• Oui, la température exacte - [ 1er volet ]

    La Rédaction

     

    Qu’il soit clair que nous souhaitons la libération des prisonniers d’opinion en Russie.

     

    Nous compatissons aux malheurs du Peuple Ukrainien et souhaitons la fin au plus vite de cette guerre. Cela ne peut passer malheureusement que par la défection personnelle du n°1 Ukrainien, ce qui démontre une fois de plus comment un Peuple est enchaîné à un système et il en est peu qui ne soient pas pervers, certains étant plus pervers que d’autres.

    Nous réitérons bien sûr que nous espérons une fin ultra-rapide des combats et réitérons si nécessaire et dans une intention de clarté, notre soutien à Vladimir Poutine et à la Russie.

    Signalons que François Hollande, et les médias le taisent, se trouve sous mandat d’arrêt international lancé par la Russie depuis qu’il a affirmé avoir menti en 2014 au sujet des conditions qui ont noué le conflit actuel.

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    Le scénario devenu plus que plausible, d’actualité : une guerre civile aux États-Unis.

    Le film Civil War qui apparaît sur les écrans de cinéma correspond bien à ce scénario envisagé depuis le résultat contesté des dernières élections américaines, même si le film lui-même, qui ne présente pas d’action d’ensemble de ce que serait une guerre civile, se concentre sur le ressenti et le parcours d’un groupe de reporters de guerre, ne correspond pas aux attentes (pour nous du moins) que pouvaient laisser présager la présentation.

    Tant sont grandes les oppositions entre le pôle naturel, et le pôle idéologique aux États-Unis (wokisme, entre autres...), la sécession de certains États a été évoquée, comme le Texas, le Colorado, et nous en avions fait part.

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    Charles Gave, le financier Français annonçait voici deux ou trois jours : «l’État va s’effondrer. » Voici plusieurs mois qu’il alerte sur un prochain effondrement.

    D’un point de vue "météorologique", c’est vrai. Les facteurs requis pour une tornade financière seraient bien au rendez-vous, mais ce qui est significatif, est que ces facteurs stationnent depuis trop longtemps sans que l’explosion ne se produise pas.

    Certains ont du mal à concevoir un jeu virtuel, qui ne se fonde plus sur les habitudes, les règles, et les mécanismes classiques.

    Pour nous ici, l’effondrement le plus probable, s’il survient, et sans chercher à estimer le taux de malchance pour qu’il se produise, sera assis sur deux facteurs, quant à sa forme et à ses attributs :

    1. Il surviendra plutôt par le glissement subit, et incontrôlable, d’une de ces situations les plus à risque qui sont déjà à l’heure actuelle autant de ces nombreux barils de poudre qu’on n’a pas cherché à contenir, voire, que l’on attise à dessein.

    Plus vraisemblablement il sera fortuit, dans le sens que, les calculs prévisionnels des pourvoyeurs de guerre qui ne manquent ni de scénarios ni d’agendas se verront anticipés par un circuit de défaillances humaines...

    2. Il cumulera les circonstances, déjà acquises comme certaines (et existent déjà en partie...) et inévitables aujourd’hui, de la réaction en chaîne, réaction quasi instantanée quelque soit le secteur qui aura vu l’étincelle ou la défaillance : (ici sans ordre présupposé) pénurie de denrées alimentaires et de première nécessité, court-circuit général des services de l’État, effondrement bancaire, financier et économique, situation insurrectionnelle, avec l’inévitable couvre-feu et l’État d’hyper-Urgence policier jusqu’aux dents, guerre civile, situation de guerre militaire, destin des peuples jetés dans le chaos des nouveaux Tyrans, et risque sanitaire au minimum avec évidence d’enchaînement rapide vers la guerre chimique, bactériologique et il va sans dire, nucléaire.

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    Si les Jeux Olympiques de l’été prochain ( que nous souhaitons voir boycottés par le public ) ne sont pas la cible rêvée d’actions terroristes, ce ne sera pas du manque d’effort des pouvoirs publics français de l’avoir affiché partout, certes risque bien réel du fait des conditions dans lesquelles leur Système nous fait vivre.

    "Tout le monde" s’y est habitué. On aperçoit au cinéma la pub de Netflix pour un de ses films à paraître, Sous la Seine. Question d’ambiance, genre Les Dents de la Mer version Paname, histoire d’animer un peu.

    C’est gagnant à tous les coups : s’il se passe quelque chose, on resserrera encore plus si cela est encore possible, les libertés. S’il ne se passe rien, la cote du type de Beauvau montera en flèche et pour un bon moment. Il serait bien triste que quelques-uns ne retirent pas d’effet joyeux de telles situations.


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