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    Les parents de la Princesse Sophie : le Prince d'Isenburg, et son épouse, Christine, Comtesse de Saurma.

     

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    Le Prince Georg Friedrich avec sa mère, la Duchesse d'Oldenburg, et sa soeur la Princesse Cornélie Cecilie. Leur mère, la Comtesse Donata zu Castell-Rüdenhausen, s'est remariée au Duc Friedrich August.

     

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    Parmi les nombreux invités, la Grande-Duchesse Maria de Russie et son fils le Prince Georges.

    14 Jaime de Bourbon-Parme, Duc de San Jaime et sa soeur Caroline.

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    La Duchesse Elisabeth de Bavière et son mari Daniel Terberger.

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    L'Archiduc Georg et l'Archiduchesse Eilika, l'Archiduchesse Gabriela.

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    Le Prince Laurent de Belgique.

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    Marie de Bavière et son mari le Duc Philipp von Würtemberg © Getty Images

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    La photo officielle des époux. 


    18 © Focus Online

     



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    Ce brillant styliste brésilien, âgé de vingt-et-un ans, est déjà bien connu. Il a commencé très jeune, dans les pas de sa mère Glória Coelho, pour laquelle il avait signé à l'âge de treize ans à peine l'une de ses secondes marques.

     

    Il a déjà présenté ses collections à Paris, en 2010, puis cette année. Lady Gaga a même porté récemment une de ses créations.

     

    Et Pedro Lourenço a présenté sa dernière collection en collaboration avec Lelli d'Orléans-Bragance. La Princesse est l'une des filles du Prince Pedro Henrique, Chef de la Maison Impériale du Brésil. Elle est très appréciée au Brésil comme peintre spécialisée dans les paysages tropicaux, et dans les décors intérieurs muraux.

     

    Quelques-uns de ces modèles.

     

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    Merci à RN 2 de Royauté-News pour le sujet. Merci à © Pedro Lourenço pour les images.


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    De l'autre côté de la rivière, Sybilla, est le second roman d'Edmée De Xhavée.

     

    Elle est l'auteur de nouvelles, et d'un roman : Les Romanichels.

     

    En attendant son interview, voici son roman !

     

     

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    De l'autre côté de la rivière, Sybilla

    Par Edmée De Xhavée - Editions Chloé des Lys

    à commander ici  ou ici   (Et liste de librairies en préparation )


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    Un CD a été publié en allemand retraçant la vie de l'Archiduc Otto de Habsburg, publié par la télévision autrichienne.

     

    Il n'est visible que sous le système PAL. 

    Adieu à Otto de Habsburg - 14 € 90  Ici pour commander.


     

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    Découvrir quelques célébrités parmis ces portraits !

    Et aussi une idée de cadeau.

     

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    Famous Faces.

    TeNeues, Juin 2011; environ 23 €.

     

    03 Marie-Antoinette -

    par Stefan Sweig, en 1933 - Le Livre de Poche - 7 € 50 -  Paru en 1999 -

     

    ...article à compléter

     


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    Ayant appartenu à un régiment allemand d'Ancien-Régime, j'ai déjà chanté "Les dragons de Noailles". Mais par quel prodige ? Je ne l'expliquerai pas ici ! 

     

    Ce chant, qui donne une sonorité étrange qui évoque des temps révolus et riches. Il est, ou était chanté dans des régiments français actuels ou passés. 

     

    Les couplets varient quelque peu d'une version à l'autre. Je ne me souviens que de trois parmi eux, n'ayant eu l'occasion qu'assez peu de les chanter, en ne les ayant appris que sur les autres. Notamment, l'ordre des couplets que j'ai retrouvé est différent quelquefois.  

     

    Dans la version, peut-être épurée que nous chantions, il me semble que ne figurait pas "Ils ont incendié Coblenz" mais pourtant je crois me souvenir du passage "Et pillé le Palatinat".

