• La Rédaction

    La solennisation des imbéciles

    Aller à reculons, et dans le mauvais sens. Une devise pour les personnages du pouvoir. Un extra-terrestre débarquant en France d'un seul coup, pourrait se demander : le font-ils exprès ?

    Pour nous, la réponse est oui. Tout sujet, sur lequel le questionnement est opportun, et ceux qui ne le sont pas, ont une fonction précise dans l'arsenal d'aliénation qu'imposent aux habitants, les pouvoirs ordonnés : politiques, administratifs, judiciaire, et autres. 

    La trouvaille du 2 septembre de Dupond-Moretti fait partie du cahier des charges. Désormais, les insultes contre les maires seront considérés comme des outrages.

    Nous voici revenus à ces personnages à la Daumier, solennels, remplis de leur importance étriquée et prétentieuse.

    Bien sûr, les rétrogrades, les poussifs, ceux qui n'apportent rien à la société sur le terrain politique en lequel ils se complaisent à râler, qui se plaignent, n'ont rien fait ou si peu pour retarder ou pour empêcher ce qu'ils considèrent comme une débâcle de la société généralisée et sans précédent, applaudiront certainement. Ou, sans doute parce que ça vient du gouvernement, demeureront perplexes et aussi flasques que des limaces après trois jours de bain.

    Ceux-là sont le gros des troupes des partis dits conservateurs. On devrait ajouter : les partis du formol.

    Ils participent, sans le savoir, à cette solennisation des imbéciles, dont ils constituent, par leur insondable bêtise, la matière première de ce qui n'est qu'une phase d'un vaste complot, si vaste, si complot, que personne n'y voit à redire. Alors qu'à l'annonce de cette annonce surréaliste, une tarte à la crème aurait été si bienvenue, si céleste, apposée sur la face de ce ministre qui pactise avec la tentation de la bêtise. Démagogie... ou plutôt... populisme ?


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  • La Rédaction

    Pas de nouvelle guerre contre la famille et la liberté d'éduquer librement les enfants

    Nous encourageons les efforts de Créer son école - Educ'France.

    Pour notre part, nous recommandons  aux parents de retirer leurs enfants de l'école "républicaine", et de les faire instruire dans des écoles libres par des professeurs compétents dans les matières de base et sans la contagion sectaire de ceux qui, dans l'Enseignement public français et les écoles sous contrat, la véhiculent.

    Pour notre part, nous refusons aussi la scolarisation à trois ans, décidée par des fous.

    Nous vous invitons à signer la pétition en ligne d'Educ'France (il serait bon qu'il y ait aussi une pétition classique, car beaucoup ne veulent laisser de traces dans les systèmes électroniques, qui en plus de leur impossible sécurité technique, sont surveillés par des intrus).

    L'interdiction par Emmanuel Macron de l'instruction à domicile, sous le prétexte islamiste, vise en fait à retirer toute influence des parents sur leurs enfants.

    Voici une partie de l'appel effectué par Anne Coffinier.

     

    Chers amis de la liberté d'enseignement,

    L'heure est grave. Si nous ne réagissons pas, demain vous n'aurez plus le droit de faire l'école à la maison à vos enfants, et vous n'aurez plus l'alternative des écoles privées hors contrat si vous en avez besoin ! Le président de la République a en effet annoncé sa décision d'interdire l'instruction en famille et d'accroître encore les contrôles sur les écoles privées hors contrat. Il se compare même à Jules Ferry en 1882. Rivaliser avec le père de l'école publique, ça a du style, c'est certain ! Ce n'est pas une petite référence dans le Panthéon républicain. Mais le projet n'en est pas moins révoltant et inacceptable. Il va nous falloir, ensemble, le contrer.

