• La faiblesse des arguments

    La Rédaction

     

     

    Quand la faiblesse des arguments consiste d’abord en une faiblesse, voire une absence, permanentes, en tout, sur tout sujet, d’attitude adéquate.

    Notre propos sera bref, tant parce qu’il y aurait beaucoup à dire et que ce n’est plus le moment, que parce que la Constitution de la République ne nous concerne pas.

     

    De cette inscription du " droit à " l’IVG acquise par les deux votes séparés de l’Assemblée et du Sénat déjà effectués, et qui sera votée demain, pure formalité, par la réunion des deux Chambres en Congrès, il faut retenir ce qui suit.

    D’abord, il ne le sait pas, le Système politique vient de s’administrer une dose de mort lente, de signer son propre arrêt de mort et son exécution à plus ou moins brève échéance. Elle l’a fait aussi par ses lois pseudo-sanitaires, l’avenir nous le dira, et nous y reviendrons.

     

    On ne peut considérer pour libre, une société qui ne recouvre plus et n’autorise plus aucune diversité d’opinion et dont les autorités et les médias invoquent " l’opinion " ( 2 sur 3 seraient favorables à cette inscription... ce que nous ne croyons pas et même, si c’était...).

    Ajouté :

    [   Une "opinion sondagière", même si elle n’était pas manipulée, et sachant que celles des femmes favorables à l’IVG, à la question Faut-il inscrire cela dans...  répondent "oui", pensant que cette inscription éliminera toute remise en cause future, supposée possible selon les activistes... ne remplace ni un solide débat clair et long, posé à la vue de tous et non préempté par des " représentants " et les lobbies hurleurs, ni toutes les formules et arguments contraires, masqués à dessein depuis l’origine dans ces questions de l’IVG et périphériques... ]

     

    Une société dans lequel la parole officielle s’est vue coloniser par les slogans les plus vulgaires de l’activisme le plus offensif, introduits et pilotés par les loges et leurs relais : « disposer de son corps... », et se confondre avec eux, au point que la légalité et le bon sens les plus élémentaires en aient été effacés, au point que tout et tous soient tombés partie prenante de ce délire criminel.

     

    Chaque vivant, qui se trouve sous l’emprise du Droit actuel de la République Française, peut, pourra, se voir un jour, ôter la vie ( "le droit de vivre"), au nom de n’importe quel principe que l’on trouvera, ou pas de principe du tout.

    C’est, bien au-delà de la question des enfants à naître que l’on assassine avec préméditation, et la victoire de haine de ces gens se veut d’abord dirigée contre Église... c’est que ce verrou qui vient de sauter ouvre l’ère décrite dans notre phrase précédente, et cela devra convaincre ceux qui sont plus timides que nous, ou encore attachés à lui, que le moment est venu de s’engager dans le but d’abattre à tout jamais ce système.

     


    Tags Tags :
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :