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  • La Rédaction

     

    L'une des trois rubriques centrales, Flux principal de RoyautéNews, a été remplacée par Rubrique essentielle de RoyautéNews.

    Vous la trouverez en cliquant sur le nom de cette nouvelle rubrique ou en tapant le nom de RoyautéNews sur Google.


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  • Royal Périgord - sur les pas des têtes couronnées -  Dominique Audrerie, Gautier Mornas, illustrateur Cathy Fargeot

    Confluences ;   août 2018 ;    128 p.;   16€.

    (En lien indirect avec l'exposition présentée au mois d'août à Périgueux, sur l'Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem. Clic !)

    Présentation officielle : Le Périgord peut s'enorgueillir de multiples richesses patrimoniales : architectures et paysages, gastronomie et culture… Rien ne semble manquer à cette province historique dont le nom est connu de tous et fait rêver chacun. Pas même de hautes personnalités couronnées qui ont rendu royales les contrées de Périgueux, Jumilhac, les Milandes, Biron ou Commarque. Que ces personnages habitués des magazines y soient nés, qu'ils y aient séjourné en voyage d'agrément ou d'exil, ou que ces visites aient eu lieu dans le cadre d'un déplacement officiel ou privé, ils sont nombreux à avoir foulé le sol du Périgord.
    De la shabanou en exil, à la Queen mum, en passant par le comte de Paris, descendant du dernier roi des Français et le pittoresque roi d'Araucanie, jusqu'à la famille grand-ducale du Luxembourg et le prince de Monaco, page après page, grande Histoire et petites histoires s'entremêlent dans cet ouvrage ! Avec les contributions de Stéphane Bern, du grand-duc de Luxembourg, du comte de Paris, d'Antoine IV d'Araucanie, de Xavier Darcos, de Thierry de Beaumont-Beynac.

    Royal Périgord - sur les pas des têtes couronnées -  Dominique Audrerie, Gautier Mornas


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  • Isabelle de France ; reine d'Angleterre  -   Sophie Brouquet

    Perrin ;  paraîtra le 20 août 2020 ;   380 p.;  23€.

    Présentation officielle : Isabelle de France, née en 1295, figure emblématique de la saga des Rois maudits, affublée du surnom folklorique de « Louve de France », est devenue peu après sa mort l’image même de la méchante reine : rebelle, hypocrite, tyrannique et sanguinaire. Ces qualificatifs relèvent évidemment de la légende noire, que le présent ouvrage cherche à dissiper. Très populaire en son temps en France comme en Angleterre, fille d’un très grand roi, Philippe IV le Bel, qui lui a inculqué dès son plus jeune âge le sens de l’État, admirée à juste titre par ses contemporains pour sa personnalité, sa beauté et son sens de la diplomatie, elle a su tracer sa destinée entre deux hommes : Édouard II, son mari, le roi le plus méprisé de toute l’histoire de l’Angleterre, et Édouard III, son fils, le plus admiré. Son parcours politique est unique. Elle gouverne aux côtés du premier avant de le renverser en 1326 − et, peut-être, de commanditer son assassinat −, au terme de la dernière invasion que l’Angleterre ait connue depuis celle de Guillaume le Conquérant. Elle se fait ensuite nommer régente au nom du second et règne de concert avec son amant, Roger Mortimer. En 1330, devenu adulte, Édouard III prend le pouvoir en faisant assassiner ce dernier. Très admiratif de sa mère, il l’entoure de tous les égards jusqu’à son décès, en 1358.
    Le retour aux sources médiévales, pratiqué ici de manière particulièrement précise, permet de dessiner une personnalité complexe et de retracer une existence hors du commun dans une période constamment marquée par la guerre civile et la violence des hommes.

    Isabelle de France   -   Sophie Brouquet


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  • La Rédaction

    Une exposition à la Cathédrale Saint-Front de Périgueux tout le mois d'août, sur l'Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem, l'ordre créé en 1847 par la volonté du Pape afin de préserver les sites chrétiens de Terre Sainte.

    Depuis 1940, le Grand-Maître de cet Ordre est un Cardinal, qui est en même temps son Protecteur. L'Ordre est placé sous la Protection directe du Saint-Siège. Précisons que cet Ordre n'a aucun rapport avec la confrérie fondée par Godefroi de Bouillon afin de garder les lieux saints.

    (Information transmise par un de nos nombreux correspondants)

     

    Exposition de l'Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem à Périgueux


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  • RN 2 pour La Rédaction

    Explosions à Beyrouth

    Hier, 2750 tonnes de nitrate d'ammonium laissées depuis six ans dans un entrepôt sans mesures de sécurité adéquates (d'après le président Michel Aoun) ont explosé, faisant plus de 100 morts, 4000 blessés et 300.000 sans-abris dans la capitale d'un pays en crise.

    L'Hôtel-Dieu, qui a pu accueillir 500 blessés, est débordé.

    Nous soutenons Beyrouth et le Liban dans cette épreuve, que la France a connue en 1947 à Brest (5000t) et en 2001 à Toulouse (300t).

    Le prince Louis de Bourbon, duc d'Anjou, a exprimé son soutien dans un message consultable ici [Clic ]

     

    Ce soir peu après 19h mercredi soir, on est est à 135 morts et 5000 blessés.


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  • La Rédaction

    Le roi Juan Carlos d'Espagne va s'exiler

    L'ex-roi d'Espagne, Juan Carlos Ier, a décidé de s'exiler après les accusations portées contre lui d'avoir reçu une commission pour des travaux qu'il avait obtenus au profit d'entreprises espagnoles. Ces accusations alimentant un fonds de polémique politique défavorable à la couronne, nous estimons qu'il a eu raison.

    Nous lui réitérons notre soutien et considérons que le roi Juan Carlos a eu un rôle historique capital dans l'Histoire de l'Espagne, et qu'il mérite le plus grand respect.

