• Basil Zaharoff  -   Tristan Gaston-Breton

    L'incroyable histoire du plus grand marchand d'armes du monde ;

    Tallandier ;  paraîtra le 29 août 2019 ;   288 p.;   20€90.

    Présentation officielle : « J’ai vendu des armes à qui en voulait. Pour le faire, j’ai été français en France, russe en Russie, grec en Grèce, et ainsi de suite », confiait Basil Zaharoff, le plus grand marchand d’armes de tous les temps.

    Né en Turquie en 1849 de parents grecs, Basil Zaharoff passe sa jeunesse – crapuleuse – dans les bas-fonds de Constantinople. Tour à tour guide pour touristes, gardien de bordel et membre d’un gang de pompiers-pyromanes, il se lance à l’âge de 28 ans dans le commerce qui fera de lui l’homme le plus riche du monde : celui des armes. Des années durant, ce polyglotte aux manières soignées sillonne le monde pour vendre canons, mitrailleuses et navires de guerre, devenant l’intime de nombreux chefs d’État et généraux, se servant des femmes pour accomplir ses sombres desseins. Amoureux fou d’une duchesse espagnole qu’il finit par épouser après 35 ans d’attente, il tente d’acheter pour elle la principauté de Monaco avant de mourir, seul, dans son château en France en 1936.

    Une histoire époustouflante, digne d’un roman, écrite à partir d’archives et de sources inédites.

    Basil Zaharoff   -   Tristan Gaston-Breton


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  • Histoire de Charles VII et de Louis XI  -  Thomas Basin

    Joël Blanchard, Franck Collard, Yves de Kisch

    Pocket ;   25 oct. 2018 ;   912 p.;    16€.

    Présentation officielle : Surgi de notre oubli immérité, Thomas Basin (1412-1491), évêque, politique et historien de son siècle, nous est rendu par cette traduction nouvelle de son Histoire des règnes de Charles VII et Louis XI. Depuis trop longtemps, l'écrivain ne nous était plus accessible. Il revient, acteur de son temps, partisan assurément (il a par exemple l'art et la manière de se faire détester de Louis XI) ; il n'en est que plus précieux.
    La haute idée qu'il a de ses mérites le fait appeler à sa rescousse toute sa culture, de Salluste et Suétone aux Evangélistes, voire au Tout-Puissant... Historien, il fait de son écriture une arme, non sans maladresse parfois. Mais le témoignage reste d'autant plus passionnant qu'il est animé par un fort ressentiment, bien peu religieux, avouons-le. Outre l'importance de ces textes, dûs à un contemporain de ce qui est décrit, nous découvrons un temps vécu, un ressenti dans sa brutalité, dans ses rancoeurs, mais aussi dans la construction de l'Etat.
    Nous ne devions pas nous priver plus longtemps de l'œuvre majeure de Thomas Basin, relue à la lumière des acquis les plus récents de l'Histoire.

    Histoire de Charles VII et de Louis XI  -  Thomas Basin


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  • David Lloyd George  - James Mc Cearney

    Pierre-Guillaume de Roux ;  biographie ;  17 janv. 2019 ;    280 p.;   25€.

    Présentation officielle : « M. Lloyd George, disait Clemenceau, n’est pas un gentleman anglais. »

    David Lloyd George (1863-1945) siège plus de cinquante ans à la Chambre des communes, élu et réélu quatorze fois dans la même circonscription. Il est ministre sans interruption, pendant dix ans, avant d’être propulsé au 10 Downing Street de 1916 à 1922. Il réussit l’exploit d’instaurer les conditions de l’État-providence au Royaume-Uni. La solution qu’il apporte, contre tout espoir, à l’épineuse question irlandaise s’avère enfin durable. Surtout il conduit le pays à la victoire lors de la guerre de 14-18. Un bilan politique, à première vue, des plus convaincants… D’autant que Lloyd George, né gallois, dans l’un des comtés ruraux du Nord, pauvres et décriés, n’a guère le profil idoine pour prétendre aux plus hautes fonctions de l’Administration. Qu’importe ! L’homme a le génie de transformer ses faiblesses en forces. Non content d’opposer sa spécificité galloise au sentiment de supériorité de l’Anglais bon teint, il en fait une arme politique redoutable, en s’attirant les suffrages d’un électorat qui se reconnaît en lui. Sa formation de solicitor, profession certes moins prestigieuse que celle d’avocat, lui permet néanmoins de développer les qualités d’un négociateur hors pair, qui sait se montrer aussi pragmatique qu’intraitable en cas de nécessité, autre atout de taille dont il saura se servir dans son œuvre de législateur. Lloyd George détient enfin un dernier avantage : celui de la séduction. C’est, hélas, également son talon d’Achille. Outre les innombrables conquêtes féminines qu’on lui connaît, il en vient parfois à conclure certaines affaires financières des plus suspectes…

    À croire que deux Lloyd George habitent le même corps : l’homme fort, sauveur de la nation, et l’homme-enfant à jamais resté prisonnier de ses origines obscures, tourmenté par l’éternelle soif de plaire et de gagner.