     

    Les Dragons de Noailles étaient l'un des régiments de Noailles, levé en 1688 en tant que régiment de Cavalerie (Noailles-Cavalerie) par le duc de Noailles, futur Maréchal de France, l'un de ceux qu'a donnés cette illustre maison. Le Régiment de Noailles se transforma en Régiment de Noailles-Dragons en 1776, appelé aussi Noailles-Cavalerie.  

     

    Ce chant, attribué à Lully, daté approximativement à 1675, et daté précisément à 1678 par certains, (2° Cuirassiers) évoque les faits d'armes en général des militaires français, sans faire allusion en particulier à tel ou tel d'entre eux. Turenne est allé plusieurs fois en Allemagne, et plusieurs occasions ont pu exister au XVII°, pour pavoiser Paris. 

     

    L'épisode évoqué "Ils ont pavoisé Paris" peut avoir désigné des faits antérieurs à la création du régiment, car il existait des soldats d'un autre régiment (Noailles Infanterie ou celui de Cavalerie du marquis de Noailles)  ou, comme je le suppose,  d'autres unités de Noailles dans d'autres régiments. Lors de la création du chant, on a pu appeler communément Dragons de Noailles tous ceux qui avaient servi auparavant, car il a dû  exister des escadrons de Noailles, dès le 17° siècle, bien avant la transformation  en régiment de Dragons. [ J'ajoute un peu plus tard : il existait déjà sous le précédent duc de Noailles, le père du Maréchal, deux régiments, l'un de Cavalerie, l'autre d'Infanterie, créés en même temps en 1650, et l'on devait certainement les appeler régiments de Noailles; utilisés en même temps, ils formaient déjà le principe des Dragons, alliant Cavalerie et Infanterie, ce qui rend possible l'existence de Dragons de Noailles, avant la composition du chant, comme je le crois.

    Je me suis aperçu qu'il existait des interrogations quant aux faits historiques cités par ce chant, et il faudra que je m'y penche.

    Ce chant de marche est typique selon moi, des chants en général de l'Ancien Régime, qu'ils soient militaires ou non.

    Ecouter ici Les Dragons de Noailles. Cette version est la plus courante, quant à la mesure. Ici sont les paroles modifiées au 19° siècle. La version écrite ci-dessous correspond à la version d'Ancien-Régime.

     

          

                 Ils ont traversé le Rhin

                    Avec Monsieur de Turenne

                    Au son des fifres et tambourins

                    Ils ont traversé le Rhin.

     

    Refrain :

                   Lon lon la, laissez-les passer

                   Ils ont eu du mal à la guerre

                   Lon lon la, laissez-les passer

                   Ils ont du mal assez.

     

     

             II        

                     Ils ont incendié Coblence

                     Les fiers dragons de Noailles

                     Et pillé le Palatinat

                     Ils ont incendié Coblence.  

     

     

              III   

                      Ils ont pavoisé Paris

                      Les fiers dragons de Noailles

                      Avec les drapeaux ennemis !

                      Ils ont pavoisé Paris.

     

               IV

     

                      Ils ont pris tous les chemins

                      D'Anjou, d'Artois et du Maine  

                      Ils n'ont jamais eu peur de rien

                      Ils ont traversé le Rhin.

     

     

    Certains ajoutent :

     

       V

               Ils ont protégé le roi
               Il en sera fort aise
               Car ils sont les meilleurs soldats
               Ils ont protégé le roi.

     

      Dans la version modifiée au 19° siècle, après la défaite de Sedan, le couplet dit :

     

               Les Français reprennent la Lorraine...

     

                          Lon lon la, laissez-les passer

                          Les Français sont dans la Lorraine

                          Lon lon la, laissez-les passer

                          Ils ont eu du mal assez.


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    Ce livre, "Ferrières de Sauveboeuf, gentilhomme, condottiere et frondeur, de Richelieu à Mazarin", évoque dans une biographie composée à partir d'écrits des principaux mémoires du temps un seigneur français du 17° siècle, qui eut une vie trépidante. 

     

    Cette famille de Ferrières-Sauveboeuf était l'une des principales de la vieille noblesse du Périgord. 