    Tant pis si les Espagnols veulent adopter les erreurs des autres républiques, dont deux de leurs caractéristiques sont, l'absence de reconnaissance, et d'être promotrices fécondes de scandales.

    Le roi Felipe, de son côté, a accepté cette décision exprimée par une lettre du roi Juan Carlos à son fils.


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  • La Rédaction

     

    C'est ça, la dictature. On n'est plus dans les discussions philosophiques, mais dans le réel.

     

    Pour une fois, le sujet est honnête : 8 Français sur 10 ne font pas confiance aux paiements en ligne et monnaies virtuelles. Et ils ont raison. Maintenant, il va falloir le répéter, et le faire savoir. Pour qu'on ne prenne pas les gens à l'usure, tout en les mettant chaque jour devant un peu plus de fait accompli.

    Car en d'autres domaines, les chiffres sont truqués par les sondages. Pour ce qui est l'armement des policiers municipaux, par exemple.

     

    Regarder le sujet du 31 juillet 2020 de BFMTV sur la fin progressive des distributeurs de billets de banque

    Bien sûr, ceux qui annoncent la fin ordonnée de l'argent liquide sont des complotistes. Il faut donc les dénoncer...


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  • La Rédaction

     

    France : Nous soutenons Yann Gaudin qui a fait son travail à Pole Emploi.

    Intéressant aussi de lire, sur Le Point de cette semaine, le dossier sur le mammouth bureaucratique. Ce pays est décidément invivable. Les gouvernements de saltimbanques passent, les tares mentales et psychologiques de ce pays bouffé par les vers et par l'administration ne cessent de perdurer. On les connaît, ces tares : depuis des lustres des journalistes, des magazines, et quelques rares personnages politiques comme un René Dosière ont démontré les abus d'une république qui se repaît de sa monstrueuse bêtise.

     

      Pour lire la vidéo

     

      #LaHotLineSocialedeRoyautéNews


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  • La Rédaction

    Le Canard enchaîné a publié très récemment un numéro spécial après enquête sur les jeux de hasard français. Si cela vous est possible, procurez-vous ce numéro spécial 156, Juillet 2020, intitulé L'Envers du jeu ; Casinos, Bancos, Trot, Galop, Gros lots, Loto, Bingo...

    La privatisation de la Française des Jeux est nommée comme une rente dans les milieux financiers. Si du moins le rêve improbable auquel cèdent beaucoup, qui travaillent ou non, condamné dans les deux cas à une vie de pauvreté, n'était pas truqué... Or il l'est.

    Jeux de hasard et racket par l'Etat français


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  • La Rédaction

    Mitoyens, Mitoyennes

     

     

     

     

     

    L'avenir est au bout de la rue : c'est d'abord ici, auprès d'eux, auprès de vos voisins, de ceux qui vous reverront facilement. Une action utile s'inscrit dans la réalité pratique et vécue d'une ville, d'un quartier, d'une rue, d'un village. Glisser au passage, dans les salutations, quelque chose comme : « j'ai reçu une réponse de la mairie à ma demande pour l'installation de nouveaux bacs roulants... ou pour un espace canin... » Les idées profondes viendront plus tard.

    Les marcheurs macroniens ne possédaient pas cet ancrage, et pourtant, ils ont réussi, même s'il est vrai qu'ils ont été puissamment aidés...

    Rien ne vous empêche de vous signaler auprès de vos voisins pour tout ce que vous ferez pour les habitants de votre immeuble. On peut regretter que la promesse de campagne de François Hollande ait été abandonnée : la création de syndics de locataires. Il en existe en Belgique. Mais on peut agir sans cela.

    Pour ceux qui ne veulent plus être mangés tout crus à chaque mise en scène électorale, il est temps de se réapproprier l'environnement public, civil, la décision. La multiplication, légale de surcroît, des comités intermédiaires au sein des villes, en France, quadrillant les quartiers afin de verrouiller idées, propositions, prises de décision, qui sont autant de bras de contrôle des édiles municipaux et des partis : les ignorer, les contourner.

    Des scrutins locaux s'approchent... scrutins cantonaux, d'abord, et qui sont les rendez-vous les plus faciles certainement. Le but n'est pas forcément de décrocher un siège dès la première fois, mais de s'inscrire dans le paysage local, avec discrétion ; mais avec présence. Il ne s'agit pas d'engager des fonds : les volontaires, en général, n'en ont pas.

    D'autres viendront, comme les scrutins d'équipe, favorisés pour les groupements à faible revenu depuis le remodelage des régions. Chaque fois, le but est de bousculer le scénarios écrits d'avance par ceux qui veulent encore et toujours imposer à tous leurs choix de blanc bonnet et bonnet blanc.

    C'est ici que commence l'avenir, à bâtir de cette manière, en pressentant les ébullitions discrètes qui n'en finissent pas de se remarquer. La fissure étroite est là, encore, les occasions doivent être saisies, et il ne peut s'agir que de gestes volontaires, individuels, sans attendre de coordination.


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  • La Rédaction

     

    Les nouvelles

     

     

     

     

     

    Sainte-Sophie : les défenseurs de service de la catholicité, généralement peu affrétés du casque, vont avoir matière à s'occuper quelques heures.

    Nous considérons, pour un chrétien, ou un catholique, qu'il y a infiniment plus urgent et ici, que de se répandre en lamentations même s'il a l'intime habitude en bêlant de franchir le Mur !

    Qu'ils s'inquiètent de mettre au pas leur clergé, par exemple ! Et de se souvenir que même Macron - Macron le Grand ! Lui-même - dès le début de son mandat et peut-être même avant, leur avait conseillé de prendre part au débat public, d'exister, en somme.

