• La Rédaction

    Google s'achète la presse

    Le géant Google veut "acheter"pour un milliard la presse "de qualité".

    Lui offrir une rémunération pour les contenus diffusés sur Google.

    Ainsi, tous ceux qui ne font pas partie des grands organes classiques de presse seront ravalés encore plus dans l'oubli sur un Internet qui était censé donner la parole aux gens.

     


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  • Gouverner la haine - Michel de L'Hospital

    Discours politiques du temps des guerres de religion (1560-1568)

    Paleo ; 27 Juillet 2015 ; Édition Brigitte Hersfeld. Orthographe modernisée.  190 p.;  28€.

    Résumé Decitre : 1559. Le roi de France Henri II meurt accidentellement. La reine, Catherine de Médicis, est investie de la régence. Elle doit vite faire ses preuves politiques dans un pays divisé. Entre les Catholiques et les Réformés, entre Guises et Coligny, sa marge de manœuvre est étroite. Il faut gagner du temps, abaisser la puissance des uns, contenir celle des autres, dégager partout l'autorité du roi. En 1560, elle charge Michel de L'Hospital de mener à bien cette tâche.
    Surintendant des finances, président de la Chambre des comptes, Michel de L'Hospital est déjà bien rompu aux affaires. Pour lui, la querelle religieuse n'est qu'un prétexte aux ambitions politiques des uns et des autres. Elle s'évanouira d'elle même dès que l'autorité du roi sera affermie ; pour cela il faut réformer l'État, son administration, ses finances et surtout sa justice. C'est ce qu'il va s'employer à faire pendant huit années, de 1560 à 1568, à la chancellerie.
    Pourtant en 1562, c'est le massacre de Wassy et en 1572 la Saint-Barthélémy. Alors ? Qu'a-t-il manqué à Michel de L'Hospital pour réussir ? Peut-on vraiment gouverner sans prendre parti ?

    Gouverner la haine - Michel de L'Hospital


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  • La Rédaction

    Persécutions des États contre Internet - Diminution du nombre de parlementaires italiens

    Récemment, en Espagne les autorités utiliseront WhatsApp pour répandre ses informations sur le Covid...

    Cette accord avec le réseau social a-t-il été forcé ? On peut le penser, un projet de loi instaurant une taxe sur les applications de messagerie, telles que Messenger, WhatsApp et Telegram.

    Après avoir forcé les gens à entrer dans le système Internet, les États veulent les taxer et les contrôler, et s'imaginent y être chez eux.

    On doit voir aussi dans ce mauvais traitement contre ces outils, une volonté de persécuter tout ce qui est libre sur Internet.

    En Italie, récemment aussi, Beppe Grillo a obtenu une victoire : le referendum réussi à une très large majorité pour la diminution d'un tiers du nombre des parlementaires. Cette mesure salutaire devrait être appliquée en France, notre Site a proposé cette réforme, allant plus loin : 1 à 2 parlementaires par département, en moyenne, suffiraient à exercer la représentation.

    Cet événement italien a soulevé un tollé chez les opposants, voulant voir dans certaines de ses déclarations l'intention de remettre en cause la principe des élections et une remise en cause la démocratie représentative. A suivre plus particulièrement.

     

     


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  • La Rédaction

    Expulser les indésirables Manu Militari

    Le Résident de la République, appointé sur la patience des Français, semble avoir été piqué d'un virus d'agitation... virulente, ces derniers temps.

    Se croyant forte, derrière une Flicaille armée jusqu'aux dents, la République du Système ose tout, désormais.

    On dit, paraît-il, que "les c..., ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît."

    A ce compte, alors, nous serons deux.

    D'un côté, le Système. De l'autre, le Site, et, en embuscade, quelques-uns qui préféreront mourir mais qui ne céderont pas. La Droite a l'habitude de bavasser. De parader, fanfaronner. Et de passer à l'ennemi plus souvent qu'à son tour. La Gauche aussi. Bref, Monsieur le Préposé, pour cela, et pour tout le reste, votre République n'est qu'une vilaine flétrissure, une mafieuse infamie criminelle, et quelque chose de vaseux et d'infiniment néfaste que nous allons écraser. Pas comme un cafard, car un cafard méritera notre attention, y compris notre respect, mais il n'y aura sans doute aucune clémence lorsque vous serez jugé.

