• La Rédaction 

     

    Les mesures, partie du discours de politique générale de Gabriel Attal nous paraissent de bonne qualité, sur le papier, et sur les points suivants.

    Le Premier ministre nous paraît armé, a priori, pour réussir la débureaucratisation du pays et nous ne nous priverons pas de souligner le bilan catastrophique des services publics et l’abus démesuré des administrations et leurs règlementations démentielles qui feraient pâlir les mânes soviétiques toujours vaillantes, d’ailleurs en énorme partie par la faute des esprits de Droite qui s’y complaisent, en réclament toujours plus et voient en elles une force rassurante dont leur cervelle, fort réduite, fait défaut, tout comme est signalée manquante une virilité de caractère, qualité dont ils parlent beaucoup, et pour, laquelle compenser, inconsciemment, ils invoquent, parfois des tréfonds, la survenue d’une manifestation surpuissante, cathartique (1), dosée au rang supracollectif, le détail, comme l’attention à l’individualité humaine n’étant jamais ce qui les fascine, sous la forme de dictatures fascistes dont la déclinaison idéologique, au fond leur importe peu.

    [1.  rien à voir avec les Cathares ].

    À l’opposé des autres dynamiques, celles des formations sclérosées de part et d’autre du panneau Centriste, la dynamique macronienne possédait dans sa batterie d’origine, en tous cas prétendue, une disposition à remettre en cause certaines habitudes.

    L’avoir démontré jusqu’ici, non, évidemment, et on a vu comment on est passé du macronien au macronesque.

    Quiconque s’opposant à ce que l’on appelle l’État profond ne peut que renoncer contraint et forcé après un tour de piste et quelque effet d’annonce. Alors, Gabriel Attal réussira-t-il à secouer sérieusement la complication administrative, prison intérieure créée par toutes les faces malsaines et non résolues de l’homo citoyennus ?

     

    Sauter pour enfin mieux reculer. Le meilleur d’une discipline Olympique en cours d’homologation.

    Réduction des charges. Ça commence à chatouiller !

    Les ficelles les plus grosses... Au fait, ça vient de qui, cette idée ?.. L’argument a du coffre ! Et il est très fort ! Très solides références.

    Si elle se met en place, et ensuite ? Qui croira que l’État ne gagne pas plus grâce aux autres augmentations de toute sorte, qui seront masquées par l’abondance de cette générosité ?

     

    La semaine des quatre jeudis jours dans l’Administration !

    Le fantôme de Martine Aubry exulte !

    Sans doute pour excellentiser le Service public ?

     

    Là nous déposons plainte pour tentatives de meurtres sur la Rédaction, pour comique létal en réunion avec préméditation aggravée ! Avec recel de blanchiment suspect de fraude fiscale avec évasion.

     

    Alignement des horaires du personnel d’entretien ? Une mesure essentielle pour le pays, assurant la survie des générations. On suppose que les pauses café seront encouragées dans les entreprises, pour permettre aux salariés de faire connaissance avec le personnel d’entretien.

     

    L’autorité dans la société ? Nous en avons dit l’autre jour ce qu’il fallait, et la fréquentation tectonique de notre Site ces jours-ci n’y était certainement pas pour rien.

    L’autorité... mais face à qui, face à quoi, et pourquoi ? Surtout Pourquoi ?

     

    Avec les Bouffons de la Police ? Ô expression fondatrice des Cités frondeuses, mais voilà vingt ans, trente, quarante..? que les Quartiers  génératifs d’intelligence du Langage ont par ce verbe établi pour les rites et générations futurs le seul trait juste, qui lustre et ne s’use !

     

    Nous le disons à Macron : Face de macaque, le mépris restera le sort immuable des Autorités !

    Logique de Piquouzés !

    Au nom de quoi ? De la République ? Hé, Morue ! Décarre, Toi, tes pignoufs sur rue !

    Pourquoi ? Pour un État qui endette le pays pour 3000 Milliards ? Passons, la liste est longue, et il y a pire.