    Le portrait atypique d’un ministre « anglais » tout aussi atypique.

    Un commentaire de RoyautéNews : A quoi on peut rétorquer que Clémenceau lui non plus, par ses opinions, n'était pas un gentilhomme français ni un gentilhomme tout court et ce malgré ses origines de notable campagnard.

    David Lloyd George  - James Mc Cearney


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  • La Rédaction

    Mgr Dubost, ancien Evêque aux Armées et évêque émérite d'Evry-Corbeil-Essonnes et ancien directeur des Oeuvres Pontificales Missionnaires vient d'être nommé par le Saint-Siège Administrateur Apostolique de l'archidiocèse de Lyon, à la demande des deux évêques auxiliaires de Lyon et tandis que le Cardinal Barbarin s'était mis en retrait il y a quelques mois après que sa démission ait été refusée.

    Mgr Dubost nommé Administrateur du diocèse de Lyon

    La situation est originale et se rencontre très rarement, car le Cadinal Barbarin demeure en titre à la tête du diocèse de Lyon, comme archevêque.


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  • Colbert  ; ou le mythe de l'absolutisme  -  Daniel Dessert

    Fayard ;   22 mai 2019 ;  biographie ;  320 p.;   22€.

    Présentation officielle : Les récits d’acteurs comme ceux de Colbert ont permis de faire perdurer le mythe de la monarchie absolue. Or Daniel Dessert démontre que Louis  XIV était très dépendant d’argentiers dont les pratiques sont étonnamment proches de celles des grandes familles de la mafia. Après Richelieu et Mazarin, Colbert se révèle un véritable tacticien politique qui a légué à la postérité l’image ambiguë de ce que ses successeurs nommeront avec ravissement et hypocrisie «  un grand homme d’État  ».

    L’Ancien Régime et la figure de Louis XIV fascinent. Comment un royaume en guerre six ans sur dix a pu fonctionner  ? Parce que Richelieu, puis Mazarin et surtout Colbert ont fédéré autour de leur personne les grandes familles fortunées, répond Daniel Dessert. Sans ces grands financiers, il n’y aurait pas eu de monarchie absolue  : l’État, c’est eux  !
    Colbert est la dernière incarnation de ce système corrompu fondé sur ce qu’on appellerait aujourd’hui le pouvoir des lobbies et reposant sur des solidarités de clan. Esprit froid, minutieux et calculateur, excellent organisateur, mais cupide et amoral. Le Rémois a su léguer à la postérité l’image ambiguë de ce que ses successeurs nommeront avec ravissement un «  grand homme d’État  ». Lui qui exercera le pouvoir réel quand le roi n’en aura plus que l’apparence.
    Il aura fallu trente ans à Daniel Dessert pour restituer un fonctionnement fisco-financier complexe, dont Colbert fut l’héritier, puis le praticien le plus redoutable.

    Un commentaire de RoyautéNews : Cette analyse redoutable, à première vue avant la lecture de l'ouvrage, nous laisse perplexe. Et notre Site n'est pas un défenseur de la monarchie absolue, c'est même tout le contraire.

    La mise en cause directe de l'administration colbertiste mais aussi de la personne de Colbert en des termes crus rencontrés dans cette présentation et parmi les chapitres semble relever de l'argument d'accroche, procédé peu spirituel devenu courant chez les responsables d'édition.

    Une étude de trente ans se suffit à elle-même par les éléments qu'elle apporte sans tomber dans l'exagération. Faut-il croire qu'un ouvrage conçu à la manière universitaire soit tombé une fois de plus dans le double travers de beaucoup d'historiens contemporains, celui de l'anachronisme et de la déconstruction freudienne ?

    Colbert  -  Daniel Dessert

    Pour des raisons techniques, cette présentation a été retardée. Elle est à lire avec celle de Régner et gouverner ; Louis XIV et ses ministres.


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  • Louis II de Bavière  -  Catherine Decours

    Fayard ;  16 janv. 2019 ;    452 p.;   24€.

    Présentation officielle : Dans une biographie haute en couleurs, Catherine Decours nous plonge dans la vie tumultueuse d’un Louis II de Bavière flamboyant, chef de guerre et fin gouverneur, mécène et homme de passion n’ayant pas peur du scandale, jusqu’à ce que sa folie le rattrape.

