• Suite des séries publiées par Royauté-News des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie et de leur famille, issues des prestigieuses collections de M. Yvan de Wilde, que nous remercions. ©Yvan de Wilde

    Paris, 1950


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  • Nouvelle série des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie et de leur famille, publiées par Royauté-News et issues des prestigieuses collections de M. Yvan de Wilde, que nous remercions. ©Yvan de Wilde

    La Duchesse de Ségovie en 1956

    Bourbon Ségovie - Nouvelle série  ( 5 )


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  • Nouvelle série des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie et de leur famille, publiées par Royauté-News et issues des prestigieuses collections de M. Yvan de Wilde, que nous remercions. ©Yvan de Wilde

    La Reine Victoria Eugénie et son petit-fils le Duc d'Anjou et de Cadix

    Bourbon Ségovie - Nouvelle série  ( 4 )


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  • Vous avez aimé, entre autres, Journal d'un chat assassin... Voici le dernier album !   De 7 à 10 ans ; ou ensuite...

    Le retour du chat assassin - Anne Fine, auteur ; Véronique Deiss, illustrateur.

    Collection Mouche, L'école des loisirs ; paru en 2015 ;  10 € 50.

    BD - Le retour du chat assassin

     


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  • La Rédaction

    La règle, lorsqu'on se déplace à l'étranger, est de respecter bien sûr les habitants des pays que l'on visite ainsi que les coutumes que l'on y rencontre. C'est valable aussi pour l'état d'esprit de leurs peuples, ou de leur culture. Pour cela, s'interdire d'émettre un avis trop rapide, même lorsqu'on  se trouve parfois déconcerté. Les pratiques évoluent d'un pays à l'autre, d'une latitude à une autre, cela est vrai, et heureusement. La courtoisie est une base dont beaucoup d'européens, et en particulier de Français, nés dans un environnement républicain, du moins celui d'aujourd'hui, sont dépourvus. C'est là aussi que l'on mesure la qualité de vie qui découle du régime que, presque toujours, l'on subit.

    Un voyageur français a donné un très mauvais exemple en Nouvelle-Zélande cet été. N'ayant pu réussir à se faire prendre en stop, mais il semble d'après certains articles, que les habitants avaient déjà eu quelques raisons de se plaindre de lui, son comportement, le fait d'arracher un panneau de signalisation et le jeter dans un cours d'eau, mais surtout, à notre avis, les insultes qu'il a émises contre les habitants d'un village, mais aussi contre les Néo-Zélandais en général, lui ont même valu une station devant un tribunal.

    Après avoir remis en cause la qualité de l'hospitalité du pays, dont selon lui il avait à se plaindre, il a été jusqu'à affirmer aux journalistes que le pays devrait être renommé Nazi Zealand...

    Il est à propos de rappeler que la grande majorité des touristes européens et français, ont un autre comportement. Et on pourra apprendre à cet indélicat touriste que 8000 Néo-Zélandais ont participé aux côtés de la France au conflit mondial de 14-18.

     


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  • La Rédaction

     

    François Mitterrand fut le dernier Président de la V° République. Avis rejoint par le Président Giscard d'Estaing qui récemment exprimait cette même vérité, dans ces termes : "Depuis vingt ans il n'y a plus de Président de la République en France".

    Peu de jours avant sa mort, François Mitterrand dans ses ultimes messages aux Français déclarait : « Je vais vers le Grand Peut-Etre... » ... « Je crois aux forces de l'esprit. Je ne vous quitterai pas. » Au moment de sa mort, certains journaux titraient même, devant le symbole étrange de ces paroles, car elles interpellaient, rejointes par la ferveur populaire : Saint François ? malgré une interrogation certes amusée et le représentant avec une auréole.

    Sans que notre Site puisse être soupçonné (mais non !) de Tontonmania... ce beau témoignage de Marie de Hennezel vient clore l'année-souvenir, l'année anniversaire, celle que nous avons appelée l'Année Mitterrand. Nous voulons exprimer ici la rupture qui se marque entre l'ère des hommes d'Etat et celle qui l'a remplacée. Notre propos, résolument hors des sentiers politiques,est e que nous voulons élever des traces de certains hommes ou de certaines périodes; qui ont témoigné d'un destin poursuivant tant bien que mal celui de l'Histoire.

    Disons aussi que la France se serait peut-être mieux portée si l'on avait senti vraiment, l'esprit de l'ancien président...

     

    Croire aux forces de l'esprit - Marie de Hennezel -

    Fayard, Versilio ; paru le 21 Septembre 2016 ;  210 p.;  19 €.

