• Totalitarismes, droite, gauche, libéralisme et compagnie(s)  

    Par la Team RN 2

    Totalitarismes, droite, gauche, libéralisme et compagnie(s)

    Une tentative d’éclaircissement pour ceux que le langage officiel, des manuels scolaires aux media de masse, peut dérouter.

    On appelle totalitarisme un régime qui vise à une emprise totale sur les individus jusqu’à en faire des robots trop effrayés pour oser même penser. Ou pour ne pas se suicider quand le régime le leur demande.

    Les plus connus actuellement, car ils ont fait l’horreur du XXe siècle, sont le communisme, le nazisme et dans une moindre mesure le fascisme. Ils ont en commun d’être des totalitarismes matérialistes.

    Ce qui est caractéristique à la fois du fascisme et du nazisme est le fait que les grandes entreprises, en particulier mais pas seulement les banques, gouvernent l'économie et les finances (les paysans, les artisans, les PME y contribuant selon les directives des grandes entreprises, que ce soit par les contraintes imposées par les banques ou par les contrats passés avec des entreprises d'une autre nature). La culture, l'instruction, l'éducation, toutes les formes d'activités politiques ou para-politiques (syndicats, sports etc) sont à la charge du parti, ce qui est le cas également des communistes, lesquels en revanche ont l'organisation de l'économie et des finances par l'État, en général avec une absence totale de droit de propriété individuelle ou par des coopératives ; certaines nuances de communisme pratique sont ici nécessaires : d'une part dans les pays satellites de l'Union Soviétique, on conservait ici ou là divers degrés de propriété individuelle, et d'autre part la Yougoslavie communiste et certains pays du Tiers-Monde ont essayé un communisme mitigé où la propriété individuelle existait sous des formes strictement encadrées.

    Les pays communistes aujourd'hui en place et servant de référence sont : Cuba (référence "déclinante" mais toujours référence pour l'Amérique Latine), la Chine, le Vietnam et la Corée du Nord. Aucun de ces pays ne dispose de la liberté de propriété individuelle mais les deux qui sont florissants économiquement sont la Chine et le Vietnam, qui ont tous les deux adopté une forme d'économie basée sur l'initiative individuelle et des entreprises indépendantes de l'administration, sachant que les biens confiés aux personnes, familles ou groupes de personnes ou de familles restent, dans le principe, la propriété collective, caricaturant ainsi la propriété individuelle.

    Il y a donc un hiatus entre le matérialisme "fasciste" et le matérialisme "communiste" à savoir la rémanence ou non de la propriété individuelle, quand bien même dans le premier les expropriations et autres confiscations sont monnaie courante, et dans le second on confie à des personnes certains biens au point que rien ne semble distinguer l'usage qu'en font ces personnes et leurs descendants du droit de propriété.

    Cette convergence est le fait de l'expérience chinoise, imitée par le Vietnam.

    Dans le matérialisme capitaliste, la propriété individuelle est confisquée peu à peu par un nombre restreint d'entreprises multinationales organisées en réseaux prédateurs à travers des systèmes complexes de lobbying, de procédures bancaires et des structures supra-nationales et internationales poussant à la ruine peu à peu les propriétaires de biens individuels et de PME. Le même matérialisme capitaliste a pris en charge la culture, l'instruction, l'éducation, toutes les formes d'activités politiques ou para-politiques (syndicats, sports, etc) à travers le financement direct ou indirect de ces activités (indirect à travers des fondations ou autres "trucs" pseudo-philanthropiques).

    Leur plan est clairement d'atteindre une convergence d'organisation de type "fasciste" avec le communisme à la chinoise dans lequel tous les biens appartiennent à des multi-nationales, contrôlées par un nombre limité de familles, et que le parti communiste chinois et son homologue vietnamien soient intégrés dans cette structure, comme étant des multinationales "à part entière" dans le jeu en question. La lutte pour la suprématie suprême étant repoussée à la mise en œuvre de ce projet, et la volonté réelle de la Chine derrière son accord de façade restant une inconnue. Ce projet a plusieurs noms, dont "L'agenda 2030" et le "Great Reset" (grande remise à zéro). La résistance des peuples et nations, en particulier d'origine européenne, formant un obstacle dont il semble impossible de venir à bout par des moyens conventionnels, malgré trois générations de propagande intense et de destruction systématique des racines et des structures de ces peuples et nations, est à l'origine de la mise en œuvre d'une guerre génocidaire contre ces peuples et nations. Cette guerre a été testée à l'aide de divers prototypes (Liban, H1N1, réduction à la famine et ruine totale de divers pays d'Amérique Latine, etc), préparée soigneusement (l'événement 201 en étant l'un des exemples). Elle est en cours, et son objet est bien l'aboutissement de l'agenda 2030, lequel est la fusion du capitalisme, du fascisme et du communisme en un seul matérialisme pragmatique.