    Mais les Catholiques ont cela de tragique, que pour eux rien ne l'est ! Laissons-les à leur non-industrie oiseuse, large comme leur vide.

     


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  • La Rédaction

    Notre soutien à Juan Carlos

    Une campagne particulièrement virulente s'est développée depuis des mois à l'encontre de l'Espagne et de l'ancien roi d'Espagne Juan Carlos Ier.

    Nous la condamnons le plus fermement. Les difficultés qu'il rencontre avec l'actuelle administration en raison de conceptions orchestrées politiquement où se dessinent l'intention sournoise de renverser la monarchie. Cela, nous ne pouvons l'accepter, pas tant en raison de la monarchie elle-même, qu'en raison du caractère mensonger, idéologique, démagogique, de ceux qui se prononcent pour une république et ne sont que des marchands d'utopie.

    Ils démontrent que l'intention de ces partisans anti-espaqnols, parmi eux, un responsable du parti Podemos qui perd dès lors sa crédibilité - attaquer la monarchie, c'est attaquer l'Espagne - visent, en se plaçant derrière des mots d'un vide abyssal, l'Histoire et le cœur même de l'Espagne.

    Nous ne saurions tolérer que soient remis en cause ce que l'on peut appeler "les équilibres" de l'Europe, dans laquelle cohabitent républiques et monarchies.

    Pour la défense même de Juan Carlos, rappelons que dans sa jeunesse, il manqua de tout et que certains de ses amis s'occupent de lui fournir subsistance. Nous ne connaissons pas les normes fiscales en Espagne ni leur caractère d'étendue à la totalité des Espagnols, fussent-ils le roi, et quel roi, celui qui leur permit aujourd'hui de vivre et de tout simplement respirer.

    Que les Espagnols ne l'oublient pas : d'autres pays européens ont connu et connaissent encore les conséquences néfastes pour avoir oublié les leçons de l'Histoire et manqué de reconnaissance à l'égard de leurs grands hommes. Qu'ils aient la sagesse d'éviter cette triste conception.


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  • La Rédaction

    Le mariage de Béatrice d'York et d'Edoardo Mapelli Mozzi

    La Princesse Béatrice d'York a épousé le comte Edoardo Mapelli Mozzi le 17 juillet 2020 en la Chapelle de Tous les Saints, à Windsor.

    Le mariage n'avait volontairement pas été annoncé par le Palais. Et c'est au milieu d'à peine une trentaine de personnes que les fiancés, dont le mariage avait été retardé plusieurs fois, se sont dit oui.

    (image ancienne ; aucune image du mariage n'a été publiée)

    Le mariage de Béatrice d'York et d'Edoardo Mapelli Mozzi


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  • La Rédaction

    Une idée de promenade estivale pour ceux qui s'intéressent à la famille d'Orléans : le Domaine royal de Randan, en Auvergne, dans le nord du Puy-de-Dôme, très près de Vichy.

    Si le château n'a jamais été reconstruit après l'incendie de 1925, certains bâtiments tels que la chapelle et les cuisines l'ont été, on peut visiter le site avec ses jardins, classés jardins remarquables, ou encore le Musée de la chasse du Duc de Montpensier, dernier propriétaire de la famille d'Orléans, mort sans postérité en 1924.

    On peut découvrir aussi l'exposition consacrée à l'hôpital créé à Randan et installé dans les communs par Isabelle, Comtesse de Paris durant la première Guerre Mondiale.

    Ce château fut la propriété d'Adélaïde d'Orléans, et pour cette raison il fut appelé Domaine royal de Randan lorsque son frère devint le roi Louis-Philippe.

    Sur cette image, c'est Amélie d'Orléans, reine de Portugal, qui visita l'hôpital durant la 1ère Guerre.

    L'hôpital de guerre d'Isabelle d'Orléans

     Cette image a été empruntée au blog Les Bonheurs de Sophie


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  • La Rédaction

    L'ennemi public n° 1

    Détecter cet ennemi, est le principe de cet éditorial.

    La société est un sport collectif et dangereux... Ce soir nous ne remonterons pas le titre, déjà utilisé plusieurs fois : La Prise de la pastille... Les Français y sont abonnés en permanence chaque jour, et à dose intense. Nous ne dirons pas non plus, ce n'est pas le sujet du jour, que la République est usée jusqu'à la corde, et que tout ce qu'elle engage, dans l'ordre pratique, n'est plus grippé, mais inerte, frappé de mort définitive. L'emploi, la prospérité, sont des mythes des vieux âges... Il s sont si anciens qu'on ne sait plus s'ils ont eu réalité.

    De plus en plus on entend, dans des milieux ordinaires, volontiers dans les milieux musulmans (plus éveillés sur la réalité du temps que les Français d'origine, à la vivacité enterrée sous les strates de décennies broyeuses), ceci (en substance) : « Ils attendent la rentrée pour recommencer, avec leur virus... pour tout boucler encore plus... on ne sait pas où on va, c'est de pire en pire ».

    Alors, cet ennemi ? C'est le Système. Pas la République, en tous cas, ce soir: certes elle s'identifie parfaitement au Système, elle l'a d'ailleurs produit ; mais on ne fera pas dire à cet éditorial ce qu'il ne dira pas : qu'à la république il suffirait de substituer une monarchie... Ceux qui croient en une monarchie future, surtout prochaine, sont à l'Ouest. Impossible en l'état des choses présentes, et non souhaitable, tant qu'on n'aura pas curé les écuries d'Augias; la monarchie n'est ni une solution en elle-même, elle n'est qu'un instrument et son utilité se juge selon les mains qui l'utilisent. Regardons les monarchies actuelles d'Europe : le plus sûr appui du Système broyeur aux mains de ceux qui détruisent scientifiquement nos libertés, nos ressources, nos moyens, notre indépendance, notre espoir. Notre avenir.