    Louis II de Bavière entendait «  demeurer une éternelle énigme pour lui et pour les autres  » et le but a été atteint. Dès le jour de sa mort, il est devenu le Märchenkönig, le roi de légende dont l’image s’affiche encore dans les rues de Munich et attire les foules vers les châteaux de Bavière. Mais le mythe a masqué le véritable personnage.
    Louis était-il fou ou un simple original  ? Fut-il un mécène, un grand artiste ou un pâle imitateur construisant d’étranges édifices  ? Quelles furent ses amours et quels furent ses liens avec Sissi, l’impératrice d’Autriche dont il faillit épouser la jeune sœur  ? Quelle fut la raison de l’attachement passionné qu’il éprouva pour Wagner dont il demeura l’inlassable mécène  ? Comment gouvernait-il son pays  ? Même les conditions de sa mort restent mystérieuses. Fut-il assassiné  ? Devint-il un meurtrier  ? Car au soir du 13  juin 1886, ce furent bien deux corps que l’on trouva sur les rives du lac de Starnberg.
    Dans cette biographie, Catherine Decours a tenu compte des dernières recherches concernant notamment la falsification du Journal laissé par Louis II. Elle révèle un homme qui, dans une période décisive pour la Bavière, a affronté avec ses démons une histoire tragique, un souverain qui, au prix de grandes souffrances, a réussi sans le vouloir l’une des plus étranges mystifications de l’histoire.

    Louis II de Bavière  -  Catherine Decours


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  • Les Carolingiens   -  Jean Heuclin

    ellipses ;   25 sept. 2018 ;   672 p.;   26€.

    Présentation officielle : L’idée d’Europe est, dans l’imaginaire occidental, associée aux Carolingiens et au plus illustre d’entre eux, Charlemagne. Leur histoire, qui s’échelonne de 741 à 987, est un cheminement à travers une mosaïque de royaumes avec l’intégration des diversités au sein de la chose publique menacée en permanence de dissolution. L’Europe des Charles est celle des marchés, des écoles, des églises, des villes et des villages tournés vers un idéal de salut et reposant sur une société fondée sur la subsidiarité. Cette construction est un défi intellectuel permanent où seule la force coercitive d’une personnalité inspirée par ce projet peut maintenir le mythe fondateur idéal de façon renouvelée.
    C’est à travers des personnalités perspicaces, d’administrateurs zélés, de militaires, de missionnaires, de bâtisseurs et d’artistes que l’Europe prend consistance. L’immensité et la diversité du territoire en font une force mais aussi une faiblesse qu’il convient constamment de surveiller dans une démarche nécessitant adaptation, rapidité et efficacité. Il fallait aux Carolingiens des moyens financiers et techniques dont ils ne disposaient pas pour conserver toute l’homogénéité nécessaire à l’œuvre entreprise. C’est à l’approche de ces personnages de légende que nous nous livrerons ici.

    Les Carolingiens   -  Jean Heuclin


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  • La Rédaction

    Toute émergence d'un nouveau territoire, d'une entité libre ou indépendante, qui se constitue, si elle se rattache par son affinité ou son esprit à une essence monarchique au sens large, a intérêt à se construire, ou à se placer sous l'égide directe et effective, contrôlante, d'une famille régnante ou anciennement régnante.

    Cela permet d'écarter les escrocs de tout poil qui s'introduisent depuis quelques années dans des systèmes de cet ordre. Nous n'en donnerons pas d'exemple dans cet article mais nous le ferons plus tard.

    Aujourd'hui, c'est la principauté de Seborga qui subit un fâcheux épisode qui espérons-le, sera rapidement oublié et pour cela il est nécessaire de rectifier les erreurs ou les vices des articles de presse.

    Sans nous attarder sur la sottise des journalistes français, qui écrivent ces jours-ci et de manière déséquilibrée, que le début de l'aventure, en 1960, aurait été de faire une blague, reprenons : c'est dans le but de se dégager de l'emprise de la République italienne, qui n'apporte rien aux régions dépourvues de ressources propres, pas plus que la république française dans ses territoires ne le fait, que Seborga a construit depuis 1960 sa quête, plus volontiers celle d'une voie de tranquillité et d'espérances touristiques, que de politique.

    RoyautéNews a déjà reconnu et reconnaît l'existence de la principauté de Seborga, avec des réserves mais à hauteur même de l'intention et de la volonté de ses habitants. Le système n'est pas parfait, d'abord parce que ce petit territoire n'est pas constitué autour d'une famille détenant des droits historiques ou tout autre droit d'ordre moral, même symbolique. Et parce que nos réserves visent la présence, au début du premier mandat de Marcello, le prince officiel, en 2010, et dont notre rédaction avait parlé, de cadres, apparemment Français installés à Seborga, qui semblaient le contrôler et dont le comportement laissait fortement à désirer comme notre rédaction l'avait constaté.

