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Wall Street et la révolution bolchévique - Antony C. Sutton
Wall Street et la révolution bolchévique - Antony Cyril Sutton
26 oct. 2010 ; 378 p.;
Traduction : Olivier Goulon
Une chose bien connue de la pensée traditionnelle française, qu’il y avait une commune source à l’Hydre à deux têtes. (Capitalisme, Communisme). Bien qu’il y eût d’autres liens, bien plus profonds, que celui de l’intérêt économique, il est ici magistralement démontré par l’économiste américain Antony C. Sutton ( 1925 - 2002 ). RoyautéNews
Présentation par Decitre : Pourquoi Trotski, alias Braunstein, voyagea-t-il avec un passeport officiel américain lorsqu'il retourna en Russie en 1917 rejoindre Lénine pour la révolution ? Pourquoi la mission américaine de la Croix-Rouge en Russie, en 1917, comportait-elle plus d'hommes d'affaires que de médecins ? Au fil d'une enquête magistrale, qui se lit comme un roman d'espionnage, Antony Sutton établit des liens historiques tangibles entre capitalistes américains et communistes russes. Tirant ses informations de l'examen de dossiers du Département d'État, des archives personnelles de personnages clés de Wall Street, de biographies, d'articles de presse et de livres d'historiens classiques, Sutton nous révèle : Le rôle que jouèrent les dirigeants des banques du groupe Morgan dans l'acheminement illégal d'or bolchevique vers les États-Unis. Le détournement de la mission de la Croix-Rouge américaine en Russie par les puissants de Wall Street. L'intervention de Wall Street pour obtenir la remise en liberté de Léon Trotski, le révolutionnaire dont l'objectif était de renverser le gouvernement russe. Les accords passés par de grandes entreprises afin de capter l'énorme marché russe, quinze ans avant la reconnaissance officielle du gouvernement soviétique par les États-Unis. Le soutien au communisme, actif mais secret, par des hommes d'affaires de premier plan, lesquels se faisaient publiquement les champions de la libre entreprise.
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Édition du 26 février. 2021 ;
Le Retour aux Sources ; 242 p.; 23 €
Présentation officielle : Depuis le début des années 20, de nombreux pamphlets et articles, et même quelques livres, ont cherché à établir un lien entre les "banquiers internationaux" et les "révolutionnaires bolchéviques".
Lorsque les preuves contenues dans des documents officiels sont fusionnées avec des preuves non officielles provenant de biographies, de documents personnels et même de sources historiques plus conventionnelles, une histoire vraiment fascinante émerge.
L'extrême droite et l'extrême gauche du spectre politique conventionnel sont toutes deux absolument collectivistes. Le national-socialisme (par exemple, le fasciste) et le socialisme international (par exemple, le communiste) recommandent tous deux des systèmes politico-économiques totalitaires basés sur le pouvoir politique brutal et sans entraves et sur la coercition individuelle. Les deux systèmes exigent un contrôle monopolistique de la société. Alors que le contrôle monopolistique des industries était autrefois l'objectif de J. P. Morgan et de J. D. Rockefeller, à la fin du XIXe siècle, les stratèges de Wall Street ont compris que le moyen le plus efficace d'obtenir un monopole incontesté était de "faire de la politique" et de faire travailler la société pour le compte des monopolistes - au nom du bien public et de l'intérêt général.
Nous constatons qu'il existait un lien entre certains banquiers internationaux de New York et de nombreux révolutionnaires, dont les bolcheviks. Ces banquiers - qui sont ici identifiés - avaient un intérêt financier dans le succès de la révolution bolchévique et l'encourageaient.
Les détails concernant les qui, pourquoi - et combien - constituent l'histoire racontée dans ce livre.
Tags : Wall Street et la révolution bolchévique, Anthony Sutton
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