• Le désastre de l'école numérique - Philippe Bihouix ; Karine Mauvilly -

    Plaidoyer pour une école sans écrans ;

    Seuil ; paru le 25 Août 2016 ;  240 p.;  17 €.

    Philippe Bihouix est centralien, il a été ingénieur-conseil en divers secteurs industriels ou à des postes de direction. Auteur de L’Âge des low tech, vers une civilisation techniquement soutenable (Seuil, Prix de la Fondation d’Écologie Politique 2014).

    Karine Mauvilly est historienne et juriste de formation, diplômée de Sciences-Po Paris, et a été journaliste puis enseignante en collège public, poste d’observation privilégié de la mutation numérique en cours. Royauté-News

    Présentation officielle :

    Pendant que certains cadres de la Silicon Valley inscrivent leurs enfants dans des écoles sans écrans, la France s’est lancée, sous prétexte de « modernité », dans une numérisation de l’école à marche forcée – de la maternelle au lycée. Un ordinateur ou une tablette par enfant : la panacée ? Parlons plutôt de désastre.
    L’école numérique, c’est un choix pédagogique irrationnel, car on n’apprend pas mieux – et souvent moins bien – par l’intermédiaire d’écrans. C’est le gaspillage de ressources rares et la mise en décharge sauvage de déchets dangereux à l’autre bout de la planète. C’est une étonnante prise de risque sanitaire quand les effets des objets connectés sur les cerveaux des jeunes demeurent mal connus. C’est ignorer les risques psychosociaux qui pèsent sur des enfants déjà happés par le numérique.
    Cet essai s’adresse aux parents, enseignants, responsables politiques, citoyens qui s’interrogent sur la pertinence du « plan numérique pour l’école ». Et s’il fallait au contraire faire de l’école une zone refuge, sans connexions ni écrans, et réinventer les pistes non numériques du vivre-ensemble ?

    Le désastre de l'école numérique - Philippe Bihouix : Karine Mauvilly


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  • La Rédaction

    Le Duc de Bauffremont dans le cours des années 70.

    ©Royauté-News ; Cliché issu de la ©Photothèque Bauffremont

    Il est aujourd'hui le Président émérite de l'Institut de la Maison de Bourbon, dont il fut l'un des fondateurs, et le Président depuis sa création jusqu'en 2009.

    Le Duc de Bauffremont


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    Une conférence de Maître Daniel Heck autour de l’œuvre rééditée Sanguis martyrum de Louis Bertrand, de l'Académie Française (son cousin, mort en 1941) se tiendra le 6 Février 2017 à 19 h à Paris.

    Cette conférence est organisée par l'IMB, l'Institut de la Maison de Bourbon.

    DRAC, 8 bis rue Vavin, 6° Arrondissement.

     

    Sanguis martyrum - de Louis Bertrand, de l'Académie Française

    Préface du Cardinal Poupard ; Via romana ; le 1er Juin 2016 ;  24 €

    Présentation officielle :

    « L’ignorance française du passé africain stupéfiera nos descendants » s’exclamait l’académicien Louis Bertrand, lors d’une conférence tenue devant 2000 personnes à Alger en 1922…
    Ne l’oublions pas, l’Afrique du Nord n’a pas toujours été "terre d’islam”, ni dominée par les Arabes. Bien avant, elle fut l’une des provinces les plus prospères de l’Empire romain et c’est sur les débris de son paganisme que fut édifié le christianisme triomphant de Tertullien, de saint Cyprien, de saint Augustin surtout, faisant de l’Église d’Afrique l’une des plus vivantes et des plus rayonnantes du Ve siècle, « la mère, l’éducatrice et la lumière de nos Églises d’Occident ».
    Mais pour cela, que d’efforts, que de sacrifices, que de martyrs !
    Louis Bertrand, dans un livre au succès considérable, en a fait en 1918 le sujet de ce roman historique flamboyant. « Qu’est-ce donc que Sanguis martyrum ? C’est la mise en action du fameux apophtegme de Tertullien : sanguis martyrum, semen christianorum (sang des martyrs, semence de chrétiens). Sur une intrigue, qui n’est pas la part la moins forte ni la moins émouvante, Louis Bertrand montre comment la mort d’un martyr (saint Cyprien, évêque de Carthage) sème une graine de grâce qui s’enfonce dans la terre – sous terre, même, dans les mines où les esclaves chrétiens souffrent mort et passion – pour ressurgir dans un martyre collectif, qui est une moisson d’âmes radieuses pour le paradis : le paradis à la lumière des épées, des glaives des bourreaux », comme l’a excellemment résumé l’abbé Jean Bayot lors du colloque sur Louis Bertrand (publié par Via Romana en 2015).

       Pour écrire ce roman aux faits historiquement exacts et parfaitement reconstitués, nul n’était plus désigné que Louis Bertrand, indéfectible disciple de Flaubert, par son lyrisme puissant et son vigoureux talent, lui, ce Lorrain d’origine, normalien des plus brillants, futur successeur de Maurice Barrès sous la Coupole, qui par son séjour comme jeune professeur à Alger de 1891 à 1900 avait découvert, ébloui, le passé romain et chrétien de l’Afrique du Nord, dont il devint l’incomparable historien.