    Tout d'abord, ne croyez pas "faire le jeu de l'islamisme" en défendant vos libertés éducatives de parents. Ne tombez pas dans ce piège ! Car la suppression du droit de faire l'école à la maison ou le renforcement des restrictions sur  l'école privée hors contrat ne seront d'aucune utilité pour faire reculer l'islamisation de la France. Le président nous dit que notre pays a un problème avec au maximum 2000 enfants qui sont scolarisés à la maison ou dans des structures clandestines pour des raisons communautaristes islamistes. L'Etat va donc priver tous les parents de la possibilité d'instruire leurs enfants à la maison, quand ils l'estiment nécessaire, parce qu'une poignée de familles fanatiques se serviraient de cette liberté pour endoctriner leurs enfants ? Pourquoi ne supprime-t-on pas le droit de vote à tous les citoyens parce que certains votent pour des candidats dangereux pour la Nation ? Pourquoi ne supprime-t-on pas la télévision parce qu'on y diffuse des émissions avilissantes et stupides ? Bref, il en est de la liberté d'enseignement comme de toutes les autres : elles donnent lieu à des abus. Mais ce n'est pas une raison pour les supprimer. C'est la base de l'Etat de droit que de prendre le risque de la liberté. Et c'est notre devoir de citoyens et de parents que de nous battre pour garder nos libertés fondamentales.

    On veut lutter contre l'islamisation de la société ? Faisons en sorte que les enfants sachent correctement lire et écrire, aient une solide culture qui leur permette de résister aux manipulations de bas étage. Et, surtout, rendons-leur la fierté de leur pays, de leur culture, de leurs ancêtres, et l'envie chevillée au corps de contribuer à leur place à la grandeur de la France. Nous aurons ainsi bien plus sûrement lutté contre l'islamisme qu'en nous laissant priver sans rien dire de nos libertés élémentaires.

    Anne Coffinier

     

    Don défiscalisé, ici              Signer la pétition ici


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  • La Rédaction

    Google s'achète la presse

    Le Chef de la Maison Impériale du Brésil, a récemment octroyé à son frère Antoine, un de ses héritiers, le statut d'Altesse Impériale. Dom Luiz a honoré en même temps sa belle-sœur, la Princesse Christine de Ligne, de l'Ordre Impérial de la Rose.

    Le Prince Antoine, ou à défaut, ses enfants, succèderont à Dom Luiz, et à Dom Bertrand, son frère aîné, non mariés.

     

    Il s'agit de la branche de Vassouras de la maison impériale, que nous considérons comme l'héritière du trône.


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  • La Rédaction

    Covid - La justice espagnole rejette la restriction des libertés

    Nous reviendrons bientôt sur la grande question du moment, celle du Covid... Nous essaierons de la placer d'une manière à alerter la réflexion de ceux qui, comme certains médecins sincères, ne comprennent pas correctement la situation. Nous nous adresserons à quelques-uns d'entre eux dont la démarche personnelle paraît raisonnable.

    Réjouissons-nous que, de plus en plus, des voix se rebellent contre les affirmations mensongères des gouvernements et des prétendues "Autorités sanitaires".

    Le Tribunal Supérieur de Justice de Madrid a rejeté aujourd'hui le bouclage partiel de la capitale espagnole, car ces mesures «nuisent aux droits et aux libertés fondamentales». (source France Info)

    Cette réponse est une formidable nouvelle, permettant de redonner espoir devant ce qui est autrement plus important que "le Covid".

     

    Nos articles   #Covid19 #Coronavirus


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  • La Rédaction

    La revue Codex, dans son 17ème numéro, traite des Catholiques aux États-Unis, comme l'une des composantes et des forces de la nation.

    A ce propos un commentaire. En ce moment d'élections américaines, la question du vote catholique est incontournable. En 2016, il avait été déterminant, tout comme d'ailleurs le vote Évangéliste, favorable à Donald Trump, qui semble encore lui rester acquis. Pour l'électorat catholique, il semble, d'après les observateurs, que son soutien au président sortant, au contraire, lui ferait défaut pour une bonne partie. Certes, l'électorat catholique d'origine américaine demeure favorable à Donald Trump. Mais il faut compter avec "le vote latino", qui lui est naturellement très défavorable.

    Codex  -  Etats-Unis la longue marche des catholiques


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  • Le 4 septembre 1870  -  Pierre Cornut-Gentille

    tempus ;   20 août 2020 ;  288 p.;  8€.

    Présentation officielle : Le récit haletant de la naissance de la IIIe République.

