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    L'affiche du film de Daniel Rabourdin : La Rébellion cachée, sur le génocide de Vendée. Notre article précédent                          On peut se procurer le DVD.

     

    La rébellion cachée, docufilm de Daniel Rabourdin sur la


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  • La dernière Biennale Blanche tenue à Paris samedi 21 Octobre est un succès dans la filière des précédentes

     

    Cette cuvée, organisée par Alain Texier, le fondateur de la Charte de Fontevrault, présidée par Claude Laballe, réunissait comme à l'accoutumée divers stands de livres issus de d'auteurs royalistes et aussi d'autres auteurs.

    Parmi les événements de la journée, le réalisateur Daniel Rabourdin a présenté rapidement son film : La Rebellion cachée « premier génocide progressiste », c'est-à-dire, le crime vendéen, réalisé à Hollywood.

    C'est sur bougetonéglise.fr

     

    Enfin, le professeur Lucotte, généticien de réputation mondiale, a présenté un exposé, issu de ses dernières recherches publiées. Pour en finir avec Naundorff. L'argumentation ADN.

    Le Prince Charles-Emmanuel de Bourbon Parme a entendu une partie de cette conférence, ayant tenu à honorer sa promesse de visiter cette journée.

    Nous reviendrons en détail sur certains ouvrages évoqués, présentés ou annoncés lors de cette journée.

    Echos de la Biennale blanche - 2017

    Pour mémoire, la Charte de Fontevrault est une dynamique royaliste non basée autour d'un prince déterminé. Elle émane du Providentialisme, l'une des sensibilités du royalisme français.


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  • La Rédaction

    L'Espagne vient de traverser et traverse un épisode douloureux et profond qui est une nouvelle page des relations de la Catalogne avec Madrid. La Princesse Marie-Thérèse de Bourbon fait le point avec Royauté-News.

    Elle représente la vision de sa famille, qui défend le fédéralisme (non l'indépendance), celle en même temps du Carlisme historique, pivot central pour comprendre l'enjeu Catalan, alors que son neveu, le Duc de Madrid a récemment prôné, dans ce dossier comme dans tous les autres, le dialogue et la concorde. Dans un entretien très dense, elle exprime ici la position officielle et politique de la maison royale de Parme.

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    Princesse Marie-Thérèse de Bourbon.

     « - La nation est ce qui est primordial. La nation, on dit qu'elle est l'âme d'un peuple... La tradition, les aspirations, ont besoin d'une structure, politique et économique qui est l'Etat, qui permet de les faire coïncider pourvu que le peuple adhère et marche avec lui. Cela s'organise bien sûr autour d'une Constitution, mais il ne peut exister qu'avec l'accord des peuples.

    Il existe une nation catalane, une nation basque, une nation celte... Nous sommes pour l'unité nationale dans la diversité. Mais la Constitution de 1978 a vieilli et a restreint les autonomies. On en voit les conséquences aujourd'hui et cette évolution n'a pas été réalisée en accord avec la population, ce qui aboutit à ce choc lamentable et dangereux. »

    « Il faut revenir à l'adhésion du peuple, retrouver un respect qui n'a pas existé de la part du Gouvernement ni dans la presse madrilène. Là, il y a eu exaltation et ce n'est pas bon. Le séparatisme est dommageable, mais il faut souligner que les statuts d'autrefois ont été restreints. Comme l'a déclaré mon neveu, nous prônons le consensus et la concorde. Certes le referendum n'est pas juridique mais il aurait fallu se parler, alors que là, nous sommes parvenus à une situation dangereuse. »

    « La presse française doit aller en profondeur dans l'analyse. L'opinion française doit mesurer les choses de façon équanime. Il y a eu quelques bons articles, comme dans La Croix et Libération.

    Il y a eu une exaltation dangereuse des deux côtés. Ce qui compte pour nous est la paix civile. »

      (A notre question sur les violences, mises en avant) :  « - On a exagéré les violences car il n'y a pas eu de blessés graves sauf une personne qui a perdu un œil, et Pepe Nadal, un recteur qui a été blessé, mais il y a eu beaucoup, beaucoup de blessés légers. On a tiré avec des balles en caoutchouc, ce qui est dangereux. Mais il était absurde d'envoyer les troupes de Police. En outre, cela légitimait le referendum... Quand on ne reconnaît pas les votes, il est inutile d'envoyer la Police. En effet, il y a eu échauffement, mais heureusement il n'a pas abouti. »

    « Nous sommes pour le consensus. Rajoy n'a jamais écouté les propositions de la partie adverse. Ces dernières années la société civile espagnole et la société civile catalane ne se sont pas parlées. Par exemple, cette histoire bien connue et significative : on sait que les Mossos (services de Police) n'avaient pas accès à Interpol. Lorsqu'on posait la question, du côté espagnol on répondait : - Si ! Ils ont accès à Interpol, mais... à travers nous.