    L'apparition du virus, accidentelle, ou non, n'a pas d'importance. S'il est apparu par erreur, c'est en tous cas qu'il pouvait apparaître ; mais le Système, lui, était prêt : depuis dix à quinze ans, il se préparait déjà, lors des précédents virus, certains laboratoires étaient prêts... lors de leur apparition ou presque. Il suffit de lire la presse. Le virus est un prétexte, prévu, pour cadenasser la société plus encore qu'elle ne l'était déjà et définitivement.

    Il reste deux ans, en gros, avant l'échéance-pantalonade de 2022... Pour tenter d'éviter d'être de nouveau roulés dans la farine, enfermés devant la campagne de clones formés pour les mêmes orientations clones et tueuses.

    Inutile de dire que c'est un combat hors de prise et qui ne réussira, en 2022 ou sitôt après (c'est-à-dire avant 2027) qu'avec un moyen similaire à celui des marcheurs. Ceux qui partagent notre avis n'ont pas d'amis, dans la sphère politique. Les forces sont à constituer. A partir de (presque) zéro.

    Répercutez cela dans votre entourage. Pas en vrac vers tous vos contacts, mais vers ceux qui réfléchissent. C'est ainsi que le somnambule élyséen a vaincu en 2017, par ses marcheurs, dont l'effort incontournable pour leur réussite même si le candidat - avant même de l'être - avait reçu des signaux de la presse aux ordres, un Richard Ferrand qui a lancé la marche, et, paraît-il, 17 millions en provenance de la City. N'attendez pas qu'un chef vienne lancer le signal de la saoulerie gauloise pour déterminer vos mouvements. Agissez. Maintenant. Votre voisine de palier fera l'affaire, pour commencer.

    Ça, c'était l'objectif à déterminer ainsi que la forme. Quant aux moyens pour agir et faire entendre notre cri, cela suivra, bien assez tôt. Mais n'attendez pas de recevoir en kit ce que votre sagacité devra inventer, à ajouter à d'autres. Fermons déjà tous les contacts entre nos personnes et le Système.


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  • La Rédaction

    Réservez vos place pour le festival 2020 ! C'est à Ménigoute, dans les Deux-Sèvres (France) du 27 octobre au 1er novembre 2020, et le festival existe depuis 1985.

    Il présente les documentaires animaliers des cinq continents.

    Si vous suivez, comme nous, les activités du festival, vous savez que l'on visite, à La Chapelle-Boucard, de 10h à 19h, le Salon d'art animalier, où sont exposées les œuvres de plusieurs photographes, peintres ou aquarellistes, sculpteurs...

     

    Ici vous trouverez les infos pratiques pour se rendre à Ménigoute


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  • La Rédaction

    Le Duc d'Anjou et de Ségovie va être transféré au Panthéon des Infants

    L'Infant Jaime de Bourbon y Battenberg (1908-1975) va être transféré dans la nécropole des Infants d'Espagne.

    S'agit-il d'une signe d'apaisement après l'affront ressenti par une grande partie des Espagnols, après le déplacement des restes du Caudillo ?

    L'Infant fut victime d'une renonciation forcée au trône d'Espagne, jugée non valable par les meilleurs spécialistes, dont ceux de RoyautéNews.

    Il est aussi pour les Français le Prince Jacques Henri de Bourbon, puisqu'il fut après son père, Alphonse XIII, le successeur Capétien du trône de France.

     

    Revoir notre série historique sur le Duc d'Anjou et de Ségovie


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  • La Rédaction

    C'est comme observateur indépendant que nous livrons notre impression sur la composition du nouveau gouvernement français.

    Bien qu'il ne soit pas étranger aux pouvoirs souterrains qui pilotent, derrière les marionnettes, les pouvoirs, politiques et tous les autres, l'arrivée de Dupond-Moretti est quand même une bouffée d'air frais. L'élimination de la catastrophique Nicole Belloubet, synonyme d'opacité, de poids mort, dont la seule présence faisait peser un chape de plomb sur le monde judiciaire et par conséquent sur tout le pays, est un soulagement sans bornes.

    Roselyne Bachelot ; Le Retour : amusant. Elle aura toujours plus d'esprit que le sinistre Riester.

    Amélie de Montchalin : la borne de service débitant la Pensée Unique.

    Denormandie : il aura fort à faire à l'Agriculture... Est-ce sur ses épaules que reposera la vigie giscardienne intra-gouvernementale ?

    Il est à regretter que Blanquer, le chef d'orchestre de la propagande appliquée aux plus jeunes têtes soit maintenu en poste.

    Darmanin : une double excellente chose au ministère de l'Intérieur : son calme et sa nature non polémique rendront-t-il un peu de sérénité à ces enragés ? Ou alors est-ce destiné à nous faire croire que les flics sont gentils et sont nos amis ? Hypothèse de ce que les Français, pour eux, là-haut, seraient vraiment, mais vraiment, tous idiots ?

    Pour les autres, nous ne les connaissons pas ou si peu, le nom revient, c'est tout, par "la rumeur". Devra-t-on poser leur nom sur nos malheurs accumulés?

    La foule de ministres délégués, inutiles au pays, ne peut évidemment que nous indisposer.

    Les priorités annoncés par le nouveau porte-parole ne sont pas évidemment à notre goût. Mots d'ordre incantatoires de la république des excités.

    Soyons persuadés, avec ce remaniement, qu'il ne s'agit que d'un stratagème pour enfoncer encore plus la seule activité du gouvernement tout entier, dont la préoccupation est d'être le ministère de la propagande. Les fâcheux continuent à s'accrocher comme des moules sur un rocher.

