• Le Journalisme français doit respecter des règles et en même temps se protéger

    La Rédaction

    Coup d'oeils sur une actualité

    On peut dire que le Journalisme français est en berne. Les principales questions ne sont jamais posées, ou pas entièrement, ou alors elles sont traitées d'une façon convenue, aseptisée, soigneusement contenues entre les barrières encore autorisées. Quant à la propagande, elleest diffusée à doses mortelles partout et presque par tous !

    A une époque, il se disait que la CGT était la courroie de transmission du Parti communiste et c'était vrai.

    On peut dire que les journalisme français est la courroie des pouvoirs gouvernementaux et des puissances transnationales et indéfinies, ces dernières contrôlant les premiers, l'un et l'autre agitant comme une baguette magique de sorcière de carnaval, mais avec autrement plus d'efficacité, les oukases des  lobbies de pression fatwaïens.

    Ce terrorisme ordinaire n'émeut pas le Système puisqu'il en est le commanditaire non dissimulé, et opère par condamnations et ségrégation sociales, plus mortelles encore que le harcèlement individuel aléatoire, ceux qui ne marchent pas dans les clous de la police bottée et casquée de la nouvelle pensée dirigiste.

    Leurs règles sont édictées sur de nouvelles lois non-écrites apparues soudain, légalisées par le Tout-Politique GauchoDroitoCentroExtremo et disciplines associées - et prennent à témoin une opinion fabriquée si facilement aujourd'hui par des procédés les plus efficacement et les plus "scientifiquement" perfectionnés. Ces commandements ténébreux auxquels onn'a plus de ldroit d'échapper ni d'émettre à leur sujet le moindre doute, se voient portés à bout de poings par des femelles hurlantes, ou par la mécanique médiatique occupant tout et criblant notre quotidien, par les relais de pression écolos, par les artistes institutionnels s'indignant en meute et qui n'ont jamais connu, eux, l'intermittence.

    On ne pourra continuer d'accepter que les organes de presse français soient entre les mains de huit milliardaires.

    Il faudra imposer, et le plus tôt sera le mieux, à tout journaliste de prêter avant d'exercer, une sorte se serment équivalant à celui des médecins. Première protection nécessaire pour les journalistes honnêtes, afin qu'ils soient protégés de leurs employeurs.

    Et de même, organiser une représentation libre du métier de journaliste, qui soit l'équivalent de l'Ordre des Avocats, par exemple, ou de celui des Médecins. Il est invraisemblable que personne, même parmi ceux qui prétendent modifier l'état des choses, n'y ait jamais songé.


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