    Les parents continueront, même s'il faut prendre les armes, et nous allons les prendre... Les parents continueront, s'ils le souhaitent, et nous les y encourageons, à éduquer ou faire éduquer leurs enfants dans les matières scolaires, plutôt que dans cette boutique à robots qu'est l'école actuelle, qui n'a d'ailleurs rien de républicain sinon le sens que vous et vos compères lui donnez.

    Pas plus que vous n'avez le droit d'usurper la représentation du Peuple Français sur la scène internationale, où dès que vous ouvrez la bouche, vous l'insultez. Disparaissez, passez "à l'Est", ou plutôt à l'Ouest, où vous êtes déjà.

    Nous ferons tout pour que vous soyez expulsé, avant la fin de votre mandat, ou lorsque vous serez réélu, expulsé du pouvoir, Manu Militari.

    Au fond, vous êtes un imbécile. En filant doux, vous vous seriez faufilé vers la sortie. Ici, vous allez droit au mur. Il est vrai que vous l'avez déjà franchi quelques fois. Là, l'issue sera sans doute moins bonne. Le dénouement approche. Même, est-il scellé ?

     

    #ManuMilitari


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  • Un ambassadeur russe à Paris  -  Alexandre Orlov

    Avec Renaud Girard ;  mémoires ;

    Fayard ;  paraîtra le 21 octobre 2020 ;   270 p.;   20€.

    Présentation officielle : Les Mémoires d’un grand diplomate russe qui est né et a tracé sa carrière diplomatique pendant l’ère soviétique pour devenir durant la décennie 2010 ambassadeur de France durant neuf ans.

    Voici les Mémoires d’un homme né à Moscou en 1948, qui a commencé sa carrière diplomatique en France sous Pompidou et l’a terminée sous la présidence Macron.
    Dans son pays, Alexandre Orlov a débuté son parcours dans l’Union soviétique de Leonid Brejnev pour l’achever dans la Russie de Vladimir Poutine. Sous Gorbatchev, il observe de près la succession rapide des événements qui transforment l’URSS jusqu’à la faire disparaître.
    Après son passage au Conseil de l’Europe à Strasbourg, il parvient à la consécration de ce long itinéraire français et de sa passion pour la France en devenant ambassadeur à Paris durant neuf ans.
    Parmi ses réussites, la construction de la nouvelle cathédrale russe à Paris  sur le quai Branly,  associée à un centre culturel. En 2017, Alexandre Orlov organise la rencontre de Versailles entre les présidents Macron et Poutine, qui a donné naissance au Dialogue de Trianon, forum des sociétés civiles russes et françaises, auquel il participe activement aujourd’hui.
    Ces Mémoires sont pour nous, Français, l’occasion de connaître le cheminement d’un citoyen soviétique qui témoigne que l’on pouvait aussi être un Soviétique heureux. Il est vrai qu’Alexandre Orlov a appartenu à une partie de la société que les tragédies du système soviétique ont épargnée. On est, comme le dit Hélène Carrère d’Encausse dans sa préface, devant un « témoignage qui revendique le monde qui l’a formé et qui permet de mieux comprendre le désarroi de nombreux Russes ou Soviétiques devant la disparition d’un pays et d’un système auxquels ils entendent rester fidèles ».
    En faisant revivre les cinquante dernières années de la Russie et de la France, Alexandre Orlov nous fait comprendre tout ce qu’elles ont en commun.

    Un ambassadeur russe à Paris  -  Alexandre Orlov


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  • Histoire de l'Opéra français  -  dir. Hervé Lacombe

    Fayard ;  paraîtra le 14 oct. 2020 ;  1200 p.;   39€.