    Au fond, et comme à chaque transition qui n'en est pas une, les choses changeront-elles, même un peu ? Bien sûr que non. A n'en pas douter, il ne s'agira que d'un nouveau ministère des courants d'air. Ce serait, au fond, une bénédiction, et que tout échappe au gouvernement. Mais malheureusement ce n'est pas le cas. Flicage, propagande, surveillance, délation, qui sont mamelles de la filouterie anti-démocratique et de l'occupation barbare de nos vies par ces individus auto-proclamés, sont bien, trop bien, installés.


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  • Les Pôles ; Une aventure française -  Dominique Le Brun

    Tallandier ;   25 juin 2020 ;  336 p.;  20€90.

    Les Pôles ; Une aventure française -  Dominique Le Brun

    Présentation officielle : Exploratrices ou scientifiques, les expéditions lancées à la découverte des pôles ont été des aventures extraordinaires. Depuis cinq cents ans, la France y joue un rôle de premier plan. Pour la première fois, voici retracées les incroyables épopées de ces explorateurs et marins d’exception.

    Qui se souvient de Balthazar de Moucheron ? Il est pourtant, en 1609, l’un des premiers à imaginer l’ouverture d’une route maritime au Nord vers la Chine. Savez-vous que Bougainville, après sa première circumnavigation, préparait une exploration vers le pôle Nord jusqu’à l’arrivée en 1772 d’un certain Kerguelen qui lui vola la vedette à la cour de Versailles ? Qui se souvient qu’un Français, Joseph-René Bellot, héros pour les Anglais, partit au péril de sa vie à la recherche de Sir John Franklin dans le passage du Nord-Ouest, en 1853 ? Que l’officier de marine et naturaliste Dumont d’Urville découvrit la Terre-Adélie où une station scientifique porte désormais son nom? Mais c’est avec le commandant Charcot, homme de cœur habité par sa mission au Groenland et surnommé Polar gentleman, puis avec la fondation des Expéditions polaires françaises de Paul-Émile Victor, que la connaissance des pôles fait un bond en avant dans la première moitié du XXe siècle. Aujourd’hui, les stations scientifiques et les missions françaises tentent plus que jamais de contribuer à relever un nouveau défi majeur : le climat.


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  • RN 1 pour La Rédaction

    En temps d'été, renouons avec quelques rubriques ancestrales...

     

    #MesPréférées


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  • La Rédaction

    Une grande tristesse : mort de Hermine de Clermont-Tonnerre

    AFP/Kenzo Tribouillard

    Elle ne laissait personne indifférent. Personnalité incontournable de la Jet-Set, elle avait redonné une image de jeunesse et de liberté à ce milieu et à la nuit, parisienne, ou d'ailleurs, dans les années 90 après avoir été styliste chez Dior.

    Voici quelques jours, son ex-mari avait annoncé la sortie du coma d'Hermine, à la suite de l'accident de moto survenu voici un mois. Elle s'est éteinte ce matin entourée de sa famille.

    Habituée des randonnées à moto, elle avait toujours affiché une indépendance d'esprit rare dans les grandes familles.

    Elle contribua avec trois amies au succès du fameux Rallye des Princesses. On pense aussi à ses ouvrages : Un jour mon prince viendra, et Mon prince est venu... Pour un temps, pour longtemps, ou pour toujours ?

     

    La lecture de son grand succès, Politesse oblige, plusieurs fois réédité, était un vrai bonheur.

    Elle appartenait à la branche ducale de sa famille. Son père était le Colonel de la Légion Etrangère, Duc de Clermont-Tonnerre, et d'Anne Moranvillé, elle-même fille d'Antoine Louis Pierre Moranvillé, d'une vieille famille, propriétaire du Château du Soudun (dans l'Indre), et de Marie-Antoinette de Becdelièvre.

    Hermine de Clermont-Tonnerre avait porté pour la première fois dans sa famille sous cette forme et avec élégance le titre de Princesse, qui appartient à sa famille. Elle avait créé une société d'événementiel et avait participé à des émissions de télévision, parmi elles, de télé-réalité (La Ferme Célébrités). Elle participa à plusieurs films, et servit de modèle (à travers un des personnages) au cultissime Jet Set, de Fabien Onteniente (1999).

    Dans cette décennie 90, elle appartenait à la fameuse bande où l'on retrouvait Hélène de Yougoslavie, Rixa d'Oldenbourg, ou encore Charles de Castries.

     

    Elle avait deux enfants, Allegra et Calixte, de son ancien compagnon Alaistair Cudderford.

    (...

    Il y a neuf cents ans cette année que l'aïeul des Clermont-Tonnerre recevait du Souverain pontife le droit pour sa famille de porter les armoiries papales, privilège sans égal.

    Nous établirons une histoire de l'illustre maison de Clermont-Tonnerre ces jours-ci.

    Une grande tristesse : mort de Hermine de Clermont-Tonnerre


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  • RN 1 pour La Rédaction

    Au sujet des fake-news et de l'attitude à adopter

    L'invention toujours renouvelée d'ennemis à abattre, dans une pseudo démocratie systémique, est une banalité. Crier au loup fait partie de l'exploitation des peurs, signe populiste s'il en est, paraît-il. Quotidien de banalité en république dite française.

    Le phénomène des informations fausses ou inexactes n'est pas apparu la semaine dernière aux cerveaux neufs ou naïfs de la technocratie exacerbée, de la république des procureurs.

    Frédéric Pottecher au sujet de l'assassinat à Dallas de John Fitzgerald Kennedy, dans une préface qu'il consacrait à l'ouvrage magistral de Philippe Erlanger L'étrange mort de Henri IV, paru en 1957, dans une réédition environ 1964. Rien n'est nouveau sous le soleil, restons calmes.