    Il convient de noter que :

    A/

    1/ S'il était dans les idées de la Phalange espagnole de déployer le modèle fasciste, et bien que la Phalange ait été un allié objectif de Franco, le modèle fasciste n'a jamais été mis en œuvre en Espagne malgré des pressions énormes, en particulier la quasi ruine et la réduction à la famine du pays. Franco ne voulait en aucun cas réduire la propriété individuelle à un rôle symbolique et donner le pouvoir sur l’économie et la finance aux grandes entreprises. On peut même se demander si la paupérisation de l'Argentine ne vient pas de son soutien à Franco lors des épisodes les plus durs de famine dans l'Espagne franquiste, en quelque sorte des représailles pour avoir fait échouer un plan sordide de cette nature. Le Portugal de Salazar était également à mille lieues du fascisme.

    2/ Si les grandes entreprise ont effectivement dominé et dominent encore l'économie de certains pays d'Amérique Latine, c'est essentiellement dû à la doctrine Monroe, et pas à une vision à caractère fasciste que certains gouvernements autoritaires de ces continents pourraient avoir eue (à part peut-être en Argentine). En conséquence, assimiler au fascisme les gouvernements autoritaires dits "de droite" des pays de langue espagnole ou portugaise est une erreur. La même chose peut d'ailleurs être dite de la Grèce des colonels.

    B/ Les principes économique et financier du fascisme et du nazisme correspondent aux principes économiques et financiers des économies de guerre telles que commencées avec la guerre de cent ans (première utilisation d'industrie de masse : les flèches des archers gallois, à Azincourt il est estimé qu'ils ont tiré environ deux millions de flèches) et qui ont monté en puissance guerre après guerre, les guerres des XVIIème et XVIIIème siècles devenant des guerres où la puissance financière est d'une importance égale à la puissance militaire propre, même si les guerres de la Révolution et napoléoniennes ont été tentées dans un esprit de force humaine brute sans donner autant de pouvoir au côté économique et financier pour la partie française ou alliée des belligérants (principe de l’opération blanche de Napoléon).

     

    Les guerres du XIXème siècles deviennent des guerres dominées par l'économie, et les premières guerres où la puissance économique, en l'occurrence industrielle, et financière dominent nettement sont la Première Guerre mondiale, et les suivantes, et si les guerres soviétiques de 1917 à 1921 montrent à l'envi que les Soviétiques ne sont pas en mesure de faire ce que les révolutionnaires français avaient fait, les Soviétiques industrialisent de force leur pays pour compenser cette faiblesse. Pour autant, ils auront besoin du crédit bail, autrement dit de la puissance bancaire pour vaincre les nazis (car ce sont eux qui les ont vaincus), autrement dit la puissance économique et financière est bien le fer de lance et non la puissance industrielle.

    Conclusion aux notes A et B

    La puissance économique et financière est une construction due à la fusion des métiers de la monnaie, du trésor et du transfert de fonds (et depuis 75 ans de l'Assurance) au détriment des peuples et des nations, et cette puissance a construit une toile de dimension mondiale où elle décide des guerres et des résultats des guerres sans lien avec le bien des peuples et des nations mais uniquement pour les asservir, ce qui est sa raison d'être ultime. Les prémisses de ce mouvement se trouvent à la fois dans les finances des rois d'Angleterre dès Azincourt et dans les banques Italiennes dès le XIIIème siècle, puis anglaises et hollandaises, avec les principes de spéculation au détriment d'un métier ou d'une nation exploités dès ces temps reculés. Il sont maintenant maîtrisés sur le bout des doigts par ceux qui en sont maîtres.

     

    Conclusion générale

    Le matérialisme est la conséquence logique de la domination de la société par les structures économiques et financières qui sont montées en puissance dès Azincourt dans toute l'Europe. Maîtrisant toutes les techniques d'asservissement des peuples et de destruction des nations, ces structures ont optimisé leur domination par le totalitarisme matérialiste pragmatique désigné sous le terme de mondialisme, fusion à caractère fasciste des méthodes et techniques communistes, capitalistes et fascistes.

    Ce à quoi nous assistons aujourd’hui, après ces siècles de montée en puissance, c’est à la prise de pouvoir brutale essentiellement au moyen du massacre général des populations des pays « éduqués » par de faux vaccins et à l’emprise sans échappatoire (médiatique, économique via les moyens classiques bancaires, fiscaux, syndicaux complices, etc., plus, désormais la mafia carbone qui a déjà annoncé que nulle entreprise ne pourrait bientôt plus commercer si elle ne se soumettait pas à leurs diktats écologiquement insensés et à leur racket, et bientôt de nouveaux faux vaccins pour les épargnés de la fausse vaccination exterminatoire, destinés à les contrôler, dans un premier temps au moyen d’un crédit social à la chinoise incluant le moindre battement de cœur, la moindre lecture, la moindre parole, comme le montrent déjà le nouveau permis de conduire électronique de l’Utah, les annonces officielles de dirigeants de GAFAM et les tatouages électroniques brevetés fin 2019 par une équipe du MIT financée par Bill Gates, puis à l’avenir directement par le « transhumanisme » vanté par les mêmes.

     


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