• Louis XX ; Une autre histoire de France - Daniel de Montplaisir

    Mareuil Éditions ;  8 février 2018 ;  20€90.

    Il s'agit d'une réédition, dans un format légèrement plus petit, du livre publié en 2011. [clic ]   RoyautéNews

    Présentation officielle : Si tout le monde connaît Louis XIV, personne ou presque ne connaît Louis XX. De l'un à l'autre, la filiation est cependant directe. L'actuel chef de la Maison de Bourbon descend en ligne droite du Roi-Soleil par la voie des Bourbons d'Espagne, ce qui en fait l'aîné des Capétiens. Un imbroglio historique et dynastique accrédita longtemps l'idée que la succession au trône de France était passée entre les mains des princes d'Orléans, descendants du roi Louis-Philippe. Entre les deux familles, dont le chef peut prétendre à la couronne de France, arguments juridiques et moraux se sont combattus depuis plus d'un siècle sans que jamais n'en sorte de formule définitive et satisfaisante. En d'autres termes, qui est aujourd'hui le légitime héritier du trône ? Au terme d'une enquête minutieuse, le présent ouvrage, revu et augmenté depuis l'édition de 2011, tente de trancher le débat par une approche originale combinant l'histoire, la science politique et le droit international. Dans un récit passionnant, il retrace la longue marche des relations entre la France et l'Espagne, depuis le temps des Mérovingiens et des Wisigoths jusqu'à nos jours, ainsi que les entrelacs complexes des dynasties royales, tantôt alliées, tantôt rivales. Né en 1974, de culture hispanique mais de nationalité française, Louis XX continue de s'abstenir de toute intervention dans la vie politique française mais n'a pas renoncé à incarner le destin de la nation. C'est aussi son histoire, parfois dramatique, que raconte l'auteur.e,

    Louis XX  -  Daniel de Montplaisir


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  • 68 côté de Gaulle  -  François Flohic

    L'aide de camp du Général témoigne ;

    l'aube ;  5 av. 2018 ;  144 p.;  12€.

    Présentation officielle : Mai 1968 vu de l’intérieur de l’Élysée par l’un des aides de camp du général de Gaulle. François Flohic nous présente un Général âgé, inquiet pour sa famille, belliqueux et freiné par son fils et son Premier ministre. Il nous emmène avec lui dans la fugue à Baden, lieu de la fameuse rencontre avec le général Massu où tout pût basculer. D’ailleurs on constate que le monde a vraiment changé quand le Général cherche de son ­hélicoptère prési­dentiel… une cabine télé­phonique pour appeler Massu ! Témoin rigoureux et fin observateur, François Flohic relève et décrypte les signes de la stratégie que le Président échafaude pour quitter le pouvoir par la grande porte. Cinquante ans après, se replonger dans cette période et la regarder du point de vue de de Gaulle est absolument passionnant.

    68 côté de Gaulle  -  François Flohic


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  • Marmont ; le maudit - Franck Favier

    Perrin ;  7 juin 2018 ;   300 p.;  23€.

    Présentation officielle : Dans l'épopée napoléonienne, il fallait, comme dans toute aventure christique, un Judas. Ce fut Marmont, duc de Raguse. Si Marmont partagea avec Bernadotte, Murat ou encore Augereau une réputation de traîtrise, justifiée ou non, le dernier survivant des maréchaux du Premier Empire (mort en 1852) resta écrasé par ce qu'on a appelé la "défection d'Essonnes" et servit de bouc émissaire à l'échec final.
    Son titre lui-même, qui donnerait le mot "ragusade" ou le verbe "raguser", servirait à signifier la trahison au XIXe siècle. Cependant, il y eut un avant 1814. Marmont fut l'un des plus anciens compagnons de Bonaparte aux côtés de Muiron ou de Junot. Il connut près de lui une ascension prodigieuse : capitaine en 1793 à dix-neuf ans, général de division en 1800 à vingt-six ans, ou encore maréchal d'Empire en 1809 à trente-cinq ans.
    La fortune, l'amour, tout semblait sourire au protégé de Napoléon. Son administration dans les Provinces Illyriennes entre 1807 et 1811 laissa un souvenir vivace en Croatie, où de nombreuses rues et places portent encore aujourd'hui son nom, tandis que sa campagne d'Espagne en 1811 contre les armées de Wellington fut, malgré la défaite des Arapiles, loin d'être indigne. Tout s'effondrait en 1814, puis à nouveau en juillet 1830 lorsque la fatalité le conduisit à commander l'armée royale durant les Trois Glorieuses, et la fin de sa vie serait celle d'une impossible rédemption.

    Marmont ; le maudit - Franck Favier


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  • La Rédaction

    Le roi Wilhelm des Pays-Bas accompagnera la reine Maxima aux funérailles de sa sœur cadette, avec leurs trois enfants.

    Inés Zorreguieta est morte mercredi soir à l'âge de 33 ans. Un porte-parole du gouvernement hollandais a rapporté que l'on présume qu'il s'agirait d'un suicide.

