• Vente à l'Hôtel Drouot (3) - 7 et 8 novembre 2017

    La Rédaction

    La sélection de Royauté-News pour les collectionneurs (2) ; Vente des 7 et 8 Novembre 2017 à l'Hôtel Drouot.  (à suivre)

    « Paire de boutons de manchettes, pince à cravate et chevalière en or ornés de l'emblème des sultans d'Oman sur fond émaillé vert dans un entourage de roses de diamants (manques). Conservés avec leur écrin d'origine, qui contenait à l'origine trois autres objets. Travail anglais de la Maison Asprey à Londres.

    Provenance: présent offert par le Sultan Qabus ibn Saïd. »

     

    Venter à l'Hôtel Drouot  (3)  -  7 et 8 novembre 2017

    Coffret nécessaire de voyage, offert par la Comtesse de Las Cases à sa filleule Mademoiselle Huet.

    Vente à l'Hôtel Drouot  (3)  -  7 et 8 novembre 2017

    Etui à cigares en ronce de thuya. « De forme rectangulaire, couvercle à charnière orné au centre d'une couronne royale en argent, prise d'ouverture et plaques d'encadrement en argent. Usures du temps, mais bon état. Travail étranger du XXe siècle.»
    Longueur 15, 5 cm sur 11, hauteur 3 cm.

    Vente à l'Hôtel Drouot  (3)  -  7 et 8 novembre 2017

    Cachet à cire aux armes  Bourbon Galard-Béarn « avec manche en bowenite incrusté de saphirs cabochon sertis d'or, reposant sur une bague en or et une matrice ronde en vermeil. Bon état. Travail français de la seconde moitié du XXe siècle. H.: 8, 5 cm.
    Historique : les Freeman de Bourbon sont des descendants supposés du fils aîné du roi Charles X, le Prince Charles Ferdinand d'Artois (1778-1820), Duc de Berry. »

    Appartint à Béatrice de Galard de Brassac de Béarn qui épousa John William Freeman (1902-1968). Royauté-News

    Vente à l'Hôtel Drouot  (3)  -  7 et 8 novembre 2017


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  • Commentaires

    1
    TR
    Lundi 6 Novembre 2017 à 18:28

    ""Historique : les Freeman de Bourbon sont des descendants supposés du fils aîné du roi Charles X, le Prince Charles Ferdinand d'Artois (1778-1820), Duc de Berry. "

    En réalité c'est impossible. John Freeman était déjà un garçonnet lorsque le duc de Berry a rencontré Amy Brown, et elle s'en occupait sans qu'on sache si elle était sa mère. C'était peut-être le fils secret d'une parente.

    Le duc de Berry n'a eu que deux enfants avec Amy Brown : deux filles, qui ont été reconnues et titrées, et dont, à la mort du duc de Berry, la duchesse d'Angoulême s'est en partie occupée à la demande expresse de leur père pendant son agonie — il n'y a pas été question de John Freeman, qui n'était pas son fils.

    2
    Lundi 6 Novembre 2017 à 19:24

    L'hypothèse a effectivement été abandonnée il y a longtemps et votre explication claire donne le fait. La piste que vous évoquez, celle d'un fils d'une parente, est utilisée dans le cas Naundorff. Les dernières analyses comparatives d'ADN effectuées sur les descendants de Naundorff révèlent que ce dernier se rattache vraisemblablement à la famille générale des Bourbons, bien avant l'époque Louis XVI. C'est dans cette acception que le Professeur Lucotte place l'origine familiale de Naundorff, en l'état actuel des résultats obtenus et des conditions dans lesquelles ils l'ont été.

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    3
    TR
    Mardi 7 Novembre 2017 à 19:57

    Ah, donc Naundorff aurait eu une véritable origine royale lointaine, qui lui serait "montée à la tête"?

    4
    Mercredi 8 Novembre 2017 à 12:42

    Ce qui expliquerait sa connaissance de la Cour. Pas forcément lointaine, mais le Pr. Lucotte le place, par prudence certainement, dans l'ensemble familial de la maison de Bourbon en raison de son haplotype identique au marqueur masculin Bourbon. Certains ont déjà supposé une parenté de cousin relativement proche pour Naundorff, sans remonter au fondateur de l'actuelle maison.



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