    Marie de Hennezel fut proche de François Mitterrand durant douze années. La thérapeuthe est l'auteur de nombreux livres, dont le célèbre La mort intime. Royauté-News

    Le résumé du livre par les éditeurs : "Je crois aux forces de l'esprit." Eclairer cette phrase, je pouvais tenter de le faire, puisque j'ai eu la chance d'être témoin pendant douze ans de la soif spirituelle de François Mitterrand. Un témoin privilégié, qu'il avait choisi lui-même. [...] Ce n'est pas l'homme public, ni même l'homme privé, que j'ai appris à connaître, mais l'homme intérieur, aux prises avec ses interrogations métaphysiques, curieux des choses de la mort et de l'esprit.
    L'homme profond, à certains égards mystique, ayant un sens du divin, une expérience sensible de Dieu, qu'il a dû garder toute sa vie au secret."

    Mitterrand et les forces de l'esprit - Marie de Hennezel


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  • La mondialisation malheureuse  - Thomas Guénolé -

    Inégalités - pillage - oligarchie

    Editions First ; paru le 15 Septembre 2016 ;  336 p.;  18 € 95.

    Par l'auteur de la préface, Bertrand Badie :

    Le monde est entré en ébullition. Qu’il s’agisse des printemps arabes ou d’ Occupy Wall Street, les occupations contestataires des places publiques de grandes villes se multiplient. Après le Brexit, l’Union européenne est menacée de démembrement. Front national en France, poussée de Donald Trump aux Etats-Unis : les mouvements anti-immigration montent dans presque tous les pays riches. Et tandis que Moscou et Washington s’affrontent à nouveau en Ukraine ou en Syrie, la Chine exige d’être reconnue comme l’égale des Etats-Unis d’Amérique, transformant la Mer de Chine en poudrière.Tout ceci a une cause globale : la mondialisation malheureuse. Contrairement à ce qu’affirment ses partisans, la mondialisation sous sa forme actuelle n’est pas  « heureuse ». Elle aggrave les inégalités. Elle précarise des milliards d’humains. Elle réduit en esclavage des dizaines de millions d’autres. Elle génère une crise mondiale des flux migratoires, qui en retour fait flamber la xénophobie. Elle pressure l’écosystème jusqu’à mettre en danger la survie de l’humanité.Thomas Guénolé soutient que si la grande connexion mondiale des peuples, des économies et des cultures est irréversible, en revanche cette mondialisation malheureuse n’est pas inévitable. Solutions concrètes à l’appui, il propose de la remplacer par l’altersystème : une mondialisation à visage humain. En conclusion de son livre, il affirme que la victoire prochaine d’un parti altersystème dans une grande puissance économique mondiale est inéluctable.

    La mondialisation malheureuse  - Thomas Guénolé


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  • Nouvelle série des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie et de leur famille, publiées par Royauté-News et issues des prestigieuses collections de M. Yvan de Wilde, que nous remercions. ©Yvan de Wilde

    Anniversaire de Don Jaime à la Villa Segovia, 1956. Aux côtés du Prince, l'Ambassadeur d'Espagne à Paris

    Bourbon Ségovie - Nouvelle série  ( 3 )

    Un clic sur la photo pour l'agrandir


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  • Nouvelle série des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie et de leur famille, publiées par Royauté-News et issues des prestigieuses collections de M. Yvan de Wilde, que nous remercions. ©Yvan de Wilde

    Don Jaime, Duc  de Ségovie. Devant le portrait du Prince des Asturies par László.

    Juin 1974

     

    Bourbon Ségovie - Nouveaux clichés  ( 10 )

    Cette photographie clôt cette série


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  • Les monarchies dans l'Europe moderne (XVIe - XVIIIe siècle)

    par Pierre-Yves Bercé, de l'Institut -

    Biblis ; paru le 10 Novembre 2016 ;  170 p.;  9 €.

    Résumé par Biblis : De la Renaissance jusqu’à la rupture de la Révolution française, la monarchie a été la forme politique dominante en Occident. Dans tous les pays, les attributs de la royauté signalaient son caractère sacré et sa vocation du bien public. Cette brève synthèse s’attache aux réalités du métier de roi, plus aux opinions et aux images qu’à la lettre des institutions. Elle s’étend jusqu’aux limites des pouvoirs royaux, jusqu’aux crises de succession et jusqu’aux épisodes de rejet des couronnes comme dans les Provinces unies ou les colonies anglaises de l’Amérique. Une puissante introduction à l’histoire de la souveraineté dans les Temps modernes.

    Les monarchies dans l'Europe moderne - Pierre-Yves Bercé


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