    « Sans ce refus de dialogue, il n'existerait pas ce patriotisme « pompier », ou cocardier. Nous avons beaucoup vécu en Catalogne, et dernièrement encore, j'ai passé le mois d'août en Catalogne du Nord, il est vrai plus séparatiste. Certains catalans le vivent ainsi : pour eux la Catalogne a la position la plus tranquille, elle est prête à l'intégration européenne sous la forme de grandes régions. Ils sont très européens et avec une certaine naïveté ils pensaient que l'Europe allait les accepter et même qu'elle les aiderait. »

      (Sur Puigdemont) : « - C'est un homme courtois, et cultivé, et ce n'est pas un fanatique. »

      (Au sujet du roi ou du Gouvernement) : « - Nous ne sommes pas contre eux mais les responsabilités doivent reposer sur une compréhension en profondeur. Si le referendum avait eu lieu on aurait su les positions et la répartition des groupes sociaux. Mais là, les partisans de l'indépendance ont été très gênés, heurtés, par l'intervention des polices. L'intervention policière était malheureuse et n'a fait que grossir le camp des Indépendantistes.

    On doit privilégier une attitude fondée sur le dialogue, non sur une attitude juridiciste. »

      (Existe-t-il une aspiration de la population catalane pour une indépendance, en dehors des chefs indépendantistes et de leurs soutiens ?) : - « Oui mais malheureusement elle a été depuis longtemps accentuée. La Constitution est devenue inadaptée et elle n'a pas été développée, et ses statuts d'autonomie font que l'on n'est plus aussi libre qu'avant, à l'intérieur des provinces et de ces statuts. »

    On avait à les développer. Au contraire, l'accès direct à Interpol, on l'a vu, a été refusé. En raison de l'accroissement du tourisme les Catalans souhaitaient un réseau routier plus dense, cela a été refusé. On n'a cessé de dire non (1), et à force cela a exaspéré les gens. »

    « Il faut aussi considérer les conditions dans lesquelles la Constitution a été votée. Deux questions étaient posées : - Voulez-vous la démocratie et une monarchie avec Juan Carlos ? ou : - Voulez-vous continuer avec le même régime ?»

    « Pour les monarchistes, la monarchie n'a pas été votée. Même pour les « stricts monarchistes » (la branche opposée à la nôtre) (c'est-à-dire, celle de Juan Carlos) et c'est la même chose pour les Républicains ! Cela a donné de l'aile aux Républicains. C'est bête, aurait-on eu le courage de poser les questions : - démocratie ? - et  : voulez-vous une république ou une monarchie ? La monarchie aurait triomphé. »

    Max Weber décrit deux types de morale. Dans cette question de la Catalogne on aurait dû se poser la question, selon la morale de responsabilité : Est-ce que les conséquences sont en accord avec ce que l'on souhaite ? Tandis que c'est la morale de la conviction, qui empêche le consensus, et fait appel comme on l'a vu à des arguments juridiques mais sur le papier, qui l'a emporté. Pour les deux, et surtout pour Madrid.»

    (Parlant de sa famille) : « Plus que pour revendiquer, il est important que mes neveux soient des leaders en Espagne et en Europe, des référents en termes de consensus, de liberté, et d'équilibre, capables de proposer et de faire découvrir des choses nouvelles. »

     

     

    1. il existe d'autres exemples de refus.

     

    Texte ©Royauté-News


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    María Teresa de Borbón Parma y los acontecimientos en Catalunya

     

    Redacción de RoyautéNews. La sociedad española está atravesando un profundo y doloroso episodio como consecuencia de las complejas relaciones entre Cataluña y el Estado español. La princesa María Teresa de Borbón Parma analiza la situación con un periodista francés.