     

    Cet article inaugure une rubrique : Noblesse et Histoire.

     

    Nous ferons de temps à autre un petit voyage au sein de l'ancienne noblesse française, qui intéresse des lecteurs au fil d'Internet ainsi que nos lecteurs, et sera abordée sous l'angle historique et culturel bien que ce sujet ne fasse pas partie des domaines du site.  

     

    Je n'ai pas lu ce livre, vu sur le blog de Pierre Poissson, mais il m'intéressera volontiers.

     

    Relisant cet article, je m'aperçois que Jeanne Favalier cite ce chant, dont je pensais depuis longtemps présenter à nos lecteurs. "Ils ont traversé le Rhin..." Ce sera fait bientôt !

     

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    Par Jeanne Favalier.

    Ferrières de Sauveboeuf, gentilhomme, condottière et frondeur, de Richelieu à Mazarin. 50 € -  Pilote 24  - Paru en Mars 2009.

     

     

    Nous rappelons que notre présentation est en remaniement et aussi, que volontairement en attente le contenu du site en partie n'est pas visible.

     


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    Il faut inventer une date pour la Fête nationale française, si toutefois et comme il est souhaitable, un nouveau principe soit créé. 


    Cette date serait le 15 Août, et ceci est notre choix. C'est le jour de la grande Fête annuelle en l'honneur de Notre-Dame, et celle-ci serait en fait l'idéal pour une véritable Fête nationale pouvant comporter l'adhésion commune. Cette fête voulue par Napoléon Ier, et fêtée par Napoléon III à la date exacte du 15 Août, était un éclair de génie de l'Empereur, dont le sens politique qui comportait en lui toutes les gloires et le sens exact de la monarchie, s'est éteint trop tôt.


    Pour la Fête du 15 Août : Ascension et Saint-Napoléon, une occasion dans un même jour. Bien entendu, le principe de la Saint-Napoléon n'a jamais servi à se rappeler un improbable saint d'autrefois,  mais le symbole de la dynastie. De même que l'on parle de Saint-Charlemagne ! Les esprits, assez limités du début du 19° siècle, parmi eux ne l'ont pas compris.

     

    Le 14 Juillet coupe les vacances. Mais elle serait conservée par tradition, y compris bien sûr pour les défilés militaires, lesquels aussi pourraient conserver au 11 novembre ou au 8 mai, leur habitude.


    La date du 15 Août ne comportera aucun défilé militaire, seulement la Fête de l'Ascension, pouvant être célébrée officiellement partout.


    Le versant public correspondrait à la Saint-Napoléon. Il n'y aurait ni doublure, ni confusion. L'une, rappellant la nature de tous les pays catholiques.  Elle existe déjà, pour les Catholiques. Sans obligation de se sentir en harmonie personnelle pour une fête religieuse.  Il ne pourrait impliquer qu'il s'agirait une religion d'état. L'autre, symbolisant de manière fixe la gloire française, l'un de ces symboles pouvant être ressentis par tous. Le choix d'une date éclatante, placerait sous un destin solaire un pays enfin rénové. Il est nécessité dans un pays de célébrer tous les honneurs, d'une manière joyeuse et qui soit une véritable occasion de refléter un pays, son esprit et ses oeuvres.

     


    Il ne s'agit pas de voir dans ce choix comme une préférence désignée vis-à-vis d'autres familles parmi celles qui ont légitimité, mais d'y trouver un symbole, dégagé d'une époque, et qui participe de la continuité française.


    Une fête fixe, qui ne change pas avec le souverain - celle-ci peut exister aussi, comme la fête du souverain dans certains pays, comme en Belgique - mais qui serait la fête principale officielle, dégagée de tout limitation ou rappel centré sur des événements partiels qui divisent la mémoire et la culture communes.


    Une fête enfin dans laquelle toute l'Histoire puisse se représenter.

     

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    Napoléon III, par Winterhalter.  © Photo RMN - D. Arnaudet


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