des motifs futiles.

    Le refus par les autorités britanniques de légiférer contre les agressions par produits toxiques, fait pour nous partie du crime organisé, le pire de tous les pires, car commis et prémédité par l’État, et impensable au naturel. C’est contre ces crimes d’État qu’il faut agir, et sans nuance, ni modération.

     

         On pourra consulter ce reportage sur les attaques à l’acide à Londres  [ Clic ]

     

    _______

    Tout cela, et le reste, est calculé. Et les conditions dans lesquelles sont plongés les habitants de la plupart des pays, outre la variété locale, sont les mêmes, pour le fond.

     

    Gouverner, se maintenir, par la Terreur, est la ligne fondatrice de ceux qui exercent l’autorité, l’autorité de fait, aujourd’hui.

     

     

    ________

    1.  Robert Paturel, le formateur bien connu et très respecté des services de police et ancien du GIPN, a confié à un de ses élèves travaillant dans les métiers de la sécurité qui nous l’a rapporté, au sujet du port ou de l’usage de la matraque individuelle même sans métal [ strictement parlant, non interdite par les textes à l’heure actuelle ],  (et donc, même si l’on travaille dans la sécurité) : « si un flic veut t’emm. ... il t’em...ra. »


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  • La Rédaction

     

    Révolution   -  Stéphane Bern nous berne

     

    Dire un mot, cet été, de la mort du Prince Michel de Grèce, a été " au-dessus de nos forces ". Puis vinrent la paresse, et l’oubli.

     

    D’abord, il aurait fallu que nous écrivions un mot pour rectifier l’énormité que venait de prononcer Stéphane Bern sur la Révolution quelques jours plus tôt.

     

    Puis, sitôt après, le petit groupe informel, mais puissant, composé d’éléments troubles, et de la pièce la plus visible et jadis maîtresse de la propagande des Orléans - le magazine Point de Vue, prestigieux jadis aussi, fut propriété, et est toujours dirigé par des parents des Princes d’Orléans, ce qui explique beaucoup et d’abord, son absence foncière d’objectivité -, et, par la plume sauf erreur de mémoire de leur ancien confrère Stéphane Bern, rendu pour l’occasion à sa qualité première, qui « récupère » la personne de cet excellent historien qu’était Michel de Grèce.

     

    On peut entendre que Michel de Grèce a influencé les journalistes qui débutaient à Point de Vue. Et sa proximité et fidélité aux Orléans, ce qui était bien normal puisqu’il était le fils d’une Princesse d’Orléans et qu’il fut élevé, après la mort de son père, par le Comte de Paris l’illustre, Henri Ier d’Orléans (1908-1999).

     

    Mais pas en omettant que le Prince Michel de Grèce, au-delà de la reconnaissance qu’il éprouvait pour son oncle, et pour Madame, la Comtesse de Paris, était lucide et leur avait conseillé de ne plus mettre en avant l’inévitable Louis-Philippe... C’est tout l’inverse qui se produisit, sans nuance et comme avec cette constante obstination quand les Orléans se plongent dans l’erreur.

     

    Et selon Stéphane Bern, s’exprimant en une autre occasion, il fallait dissocier la Révolution - avec son supposé bénéfice... - de la période de la Terreur.

     

    Comme c’est si trompeur de fausse facilité, et intellectuellement grossier...

    Nous n’ouvrirons pas le dossier ce soir, ni un autre jour.

     

    Au-delà de cette ruse typique qu’emploient pour tromper, des émanations plus ou moins directes en apparence, issues de la même source...

    On la retrouve avec le Système aujourd’hui. Pour certains de nos contemporains, il y aurait toujours, ou encore, quelques bénéfices, dans l’état actuel des choses avec son régime marécageux. Partant, tout est excusable. Même le pire. On croirait voir là le charlatanisme religieux, transposé à l’Histoire politique.

    Bénéfices qui ne peuvent se trouver que... dans l’imagination, et pourvue d’être, par lourd conditionnement, orientée et sélective.

     

    Nous aimons bien Stéphane Bern. Il est intelligent, qualité qu’on ne retrouve pas chez le petit groupe estampillé des acharnés "soutiens", fervents à plomber le sort de la famille d’Orléans, ce qui n’est pas pour nous déplaire, et c’est un mets de choix... dont très peu de personnes sauront saisir le sens, que ces obstinés "soutiens", tout en l’ignorant travaillent pour RoyautéNews...

     

    Et Stéphane Bern a transformé ses débuts en prestigieuse carrière, ce à quoi, aucun des précédents n’aurait pu rêver. Son action pour le patrimoine lui confère l’unanimité.

     

    Nous apprécions plus modérément les beaux articles, en apparence qu’il a consacrés au Duc d’Anjou, le Prince Louis, dans de prestigieuses revues comme Le Figaro Magazine, en les achevant en queue de poisson, avec les arêtes, relativement à l’espérance plausible que le Chef de la maison Capétienne représente à juste titre, hors du champ royaliste, pour beaucoup de Français et pour le camp modéré.

     

    Mais Stéphane Bern a le mérite de se souvenir qu’il fut congédié jadis par ces Orléans auxquels, jeune reporter, il s’était donné, y gagnant volontiers, au passage, esprit d’indépendance, et philosophie.

     

     

    Nous dirons un jour prochain ce que nous pensons des tentatives politiques de la dynastie Orléane.


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  • La Rédaction

     

    Il ne faudra pas moins d’une bonne partie des Saints et Bienheureux pour sortir le présent monde de la mélasse.