     

    Presentó la visión de su familia, que defiende el federalismo (no la independencia), así como del Carlismo, pieza fundamental por su Historia para entender el problema catalán, mientras que su sobrino, el Duque de Madrid, ha defendido recientemente en un comunicado, como ya hizo en otros anteriores, el diálogo y la concordia. En una densa entrevista, doña María Teresa expresa la posición oficial y política de la Casa Real de Borbón Parma.

     

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    Princesa María-Teresa de Borbón

     

    La nacionalidad es un hecho primordial. De la identidad nacional se dice incluso que es el alma de cada pueblo. Pero las tradiciones heredadas del pasado así como las aspiraciones del futuro que se quiere construir, necesitan una sólida estructura política y económica que es el Estado, que les permite converger, siempre que el pueblo se adhiera y camine con él. Un Estado se organiza evidentemente en torno a una Constitución, pero la estabilidad democrática sólo puede existir con el acuerdo de los pueblos que la integran.

     

    En España existen, entre otras, una nación catalana, una nación vasca, una nación gallega y una nación andaluza. Somos partidarios de la unidad de todas ellas pero a partir del reconocimiento de esa diversidad previa al Estado. La Constitución de 1978 ha envejecido de manera acelerada convirtiéndose en un freno que restringe las autonomías nacionales, en lugar de desarrollarlas, como esperaban muchos ciudadanos, y como reclamó una mayoría del pueblo catalán. Estamos asistiendo a las consecuencias de esa deriva, de una involución realizada sin el acuerdo de la población, lo que nos lleva a un enfrentamiento lamentable y peligroso.

     

    Tenemos que recuperar la adhesión del pueblo catalán a la idea de España pero para ello debemos recuperar también el respeto a su personalidad nacional, respeto que no ha existido por parte del Gobierno central ni por la prensa madrileña. Ha habido bastante beligerancia en esta última, y esto no es bueno. El secesionismo es perjudicial para todos, pero debemos resaltar igualmente que el actual marco institucional de relaciones territoriales ya no sirve. Tal como lo ha proclamado mi sobrino, nosotros promovemos el dialogo y la concordia como valores cívicos. Es cierto que el referéndum fue ilegal, pero tendríamos que haber hablado mucho antes, porque ahora nos encontramos en una situación verdaderamente muy preocupante. La búsqueda de una solución duradera desborda ya los límites del ordenamiento jurídico vigente.

     

    La prensa francesa debería profundizar en el análisis de este desencuentro. Así la opinión pública francesa podrá valorar los hechos acaecidos de manera ecuánime. Merecen destacarse por su interés algunos artículos publicados en medios como La Croix y Libération.

     

    Desde los dos bloques antagonistas se han exaltado inadecuadamente los sentimientos más profundos. Ni es España contra Cataluña, ni Cataluña contra España. Por eso la prioridad para nosotros es recomponer la paz civil.”

     

    (A nuestra pregunta sobre la violencia ejercida ):

    La fuerza fue ejercida de manera innecesaria. Hubo poco heridos graves, como una persona que perdió un ojo, o Pepe Nadal, el antiguo Rector de la Universidad de Girona, pero en cambio fueron muchos, realmente muchos, los heridos leves. Se dispararon pelotas de goma, lo cual es muy peligroso. Todo aquel despliegue de fuerzas policiales no fue más que un gran absurdo. Además fue un error porque legitimaba la posición política del contrario. Cuando no se reconocía la validez jurídica del referéndum, no era necesario enviar a la policía.

     

    Nosotros estamos por un acuerdo entre todos. Rajoy jamás ha escuchado ni atendido las reclamaciones realizadas desde Cataluña. Durante los últimos años los políticos del Gobierno Central y de la Generalitat no han hablado, ni se han comunicado de ninguna manera.

     

    Sin el rechazo al diálogo, no existiría tanta patrioterismo “de charanga y pandereta”. He vivido durante largas temporadas en Cataluña y, recientemente, he pasado el mes de agosto en el norte de su territorio, donde hay un sentimiento muy desarrollado a favor de la independencia. Algunos catalanes lo viven así, para ellos Cataluña tiene una posición óptima, está preparada para la integración europea bajo la fórmula de las grandes euroregiones. Son muy europeos, y con cierto candor, pues pensaban que Europa los aceptaría e incluso les ayudaría.”

     

    (Sobre Puigdemont) : 

    « Es un hombre cortés, y con cultura, y no es un fanático.»