    Martyrs chrétiens d'Afrique du Nord : conférence à l'IMB


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  • Catherine II - Hélène Carrère d'Encausse de l'Académie Française -

    Un âge d'or pour la Russie ;

    Pluriel ;  656 p.; ( 2011) reparu le 21 Septembre 2016 ;  12 € 20.

    Catherine II - Hélène Carrère d'Encausse


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  • La guerre civile russe  1917-1922 - Alexandre Jevakhoff -

    Perrin ; paru le 19 Janvier 2017 ;  688 p.;  28 €.

     

    Extrait de la Présentation officielle :

    Pour la première fois, une synthèse globale sur la Guerre Civile (1917-1922), qui ne se focalise pas sur la geste communiste mais interroge tous les acteurs de cette tragédie russe (Rouges, Blancs et Verts).

     

    La guerre civile russe - Alexandre Jevakhoff


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  • La Rédaction de Royauté-News

    En attendant l'élection du prochain Grand-Maître, voici un Français, qui a accompli un long parcours jusqu'aux plus hautes fonctions de l'Ordre.

    Le Prince de La Rochefoucauld-Montbel, Grand-Hospitalier de l'Ordre Souverain de Malte.

    Le Prince de La Rochefoucauld-Montbel

          ©Ordre de Malte

    De 2001 à 2014 il a été le Président de l'Association française des membres de l'Ordre de Malte. Il a été Vice-président des Œuvres Hospitalières de l'Ordre de Malte, et Vice-président de la Fondation française de l'Ordre.


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  • Le château de Versailles ; vu par ses photographes -

    collectif ;

    Albin Michel ;  Château de Versailles ; paru le 9 Novembre 2016 ;  366 x 262 mm ;  272 p.;  59 €.

       Versailles vu par des photographes ;

    Le château de Versailles

     


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  • La Rédaction

    Ces remarques (en bleu) en complément de notre article du 26 Janvier (en noir), et prévues pour s'ajouter à celles de samedi 28 Janvier. Demain mardi et mercredi, nous entrerons un peu plus dans le détail, mais l'essentiel est là.

    Rien n'est clair dans cette démission, que l'on s'accorde à dire comme voulue par le Pape François.

    La vérité officielle n'est pas celle qui a présidé aux événements, comme nous le réaffirmons.

    Quoi qu'il en soit, le Conseil se réunira prochainement pour procéder à l'élection d'un nouveau Grand-Maître.

    Tout le monde empile les maladresses, jusqu'au communiqué du lieutenant intérimaire de l'Ordre.

     
    En cause, l'épouvantable insuffisance de la communication vaticane, ca-tas-tro-phique depuis les dernières années Jean-Paul II.
     
    En contre-point de notre article de samedi, depuis l'arrivée de Jean-Paul II, ce furent des brassées de collaborateurs divers, de clercs, dépourvus de la traditionnelle habileté vaticane.

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  • La Rédaction

     

    Rien n'est clair dans cette démission, que l'on s'accorde à dire comme voulue par le Pape François.

    La vérité officielle n'est pas celle qui a présidé aux événements, comme nous le réaffirmons.

     

    Quoi qu'il en soit, le Conseil se réunira prochainement pour procéder à l'élection d'un nouveau Grand-Maître.

     

    Mercredi, notre présentation sur l'essentiel de l'Ordre


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  • Churchill et la France - Christian Destremau -

    Perrin ; paru le 12 Janvier 2017 ;  576 p.  24 €.

    Présentation officielle :

    La magnifique mais complexe relation de Winston Churchill avec la France racontée pour la première fois.

    «Français, c'est moi, Churchill, qui vous parle.» Le lundi 21 octobre 1940, les auditeurs français de la BBC entendent pour la première fois la voix du Premier ministre qui s'adresse directement à eux, et, au surplus, dans leur langue. En revanche, ce n'est pas la première fois qu'ils entendent le nom du plus célèbre Anglais du XXe siècle.
    La relation entre Churchill et la France ne se résume pas aux séjours de Winston dans les luxueuses villas de la Côte d'Azur ou aux liens établis avec de Gaulle. Très tôt, en effet, Churchill a baigné dans l'histoire de France et a été initié à la langue française. C'est ensuite par ses activités politiques et militaires qu'il ne cessera d'entretenir une relation privilégiée avec la France, plus qu'avec les Français, qu'il connaît en réalité bien mal. Car la France de Churchill, c'est une histoire pleine de bruits et de fureur, c'est Jeanne d'Arc, Napoléon, c'est la solidité du poilu et la Première Guerre mondiale, c'est Clemenceau et la force de la volonté et du verbe. Parfois admiratif du génie français, parfois exaspéré par les «frogs» – « Les Français sont vraiment une nation méprisable », dit-il au moment de l'affaire Dreyfus –, l'hexagone aura toujours une place particulière dans la vie et l'imaginaire du Britannique. Et si, déclare-t-il un jour, « le Tout-Puissant dans son infinie sagesse, n'a pas jugé bon de créer les Français à l'image des Anglais », il sait bien que, sans cette France turbulente et imprévisible, il n'aurait sans doute pas connu un tel destin.

    Churchill et la France - Christian Destremau


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