• S’assurer une bonne prise

    La Rédaction

     

    Cette chronique pourrait prendre place dans un cours de développement personnel, chez les coachs de vie ou dans l’entreprise, et s’intituler : Une piste ultime pour la résolution des conflits.

    Elle inaugure une série de deux ou trois articles prévus de longue date, qu’il convient de faire paraître, face à la radicalité de plusieurs catégories d’individus. L’un d’eux s’intitule, en abrégé :  « B... ton F... » , ce qui pour l’instant ne vous dira pas grand chose.

    Parfois, et c’est devenu la plaie quotidienne que de rencontrer l’anti-norme que nous n’admettrons jamais comme une (nouvelle) norme, manifestée dans "la société", (la société obligée, celle que l’on subit du fait d’obligations ou de nécessités diverses à remplir) on a affaire à des comportements antisociaux, virulents, de la part de gratte-papier, de magistrats, d’employés de l’administration, et même de représentants des professions libérales (montrant à quel point la Société est atteinte), de ceux qui, à l’égard du pouvoir officiel ou représenté par la loi et qu’ils brandissent tel un exorcisme, manifestent comme une pulsion-miroir exutorielle, irraisonnée, irraisonnable, de nature hystérique, et nécessairement agressive ; dans ce registre virulent on rencontre aussi bien des syndics, des délégataires de toute sorte, et des gadgets ou des comités Théodule, l’ordre des médecins par exemple. Comme celui qui vient d’exclure pour un an le député Martine Wonner alors que la planète ne cesse d’apprendre chaque jour la monstruosité officielle des covidistes, les crimes de la Piqure, le mensonge de vaccins qui n’en étaient pas mais étaient des armes d’extinction de masse.  Parfois il s’agit de journalistes. La liste devient longue.

    Que pourrait-on brandir, à notre tour, comme attitude ferme de défense ? Lorsque la folie dégage de ses gonds au point qu’elle devient plus que danger, mais blessure contondante ?

    La piste suggérée, qui suit, pour nous, est une attitude minimale.

     

    Henry Plée (1923 - 2014), pionnier français et européen de la pratique du Karaté, expert respecté, surnommé Le Sage de la Montagne, (en raison de son dojo que l’on peut qualifier d’historique, rue de la Montagne-Sainte-Geneviève et qui a vu passer des générations de pratiquants en différentes disciplines et de nombreux maîtres japonais), avait quelques traits de l’homme bien installé dans les repères de la société à systèmes, ne dédaignant pas les honneurs, et peut-être pour cela du moins il parlera à ceux des systèmes. Il s’était converti à l’Islam sur le tard, mais personne n’est parfait, et cela plaira à certains.

    Devant ceux qui abusent, et qui ne veulent rien entendre, il avait un système à lui.

    Certes c’était en une époque où la société n’était pas encore aussi hystérisée ni institutionnellement convulsionnaire, dingo-émulsionnée !

    Il l’avait exposé, sans s’y attarder, dans une de ses célèbres chroniques, à laquelle il avait donné pour titre, faisant allusion à la chanson d’Enrico Macias : Prendre un enfant par la main... et un c... par l’oreille.

    Devant un tel personnage, de ceux que nous avons quelque peu dépeints, devant celui qui veut vous priver d’air, saisir l’oreille, solidement, sans prévenir. Sans risques si l’on est assis tous deux à une table, ou... à un bureau. La tête maintenue en avant, et/ou sur la table, il y a quelque chance que le pénible voie la vie sous un autre angle.

    Essayez.

     

     

    #HenryPléeEnReplay    #DéveloppementPersonnel


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