• Non à l’État de droit

    La Rédaction

     

    L’État de droit, tel que défini ( ou non défini ) et admis en France, nous n’en voulons pas.

     

    Cette déclaration nette, surprenante peut-être, est l’une des bases de la réformation fondamentale que nous voulons implanter dans un proche avenir dans les esprits.

    Il a pour objectif d’abolir à terme les faux principes, les symboles creux, tous, cris de ralliement, tous pièges d’un Système obscur qui ne cesse de s’accrocher sans droit, paralyse toute amélioration fondamentale et  anesthésie les énergies assez saines qui pourraient convenir un jour d’en finir avec lui, un Système qui use du masque, des belles paroles, de la récupération comme ce soir, de la surenchère de promesses, des cadeaux et de la trique.

    Il n’est plus habituel que nous réagissions immédiatement à une actualité, surtout politique, surtout venant de l’un des bastions du Monopoly.

     

    Il existe un refus radical que nous portons, de la société telle qu’elle se constate, telle qu’elle est, donc. Ce refus, à ce jour est désormais une des options, en France. Une option non alignée, non disponible au comptoir des idées convenues.

     

    Nous ne voulons pas le départ de ce gouvernement, de ce président ; ce que nous voulons façonner, c’est la fin à intervenir au plus proche délai, du Système.

     

    Nous aurons tout le monde contre nous. C’est bien ce que nous entendons. Pas d’illusion, de notre côté. Les illusions, nous les laissons à d’autres.

     

     

    Il, début de la 3ème phrase aurait dû être elle, mais il restera il et c’est joli comme ça. Sinon ça déplace tout.


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