     

    « Mais le peuple est sans défense contre les fausses nouvelles; sans défense contre cette intoxication »

    «  Le téléphone, la radio et la télévision remplacent, en 1963, la rumeur de 1610. Dans les deux cas il ne reste rien des mots et des images transmis, colportés par les ondes. La civilisation du flash en remplaçant celle de l'imprimé, nous replace dans une situation voisine de celle de 1610. »


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  • RN 1 pour La Rédaction

    Eudes toi, le Ciel t'Eudera

    Comment s'échapper du couloir infect ? Abolir cette tuerie du Système qui désagrège nos vies ? En ce soir d'élections françaises, notre Site ne s'interdit pas à l'occasion de porter une appréciation sur des phénomènes en cours.

    Adressons-nous pour une fois en priorité, aux royalistes avoués et militants, ceux des mouvements (différents des autres). Un infime nombre qui cependant bloque la manifestation, la libération d'opinion de tous les autres, des monarchistes potentiels, nombreux dans la population (clic)! Ceux qui par leur absence d'opérations cohérentes, maintiennent le brouillard d'impossibilité sur la tête de tous !

    Qu'ils se le rappellent : En République, cette devise prime : L'ennemi, c'est tout le monde! Alors, comment reconnaître les pires ? Ceux qu'il faut écarter par priorité ? Car le problème est là : le royalisme français n'existe pas car il ne se veut pas un royalisme de combat ! Nous ne décernons pas de brevet de qualité, ni de secourisme aux formations politiques : pour nous tout est mauvais. Il n'y a rien à sauver parmi les forces mises en jeu dans le Système. Et le Système va au-delà de la simple forme républicaine de gouvernement. Mais il y a des priorités.

    Les pires démagogues ? Z'Yeux fermés : chez ceux que la doxa médiatique classe à ... l'inverse prétendue de la Gauche. Les pires ennemis actifs de la liberté : lisez les professions de foi des listes candidates ! Ce sont eux qui veulent toujours multiplier les caméras de surveillance sur l'espace public ! Jusqu'au jour prochain où elles seront obligatoires dans les espaces privés. On pourrait continuer.

    Ceux sont eux, d'abord, qu'il faut abattre en priorité. Pour cela il faudrait un esprit de combat ! C'est là que ça peine, hein ?

    (Passons maintenant à) Ceux des fractions royalistes qui opèrent seulement à coups de chapelets, voilà ce qu'on doit leur dire : leurs incantations (dès lors qu'ils se refusent à l'action) n'ont pas et n'auront jamais d'issue. Lorsqu'on est chrétien, on agit. Malheureusement la culture chrétienne n'a plus grand chose de chrétien lorsqu'elle désarme les volontés, et faisant porter sur l'écran noir un fatalisme étranger à la religion chrétienne... C'est ainsi que, si l'on veut croire à un rôle essentiel de la Providence, il faut pour qu'elle se manifeste, qu'on l'invite, par l'allumette de l'action.

    La culture des royalistes (en général, et il est parlé ici, non du gros des royalistes d'aujourd'hui, mais des milieux aristocratiques qui jadis formaient la base la plus forte des mouvements monarchistes, jusqu'à la 2nde Guerre Mondiale environ) est malheureusement celle des semelles de plomb : leur passé, leurs antécédents, ont des racines profondes. Ils attendent les coups de pied au cul, (d'où leur attachement atavique à l'Armée), comme les leurs ont attendu par prédilection, des générations, les hommes providentiels. Aujourd'hui, ils attendent que leurs princes agissent... comme d'autres attendent le Messie ! C'est à n'y plus tenir !

    Répétons le vieux dicton : Eudes toi, le Ciel t'Eudera. Si la fameuse formule Capétienne qui les inspire tant (on se demande d'ailleurs pourquoi), les fait presque flotter, qu'ils se souviennent que pour exister dans le paysage de son époque, les ancêtres d'Hugues Capet mirent la main à la pâte et n'hésitèrent pas à agir... C'est ainsi que, tout en repoussant en de nombreux combats les Normands, ils prirent leur part aux affaires publiques de gouvernement.

    Si Eudes de France était resté allongé, à dormir à l'ombre d'un couvent, il ne serait jamais devenu roi. Il ouvrait ainsi la voie royale et prochaine, de la saga Capétienne.

     

    En rouge, compléments de précision.


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  • La Rédaction

    L'exercice des derniers jours offre un effet des plus intéressants.

    Faire passer, dimanche dernier, à la trappe une contestation anti-policière si justifiée, si massive, si universelle, est un exploit de l'intervention élyséenne que l'on a dit vide. Elle ne l'était pas.

    Passons sur le refrain incantatoire anti-raciste, annoncé comme une priorité... tout en taisant l'objet des manifestations ; pire dialogue de sourds de la mare du roi Ubu. Une de ces figures élaborées du mensonge, artefact le plus fondateur de l'archéologie républicaine.

    Derrière la réaffirmation d'une République exclusive, unique, historico-centrée, auto-justifiée et obligatoire, et fondée sur... la Police... se trouve une menace des plus implacables.

    Même les communautés, filles chéries du système, implantées par force, qu'elles se le disent, elles non plus ne trouveront pas de clémence si elles s'attaquaient à la république. Autant dire, ce sera encore plus vrai pour les autres Français...

    *

    L'affaire des statues marque un pas grave et d'autant plus violent qu'elle est mise en œuvre par des membres jusqu'ici non signalés des communautés, et que l'on croyait des plus assimilés (l'ancien footballeur qui vise Gallieni). Preuve si besoin que le système a placé le pays dans l'insécurité la plus foudroyante et la plus insupportable.