     

    (Sobre el Rey y el Gobierno) : 

    «No estamos en su contra, pero las decisiones deben adoptarse de manera responsable, con una comprensión profunda de los problemas. Si el referéndum se hubiera realizado de otra manera, conoceríamos la distribución social de los diferentes planteamientos. Pero tal como se ha hecho todo, los partidarios de la independencia han sido muy violentados con la intervención de la policía. Esta acción policial ha sido inoportuna, y sólo ha servido para acrecentar la fuerza del independentismo.

     

    Se debe privilegiar una actitud política basada en el dialogo y en la concordia, con el fin de llegar a un pacto, no vale de nada un legalismo excluyente.”

     

    ¿Existe una aspiración de la población catalana por la independencia, además de la de los dirigentes independentistas y sus apoyos? :

    “Si, pero desgraciadamente se ha visto acentuada desde hace tiempo. La Constitución de 1978 se ha quedado obsoleta y sus estatutos de autonomía ya no sirven para avanzar en el reconocimiento de la pluralidad nacional de España. Se tenían que haber actualizado. Debido al crecimiento económico, los catalanes deseaban una red de infraestructuras más amplia y modernizada, también se ha rechazado. Desde el gobierno central no han dejado de decir no y, con su autoritarismo, han exasperado a muchos catalanes.

     

    Hay que tener en cuenta las difíciles circunstancias en las cuales fue votada la Constitución de 1978. Se planteaban dos preguntas: ¿Quiere Vd. un sistema de libertades democráticas, incluyendo dentro del paquete una monarquía con Juan Carlos? ¿O quiere Vd. continuar con el mismo régimen de antes?

     

    Max Weber mencionaba la existencia de dos tipos de moral. En este asunto de Cataluña, se tendría que haber planteado la pregunta desde la moral de la responsabilidad, ¿estarán realmente acordes las consecuencias de nuestros actos con lo que defendemos? Sin embargo, es la moral de la convicción, que impide el consenso, y apela, como se ha visto, a argumentos jurídicos, aunque sobre el papel más que sobre la realidad, lo que ha prevalecido. En ambos casos, pero sobre todo en Madrid.”

     

    (Hablando de su familia) : 

    “Mucho más que un lugar heredado dentro de las familias reales, lo importante es que mis sobrinos sean unos líderes cívicos de opinión pública tanto en España como en Europa. Unos referentes en términos de cultura democrática y de equilibrio integrador, capaces de proponer y de hacer descubrir horizontes nuevos.”

     

                                                     ___________________

    El texto ha sido publicado en Frances en el medio digital RoyautéNews.

     

                                                                 __________

    Cette interview a été publiée sur le site du Carlisme en Espagne en 2017, et sur le nôtre, en Français et en Espagnol. La traduction en Espagnol de cette Interview a été réalisée par la Princesse Marie-Thérèse.

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  • URBS  -  Alexandre Grandazzi -

    Histoire de la ville de Rome, des origines à la mort d'Auguste ;

    Perrin ;  12 oct. 2017 ;  768 p.;  30€.

    Spécialiste d'archéologie romaine antique, Alexandre Grandazzi, ancien élève de l'ENS et de l'Ecole française de Rome, enseigne langue et littérature latines à Paris-Sorbonne. Royauté-News

    Présentation officielle : Le roman vrai de la Rome antique.

    Référence majeure de la culture occidentale, étudiée depuis la Renaissance par des générations d'érudits, la ville de Rome antique reste pourtant à découvrir : alors que, depuis quelques décennies, s'y multiplient les fouilles archéologiques, le grand public n'a guère accès aux résultats, souvent spectaculaires, apportés par les travaux les plus récents. Comment un site, d'abord parsemé de simples cabanes, a-t-il pu devenir une ville-monde ? Des plus lointains commencements d'une extraordinaire aventure humaine jusqu'au règne d'Auguste qui en marqua la maturité, c'est toute la vie de cette ville appelée Urbs par les Romains qui est ici restituée de façon aussi précise que vivante. Dans un récit conçu comme la biographie d'une cité qui fut au centre de la première mondialisation de l'histoire, Alexandre Grandazzi nous offre une somme destinée à faire date, faisant dialoguer, sur près d'un millénaire, les habitants de la Ville et leurs dirigeants. Car, siècle après siècle, victoire après victoire, les Romains ont inscrit le déroulement de leurs conquêtes dans l'espace de leur cité, devenue ainsi comme le mémorial de pierre où ils pouvaient lire leur histoire et célébrer une identité collective à la fois conquérante et assimilatrice. C'est ce message que cet ouvrage s'attache à déchiffrer avec toutes les ressources offertes aujourd'hui par la science. Voici donc « une histoire où les événements se traduisent en monuments, et où les monuments sont autant d'événements ».