     

    Le service national universel : Bien sûr ! Qui y a pensé ?.. 

    Le seul positif et apport dans les fontes, la mise au placard induite d’Édouard Philippe, héritier du démantèlement du Service National militaire, commis d’office par le duo Juppé-Chirac, au mieux un sale coup à la fameuse cohésion sociale...

     

    Service universel Gratuit : un vrai truc pour masquer l’inflation du Chômage qui rebondira un jour prochain, un de ces trucs que les autres avaient débranché. ( Et qui nécessairement, coûte cher, même gratuit pour les choisis).

    En plus ça embêtera Le Maire, et c’est toujours bon à prendre ! Du moins, ceux qui s’inquiétaient pour la Dette, seront rassurés et ils votent, aussi.

    En plus, ça fera plaisir à ces Droites, tondues, heureuses de l’être, qui aiment tant l’uniforme !

    On imagine le fantôme de Buisson, toujours pas éteint, s’agrippant aux rideaux !

     

    Gratuit encore, le travail de ces 15 heures par semaine des RSA ? Qui croira qu’ils trouveront embauche ? Sinon, comme petites mains gratuites chez les associations...

    Il fallait y penser, créer du travail gratuit ! 

     

    Nous approuvons sans réserve la simplification des normes pour les TPE / PME.

     

    Sans doute, nous en oublions. Mais ça fera peut-être un nouvel épisode ?

    Le meilleur de tout cela, que nous approuvons par définition, (débureaucratisation, augmentation des salaires, "choc de simplification") ne saurait être sincère. En effet, les multiples traçages de toute activité attachent au pieu individu, comme entreprise. (Et il s’en trouve de nouvelles dans les mesures annoncées comme devant être explorées).

    Et que malgré la cautèle, ce paquet d’annonces utopiques ne sera vraisemblablement sur les malheurs du pays qu’un Cathare, heu... un cautère sur une jambe de bois.


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  • La Rédaction

     

     

    Ce matin, à 7 h 05, Victor Emmanuel, Duc de Savoie et Chef de la Maison Royale d’Italie s’est éteint à Genève, entouré des siens.

    Né le 12 février 1937 à Naples, il était le fils du dernier roi d’Italie.

    Il fut très longtemps connu sous le nom de Prince de Naples, depuis sa naissance jusqu’à la mort de son père, le roi Umberto II en 1983.

    Il est le père d’Emmanuel Philibert, Prince de Piémont, qui avec la Princesse Clotilde, est père de deux filles.

    Victor Emmanuel, avec sa famille, le roi et la reine, Marie-José de Belgique, et ses sœurs Maria Pia, Maria Gabriella et Maria Beatrice, partit en exil en 1946 à l’âge de neuf ans au moment de l’abandon de la monarchie en Italie, à la suite d’un referendum que les historiens ont toujours considéré comme incertain.

     

    Nous allons évoquer très vite la succession de la maison de Savoie. Cette succession, et les événements de 2006 sont liés intimement à RoyautéNews puisqu’ils sont à l’origine de la création de notre média en ligne et de ce label.

     

    Mort de Victor Emmanuel, Chef de la Maison de Savoie


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  • La Rédaction

     

    La Duchesse d'Edimbourg à l'honneur sur la revue Anglaise.

     

     La Duchesse d'Edimbourg


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  • La Rédaction

     

    Monaco, RoyautéNews

    Faisant suite à la polémique parue un ou deux jours auparavant, soigneusement montée en épingle par des médias soucieux de détruire, Le Monde a emboîté le pas (semaine dernière).

    D'emblée, l'agacement décroît. Le dossier publié la semaine dernière par le quotidien Le Monde, est signé des inénarrables Davet et Lhomme. Nouvelle double page encore, en fin de la même semaine.

     

    Qui sont ces indispensables, qui se réclament dans leur démarche d’esprit, en général, de Mediapart et son Juge-Prophète halluciné ?