    D'ailleurs des débordements pourraient survenir, ils seraient heureux (même pour de mauvaises raisons), débordant la mécanique jusqu'ici huilée du pouvoir auto-perpétué. Ils seraient ingérables selon le bon mot des technocrates. Mais malheureusement aujourd'hui, ni les scandales, ni les manifestations même appuyées ne sauraient déboulonner un système décidé, par conviction, à se maintenir même au moyen de la plus grande violence. Les CNTistes, et autres Gentils Gilets, se maîtriseront-ils cette fois, au lieu de se lancer comme des fols ? Penseront-ils, au lieu d'aller à leur instinct ?

    Pour les Français de tous horizons qui voudraient en finir avec l'impérialisme républicain, le moment va devoir se décider. Il sera vite là.

    Ceux qui sentent les choses à notre façon ne peuvent pas le penser à la façon des anarchistes. Nous sommes tout à leur inverse. Nous souhaitons un pouvoir sain, une société libre, véritablement démocratique.

    *

    Les stratèges macroniens ont conçu un plan très osé et ce, avant la déclaration assez notable du maire de Béziers. Il s'agit du rendez-vous de 2022 alors que des sirènes ont commencé de sourire à un Édouard Philippe presque déjà en orbite.

    Ce n'est pas inastucieux. Au lieu, pour le système politique actuel, de s'exposer de plus en plus dangereusement à une critique ressentie à l'échelon du pays, de ne demeurer au pouvoir que grâce à la récurrente mise en scène Le Pen de deuxième tour, la comédie de la "République" et de son Épouvantail... L'exécutif élyséen vient de découvrir le filon souverainiste ! Voire, même, patriotique ! Il y a toujours des clients pour ça. Au lieu de s'ériger en Rempart contre le Front National, cette fois-ci, tout en élimant à son profit quelques strates d'indécis, il aura doublé le parti Le Pen sur ses ailes (prétendument) souverainistes. Il fallait y penser. Après tout l'évidence des contradictions est un des déguisements les plus classiques de la République auto-immune.

    Mais à la fin, voudra-t-on le comprendre, qu'y aura-t-il de Français dans ces emplois récupérés (médicaments qui ne seront plus fabriqués en Chine ou en Inde...), dans ces faux-semblants d'une guéguerre qui ne sera que mise en scène une fois de plus destinée à barbouiller l'écran de lucidité des Français ? Quel intérêt pour la France, si la République en bénéficie ?

     

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  • Jésus ; Dictionnaire historique des évangiles  -  Marie-Françoise Baslez

    Texto ;  paraîtra le 2 Juillet 2020 ;  304 p.;   10€.

    Présentation officielle : « L’enjeu de ce dictionnaire est de fournir au lecteur un compagnon des textes fondateurs du christianisme, un compagnon qui se doit de lui aplanir le chemin au long d’une lecture occasionnelle ou continue. On trouvera les personnages, les événements, les institutions politiques, sociales et religieuses mentionnés dans les évangiles, mais aussi les concepts et les représentations théologiques qu’ils utilisent : comment s’y adresse-t-on à Dieu et comment en parle-t-on ? Comment sont énoncées les appartenances religieuses et communautaires ? »Pour cerner au plus près le personnage de Jésus et sa prédication en interrogeant l’histoire et les évangiles, voici une enquête finement menée par une grande historienne du christianisme des origines.

    Jésus -  Dictionnaire historique des évangiles  -  Marie-Françoise Baslez


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  • Y a-t-il une erreur qu'ils n'ont pas commise ? - Professeur Christian Perronne

    Albin Michel ; 17 juin 2020 ;  206 p.;  16€90.

    Présentation officielle : Vous croyez savoir ce qui s'est passé ? Un médecin réputé raconte à quel point la crise du Covid-19 a été un désastre sanitaire. Le président ? Le premier ministre ? Les ministres de la santé ? Les experts ? Ils n'ont rien vu venir. Plus grave : certains savaient. Un témoignage féroce, incontestable, inquiétant. Un livre nécessaire sur tout ce qui n'a pas été dit. Le Professeur Christian Perronne est aujourd'hui chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital de Garches.
    Pendant quinze ans, il a été l'un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Il est l'auteur de La vérité sur la maladie de Lyme.

    Y a-t-il une erreur qu'ils n'ont pas commise ? - Professeur Christian Perronne


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  • Épidémies : vrais dangers et fausses alertes - Professeur Didier Raoult

    Michel Lafon ;   26 mars 2020 ;  12€.

    Présentation officielle : Anthrax, chikungunya, Ebola, grippes aviaires, H1N1, Zika, SARS-coronavirus, MERS-coronavirus... Pour toutes ces épidémies, on a prédit des millions de morts : il n'en a rien été.

    Qu'en sera-t-il du coronavirus chinois qui provoque une panique mondiale ?

    Cet affolement provient en grande partie des exagérations de la presse, qui sait que la peur " fait vendre ". Mais que nos gestionnaires – les politiques – surfent à leur tour sur le pire peut être lourd de conséquences. Nous avons affaire à des événements que la science elle-même peine à expliquer, telles la transmission accélérée des épidémies à leur début, leur variation saisonnière et... leur disparition spontanée sans raison apparente. Dans ces conditions, brandir chaque jour le nombre de nouveaux cas et de morts comme un épouvantail ne sert qu'à provoquer des réactions disproportionnées par rapport aux risques réels qui, eux, ne peuvent qu'être négligés dans le même temps.

    Epidémies : vrais dangers et fausses alertes - Professeur Didier Raoult


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  • La Rédaction

    En réaction rapide à l'intervention télévisée d'Emmanuel Macron. Non, il n'y a pas « d'ordre républicain» en dehors duquel les Français ne seraient pas en sécurité. Ce n'est pas le cas, c'est tout le contraire et on le sait. La rue le sait aussi. Elle ne fera que s'en persuader encore.

    C'est la plus grande insécurité qu'impose au contraire depuis quelques années une République Française virulente, insolente, imbuvable par nature, inique par constitution, mais, comme si ça ne suffisait pas, devenue implacable, et dernièrement insupportable.