    Selon certaines voix, la dépression serait à l'origine de ce drame. La jeune femme souffrait de puis plusieurs années de dépression majeure et de troubles de l'alimentation.

    Inés Zorreguieta, après un passage à l'ONU, travaillait comme fonctionnaire au Conseil national pour la coordination des politiques sociales (Secrétariat pour l'intégration urbaine et sociale) auprès de la Présidence du développement social (dépendant des ministères du Travail et du développement social).

    Le Président Mauricio Macri et son épouse ont exprimé leur profonde douleur à l'annonce de cette nouvelle.

    La famille royale de Hollande, arrivé par un vol KLM, se recueillera dès aujourd'hui sur la dépouille d'Inés Zorreguieta à Buenos Aires.

    Le roi et la reine des Pays-Bas en Argentine


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  • RN 2 pour Royauté-News

     
    L'Union Européenne vient de plafonner le coût des appels téléphoniques en Europe.
     
    Enfin un plafond ! Bien trop élevé (19centimes/minute) mais c'est toujours mieux que les 48centimes/minute actuellement imposés par les opérateurs français !
     
    Et les opérateurs osent se plaindre, alors qu'il s'agit d'une faveur et qu'il auraient normalement dû faire l'objet d'enquêtes pour entente sur les prix et de condamnations pour surfacturation !
     

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  • Olympe de Gouges  -  Michel Faucheux

    Folio ;  31 mai 2018 ;  288 p.;   8€90.

    Présentation officielle :  «Femme, réveille-toi ! »
    Comment faire entendre sa voix en ce XVIIIe siècle qui grouille de paroles alors que grandit le silence divin? Quel langage trouver pour avoir le sentiment d’être soi? Comment exister à ce moment où la politique devient un théâtre de l’idéal mais aussi de la cruauté? Comment, en somme, faire en sorte que «si la femme a le droit de monter sur l’échafaud», elle puisse aussi avoir le droit de «monter à la tribune»? Voici quelques-unes des questions auxquelles tente de répondre cette biographie de Marie Gouze, dite Olympe de Gouges (1748-1793), auteur d’une œuvre essentielle comprenant pièces de théâtre et écrits politiques, dont la célèbre Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.

    Olympe de Gouges  -  Michel Faucheux


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  • RN 2 et La Rédaction

    Nous invitons nos lecteurs à faire halte cet été (ou les étés suivants) au château de Goulaine.

    Cette demeure, monument historique, est le bijou de la famille de Goulaine, d'ancienne chevalerie du Pays Nantais et de Bretagne.

    Le château de Goulaine

    Du 31 mars au 15 juin et du 17 septembre au 11 novembre : tous les samedis, dimanches et jours fériés  14 h – 18 h 30 –

    Vacances scolaires Printemps et Toussaint (du  21 avril au 13 mai et du 20 octobre au 4 novembre) : tous les jours  14h – 18h30 

    Du 16 au 30 juin et du 3 au 16 septembre : tous les jours :  14h – 18h30 – 

    Du 1er juillet au 2 septembre : tous les jours – 10 h 45 – 19 h –

    Adultes : 9 €
    Réduit (étudiants, PMR et demandeurs d’emploi) : 7,50 €
    Enfants (de 4 à 16 ans) : 5,50 €
    Enfants (de 0 à 4 ans) : GRATUIT

     

    (à suivre prochainement...)


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  • Justinien  -  Pierre Maraval

    Le rêve d'un empire chrétien universel ;

    Tallandier ;  24 mai 2016 ;  432 p.;  22€90.

    Présentation officielle : Justinien devient empereur romain d’Orient en 527. Pendant près de quarante ans, le souverain de Constantinople poursuit un seul but : réformer, agrandir, unir son empire dans la même foi chrétienne et en faire la plus grande puissance du monde méditerranéen.

    Empereur « qui ne dort jamais », Justinien a unifié le droit avec le Code justinien et de nombreuses lois (les Novelles) ; il a été le bâtisseur de nombreux monuments, dont la basilique Sainte-Sophie de Constantinople, chef-d’œuvre de l’art byzantin ; empereur chrétien, il a adopté une politique religieuse offensive envers les dissidents, païens ou hérétiques ; il s’est engagé dans la définition de la doctrine orthodoxe, a publié des édits doctrinaux, organisé des conciles.

    À l’extérieur, à l’aide de généraux de valeur – Bélisaire, Narsès –, il a défendu l’empire efficacement contre les attaques de la Perse et contre celles de nombreux peuples barbares. La reconquête de l’Afrique du Nord et de l’Italie, que les Vandales et les Ostrogoths avaient enlevées, fut un de ses immenses succès. Si son long règne ne fut pas sans ombres – persistance des divisions dans l’Église, reconquêtes éphémères en Occident –, Justinien a conduit l’Empire romain à son apogée.

    Justinien  -  Pierre Maraval


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