     

    Dans un article (12 oct. 2021) de RMC-BFMTV, après la parution de leur livre sur Macron, Le traître et le néant :

    « Gérard Davet et Fabrice Lhomme, enquêteurs du journal Le Monde, publient mercredi un livre choc sur Emmanuel Macron. Il y a comme ça des noms indissociables. Roux Combaluzier pour les ascenseurs, Jacob Delafon pour les bidets, Fleury Michon dans l’agro-alimentaire et dans le journaliste d’investigation il y a Davet-Lhomme, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, 55 ans tous les deux. »

     

    Bien vu. Nous, nous pensions à quelque Chevalier et Laspalès, sans l'humour et la drôlerie, ou encore, Les Chevaliers du Fiel...

     

    L'OJIM (Observatoire du journalisme), 10 juillet 2022 :

    " F. Lhomme et G. Davet (Dé)faiseurs de rois     

    « On forme un couple complètement obsessionnel, toujours proche de l’overdose de stress. On en est devenus malades tous les deux. » (Fabrice Lhomme, Libération, 19 novembre 2014) 

    On les surnomme les Dupond et Dupont de l’investigation. Fabrice Lhomme et Gérard Davet, chargés des enquêtes au journal Le Monde, méritaient bien un portrait commun tant ils sont inséparables. "

     

     

    Ne nous démontons pas. Si le duo a engrangé de beaux succès, en contribuant puissamment à la déroute de F. Hollande qui le reconnaît lui-même, (comme le signale l'article de RMC-BFMTV cité pus haut) il existe d'autres cas où des journalistes sont capables de contenus d'efficience (ne parlons pas, intrinsèquement, de qualité) ou du pire.

    Ici, c'est digne de Closer.

     

    Claude Palmero, l'été dernier, voit ses fonctions d'administrateur des biens de la famille princière suspendues par le Prince Albert.

    Ce dernier lui reprocherait certaines choses dans sa gestion. L'affaire se trouve devant la Justice.

     

    Si c'est devant la Justice, on aurait dû se taire.

     

    Le grand déballage lancé par Le Monde, auquel personne ne prête réellement attention, et distillé par tranches qui se veulent saignantes par quelques médias, cela montre que l'on cherche plus l'effet du sensationnel basé sur du vide, qu'une réalité qu'on serait en peine de trouver.

     

    L'attitude de Palmero est tout sauf claire. ou plutôt, elle est claire pour nous.

    Le récit qu'il confie au duo en raconte plus sur lui-même que sur une "opacité" des comptes d'Albert, prétendue par lui et ses compères et relayée consciencieusement par la presse, opacité qui se nomme prudence et discrétion qui sont pourtant les règles bien connues de toute gestion sérieuse.

     

    Ce que l'on croit apprendre, à la lecture de ce roman écrit pour saisir le lecteur d'images interdites, fait partie du style de la presse à sensation. On accuse, on insinue, rien n'est prouvé, (et d'abord il n'y a rien à prouver), et les rédacteurs se réfugient derrière les propos de leur contact privilégié : Palmero.

     

    Palmero a forgé au long des années un dossier destiné à être retourné en cas de besoin, contre la famille princière. Étiquetage de chacune de ses opérations, et elles sont nombreuses. La preuve, puisque, au lieu de se défendre des accusations dont il se sent victime, il détourne l'attention.

    Que Palmero ait été l'artisan d'une opacité financière, cela ne gêne pas la presse : puisqu'il contribue par ses ragots à monter un dossier de sape dont la victime sera la Principauté, dont l'existence est jugée dépassée par des activistes qui veulent régenter le monde en usant de tous les moyens.

     

    Que Palmero se défende aujourd'hui, en justifiant les règles de la bonne gestion qui consiste soi-même à investir dans les comptes dans lesquels on a placé les avoirs de son client...