    URBS  -  Alexandre Grandazzi


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  • Gandhi  -  Pramod Kapoor -

    Chêne ;  4 oct. 2017 ;  324 p.;  29€90.

    Présentation officielle : De ses années d’école en Inde à ses études de droit à Londres  ; de son recrutement hasardeux en Afrique du Sud à ce voyage en train qui le détermina à lutter pour l’égalité  ; de sa carrière d’avocat ratée à sa croisade réussie pour les droits de l’homme  : Gandhi était un rebelle et un pionnier, qui a redéfini la résistance civile pour  les générations à venir, à travers une véritable philosophie, la non-violence, dont on ne cesse de percevoir les résonances partout dans le monde, encore aujourd’hui.
    Cette enquête illustrée sur Gandhi, de son enfance à son assassinat en 1948, alterne anecdotes sur la vie du Mahatma et récits de ses luttes et relations politiques, en Afrique du Sud, en Inde et en Angleterre. Riche en documents et photographies inédits, ce livre fait émerger au fil des pages la complexité de cette icône de la paix  ; une figure qui, sous l’apparente intransigeance de ses idées, était habitée de doutes, de contradictions, de combats intérieurs et de conflits familiaux. L’auteur indien de cette unique biographie illustrée du Mahatma espère raconter autrement l’histoire inspirante d’un homme au parcours humaniste remarquable.

    Gandhi  -  Pramod Kapoor


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  • En écoutant le Maréchal Foch - Charles Bugnet -

    Les Cahiers Rouges ; 18 oct. 2017 ;  240 p.; 10€50.

    Extrait de la présentation officielle : Un document exceptionnel  : le plus grand des généraux de la Première Guerre mondiale, celui qui a mené les armées alliées à la victoire, oui, le grand Foch, se confiant à son officier d’ordonnance. Un portrait vivant, plein de vigueur et d’esprit, qui révèle combien la fermeté peut être une audace et combien l’audace a besoin de fermeté. «  On ne réussit que par ce qu’on vaut.  »

    En écoutant le Maréchal Foch - Charles Bugnet


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  • Les passeurs de livres de Daraya - Delphine Minoui -                              Une bibliothèque secrète en Syrie ;

    Seuil ;  19 oct. 2017 ;  160 p.;  16€.

    Delphine Minoui est grand reporter au Figaro, spécialiste du Moyen-Orient et Prix Albert Londres.

    Présentation officielle : De 2012 à 2016, la banlieue rebelle de Daraya a subi un siège implacable imposé par Damas. Quatre années de descente aux enfers, rythmées par les bombardements au baril d’explosifs, les attaques au gaz chimique, la soumission par la faim. Face à la violence du régime de Bachar al-Assad, une quarantaine de jeunes révolutionnaires syriens a fait le pari insolite d’exhumer des milliers d’ouvrages ensevelis sous les ruines pour les rassembler dans une bibliothèque clandestine, calfeutrée dans un sous-sol de la ville.

    Leur résistance par les livres est une allégorie : celle du refus absolu de toute forme de domination politique ou religieuse. Elle incarne cette troisième voix, entre Damas et Daech, née des manifestations pacifiques du début du soulèvement anti-Assad de 2011, que la guerre menace aujourd'hui d'étouffer. Ce récit, fruit d'une correspondance menée par Skype entre une journaliste française et ces activistes insoumis, est un hymne à la liberté individuelle, à la tolérance et au pouvoir de la littérature.

    Les passeurs de livres de Daraya - Delphine Minoui


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  • Atlas des terres indomptées - Chris Fitch -

    La Martinière ;  19 oct. 2017 ;  208 p.;  29€.

    Extrait de la présentation : Chris Fitch livre un vibrant plaidoyer en faveur de la biodiversité et appelle au respect de la nature. Un atlas précisément documenté et illustré de cartes de Martin Brown.

    Atlas des terres indomptées - Chris Fitch


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  • La Rédaction

    Seront proposés les 7 et 8 novembre 2017 à l'Hôtel Drouot des lots prestigieux issus de plusieurs successions royales et autres.