    Présentation officielle :  L’opéra, art totalisant, le genre privilégié de la rencontre entre les expressions artistiques  : poésie, théâtre, musique, costumes et décors, chant et parfois danse. L’opéra français, créé sur décision royale, est également fortement marqué par ses implications politiques. Menée par Hervé Lacombe, une équipe pluridisciplinaire passe en revue tous les aspects de l’opéra français au XIXe siècle, époque de son triomphe et de son rayonnement esthétique et social.

    L’opéra français est déterminé par son caractère d’institution d’État, depuis sa création par Louis XIV, qui consacra le genre de la tragédie en musique, jusqu’à l’inauguration en 1989 de l’Opéra Bastille, voulu par François Mitterrand, à l’occasion des festivités du bicentenaire de la Révolution.
    Le XIXe siècle est en France l’ère du piano, des virtuoses, des concerts symphoniques, de la presse musicale, de la mélodie et des salons, mais, plus que tout, il est le temps de l’opéra. À Paris, en province et dans les colonies, sous sa forme spectaculaire ou par ses innombrables arrangements, ce genre déjà plus que séculaire demeure l’objet d’attentions particulières des pouvoirs qui se succèdent, du Consulat aux débuts de la IIIe république. Il   continue à se ramifier, avec l’opérette et l’opéra de salon, s’enrichit d’apports étrangers, de Rossini à Wagner, devient le centre de toute l’activité musicale et infiltre les diverses couches de la société. L’opéra est donc tout autant un phénomène culturel d’une ampleur considérable qu’un objet artistique, le résultat d’une industrie que le fruit d’une esthétique. Sollicitant les yeux, les oreilles et les émotions, manipulant les idées comme les imaginaires, il reflète et concentre son époque.
      Outre quelques titres mondialement connus -- Carmen et Faust, Manon et Orphée aux enfers… --, ce sont des centaines d’œuvres que ce siècle a créées. Ce continent lyrique restait à explorer dans la diversité de ses aspects. Une histoire s’imposait donc, pour en faire le récit et en décrire les mécanismes, pour en reconstituer les valeurs et les tendances, pour suivre ses acteurs et découvrir ses institutions, ses salles, ses pratiques, ses thèmes, ses productions…

    Entreprise sans précédent par ses dimensions et par sa conception, cette Histoire de l’opéra français en trois volumes réunit une équipe internationale de plus de cent cinquante auteurs – musicologues, littéraires et philosophes, historiens et spécialistes du théâtre, de la danse et des arts. Elle est placée sous la direction d’Hervé Lacombe, professeur de musicologie à l’université Rennes 2.


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  • La Rédaction

    Folie furieuse au Canada : le télémandat

    Le Canada a franchi une nouvelle ligne grave dans l'installation de la dictature la plus criminelle, la plus arbitraire et la plus violente.

    En 5 minutes, désormais, un policier peut obtenir un télémandat, si, après une dénonciation, un groupe de personnes se réunit dans un immeuble.

    C'est ce qu'indiquait la vidéo que nous vous proposions hier soir. Cela était confirmé peu avant Minuit hier soir par le Journal de Montréal.

    Devant la violence inouïe des gouvernements, il n'est plus temps de surseoir, ni de prendre la température des événements à venir, mais de se dresser par tous moyens contre la ou les dictatures.

    Au Canada, les conséquences, pour le citoyen qui n'obéirait pas immédiatement, sont drastiques et sont détaillées par le quotidien.

    La vidéo  citée spécifiait aussi que la ministre n'écartait pas non plus la surveillance à l'intérieur des domiciles.

    Il n'est plus temps de faire des commentaires, inutiles d'ailleurs, mais d'agir.

     

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  • La Rédaction

    Covid : soutien au chef Etstebest

    RoyautéNews soutient l'initiative rapportée par Le Parisien, du Chef Etchebest, qui appelle les restaurateurs à faire du bruit à 11h45 devant leur établissement, pour éviter les fermetures.