    Bien sûr, et puisque c'est si vrai, si évident, pourquoi avoir caché au Prince qu'il investissait de grosses sommes dans les placements qu'il avait choisis pour la famille princière ? Ou tout au moins, ne pas l'avoir sensibilisé à ce sujet, même incidemment ? Encore que la position soit discutable, cela lui aurait évité, lui qui semblait tout prévoir, de se voir accuser de détournement.

     

    La lecture attentive des parutions du Monde révèle bien à qui sait les lire, que l'on ne peut rien reprocher à Albert même du point de vue de certains organismes de surveillance internationale et pourtant, ce sont les commentaires vulgaires et vénéneux des deux journalistes, qui veulent insinuer un doute et la rédaction du Monde ne lésine pas sur les moyens de la calomnie. Nous montrerons ici en images les présentations de ce sujet par le journal.

    Ce qui n'est qu'une entreprise de dénigrement sournois basé sur l'insinuation, voilà qui trouve oreille chez deux zigotos. Et chez un quotidien, relayé par d'autres, alléchés.

     

    Maintenant, on en est à des ragots de couloir d'égoût, selon lesquels le Prince Rainier aurait songé à Caroline pour lui succéder au lieu d'Albert. Absurde. Cela, sans imputer de notre part que Caroline n'aurait pas été apte à conduire les affaires de la Principauté.

     

    Selon l'allégation de Palmero, qui prétend détenir un document dans ce sens, Le Prince Rainier aurait consulté quelqu'un sur la faisabilité de cette hypothèse.

    Nous nous élevons en faux contre ce mensonge qu'il nous est facile de démonter.

     

    Au sujet de Rainier, il est quasi-certain qu'il avait projeté, pour l'avenir, d'en arriver un jour à la conclusion qui est la nôtre en fin de cet article.

    La façon dont il a recadré Jospin... durant les années où ce dernier a occupé Matignon, au mépris de la marche normale des institutions et de la logique du calendrier, cinq ans, (une paille) grâce à... grâce à qui ?..

    L'affaire a vite été close, car Rainier III ne plaisantait pas. Cela s'était soldé, pour la façade, par la conclusion reconnue du côté français, de la suppression de certains articles qui pouvaient ouvrir « à une interprétation trop étendue des liens » qui unissent la Principauté et la République. Sous-entendu, pour et par des individus mal intentionnés.

    Quant à la suite, elle aboutit au spectacle que donne la presse : Caroline détesterait Charlène... Que le public finisse par se rebeller, et d'un système de médias, et d'un système tout court qui le suscite et lui permet de prospérer, et qui transforme toute la société, à travers, entre autres, programmes télévisuels débiles, en couloir d'égoût.

    Nous reviendrons certainement plus amplement sur le contenu de certaines allégations et nous ne pouvons faire le tour en un seul article.

    ________

    Ceux qui s'avancent sous le masque du service, il s'en trouve  à Monaco, en poste, au sujet desquels rien n'a encore été dit. Leur nom ? Nous le gardons pour nous.

    Qu'Albert soit prudent, qu'il rompe avec ce système invraisemblable qui mélange Principauté et personnels administratifs français. Et bien que Claude Palmero, évoqué ci-dessus, soit natif de Monaco.

    L'habitude, réglée selon une convention entre Monaco et la République, plus ou moins artificielle et qui ne tient pas en Droit selon nous, d’après laquelle les postes de l'administration monégasque sont occupés par des fonctionnaires français est un abus, et tout bonnement inacceptable.

    D'une part, elle prive les vrais monégasques d'origine d'une perspective  naturelle d'évolution de carrière.

    D'autre part, elle induit, sinon directement en fait, du moins auprès d'une opinion non correctement informée, l'idée que la Principauté, en raison de certains liens historiques avec la France se trouverait en quelque sorte sous tutelle. C'est pourtant ce que quelques autres journalistes farfelus et non dénués de mauvaises intentions, et que nous ne nommerons pas, ont déjà insinué.

    Cette habitude, selon RoyautéNews, doit prendre fin.