    Journée du 7 novembre, le matin ( à 11 h):

    On y trouvera des livres, portraits, des rois de France de l'Ancien Régime de l'époque de Louis XV, dont une gouache de Louis XV de Prévost. Le détail plus tard dans la soirée.

    - des archives de la famille de Chastenet de Puységur.

    - entre autres, un portrait de Louis XV ; XVII° s. ; un pendentif du jeune Louis XIV portant le Saint-Esprit ; un portrait de Louis XV par Pierre Drevet ; etc., etc. ;

    Un portrait de la reine, Marie Lecszinska, de Quentin de La Tour ; des livres issus de la Bibliothèque du Dauphin de France.

    - des souvenirs de l'Empereur Bokassa.

    Journée du 7 novembre, l'après-midi à 14 h :

    Des portraits de Louis XVI et de Marie-Antoinette et des objets les concernant , de la période révolutionnaire ;

    Des livres issus de la bibliothèque de Marie-Antoinette ; un médaillon contenant des cheveux de la reine. Plusieurs lettres signées de Louis XVI ; une broderie réalisée par Marie-Antoinette.

    - ensemble de couteaux forgés par Louis XVI, issus de la collection du Prince Sixte de Bourbon (†1934), des objets, gravures, ainsi que de nombreuses reliques : un reliquaire comportant des mèches de cheveux de Louis XVI, de Madame Elisabeth, de la reine Marie-Antoinette, de la Princesse de Lamballe, d'Henri V (futur Comte de Chambord), de Madame la Dauphine (1824) et de Mademoiselle (1830). Des souvenirs relatifs à Louis XVII ; un fauteuil du Dauphin au Temple ; des médaillons représentants Louis XVII ; des porcelaines de Louis XVIII et de Charles X ; un fragment de la chemise du Duc de Berry le jour de son assassinat ; tous issus de l'ancienne collection du Prince Sixte de Bourbon (†1934). Tabatières, porcelaines ; lettre autographe ; flûte à champagne du Comte de Chambord. Un portrait de l'Impératrice d'Autriche, Marie-Thérèse de Bourbon-Siciles ; deux huiles sur cuivre de Ferdinand Ier des Deux-Siciles et de Marie-Caroline d'Autriche; le portrait de Robert Ier, Duc de Parme, jeune enfant ; bonbonnière en verre bleu, petite casserole ronde en argent, de la maison de Parme.

    - L'Office de la Semaine Sainte, de la bibliothèque du Régent, et les œuvres de Renard, de la bibliothèque de Louis-Philippe ; lettres de Louis-Philippe ; pièces, ou services particuliers de la maison d'Orléans (Duc d'Orléans, Duc d'Aumale, Louis-Philippe), bergère, lithographies, statuettes, photographies dédicacées, maison d'Orléans. Magnifiques portraits dessinés de Vimal Quadras d'Henri, Comte de Paris (1999), du Prince François, de la Comtesse de Paris.

    - Des souvenirs de Napoléon, dont le masque mortuaire en cire de l'Empereur, venant de Jean-Abram Noverraz, son valet de chambre.

    - Des souvenirs de la famille royale de Belgique, de la famille royale d'Angleterre, de la famille royale de Grèce, et de la famille impériale d'Iran.

    Le mardi 8 Novembre 2017 à 11 h :

    - Un Ensemble de souvenirs historiques sur la Maison royale d’Espagne provenant de la collection de l’Infant Jaime de Bourbon et Battenberg, Duc de Ségovie (1908-1975) et de sa seconde épouse la Duchesse de Ségovie, née Charlotte Tiedemann (1919-1979). Et à divers.

    Elle comprend : une gouache aux petites armes de la Maison royale d’Espagne, sous le règne d’Isabelle II ;

    une paire de portières aux armes de Philippe V d'Espagne ; un Catalogue de la vente du mobilier et des tableaux provenant de la succession de Sa Majesté la Reine Isabelle, daté des 1er et 2 mai 1905, format in-folio, 40 pages ; etc., etc.  et à suivre ;

     (...)

     

    Seront vendues des photographies du Duc et de la Duchesse de Ségovie, ou de la reine Victoria Eugénie dont certaines ont été publiées sur Royauté-News.

    Cette vente des souvenirs de la Maison royale d’Espagne sera détaillée spécialement sur notre Site.

     

     

    Une description plus ample et plus complète de ces deux journées sera effectuée plus tard.


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