• Ce que nous laissons et ce que nous gardons

    La Rédaction

     

    Ce que nous laissons et ce que nous gardons

     

    C’est sans regret que beaucoup abandonnent 2022, mais aussi une fin de cycle particulièrement pesant. La sortie du CoVID n’a pas été dans toutes les têtes, les nuisibles n’abandonnent pas même si l’horreur de leur crime les rattrape, et cette dernière année n’a pas saisi l’occasion de se débarrasser de ces larrons.

    Dans ce qu’il faut laisser, ce sont les illusions, pour ceux qui en ont encore et c’est la raison de tous les échecs des forces de rempart. Croire au combat politique est la pire aberration qui puisse être. Les dés sont pipés depuis longtemps, et la farce électorale s’est renforcée de nouveaux outils contre lesquels il est impossible de lutter.

    Le vol de l’élection américaine en a été la démonstration. En n’étant pas unie, autour de son Président, Donald Trump, l’Amérique s’est retournée contre elle-même. La « réélection » de Macron, résultat des médias et des agitations relayées à tous les échelons, l’a été autant que par la fraude.

    Mais la fraude essentielle se situe à un tout autre étage. Constitutionnellement, la France pouvait-elle « élire » un pître ? Ce qui dit long, ce n’est pas que les gens élisent un pître, c’est qu’il n’y ait personne à lui opposer... c’est l’état des réserves, passées de péremption, des élites dites conservatrices... fautives d’irréparable façon depuis des décennies et nous ne cesserons de les dénoncer. 

    La maladie des chefs se décline de diverses façons. C’est l’affaire des autres, de ceux qui voudront se réveiller, que de les abandonner et cela ne nous concerne pas. Mais c’est le défi de tous ceux, malgré leurs différences, qui veulent en finir avec la folie.

    Pour cela, il leur faudra apprendre une chose qu’ils ignorent, qui n’est pas dans leurs gènes, être In-dé-pen-dants.

    Nous ne formons aucun pari moralement justifiable à ce sujet !

     

    Manifs du 7 janvier 2023 : non, c’est une erreur !

    Les artisans, boulangers, et tous les petits métiers qui sont acculés par un système en faillite, et qui vont défiler le 7, nous les soutenons bien sûr, mais défiler est une erreur...

    Il faut abandonner ce qui ne réussit pas. Or, tous, à l’étage des « chefs », ont tort. 

    Ce que l’expérience a accumulé, est ce qu’il faut garder. Ce qu’elle nous apprend est que les manifestations déboucheront sur des violences policières et des tragédies humaines.

    Les propos criminels voici deux mois du Préfet Lallement, l’ancien Préfet de Police de Paris, sont éloquents. Nous voulions en faire un sujet et nous y reviendrons nécessairement. Il a déclaré que les futures manifestations qui viendront en France entraîneront vraisemblablement l’ouverture du tir contre la population...

    A-t-on oublié les éborgnés ? Ceux qui ont perdu une main à cause d’une grenade... Des armes de guerre sont employées contre des civils, ne l’a-t-on pas encore compris ?

    La seule réplique, quand l’État vous accule, c’est de le frapper dans sa ressource vitale : son trafic organisé mafieux, qui porte un nom : le Fisc.

    Ne pas comprendre, c’est être criminel. 

     

    Nous n’avons pas lu Michel Houellebecq. On dit qu’il a souligné des évidences essentielles. Il est un écrivain du meilleur talent, ce que personne ne lui conteste.

    Mais ce que nous savons, c’est que l’institution du Prix Nobel, assurément, et pour continuer de la prendre au sérieux, ne doit pas, ne peut pas tomber dans la fange. Le trait de délire selon lequel le Prix ne doit pas aller à quelqu’un " qui n’est pas féministe "... règle pour nous la question. 

     


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