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  • La Rédaction

     

    Bonne volonté

     

    Nous allons y revenir : l'autorité ne se décrète pas. Pas plus que les autres chimères de l'ordre politique, ne se décrètent.

    Pas plus, les sentiments, à l'égard d'un régime, ou à l'égard des plaies qu'il impose, pas plus que les sentiments humains, ne se décrètent.

     

    Nous détaillerons ultérieurement quelques aspects des mesures générales annoncées par le nouveau sympathique jeune Premier.

     

    « L'audace attendra », d'après l'éditorialiste de quart, Trémolet de Villers sur Le Figaro. La Droite est mal à l'aise, comme toujours. À preuve le refrain Retailleau : « Il n'y aura pas de rupture profonde avec le logiciel macroniste », on comprend deux choses.

    La première, c'est  : pourquoi faudrait-il diaboliser le macronisme, c'est-à-dire, en quoi serait-il plus mauvais que les orientations - ainsi que l'absence d'orientation, ainsi que les orientations mauvaises - des simulacres précédents ?

    La seconde : elle institue la perte des repères, encore plus évidente et inévitable pour les plus jeunes. Comme si la comédie avait débuté en 2017 ; et ces deux choses sont en fait reliées l'une à l'autre.

     

    Certes, avec un pouvoir qui pratique les programmes de Gauche, puis ceux de Droite, on conçoit que ces Droite et Gauche se sentent comme le quart-monde.

     

    Pour nous, le macronisme est mauvais car il se situe dans la stricte continuation de ce qui fut installé, puis pratiqué depuis des décennies. On le sait, et ce n'est que pour les nouveaux lecteurs du Site, que nous le répétons : il ne peut y avoir de convergence même superficielle avec aucune Droite, qui au passage a gouverné quatre fois plus au moins qu'à son tour1, et pas plus qu'avec aucune des Gauches, ni avec quelque milieu.

     

    Nous voulons croire que l'idée de désmicardiser, une de nos idées, sera suivie d'effet. Mais elle impliquera l'abandon de la chasse aux allocataires du RSA, une des bêtes noires obsessionnelles de la Droite devenue sur ce terrain aussi menteuse que les Gauches.

    Que le Premier ministre paraisse se trouver dans la roue de Macron et suive la feuille de route qui lui a été imposée, quoi de plus normal ?

    Il va falloir trouver mieux comme argument. Et donc, la macronie peut dormir tranquille, et longtemps.

     

    1. Pour dire par là que, pour ses mérites, elle a bien trop longtemps gouverné. Cette remarque n’implique rien d’autre.


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  • La Rédaction

     

    Un ouvrage d'entretiens de près de deux-cent cinquante pages, du défunt Chef de la Maison Royale de Wurtemberg (1936 - 2022 ), et de quelques-uns de ses proches, avec Andreas Naar, réalisé quelques mois avant sa mort, est paru en Allemand.

     

    « Qui était Carl, Duc de Württemberg ? Il ne pouvait plus être roi, il ne voulait pas être politicien. Pourtant, le pays qui porte son nom lui tenait beaucoup à cœur. Jusqu’à sa mort en 2022, il s’est principalement engagé pour les personnes qui ne sont pas du côté ensoleillé de la vie comme lui. Il l’a fait en silence, ne voulait pas faire la une des journaux et n’était peut-être pas un représentant typique de la haute noblesse européenne. »

    Le défunt Duc de Wurtemberg


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  • La Rédaction

     

     

    Le roi de Malaisie, Al-Sultan Abdullah, a quitté aujourd'hui le pouvoir après son mandat de cinq ans à la tête du pays. Il est de retour vers Pahang, où il règne comme Sultan.

     

     

    Le Sultan de Johor, Sultan Ibrahim Sultan Iskandar, lui succède comme 17e souverain et Chef de l'État pour une durée équivalente.

    Il a été élu au mois d'octobre 2023 pour assumer cette charge.

    C'est aujourd'hui qu'il a prêté serment au Palais national de Kuala Lumpur.