    La volonté des habitants, l'habitude désormais longue, sont des éléments déterminants pour RoyautéNews confortés par la relative légitimité de l'ex-monarchie italienne, à entendre : sa contestable légitimité. Il est à noter une position entièrement opposée à celle du premier prince, qui s'appuyait sur la protection de la maison de Savoie, éteinte en 1946 lors de l'installation de la république. Et ce double aspect ne modifie rien à la légitimité du désir d'émancipation des habitants de Seborga, aspiration que RoyautéNews soutient par principe et dans tous les cas où elle se présente.

    Deux Français viennent d'être mis en examen pour escroquerie après avoir détourné en 2016 la Principauté de Seborga, dont le Prince officiel est élu par la population pour une durée de sept ans. Lors de sa première élection il avait bénéficié de l'unanimité.

    L'origine de Seborga. Le premier prince de Seborga, que l'on appelait plus volontiers le prince de Bordighera comme au temps où le magazine Point de Vue lui consacrait un ou deux articles, avait fait ressortir l'histoire. En 954, Seborga appartient au Comte de Vintimille. Ensuite, elle fut pour longtemps la possession de la très réputée Abbaye de Lérins. Puis elle fut acquise par la maison royale de Savoie voici plusieurs siècles. Et l'acte correspondant n'ayant jamais été retrouvé, une idée d'indépendance naquit chez les habitants du temps déjà de l'ancienne monarchie française et devint une habitude et un patrimoine propre. Nous reviendrons amplement sur divers aspects au cours des prochains mois.

    Seborga en passe grise


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  • La Rédaction

    En 2021 sera célébré le deuxième centenaire de la disparition de l'Empereur.

    Une croisière de trois semaines s'effectuera à Sainte-Hélène, sur un vaisseau de la compagnie Le Ponant, dont toutes les places sont déjà réservées.

    Cette croisière s'effectuera du 29 avril au 14 mai 2021 et sera accompagnée par les historiens Jean Tulard, Thierry Lentz et Franck Ferrand.

    Ceux qui s'y rendront découvriront l'île qui n'est habitée à l'année que par une seule personne : son gardien officiel. A la belle saison, elle est visitée par quelques touristes.

    Voici la présentation du périple par la compagnie :

    Vous embarquerez en Namibie, à bord du Lyrial et vous mettrez le cap vers l'île de Sainte-Hélène pour arriver le jour de la cérémonie officielle, qui sera organisée le 5 mai 2021. En cet exil appelé à devenir son premier tombeau, Napoléon dicta à Las Cases le Mémorial de Sainte-Hélène - autant dire qu’il y forgea sa légende. Témoignage intime et émouvant de ses derniers instants sur l'île, la résidence de Longwood avec le mobilier de l’Empereur a été soigneusement entretenue et conservée par les autorités françaises et par la Fondation Napoléon. Lors de votre visite, vous remonterez le fil de l'histoire dans un paysage bucolique et luxuriant, éloigné de l'image sombre qu’on a voulu donner de l'île.Vous ferez ensuite escale sur l'île de l'Ascension, à plus de 1 000 km au large de Sainte-Hélène. Sur cette île désertique, les Britanniques installèrent une garnison pour contrer toute velléité d'évasion de l'empereur. Aujourd’hui l’île est un véritable sanctuaire pour les oiseaux, les mammifères marins et les tortues vertes.Vous remonterez enfin vers le nord la voie maritime empruntée en 1815 par le Northumberland, le navire qui escorta Napoléon à Sainte-Hélène et profiterez de quelques jours en mer en direction de Dakar, la trépidante capitale du Sénégal, qui sera votre port de débarquement.

    1821  -  2021  L'épopée napoléonienne au rendez-vous du Temps


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  • Napoléon aux 100 visages  -  David Chanteranne

    Editions du Cerf ;   mai 2019 ;  216 p.;  18x23 ;   29€.

    Très bel ouvrage comprenant de très nombreuses illustrations. RoyautéNews

    Présentation officielle : Le philosophe Hegel crut voir « l’Esprit à cheval sur le monde » en apercevant Napoléon passer dans Iéna à la tête de ses troupes. Mais comment représenter un mythe, de surcroît contemporain, de l’essor de la propagande et de l’anti-propagande ?

    Nombre d’artistes de l’époque ont tenté de dessiner l’Empereur, en soulignant le héros ou le diable, tout en s’efforçant de ne pas oublier l’homme.

    C’est cette énigmatique figuration de l’histoire en marche que révèle cet album illustré sans précédent. David Chanteranne réunit ici les oeuvres graphiques qui permettent de résumer et de comprendre par l’image le rôle joué par ce caractère protéiforme. La silhouette de l’Empereur ne se résume pas seulement à un bicorne et à une main dans le gilet. C’est au contraire la France incarnée qui apparaît ici, en un temps où la photographie n’existe pas encore.

    Cent portraits choisis, couvrant l’épopée de 1769 à 1821. Une contribution iconographique essentielle.

    Napoléon aux 100 visages  -  David Chanteranne


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