    Le 2 septembre 1870, la défaite de Sedan est l’une des plus terribles de l’histoire de France. Napoléon III est prisonnier. À Paris, la nouvelle, inattendue, provoque la sidération, et une foule de manifestants réclame la déchéance de l’Empire. Le 4 septembre, en quelques heures, la déchéance est votée, un gouvernement de la Défense nationale est constitué et la République est proclamée, dans une grande agitation mais sans aucune goutte de sang, ce qui est sans précédent depuis 1789. Entre le Palais-Bourbon envahi, l’Élysée déserté, l’Hôtel de Ville et le ministère de l’Intérieur, se joue et s’écrit un grand moment d’histoire de France : depuis lors, mis à part l’épisode de Vichy, la République, réinventée en un seul jour, n’a désormais plus cessé d’être notre régime institutionnel.

    Commentaire de RoyautéNews : Cette présentation est une manière non sincère de présenter l'Histoire et les événements. Faut-il y voir une erreur de la présentation, et non une erreur de l'auteur ?

    Oui, l'intention des groupes républicains a été de saper l'Empire Français, pour y substituer une République "à part entière". La défaite fabriquée de Sedan, et la promptitude à se saisir de cette défaite pour implanter de toutes pièces "la République", parle d'elle-même. Nous ne sommes plus ici dans une opposition République-royauté, ou République-monarchie, mais bel et bien dans une offensive de la République pour supplanter les autres diversités pourtant très majoritaires alors.

    Omettre les événements déroulés entre 1870 et 1879, afin de dater l'origine de la République à 1870, est une tromperie.

    Le 4 septembre 1870  -  Pierre Cornut-Gentille


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  • La Rédaction

    Kenzo

    La disparition du créateur japonais et parisien, Kenzo, est une grande tristesse.

    Le styliste était âgé de quatre-vingt-un ans et officiellement il est mort des suites du Covid.

    Kenzo Takada a apporté une grande touche de fraîcheur à la mode française, depuis 1970 jusqu'à sa retraite en 1999.

    Kenzo

     

     


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  • Les jardins de France  -  Jean Vassort

    Une Histoire du Moyen Age à nos jours ;

    Perrin ;   1er oct. 2020 ;   384 p.;   24€. (erreur de notre part  il s'agit de 23€)

    Présentation officielle : Jean Vassort considère « l’objet-jardin » depuis le cœur du Moyen-Âge, à travers l’ensemble de la société française. Qu’il soit rural ou urbain, populaire ou aristocratique, utilitaire ou d’agrément, à vocation religieuse ou à visée scientifique, voué au repli ou à l’ostentation, le jardin occupe de tous temps une place éminente dans la civilisation occidentale, et plus particulièrement en France.
    Inscrit entre nature et culture, l’histoire du jardin croise celle de l’économie, de la religion, de l’art et de la politique, et ne cesse de répondre aux visées les plus diverses de la société, des plus matérielles aux plus symboliques. Longtemps considéré comme un reflet du paradis perdu, il incarne tout naturellement aujourd’hui l’aspiration à un contact renouvelé avec la nature. Établi au plus près de l’homme, le jardin est révélateur d’une société en son temps.

    Les jardins de France  -  Jean Vassort


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  • La Rédaction

     

    Ceux qui nous suivent savent que notre Site, non seulement ne fait pas de politique et ne peut s'en approcher, puisque sa règle est de s'opposer au fait politique lui-même.

    Mais, partant du principe que tout est à rejeter, dans ce domaine... que des énergies nouvelles apparaissent, qui rendent un son différent du prêt-à-avaler politique, quoi de mieux ?

    Nous pouvons partager des analyses sur tel ou tel sujet, avec presque la totalité des courants d'idées balayant l'hémisphère politique. Tout en tenant le Site soigneusement éloigné de ces courants - n'étant pas reliable à aucun d'entre eux, jamais, en quelque circonstance, c'est une question de nature.

    D'ailleurs, les Cercles Nationalistes sont bien différents de l'impression qu'ils donnent. Ils sont la seule énergie qui se réfère à la monarchie française, et en des termes qui s'approchent exactement de la doctrine la plus exacte et la plus simple. Celle du vrai positionnement professé des royalistes non politiques, malheureusement peu nombreux.