    Encore leur faudra-t-il de prendre la mesure de la catastrophe. Ici, toujours pas.

    C’est de la violence et du risque ultra en toute situation, habituelle ou non. C’est de cette radicalité dont il a été question brièvement sur notre Site ces jours-ci.

    Les Plaies d’Égypte n’étaient qu’une amusette.

    Voilà l’héritage, quand on se confie à des gens pareils, tous, ceux qui ont gouverné, comme ceux qui n’ont pas gouverné.

     

     

    Fusillade à Poitiers. Entre gangs. Mettant à contribution 600 à 700 personnes. Joli score.

    De ce jour, à il y a quelques semaines, le trafic visible et ailleurs que dans le Sud, n’existait pas. Maintenant, il existe, et prend des allures de peplum.

     

    À propos des gangs et de leurs démonstrations visibles :

     

       -   On ne les arrêtera pas. On, c’est la république. Avec son attirail.

       -   Nous l’avons dit voici plusieurs semaines. Les faits nous donnent raison.

       - Les gangs ne nous dérangent pas. Ce qui nous inquiète, et que nous déplorons, est que des innocents puissent être des victimes collatérales.

       - Le nouvel appariteur de Beauvau n’a vraisemblablement pas l’intention d’agir. S’il l’avait eue, il aurait évité de s’épancher et de fournir leur dose aux médias. Maintenant, les patriotes sont rassurés. Retailleau, il est musclé.

     

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    Ce format des petits articles qui sont reliés les uns aux autres ne sera pas une habitude. Le rythme demeure la chronique.


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    Tocqueville ; L’homme qui comprit la démocratie - Olivier Zunz

    Fayard  ;  (2022) ;   Poche, 9 oct. 2024  ;    480 p. ;    13 €.

     

    Présentation officielle : Alexis de Tocqueville fut à plus d’un titre un homme de son temps. Grand penseur, ennemi de tous les despotismes, il refusa de se contenter de la théorie, prenant une part active aux événements politiques troublés de son époque.

    Dans cette biographie, Olivier Zunz révèle comment ce jeune aristocrate français conçut, le premier, une théorie générale de la démocratie moderne. Son voyage aux États-Unis, à l’âge de vingt-cinq ans, fut pour lui une révélation, la découverte d’une société où l’égalité est source de liberté. Le succès de son livre majeur, De la démocratie en Amérique, consolida son engagement. Député, ministre de la IIe République, il se mit au service de grandes causes : abolition de l’esclavage, réhabilitation des criminels ou liberté de l’enseignement avec l’espoir de réconcilier État et Église. Mais son nationalisme l’aveugla, jusqu’à soutenir la férocité du projet colonial en Algérie.
    Refusant de soutenir le Second Empire, Tocqueville consacra ses dernières années à repenser l’histoire d’une Révolution française. Une leçon pour comprendre le monde contemporain.
     
    Olivier Zunz  est professeur émérite d’histoire des États-Unis à l’université de Virginie. Il a notamment publié Le Siècle américain  (Fayard, 2000) et La Philanthropie en Amérique  (Fayard, 2012).

     

    Cet ouvrage a reçu le Grand Prix de la biographie politique Le Touquet-Paris-Plage 2022.

     

    Tocqueville ; L’homme qui comprit la démocratie  -  Olivier Zunz

     

     


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  • La Rédaction

     

    Une éclaircie, c’est impossible 

     

    La mairesse de Paris se serait déjà organisée pour s’installer à Bruxelles à la fin de son présent mandat, si l’on en croît Le Canard Enchaîné, cité par 20Minutes. Pas à la Commission, heureusement... Mais au sein d’une fondation « taillée pour elle sur mesure ».

    L’expérience sinistre qu’elle aura fait vivre aux Parisiens au sens large, si l’info se vérifie, prendra fin grâce à cette bénédiction du Ciel.

    C’est la seule bonne nouvelle du jour, mais elle est de taille.

     

    En effet, rien ni personne n’aura su arrêter Anne Hidalgo dans sa folie destructrice des lieux de vie et du patrimoine. Devant son entreprise acharnée de déprédation : ni les associations, ni les élus ; ni aucune fondation : où sont-elles passées ?

     

    C’est cette absence qui traduit le mieux la réalité du pays. C’est le fait majeur, et non la liste impressionnante des nuisances de la maire, car on les connaît déjà, pour l’essentiel. 

     

    Cette femme n’aura laissé que ruine, dégoût, et salissure, au sens moral bien sûr, bien au-delà de ses déchets. Et même laissé contradiction : voici quelques jours, certains y allaient de leur salive pour condamner sans appel l’automobiliste qui a roulé sur un cycliste et l’a tué, c’est-à-dire, ne vouloir condamner que lui pour son coup de folie. S’offusquant qu’on puisse accuser ceux - elle parmi tant d’autres - qui alimentent de facon préméditée les divisions entre toutes catégories de personnes.

     

    Pour quitter ce dernier sujet, le seul qui concentre tous les malheurs - ceux que l’on voit, et ceux que l’on ne sait plus voir - et l’étendre à toute la société, au monde, au Temps, déjà ouvert, de pire et inimaginable radicalité dont on a assisté à quelques échantillons, les individualités conscientes qui croisent ces colonnes, et toutes les autres, n’ont rien d’autre à faire que se préparer, psychologiquement et matériellement. La suite sera rude.

     

    Ce qu’on nous impose se veut ultime et radical : nous le serons plus que lui !


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