• Précieuses lectures

    Cette nouvelle rubrique, Précieuses lectures, de RoyautéNews récemment créée publie son premier article le 13 novembre 2021.

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    Le 6 février 1934 - Maurice Chavardès

    La République en danger ;

    Calmann-Lévy, 1er janvier 1966. Collection " L’Heure H ". 358 p.

     

    RoyautéNews : Se lit comme un roman. Récit vivant. Idéal pour comprendre le 6 février, et l’Affaire Stavisky.

     Maurice Chavardès était romancier et journaliste, de gauche modérée et catholique.

     

    Deux images d’Internet, ne proviennent pas de notre exemplaire.

    Le 6 février 1934   -   Maurice Chavardès

    Le 6 février 1934   -   Maurice Chavardès


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    Lucrèce Borgia    -   Geneviève Chastenet

    Jean-Claude Lattès  ;   1993.

    L’une des éditions de l’ouvrage  (1995), primé par l’Académie Française  :

    Lucrèce Borgia  -   Geneviève Chastenet

    Une des présentations ultérieures :

    Lucrèce Borgia (1480-1519). Elle est la fille chérie du pape Alexandre VI, son frère César Borgia poignarda le premier homme qu'elle ait aimé et étrangla son deuxième époux. Lucrèce ne doit sa légende qu'à sa beauté, son intelligence, son sens politique, ses talents de mécène. À Ferrare ses sujets l'appelaient "la mère du peuple". Elle fut admirée par les plus grands esprits de son temps : Bembo, le Titien, Arioste.

     

    Présentation officielle de la version Lucrèce et les Borgia (sept. 2011):

    Rivalités, crimes, trahisons, plaisirs raffinés, soif de pouvoir et amours innombrables, l’histoire sulfureuse de la famille Borgia a fait couler beaucoup d’encre. Vérités et calomnies dressent d’elle un portrait terrible : Rodrigo Borgia, le futur pape Alexandre VI, est en bonne place dans l’Histoire des guerres d’Italie de Guichardin ; César Borgia est le modèle du Prince de Machiavel ; la splendide Lucrèce, pour sa part, doit à Victor Hugo un parfum de scandale encore tenace aujourd’hui. 
    Si l’époque est à la somptuosité des fêtes, au fleurissement artistique et littéraire, c’est aussi un temps de barbarie où l’on règle ses comptes à coups de poignard et de poison. Enfant chérie d’Alexandre VI, Lucrèce fut surtout un objet de pouvoir entre les mains de son frère, César, qui fit assassiner son premier amour et étrangler son deuxième époux. Si Bembo, l’Arioste, ou encore le Titien célébrèrent sa beauté et son sens politique, Lucrèce dut affronter, en véritable héroïne shakespearienne, les démons d’une famille hors du commun. 

    Geneviève Chastenet nous plonge dans un univers chatoyant tissé de passions violentes et d’ambitions démesurées, avec un regard constant sur les textes de l’époque. D’une biographie complète et fouillée, elle tire une magnifique fresque aux accents romanesques.

    Commentaire de RoyautéNews : Cet ouvrage a marqué le début d’un nouveau regard sur Lucrèce Borgia et inauguré une série de biographies équilibrées sur sa personne.

    Lucrèce Borgia  -   Geneviève Chastenet


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    Voyage fait en 1841 en Auvergne et dans le Velay et en Bourbonnais

    Miss Louisa Stuart-Costello

     

     


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    Par M. de La Garde

    Avec Lafayette chez les Iroquois

      Par le Vicomte de Montbas

    FIrmin-Didot  ;    1929  ;  131 p.;  In-8, 10 pl. hors texte ;  5e édition pour notre exemplaire.

     

    Il s’agit d’une description du voyage effectué en 1784 par La Fayette pour visiter quelques parties frontalières du Nord de l’État de New-York, en compagnie de quelques amis et connaissances dont le Chevalier de Caraman, M. Madison, M. de Moustier, et (le fameux) Barbé-Marbois.

     

    Outre les rencontres avec divers peuples Indiens, notamment des Iroquois dont les mœurs sont décrites, celle avec la secte des Shakers est intéressante.

    Le principal sur les mœurs observées, dans ce livre provient de Barbé-Marbois.

     

    Cette image provient d’Internet.

     Avec Lafayette chez les Iroquois


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  • Du franc Bonaparte au franc de Gaulle  -  René Sédillot

    Calmann-Lévy  ;    1959.

    René Sédillot, spécialiste de l’histoire des monnaies.

    La quatrième de couverture de cet ouvrage paru en 1959 : Voici l’heure du « franc lourd » : à dater du 1er janvier, toute la France va compter en  « nouveaux francs ». Que signifie cette révolution monétaire ? Quelles conséquences aura-t-elle dans notre vie quotidienne? Que vaut le franc lourd par rapport au franc d’hier et au franc d’avant-hier?

    René Sédillot, qui ne s’est consacré à l’histoire générale qu’après avoir étudié l’histoire des monnaies, revient à un sujet qui lui est familier en retraçant, à l’occasion de l’« alourdissement », toute la carrière du franc, depuis la loi de germinal jusqu’aux tribulations de notre siècle : une carrière qu’ont vécue cinq générations de Français, les premières dans la sérénité, les dernières dans le tourment.

    A la vérité, le franc lourd n’est plus le franc. Il est une unité nouvelle, qui clôt un chapitre d’histoire. Le moment est donc bien choisi pour embrasser ces cent soixante années d’aventures monétaires; et quand, sous la plume de René Sédillot, on voit Bonaparte, consul, puis Charles de Gaulle, président, modelant et remodelant le franc, on ne peut s’interdire, sinon des rapprochements, au moins des confrontations.