    Il sera couronné d'ici quelques mois. Voici trente-cinq ans, son père devenait Yang di-Pertuan Agong, roi et Chef de l'État.

     

    Pour rappel, la Malaisie est dirigée par une monarchie alternative cyclique élective, et le pouvoir est exercé par l'un des Sultans gouvernant les États composant la Malaisie, au nombre de neuf.

    Ces États correspondent aux anciens royaumes du pays. Ce régime est en même temps une monarchie constitutionnelle, et le Premier Ministre sera choisi parmi un représentant de la Chambre.

     

    Malaisie

    Le Sultan Ibrahim Sultan Iskandar signe le document de son acceptation.

    En compagnie de sa sœur, après son élection.

    Un nouveau roi pour la Malaisie

    © MOHD RASFAN / REUTERS

     

     

    Nos anciens articles


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  • La Rédaction

     

    À blindé, blindé et demi

    Darmanin fait une mauvaise affaire en jouant au flic et en déployant pour la première fois des blindés contre la population. Sauf erreur et on ne compte pas les blindés d’auto-protection au moment des émeutes des quartiers de l’an dernier ; il s’agit cette fois-ci des nouveaux véhicules commandés pour la Gendarmerie en 2022 pendant, ou peu après, la Guerre Anti-Sanitaire, destinés au " maintien de l’ordre ". Cet ordre que le système empêche jour après jour, suscitant des conflits, et attisant les autres, ceux qu’il a suscités plus tôt.

    Après avoir sabordé le capital d’estime obtenu auprès des amateurs d’ordre, en faisant mauvaise figure devant les remises en cause diverses de son projet Immigration, Darmanin risque de ruiner les chances qui lui restent pour un avenir en grand.

    On le sait, les manœuvres des partis de Droite pour tenter de récupérer les Agriculteurs qu’ils n’ont cessé d’étouffer et d’ignorer, ne passent pas inaperçues. 

    Si Darmanin, pour tenter d’exister et d’entretenir son image, contrarie la juste révolte agricole, en provoquant les Agriculteurs et ceux des corps de métiers qui ne demandent pas mieux que de les rejoindre, et s’il contrarie de ce fait, le travail de Matignon fondé sur l’échange et la négociation, Darmanin se mettra à dos tout le monde. En soi, c’est une bonne chose, mais ce n’est pas ce que nous souhaitons pour résoudre, non la "crise", c’est-à-dire les blocages, mais la situation réelle des Agriculteurs.

    Il se trouve que la tonalité prise aujourd’hui par le mouvement des Agriculteurs, et sa modération, avec plusieurs levées de barrages, d’une part, les négociations qui progressent à allure rapide, d’autre part, nous amènent à différer à plus tard, et probablement après le mouvement en cours, le contenu que nous avions prévu pour cet article.

    S’ajoute, le sketch de la direction de la FNSEA, dont on comprend le sens quand on a lu notre article l’autre jour, avec son évidente intention de jouer un rôle marquant dans une action contrôlée, en scénarisant une progression calculée des négociations dans le double but de devenir un acteur majeur permanent des politiques agricoles à venir et de canaliser la colère des agriculteurs : cette direction a tout à gagner.

     

    Ce ne sera que partie remise, pour ce qui est de la réponse que nous souhaitons à cet acte, même prétendument "défensif", cet usage des blindés, qui est un crime.

    Recourir à des blindés armés contre la population, est un de ces actes plus graves que le Printemps de Prague, et qui n’appartiennent qu’à des factions totalitaires ayant supplanté « l’État de Droit ».

     

    Non, la cause de Darmanin ne progressera pas, même dans ses démonstrations contrôlées, c’est la nôtre qui progresse.

    Elle est l’abolition de la tyrannie.


