• En bref - Stop au blanchiment électoral et au trafic d’influence de masse

    La Rédaction

    En bref

    Ce n’est pas un véritable article, seulement un rebond sur deux ou trois éléments.

    À la fin du Journal du jour (d’hier vendredi) de TVLibertés, plus précisément à la fin, dans Mes libertés, il est question de V. Pécresse, sous un éclairage intéressant relatif aux éoliennes. Qui est un sujet sensible... Sans vous en dire plus pour vous donner l’envie de regarder le Journal.

    Cela nous tend la perche pour dire que vers la fin du mois d’août, un article sponsorisé, sur un portail Internet, affichait le soutien d’Alain Delon pour V. Pécresse. Sans commentaire pour ce genre de méthodes.

    Dans la partie L’actualité en bref du même Journal, il est question des mesures de formation des demandeurs d’emploi, qui seront présentées par Élisabeth Borne.

    En même temps, la gratuité prochaine, début 2022 des transports pour les policiers participe du même mode ou presque, de clientélisme.

    Nous ajoutons que le système Visale, destiné à faciliter l’accès au logement des 18-26 ans, a été étendu (depuis juin, à vérifier) à plus de 6 millions de travailleurs dont le revenu est inférieur à 1500€.

    La mesure n’est pas en cause, pas plus que la nécessité de former les chômeurs, vieux serpent de mer pré-électoral depuis des âges : ce qui est inadmissible, c’est la mise à contribution par le satrape des moyens de l’appareil d’État au profit de sa campagne de réélection en train de s’engager. C’est un achat d’opinions, c’est de l’achat de voix, et une méthode inéquitable vis-à-vis des autres candidats.

    Ce qui amène l’idée d’exiger, tant que prévaudra l’existant système politique aberrant, l’interdiction, durant la dernière année de mandat de l’intervertible président, ou consommable de la pyramide, ou encore, le lampiste de l’Élysée, de toute mesure de fond. C’est le prix pour empêcher le blanchiment électoral du recel du pouvoir politique, et pour assainir, sinon une démocratie qui ne peut exister dans un tel système, mais du moins, la « pratique (consommable) de la politique ». Tant il est vrai qu’il faut établir un cordon sanitaire entre le pouvoir politique et ses exécutants (le mot n’est pas volontaire), et la population...

     

    C’est du pouvoir politique en lui-même dont il faut se débarrasser. 

    Bon, finalement ceci est bien un article ! (Le titre de l’article vient d’être rajouté)

     

     

    En note : une critique va apparaître contre Olivier Marleix, membre du parti LR (Les Républicains).


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