• Nouvelle série des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie et de leur famille, publiées par Royauté-News et issues des prestigieuses collections de M. Yvan de Wilde, que nous remercions. ©Yvan de Wilde

     Au début des années 50


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  • Nouvelle série des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie et de leur famille. Elle sont issues des prestigieuses collections de M. Yvan de Wilde, que nous remercions, et publiées par Royauté-News. ©Yvan de Wilde

    Le Duc et la Duchesse de Ségovie à Paris en 1972


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  • Femmes de Versailles - Alexandre Maral -

    Perrin, Pour l'Histoire ;  paru le 27 Octobre 2016 ;  392 p.;  23 €.

    Femmes de Versailles - Alexandre Maral

    On se demande pour quelle raison cet auteur, véritable spécialiste de Versailles, expert de haut niveau, éprouve le besoin d'accompagner son livre d'une préface par un non-spécialiste... Il doit s'agir d'une de ces anomalies dont il semble être la saison. Royauté-News


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  • Nouvelle série des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie et de leur famille. Elle sont issues des prestigieuses collections de M. Yvan de Wilde, que nous remercions, et publiées par Royauté-News. ©Yvan de Wilde

    Le Duc de Ségovie au Château de l'Andelle en 1963


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  • La Rédaction

    Voici la preuve, en lien avec notre article d'hier que les Orléans pourraient s'illustrer dans leur « domaine » qui est considérable, sans tenter de représenter de la maison de Condé.

    Le 8° Régiment de Dragons a porté le nom de Penthièvre depuis 1737 (date à laquelle le Duc de Penthièvre, devenu Grand Amiral de France, prend son commandement) jusqu'à la Révolution déjà entamée (1791). Devenu Lancier, il a même reçu au 19° siècle, en 1814, le nom de Régiment du Dauphin et redeviendra quelques années plus tard un régiment de Dragons. Ce régiment a une histoire militaire glorieuse jusqu'à nos jours, il a participé à des grandes batailles de l'Empire et du Pré-Empire (Rivoli, Marengo, Austerlitz, Heilsberg) ainsi que dans les 1ère et 2eme Guerres Mondiales, et il pourrait naturellement être parrainé par un Prince d'Orléans.

    Les Ducs de Penthièvre, issus de Louis XIV, étaient une branche de la maison royale de France et font partie du patrimoine familial de la maison d'Orléans dont elle était l'héritière directe. Elle a reçu sa fortune, la plus considérable de France.

     

    Deux exemples d'insignes(correspondant aussi aux pucelles) du 8° Dragons. La première appartient à l'Amicale de ce Régiment. Les amateurs reconnaîtront immédiatement l'écu royal au bâton péri de Bourbon-Penthièvre.

     

     


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  • Par La Rédaction de Royauté-News

     

    Les deux exemples de dignités usurpées que nous présentons concernent la France. Le Prince Jean d'Orléans, Duc de Vendôme, héritier au troisième rang pour les partisans de la maison royale d'Orléans, est devenu au mois de Mai le parrain du 4° Régiment de Chasseurs. Ce Régiment a porté autrefois le nom de Régiment de Clermont (jadis nommé Clermont-Prince dans le jargon ordinaire des siècles passés). Or le titre royal de Clermont appartenait à la branche des Princes de Condé, et c'est de cette branche qu'il avait été nommé. Il se trouve que les Orléans se sont attribués depuis ( 19° siècle) le titre de Comte de Clermont, porté pour la première fois par Robert, dernier fils de Saint-Louis, et traditionnellement porté par l'héritier du Chef de la Maison de France, (qualité arborée par les Orléans) c'est-à-dire aujourd'hui, par le fils aîné, François, du Comte de Paris Chef des Orléans, représenté par son frère le Duc de Vendôme. Mais dans leur qualité de Prétendants et d'héritiers de la couronne de France, l'assimilation, ainsi, est facile. Mais elle n'est pas acceptable. Les Orléans, Comtes de Clermont peuvent représenter des Orléans Comtes de Clermont mais ne peuvent représenter une dynastie qui n'est pas la leur et à laquelle tout oppose.

    Or les Orléans ne peuvent se prévaloir de la maison de Condé, si fidèles aux rois et l'un des joyaux précieux de l'ancienne royauté française. Après avoir obtenu pourtant l'héritage matériel des Condé, ils ont essayé d'accaparer leurs titres et les ont portés, d'ailleurs avec élégance et leur assurant un nouveau prestige.

    Le Duc d'Aumale, qui lui, était honnête, s'était dépouillé assez vite de cet héritage en l'offrant à la France. Les Orléans ne peuvent se réclamer que des Orléans, et on trouvera en bonne logique, que cette famille si satisfaite d'elle-même se suffise enfin de l'aire à elle naturellement dévolue par l'Histoire et le droit.

    Les Princes d'Orléans ne peuvent réclamer aucune tradition morale provenant des Condé, même dans le cas du Prince Jean, qui par le fait, on pourrait dire du hasard, se trouve être un descendant - parmi d'autres... - des Condé. Sans aucun droit de se réclamer de cette branche de la maison royale de France. Du Comte de Paris à son fils le Duc de Vendôme, n'existe aucune différence de nature. Ils appartiennent l'un et l'autre à une famille identifiée comme limitée, réservée à sa seule dimension à dire vrai originale, propriétaire d'un label de  virtualité immuable et sise en dehors de la monarchie traditionnelle, celle d'une famille rivale des rois de France, ennemie de l'ancienne royauté française, perpétuellement en lutte pour tenter de s'imposer contre des rois qu'ils n'aimaient pas et dont la formule est l'antithèse absolue. Leur droit de proposer leur formule, pas celui de s'accaparer un héritage qui ne leur reviendra jamais. On apprécierait les Orléans, sans toutefois adhérer à leurs idées, s'ils s'arrêtaient à un exercice d'ailleurs assez réussi dans le rôle du panache, sans défier le sens élémentaire, un sens qui n'échappe à personne. Sauf à une poignée d'illuminés. Les Orléans, depuis peu, redevenus remuants, se verront opposer toute critique dès lors qu'ils déborderont de leurs droits propres, inextensibles, impuissants à phagocyter l'ancienne royauté.

                                                                 *          *          *

    Autre cas célèbre dont le Figaro parlait le 16 Août 2016 à propos du locataire de l'Elysée visitant le Pape. Un encart, sur la page consacrée à ce non-événement rappelait, dans un raccourci simpliste mais soulignant l'inculture génétique des gens de Droite, l'origine de cette dignité accordée au roi Henri par le Chapitre de Latran. Origine, le don d'un monastère par Henri IV, dépourvu depuis si longtemps d'aucun sens. 

    Prétendre qu'un président de la république soit un héritier des rois des France est proprement répugnant et doit susciter la plus grande révolte.

    Le cas encore des Chanoines de Latran. A partir d'une habitude prise avec Henri IV, d'octroyer à chaque roi de France une place au sein des Chanoines de la Basilique de Latran, tradition qui n'avait plus de sens après la Révolution, cette ridicule prétention des présidents de la république a été ressuscitée. Que le Général de Gaulle ait renoué avec cette tradition, quoi de plus normal. Après lui, cela n'avait plus aucun sens et que le Président Giscard d'Estaing l'ait demandée est un exemple de l'inconscience qu'il a toujours manifestée en toutes choses, y compris pour les institutions qui ont un sens et une importance ; il a toujours agi comme si ses successeurs seraient comme lui, sur un nuage ; seraient dignes, légitimes, incarnant le pays ; que les choses demeureraient immuablement. Il a forgé des institutions, renforcé celles qui existaient, pour les transmettre à une succession d'emplâtres, spécialement à partir du Grand Jacques, celui-ci essentiellement occupé comme son nom l'indique à faire le Jacques. Ensuite, la suite découle, inexorablement. L'affaiblissement constant, la cession en paquet cadeau du pays à des métèques et à des crétins de classe mondiale, incapables, virulents, insolents, obscurs, qui ont implanté en France la dictature sous le joug de laquelle elle se trouve aujourd'hui. De la dictature de l'imbécillité découle nécessairement et impitoyablement la dictature tout-court.

    Dans le premier cas évoqué dans cet article, comme dans le second, on se trouve également dans la confusion, traits constants de la république : le mensonge, et s'attribuer ce qui n'est pas à soi.


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  • Les Romanov - Simon Sebag Montefiore -

    Calmann-Lévy ; paru le 26 Octobre 2016 ;  660 p.;  27 € 90.

    Les Romanov - Simon Sebag Montefiore


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  • Napoléon ; 1769-1802 - Patrice Gueniffey -

    Folio ; paru le 13 Octobre 2016 ;  14 € 90.

    Il s'agit de la reparution en Folio de l'ouvrage que notre site avait présenté ;

    Napoléon  - Patrice Gueniffey


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  • La Rédaction

     

    Un article du Monde , qui ne passe pas inaperçu, dans le monde entier. Carole Bouquet envoyant valser un imam pénible, au moyen d'une paire de claques. C'est splendide !

    Surtout sur une chaîne publique, à 21 h ! La scène se passe au cours d'un voyage en pays musulman. Les Hommes de l'ombre,  série culte qui en est à sa troisième et dernière saison sur France 2, est scénarisée par Dan Franck, qui à son actif a plusieurs ouvrages politiques ainsi que des scénarios politiques eux aussi pour la télévision. Elle fait entrer le téléspectateur dans les coulisses d'un président. Il est censé ici représenter François Mitterrand puisqu'il s'agit du premier Président de Gauche. On y voit le ballet des conseillers directs, les coulisses (à piston) où tout se décide. Palpitant, paraît-il.

    En plus d'envoyer valser l'Imam - le meilleur moyen de le faire filer doux - le personnage incarné par Carole Bouquet fait relancer - toujours dans le scénario - une enquête sur les droits de la Femme dans un pays musulman. Il y a des jours où l'on verrait d'un œil neuf la télévision. Sans aller jusque-là, applaudissons et saisissons au vol l'excellente idée : dès qu'un imam sera hargneux, (res)sortez la paire de claques. Valable si n'importe quel barbu - ou pas barbu - prétend, ayant reçu l'aval des crétins d'en haut, nous expliquer comment on doit faire.

    C'est par là, et il y a longtemps, qu'on aurait dû commencer.


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  • Les mémoires de Zeus - Maurice Druon, de l'Académie Française -

    Bragelonne ; paru le 18 Novembre 2015 ; 352 p.;  16 € 90.

       Une nouvelle édition dans une édition très élégante ; Royauté-News

    À ceux qui pensent que vivre pour un dieu est aisé, je dis « Détrompez-vous. » Aux mortels qui croient que notre vie n’est que volupté et délices, je dis : « Apprenez de votre erreur. » Ayant échappé à l’infanticide, j’ai grandi seul, caché sur une île. Je suis devenu homme, et, guidé par ma grand-mère Gaia, j’ai concocté un plan afin de renverser mon père, Cronos, maître de l’Olympe. Seul, j’ai appris la vie, l’amour, la mort et la colère. J’ai levé une armée, j’ai réveillé les géants, j’ai libéré mes frères et mes sœurs. J’ai accompli mon destin ! Moi, Zeus, roi des dieux, dieu des rois, je vais vous conter mon histoire.

    Les mémoires de Zeus - Maurice Druon


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