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  • La Rédaction

     

     

    23h50 : Nous ajoutons, après l’annonce des mesures policières Darmanin mobilisant 15 000 policiers, des blindés, des hélicoptères en province :

     

       Demain : Avertissement à Darmanin :

     

                      À blindé, blindé et demi

     


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  • La Rédaction

     

     

    Si quelque chose est à saluer, du point de vue technique, chez Gabriel Attal à l’Éducation comme ici, à Matignon, c’est le mode de décision qu’anciennement nous avions preconisé, ou à coup sûr indirectement lorsque nous contestions l’absurde recours à des lois (pour tout et pour rien), lorsqu’il s’agit de gouverner : ce sont les mesures prises par décret par Gabriel Attal.

     

    Cette dérive de la conception du pouvoir et de la notion de responsabilité des gouvernements pré-macroniens traduisait bien la désagrégation du système exécutif. Conséquence de celle des esprits.

     

    L’impression, subjective, du point de vue de l’atmosphère générale, est à l’accalmie, qui ne saurait durer. Est-ce le fait, après l’overdose de l’épisode Gérard et que personne n’y prête plus attention sauf dans les redactions appointées grâce aux deniers publics. On a eu droit à une nouvelle occasion de degoût absolu au sujet de l’inscription de l’IVG, dans la saillie récente d’une représentante du Féministan étendu, et c’est assez. 

    Nous, nous aimons Gérard car il est dodu, rond et bourru. Mais ce n’est pas le sujet du jour.

    Le sursaut vital des Agriculteurs, semble être une promenade de santé, et d’ailleurs, il n’est pas dirigé contre Gabriel Attal à peine arrivé, mais contre l’empilement des catastrophes inhérentes au système idéologique pervers qui enferme le pays.

    Il faut bien dire que ça ne va pas du tout depuis longtemps, et en d’autres pays que la France, pour les Agriculteurs, et qu’on n’admet l’existence d’une crise grave, que parce qu’une action concrète est menée. À en prendre de la graine pour tous les autres secteurs.

    Cette tranquillité tient aussi à l’ambiance suspendue dans le monde : Trump à la manœuvre et les États-Unis au tournant de leur influence qui se joue là, maintenant, et dans les mois qui viennent ; le ras-le-bol avec l’Ukraine, avec, pour notre part, le chef d’état-major Burkhard, qui nous fatigue. Qu’on le renvoie à l’épluchage des patates. Selon lui, Poutine envahirait un pays d’Europe dans les cinq ans qui viennent... Si ça pouvait faire taire ces crétins obséquieux, nous n’y voyons aucun inconvénient. Fermons la parenthèse.

    Tout semble donc aller pour le mieux. Pluton, satisfait de son entrée au Verseau, n’est pas dans les grandes déclarations. Sa spécialité, c’est de se faire sentir, en crises gravissimes, catastrophes ou situations radicales soudaines. Autrement dit il n’adhère pas au club des bavards.

    Invraisemblable : comme si tout allait bien le singleton visite l’Inde, et son Président, qui font semblant de le prendre au sérieux. Cet homme est un composé de chêne liège et de duralumin ou de zinc antioxydé.

    Cette ébriété de la tranquillité.

     

    Sécurité : oui, bien sûr. À une chose près que rien n’est sûr, et que le système est le fauteur de toute insécurité.

    Ceux qui ne l’ont pas encore constaté, les caméras de l’espace public ont bien été installées dans le but unique de surveiller les gens, non pour dissuader les agressions. Tout au plus servent-elles à impliquer une atmosphère de flicage et de puissance étatique, signifiant à tous : il est impossible désormais, de se soulever.

    Le viol en pleine rue de Rivoli, et encore, c’était la nuit, et des agressions de ce type ont déjà eu lieu, de jour ! sur lesquelles la presse est demeurée discrète... prouve une nouvelle fois que la surveillance du bétail citoyen est d’ordre dictatorial-policier, d’un système qui joue son va-tout, non d’ordre humanitaire.

    Et nous ne croyons pas au changement des méthodes, malgré la nomination récente de la première femme à occuper la direction de la Sécurité publique.

     


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