• Histoire de la Rome antique - Lucien Jerphagnon -

    Les armes et les mots ;

    Pluriel ; paru le 20 Septembre 2016 ; 620 pages ; 11 € 20.

    Un classique, dont c'est une des nombreuses rééditions, en format de poche. Royauté-News

    Histoire de la Rome antique - Lucien Jerphagnon


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  • Suite des séries publiées par Royauté-News des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie et de leur famille, issues des prestigieuses collections de M. Yvan de Wilde, que nous remercions. ©Yvan de Wilde

    Le Duc et la Duchesse de Cadix en compagnie de la Duchesse de Doudeauville et de M. Patrick de la Rode, et à leur gauche, du baron Pinoteau, à Paris lors d'une réception en 1976.


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  • La Rédaction

     

    La plateforme de recherche est déjà partiellement visible et en cours d'installation. Pour l'atteindre il suffit de se rendre sur la partie Nos rubriques, à gauche de note écran.

    Elle permet(tra) de trouver selon un classement plusieurs fois hybride, une sélection de nos articles parmi les plus important ainsi qu'une répartition selon certains thèmes variés.

    Il s'agit de retrouver facilement, par domaines et par personnages, les contenus essentiels.

    Bonne navigation !


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  • Dans la rubrique "Couvertures, articles ou titres idiots" dans notre moteur (bientôt).

    "Comment la matière a gagné son combat contre le néant".

    Notez-le. C'est dans Science et Vie. C'est scientifique, et donc ça ne raconte pas n'importe quoi. C'est même d'un bon niveau intellectuel. Le magazine pourrait concourir pour un prix de l'humour mondial à l'échelle planétaire.

    Cette couverture reçoit le prix Imbécile de la presse scientifique et non scientifique.

     sarcastic


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  • La Rédaction

    Plusieurs artistes, animateurs, comme Ardisson, ont déjà affiché leur préférence : elle va à la monarchie. C'est une tendance qui ne cesse de croître devant l'évidence de l'échec absolu d'une république qui n'a ni queue ni tête. Emmanuel Macron, l'an dernier, déclarait : « - Ce qui manque, en France, c'est un roi ».

    Dans Paris-Match cette semaine (8 au 14 Décembre), c'est au tour de Laurent Voulzy, qui réside en Angleterre et avait déjà énoncé sa sensibilité, en 2014 ; accompagné d'une remarque non moins intéressante d'Alain Souchon.

    « Paris-Match : ça manque, l'engagement, aujourd'hui ?

    Alain Souchon : Ça n'existe plus. Il n'y a que les Verts qui défendent une idée, celle comme quoi il ne faut pas trop abîmer la planète. Mais je ne voterai jamais pour eux, parce que par ailleurs ils nous (...). Avant on disait : "Les pauvres vont vivre mieux, on va tenir compte de leur misère." En fait, non, Mitterrand a tout foutu en l'air. Il n'y a plus d'idées, et donc, moi, je ne vote pas.

    Laurent Voulzy : Alain a raison, il y a néanmoins un manque de profondeur dans le quotidien. C'est pour ça que les artistes sont formidables. Peu importe l'artiste, mais au moins il fait vibrer les gens. Cela donne une force, au même titre que les prières communes. Si j'avais les larmes aux yeux quand Alain chantait "Et si en plus y'a personne", c'est parce que c'est plus fort que n'importe quel discours politique.

    Alain Souchon : C'est une exaltation un peu supérieure... Comme quand on voyait Charles de Gaulle à la télévision, on se disait : "cet homme est un héros." Quand Pompidou citait les poètes, on était impressionnés. Mitterrand faisait très bien le roi de France. On a perdu tout ça.

    Laurent Voulzy : On manque d'altitude. C'est pour ça que je suis pour la monarchie constitutionnelle. Les Anglais ont beau se foutre sur la gueule, au-dessus de tout ça, la reine apaise les conflits. »


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  • Bienvenue dans le pire des mondes - Natacha Polony -

    Plon ;  paru le 17 Novembre 2016 ;  216 p.;  17 € 90.

     

    Tout est dit. Sans présumer d'orientation politique éventuelle des auteurs, le thème partagé dans ce livre est celui que défend le Site depuis des années. Tant pis pour ceux qui n'ont pas voulu voir les transformations radicales subies depuis longtemps dans les pays  « civilisés ». Nous reviendrons sur ce thème. Royauté-News

    Présentation de l'ouvrage par la maison d'édition :

    Jour après jour, le monde s'installe dans une société totalitaire de moins en moins démocratique et le champ de nos libertés individuelles se rétrécit sérieusement. Exemples à l'appui, le Comité Orwell a choisi de dénoncer les dérives de nos sociétés. Parce qu'il y a peu de chances qu'un candidat à la présidentielle de 2017 se saisisse de ces sujets, alors qu'ils sont les seuls qui vaillent, les seuls qui déterminent la capacité à agir – ou la totale impuissance – du futur Président.