     

    Note : Nous avons respecté la typographie de l’époque. L’image provient du site bonlivres, et le texte de notre exemplaire personnel.

     

     

    Du ranc Napoléon au Franc de Gaulle


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    Le duc et la duchesse d’Alençon ; Un couple de tragédie, est la seule biographie publiée par la romancière Marguerite Bourcet.

    Elle parut en 1939, après la mort de son auteur en 1938.

    Le duc d’Alençon était Ferdinand d’Orléans, petit-fils de Louis-Philippe, et il épousa Sophie-Charlotte de Bavière, sœur de Sissi. Elle trouva la mort en 1897 de façon héroïque dans l’incendie du Bazar de la Charité.

    L’image est prise d’Internet et ne correspond pas à notre exemplaire de 1958, dont la couverture est la même que celle de droite.

    Le duc et la duchesse d'Alençon  -  Marguerite Bourcet


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  • Nous   -   Evgueni Ziamatine

    Écrit en 1920. Publié la première fois en 1924.

    La dernière édition est de février 2021 chez Actes Sud ; 7€70. 

    Elle reprend celle de 2017, avec la traduction de Hélène Henry. Cette traduction est présentée comme la première étant fidèle à l’original. (l’original s’était en effet perdu lorsqu’on été réalisées les premières éditions).

     

     

    Ce roman, parfois traduit par  « Nous autres », inspira Georges Orwell pour son célèbre 1984, et Aldous Huxley pour Le meilleur des mondes

     

     Nous    -    Evgueni Ziamatine

     

     Nous    -    Evgueni Ziamatine


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  • Seule la vérité blesse  -  André Giresse  -  Philippe Bernert

    Plon,  1987   ;   Presses Pocket, 1988.

    Présentation officielle : Il connut les honneurs, les embûches, les heures de disgrâce. Refusant de s'inféoder à un clan, une idéologie, de s'incliner devant les pouvoirs en place, André GIRESSE, président de la cour d'assises de Paris-de 1975 à 1985, est incontestablement un homme libre. Son coup d'éclat au procès de Broglie, dénonçant un "Watergate à la française", alerta l'opinion publique et bouleversa la classe politique. "Seule la vérité blesse" est l'histoire de sa vie, de ses combats pour la justice. Jamais encore un haut magistrat n'a éclairé, avec une telle liberté de ton, le trait souvent féroce, les dessous des grandes affaires qu'il a explorées. Une vision "de l'intérieur" qui fera grincer bien des dents. Un regard décapant sur ce "monde du silence" où les ambitions, la politique, le carriérisme, la pusillanimité règnent dans le secret de bureaux austères encombrés de dossiers poussiéreux.

    Seule la vérité blesse  -  André Giresse  -  Philippe Bernert

     


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  • Colbert     -    Inès Murat

    Fayard  ;   478 p.;    1980.

    Cette biographie est une référence car outre sa qualité elle est basée sur des archives directes de Colbert, pour une partie encore non éditées à cette époque.

    Elle venait compléter les travaux de Pierre Clément, au 19e siècle, qui pouvaient être considérés comme les travaux les plus aboutis sur Colbert et qui comprenaient la publication d'une grande partie, alors inédite, des archives de l'homme d'État.

    Inès de Luynes, épouse de Napoléon Murat, était une descendante de Colbert, et avait étudié les papiers de son ancêtre détenus alors dans sa famille. L'illustre Jean Tulard lui rendit hommage comme à une grande historienne, qui écrivit quatre ouvrages dont celui-ci. RoyautéNews


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  • Les cavaliers de la soif - Dominique Reznikoff

    Albin Michel ;   215 p.;    Novembre 1974.

    Présentation par l’éditeur : Qui sont-ils, ces Cavaliers de la soif, pour qu’une jeune femme, de retour à Marrakech après un exil doré de vingt ans, retrouve grâce à eux toute son enfance et peut-être le sens de sa vie?

         Lalla Meriem est une Berbère de sang royal - elle descend de ces grands chefs qui jadis ont dominé, non seulement le Maroc, mais tout l’Islam, des Pyrénées au Soudan. C’est à Marrakech, la ville rouge des confins du désert, qu’elle est née et qu’elle a été élevée. Là, parmi les senteurs des orangers et de la cannelle, dans la douceur bruissante des jardins dominés par les toits aux tuiles vertes, sous la protection de Djamila sa nourrice ou de Fafa la soudanaise, sous le regard grave mais affectueux de sa mère, et en écoutant son cousin Soleiman, elle a appris « le fauve et luxueux langage de son enfance ».

         L’ a-t-elle oublié ? Qu’est-il devenu, lorsque, en épousant un occidental, elle s’est exclue de sa famille et d’une communauté ancestrale qui a le goût tragique de la pureté ? Son oncle Fatah, le « maître des chevaux », a-t-il définitivement rejeté Lalla Meriem ?

          Rappelée au Maroc par la mort de sa mère, elle essaiera de retrouver son chemin au carrefour où elle l’avait perdu. Avec une attention passionnée, elle écoutera déferler en elle les Cavaliers de la soif, ces glorieux fils du soleil dont elle est la descendante : ils l’entraîneront irrésistiblement vers la vérité de Dieu...

            C’est la première fois, sans doute, qu’un écrivain du Maghreb élevé selon la culture européenne, écrit, au lieu d’un roman de l’assimilation, un livre qui est tout entier une reconquête d’identité. Violent et doux à la fois, orgueilleux et nostalgique, ce texte admirable nous convie à des retrouvailles pleines de noblesse : celle d’une âme brûlante et d’un pays de lumière.

     

     

     

    Les cavaliers de la soif   -   Dominique Reznikoff

    Cette description n’était pas présente sur le Net. La voici désormais. RoyautéNews 

     


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