    Les propos de soutien de Macron aux mercenaires de la dictature, que sont les policiers, que nous prenons globalement, comme une "institution" dévoyée, détournée, se situent bien au-delà de la provocation.

    Au moment où la France pousse ce cri d'alarme contre le poids policier et l'impunité policière, ces propos sont une déclaration de guerre du pouvoir contre le peuple Français.

    L'Ordre Républicain n'est pas une fatalité. Il ne saurait être imposé, affirmé mensongèrement comme le seul mode des pouvoirs.

     

    Nous fournirons notre contribution particulière à la question policière dès ces jours qui viennent.


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  • La Rédaction

    La mort de Jean Raspail

    La mort de Jean Raspail touche une bonne partie des Français, bien au-delà des royalistes. Pour notre part nous lui consacrons un article en raison de l'univers Araucanien auquel il fut mêlé pour le meilleur puis pour la dispute.

    Les thèmes de ses romans contiennent certainement de profondes vérités foncières. Nous n'entrerons pas dans la sphère des idées politiques, dont, on le sait ! nous ne nous occupons pas. Saluons un écrivain engagé, courageux, qui aura marqué les idées du 20ème siècle et jusqu'à ce jour, et qui continuera d'emplir de son aura l'univers de la pensée et de la littérature. Jean Raspail n'appartient pas, surtout aujourd'hui, à une fraction politique, on peut s'inspirer de sa pensée, même lorsqu'on ne fait pas cause commune avec des factions hautement contestables...

    On sait que nous suivons l'actualité du Royaume d'Araucanie, et il nous revient légitimement de dire notre opinion au sujet de la séparation cruelle dont Jean Raspail fut à l'origine après qu'il ait été un collaborateur fidèle du prince Philippe d'Araucanie.

    La fiction créée par Jean Raspail, le Consulat Général de Patagonie - d'ailleurs honorable mais sans aucun lien avec l'authenticité du Royaume ni avec l'Histoire - a trouvé son existence dans une dispute entre le Prince Philippe et Jean Raspail : c'est la publication de l'ouvrage Moi, Antoine de Tounens, roi de Patagonie, qui connut un succès si grand et qui fut honoré du Grand prix du roman de l'Académie française en 1981. Cet ouvrage mit le feu aux poudres car dans ce roman dont il n'est pas question de remettre en cause la qualité littéraire, le héros, Antoine de Tounens, était maltraité, dépeint comme un faible, dans un récit non historique, peu conforme aux évidences et à la personnalité du personnage décrit.

    Cette dissension est peu connue du public, puisqu'elle fut vécue au sein du Royaume d'Araucanie et de Patagonie. La constitution d'un organisme sans rapport moral ni historique avec l’œuvre d'Antoine de Tounens, fut un drame pour le Royaume d'Araucanie. Alors que son principe repose sur la défense des Indiens d'Araucanie, le Consulat Général, lui, a toujours affiché son absence d'intérêt pour cette cause qui fut la raison même de la vie d'Antoine de Tounens et de ses successeurs !

    Le soubassement idéologique du Consulat Général est de nature politique et n'a aucun lien proche ni lointain avec le Royaume d'Araucanie et de Patagonie. Il a été influencé par des écrivains antérieurs à Jean Raspail, et la « Patagonie » de Jean Raspail fut le lieu intellectuel d'un certain  nombre de Français qui se ne reconnaissaient plus dans les errances et contradictions modernes de leur pays. Il s'agissait pour eux de se rêver, de se projeter en un univers de l'esprit. Symboliquement, celui qui se reconnaît dans la démarche raspalienne se constitue une appartenance idéale et dans l'esprit, dans un lieu inaccessible car non sali par la triste réalité décevante de l'Occident. Il est dommage que cette vision très honorable et très pertinente, et qui n'est pas à contester, ait éprouver le besoin d'exister en niant au Royaume d'Araucanie, à partir d'une blessure d'amour-propre, sa légitimité et ce drame fut de porter atteinte à l'authenticité et à la réputation, en singeant un certain nombre de signes (décorations, drapeau copié sur le drapeau du Royaume...). Peut-être, la vie d'Antoine de Tounens, et sa mémoire, méritaient mieux que ce nihilisme et ce désabusement !

    Il ne faut pas ignorer qu'à côté des « purs », d'autres personnages, douteux, se sont introduits dans l'organisation Raspail... comme dans toute organisation.

    Nous espérons que l'avenir inspirera les authentiques raspaliens et qu'il trouveront le chemin qui leur permettra de renouer avec leurs origines, ignorées ou connues.

    Selon M. Tulli en effet, le bras droit de Jean Raspail dans la mouvance du Consulat Général, et qui nous répondait voici cinq ans, pour un authentique Patagon, tel qu'ils se nomment, il ne peut se concevoir de suite après Jean Raspail. Sa démarche, son univers, sont fixés dans un Temps. Pour notre part nous ne doutons pas que l'esprit de réconciliation manifesté par Philippe, actuel successeur du prince d'Araucanie, aura été sensible à Jean Raspail, qui a désormais l'Éternité pour inspirer l'avenir et apaiser les blessures.

     

    Nous avons appris tout-à-l'heure que le Royaume d'Araucanie et de Patagonie fera célébrer une messe pour le repos de l'âme de Jean Raspail à Saint-Nicolas-du-Chardonnet qui était l'église que l'écrivain fréquentait. Et qui était celle aussi du Prince Philippe...


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  • La Rédaction

    Le Prince Philip d'Édimbourg a fêté hier ses 99 ans.

    Nous lui souhaitons longue vie et heureuse santé.

    Anniversaire du Duc d'

    © STEVE PARSONS/AFP


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