    On continuera de dire que notre Site serait royaliste... Les chiens aboient... c'est leur affaire.

    Que les Cercles aient quelques idées ou approches sur des points précis, que nous ne partageons pas, est secondaire. Car nous rejoignons l'essentiel dans leur analyse centrale. Le principe des Cercles, qui ne sont pas un parti, est la formation intellectuelle de futurs cadres pour le redressement futur du pays.

     

    Lire ici, le communiqué de M. Ploncard d'Assac intitulé tout naturellement Dictature sanitaire. Cette opinion est de plis en plus largement répandue, dans tous les milieux. Nous partageons tout dans ce communiqué, d'ailleurs remarquable par sa brièveté synthétique.


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  • Elie Decazes  - Le dernier favori - François de Coustin

    Perrin ; biographie;  paraîtra le 15 oct. 2020 ;   480 p.;  25€.

    François de Coustin n'est pas un inconnu dans nos rubriques. Nous avions montré sa biographie de Louis XIX en 2017. Il fait paraître ce mois-ci une biographie de Decazes. Non que ce personnage nous soit sympathique.  A son sujet, on pourrait dire, d'abord, citant Royal Artillerie ce mois-ci chez nous en commentaire : « La politique sociale de Chambord au bénéfice du Labeur coupait à angle droit l'appétit capitaliste sans frein des ducs-investisseurs qui tenaient les forges et les cordons de la bourse. Il l'avait bien vu en prédisant la "république des ducs", ce que fut réellement la Troisième. » Puis, on pourrait dire que Decazes fut avant l'heure, l'un des ces ducs libéraux de la IIIème, et surtout, l'un des inaugurateurs du courant opportuniste en France, toujours au pouvoir aujourd'hui sous des avatars interchangeables.

    Mais cette biographie ne peut-être qu'instructive et passionnante à lire pour comprendre le XIXe s.

    Présentation officielle : La destinée hors du commun d’un personnage digne de la plume de Balzac, qui dirigea un moment la France et contribua à la faire entrer dans la modernité.

    Il est jeune, beau, brillant, charmeur. Au lendemain des Cent-Jours, à 35 ans, alors qu’il a servi la famille impériale, Elie Decazes accède au poste de préfet de Police de la Restauration. Quelques mois plus tard, devenu le favori de Louis XVIII, il est nommé ministre de la Police puis, après trois ans à ce poste stratégique, ministre de l’Intérieur. Il est alors l’homme le plus puissant de France et, à 39 ans, devient fin 1819 un des plus jeunes présidents du Conseil de l’Histoire. Mais la faveur du roi, de même que la volonté de gouverner la France au centre en rejetant les extrêmes lui attirent des haines profondes. L’assassinat du duc de Berry provoque sa chute. À moins de 40 ans, nanti d’un titre ducal, il quitte le pouvoir pour ne plus jamais l’exercer.
    Commence alors la deuxième partie d’une vie, celle d’un grand notable, qui le mène jusqu’à 80 ans. Brièvement ambassadeur à Londres, il devient un pair de France influent sous la Restauration et la monarchie de Juillet. Grand référendaire de la chambre des pairs, il préside aux travaux qui donnent au palais du Luxembourg et à son jardin leur aspect d’aujourd’hui. Épris de nouveautés, il multiplie les expériences agricoles et se lance dans l’aventure industrielle avec l’exploitation des forges de l’Aveyron qui vont donner naissance à Decazeville. Lui qui est également le Souverain grand commandeur de la deuxième obédience maçonnique française, celle du rite écossais ancien et accepté, meurt accidentellement au terme d’une vie dont Balzac, à qui il a inspiré plus d’un personnage, aurait pu écrire le roman.
    Ignorée de ses rares biographes qui ne se sont intéressés qu’à sa relation particulière à Louis XVIII, la vie du dernier favori est ici restituée dans toute sa richesse et sa complexité. Elle est somme toute celle d’un jeune roturier du Libournais qui devient un duc et pair, d’un petit juge originaire qui devient homme d’État, d’un propriétaire terrien qui devient industriel.

    Elie Decazes - Le dernier favori - François de Coustin


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