     

    Devant les menaces gouvernementales nous ne céderons pas.

     

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  • Par RN 1

    Prochaine guerre mondiale ?

    Coincez-vous cela entre un réveil obscur et un petit-déjeuner absorbé à la hâte avant de rejoindre les joies d'une journée pluvieuse, et pour certains, les dégâts de la Tempête Alex...

    En plus de la longue file d'attente des annonces catastrophiques journalières dans tous les domaines, il ne faut pas se leurrer. Que peut-il sortir des événements qui ne cessent, toujours à intervalles de plus en plus rapprochés depuis quelques années, sinon de faire sortir l'étincelle qui embrasera tout ?

    Nous ne voulons pas être alarmistes, mais réalistes, de sorte que vous puissiez vous préparer et ne pas vous retrouver "gros-jean comme devant". Si vous n'avez pas fait de réserves jusqu'à présent, si vous n'avez pas prévu votre kit de survie comme un nombre non négligeable l'a fait depuis la première décennie du siècle, il ne serait pas mauvais que vous commenciez à y penser. Deux précautions valent mieux qu'une, et tout et tout.

    Que peut-on s'attendre des dingos effarants qui gouvernent ? Dans l'Ouest on est relativement habitué à des coupures d'électricité lors des tempêtes. Que se passera-t-il pour les habitants d'Europe, surtout les français - dans les autres pays, on a la tête un peu plus logique - si ces gens-là s'en mêlent?

    Depuis trois ans, les crédits militaires ont augmenté, en France, ce qui est rare. Il faut bien satisfaire les désirs de ces grands enfants que sont les militaires, qui aiment faire joujou avec des équipements toujours plus sophistiqués quand tant de gens crèvent de faim, sachant comme on le sait, qu'aucune crise dans le monde à laquelle participe l'Armée Française ne voit jamais le début d'un règlement.

    Selon Le Canard Enchaîné, deux principaux chefs militaires français dont le Général Lecointre auraient la ferme intention d'amener "les politiques" à faire partager leurs vues sur les risques, toujours plus nombreux, dans le monde...

    Il est temps, enfin, que chacun assure la sécurité de sa sphère personnelle et familiale, en prévoyant que l'on pourra être coupé de tout du jour au lendemain. Tout est envisageable, et doit l'être : guerre(s) civile(s), disette pour cause de fin d'approvisionnement, État d'urgence militaire (qu'il s'agisse de lutter contre un moustique ou contre des armées d'invasion), renversement de l'État central puis période d'anarchie... tout peut s'envisager, avec la plus grande pertinence.

    Aucun des petits bonshommes qui veulent se frotter à la politique n'a, même de loin, la stature d'une Sainte Jeanne d'Arc. Ne rêvons plus, agissons. Plus une voix pour ces crétins. La vie s'organise sans eux.

    Prochaine guerre mondiale ?


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  • La Rédaction

    Rendez-vous chez Salim Laïbi !

    En ce moment, sur YouTube.

    Vous y apprendrez énormément de choses sur la question du Covid. Actualité au Québec notamment.

    C'est ici !    Info en Questions  #47 

    On peut considérer que beaucoup de particuliers ne respectant les gestes barrière, provient du manque de confiance vis-à-vis des autorités.

    Ajoutons à ce qui se dit à 20h23 sur le live, que FaceBook a envoyé des messages (que nous avons vus directement) à des particuliers pour avoir consulté des "fake news"...

     

    Les lecteurs qui ne peuvent écouter cette vidéo ce soir en même temps, pourront la consulter à tout moment.

    « Coronasceptique », le nouveau mot inventé pour minimiser le refus du masque ou la remise en cause de son utilité médicale... Comme pour ceux qui refusent l'Europe... »

    21h21 : ce que nous disions hier : tests inutilisés envoyées (pour voir...) au laboratoire, retournés contaminés...

    21h32 Sali Laïbi évoque la même hypothèse que nous avons lancée hier.

    (Nous ne mélangeons pas les questions générales avec des cas personnels)

     

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