    A Pékin, Moscou, Ankara ou Ryad, des oligarchies confisquent le pouvoir au nom du parti communiste, de la Sainte Russie, d'Allah. Cela, c'est l'image que la très grande majorité des médias occidentaux diffuse pour éviter de devoir balayer devant leurs portes. Car le même phénomène est à l'oeuvre en Occident, dans ce que l'on appelle encore les démocraties occidentales.
    George Orwell, imprégné des horreurs du nazisme et des dérives du communisme, avait dépeint, dans 1984, ce que pouvait devenir notre quotidien dans un monde régi par un totalitarisme absolu. A contrario, le seul rempart contre de telles dérives reposait sur l'idéal démocratique et ses quelques libertés fondamentales.
    Or, insensiblement, nos sociétés que l'on croyait démocratiques le sont de moins en moins. Nous basculons dans un totalitarisme mou.
    Quel est ce système ? C'est celui ou, grâce à la technologie et au contrôle des flux financiers et commerciaux, quelques dizaines de multinationales, la plupart américaines, entendent organiser, orienter, régenter notre vie quotidienne. Pour le meilleur et pour le pire. Le meilleur ? C'est effectivement ce que nous ont apporté ces nouvelles technologies : smartphone, Internet, nano technologies, progrès de la médecine... Le pire ? C'est le nivellement par le bas, la société du tweet, la surveillance, la captation de notre argent, la normalisation de nos goûts, l'uniformisation de nos besoins. Le pire, c'est aussi que cette dérive se fait souvent avec le consentement de ceux qui en sont victimes... sans s'en rendre compte.
    Le champ de nos libertés individuelles se rétrécit sérieusement et un jour, peut-être pas si lointain, nos fiches détaillées nourries des milliers de données récupérées par les multinationales, seront mises au service d'un système totalitaire de moins en moins soft.

    Bienvenue dans le pire des mondes - Natacha Polony


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  • Le Chat dans l'Egypte ancienne - Jaromir Maleck -

    Traduction de Laurence Bobis ;

    Les Belles Lettres ; paru en Novembre 2016 ; 110 ill. ; 224 p.;  17 €.

    Présentation de l'éditeur : Aristocrate incontesté des animaux domestiques, le chat peut être fier de ses glorieux ancêtres. La plupart des chats que nous connaissons aujourd'hui sont considérés comme les descendants des félins égyptiens, constituant ainsi un lien vivant entre l'Égypte des Pharaons et le monde contemporain. Le chat sauvage fut domestiqué dès 2000 av. J.-C. mais ne devint un sujet essentiel des fresques funéraires égyptiennes que cinq cents ans plus tard, sous le Nouvel Empire. Vénéré comme manifestation de la déesse Bastet, cette noble et engageante créature fut l'un des animaux les plus importants et les plus estimés d'Égypte. On en trouve des représentations dans la peinture, la sculpture, les papyrus, les bijoux, les ostraca et les sarcophages dans toute l Égypte, et nombre de chats momifiés furent enterrés pendant la Basse Époque. S'appuyant sur cette grande diversité de sources, Jaromir Malek examine l'importance du chat dans la vie, la religion et l'art égyptien.

    Le Chat - Jaromir Maleck


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  • Charles Quint ; Empereur d'une fin des temps - Denis Crouzet -

    Odile Jacob ;  paru le 28 Septembre 2016 ;  669 p.;  29 € 90.

     


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  • Suite des séries publiées par Royauté-News des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie et de leur famille, issues des prestigieuses collections de M. Yvan de Wilde, que nous remercions. ©Yvan de Wilde

    Le Duc et la Duchesse de Ségovie à Antibes en 1951


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  • Le destin de l'Occident - Jacques Attali ; Pierre-Henry Salfati -

    Athènes, Jérusalem ;

    Fayard ; paru le 31 Août 2016 ;  252 p.;  20 €.

    Ce livre semble être une suite du roman La confrérie des éveillés, publié par Jacques Attali en 2004, autour de la rencontre, au XIIème siècle, des deux immenses savants Averroès et Maïmonide. C'est l'entrée de la raison dans la foi, héritage d'Aristote, afin de comprendre le monde, qu'ils défendent l'un et l'autre. Héritage tracé, selon l'auteur, par la pensée juive. Royauté-News.

    Commentaire du livre par les auteurs : « Il peut paraître étrange, à un moment où seul l’avenir devrait nous concerner, de s’intéresser aux relations entre deux modes de pensée nés quelque part au Moyen-Orient il y a plus de trois mille ans. Et pourtant, rien n’est plus actuel, plus nécessaire, plus urgent, pour comprendre ce qu’est réellement notre monde, que de dévoiler les fondements de la civilisation occidentale, aujourd’hui pratiquement planétaire, si admirée et si détestée à la fois. Et ces fondements sont essentiellement juifs et grecs. Judéo-grecs.
    Le dialogue entre la pensée juive et la pensée grecque a construit un système de valeurs, une utopie sociale glorifiant l’individu, la liberté d’être et de penser, la raison, la découverte, l’accumulation de connaissances, l’amélioration du monde matériel. C’est de lui que surgit le refus de la fatalité, du destin, et que découle la liberté des hommes s’imposant contre celle des dieux. C’est avec lui que commence le règne de la raison, inséparable de celui de la liberté. Si les Juifs prônent l’infini et l’espérance, si les Grecs prônent le fini et la raison tragique, ils convergent autour d’une idée qui fonde l’Occident : l’Unité. De Dieu. De l’Homme. Des causes.
    Pourtant, cette double origine judéo-grecque si fondatrice est totalement méconnue : si la civilisation occidentale admet sa filiation grecque, elle néglige en général ce qu’elle doit au judaïsme, préférant se référer au christianisme.
    C’est donc une sorte de psychanalyse de la civilisation occidentale, pour dévoiler et assumer ses secrets de famille, que nous proposons dans ce livre. Car là réside la condition de sa survie. »

    Le destin de l'Occident - Jacques Attali ; Pierre-Henri Salfati


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