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    Les apprentis sorciers - Alexandra Henrion-Caude

    Tout ce que l’on vous cache sur l’ARN messager ;

    Albin Michel  ;   paraîtra le 8 mars 2023  ;    168 p.;   16€90.

    RoyautéNews: Par la célèbre généticienne anglo-française. Témoignage capital.

    « Je n'imaginais jamais devoir écrire un livre dans ma vie. C'est que l'heure est grave et les risques inouïs. Son impact sera celui que vous voudrez bien lui donner par votre mobilisation. Beaucoup de souffrance à traduire en victoire contre cette expérimentation. Aidez-moi. »

    Les apprentis sorciers   -   Alexandra Henrion-Caude

    23h32. Nous apprenons plus tard en soirée que les droits de ce livre seront reversés aux suspendus !


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  • La Rédaction

     

    « La troupe de spectacles itinérante Borlesca pose ses valises au centre du monde ! »

    Venez le vendredi 10 mars 2023 de 15 h à 18 h pour l’inauguration de la nouvelle attraction de la Principauté de Laàs !

    Vous assisterez, après un vin d’honneur et le discours officiel, à un extrait de la Revue Gabrielle, le nouveau spectacle suggestif de la Troupe créée en 2015 par Myriam Delcroix, dans le style traditionnel du Cabaret burlesque.

    Cette troupe s’installe au Cabaret La Fourmi Rouge, à Laàs. 

     

    Réservez avant le 3 mars,  pour assister à l’inauguration... 

    Sur le site (Clic! réservez en ligne sur la fourmirouge.fr

     

    Ou par courrier :

    Palais de la Principauté

    Place de l’Église

    64390 LAÀS

     

    Ou par courriel :  bienvenue@lafourmirouge.fr

     

    En train depuis Orthez : 26 min.

    Route : A64 depuis Tarbes, sortie 8 ; depuis Bayonne, sortie 7.

    Avion : Pau  :  47 min.

                 Biarritz  :  1 h.

                  Tarbes  :  1h.

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    La Principauté de Laàs s’encanaille... modérément ! Et se renouvelle pour mettre en valeur ses 130 habitants.

    Nous souhaitons le meilleur succès à cette innovation et à sa table !

    La Table de la Fourmi, à côté de la salle de spectacles, est aussi la nouvelle adresse à visiter !

    Les horaires habituels après l’inauguration seront :

    Les vendredi et samedi en début de soirée à 19 h 30, pour le Pré-Show musical et le dîner, à La table de la fourmi, et à 22 h 30, lever de rideau de la Revue Gabrielle.

    Les dimanche, à 12 h, Pré-Show musical et déjeuner à La table de la fourmi, et à 15 h 30 le lever de rideau de la Revue Gabrielle.

     


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    L’âge d’or de la Perse - Yves Bomati

    L’épopée des Safavides   (1501 - 1722)

    Perrin   ;     3 févr. 2023 ;   448 p. ;   25€.

     

    L’âge d’or de la Perse   -   Yves Bomati

     

    Pour relire l’Interview d’Yves Bomati

     

    Présentation officielle : L’histoire des neuf Shahs qui ont fondé l’Iran moderne.

    Sophis, Safavides, Séfévides… Si les noms qui désignent cette dynastie sont nombreux, ce qu’elle accomplit est unique : entre 1501 et 1722, elle fait vivre à l’Iran l’âge d’or de son histoire. Après une période médiévale qui voit de nombreux empires éphémères régner sur une zone mal définie, les neuf Shahs qui se succèdent à la tête de la Perse pendant deux siècles parviennent à mettre en place un pouvoir fort et centralisé, à fédérer un territoire composite, à stabiliser les frontières face aux forces étrangères – essentiellement ottomanes et ouzbèques –, à redéfinir juridiquement les rapports entre les pouvoirs internes et, enfin, à imposer le chiisme comme religion d’État. Cet apogée est en grande partie dû au plus illustre des souverains de cette lignée, le grand Abbas Ier (1587-1629). Réformateur, administrateur, conquérant, il est également visionnaire : en choisissant de déplacer la capitale à Ispahan, il sait qu’il va faire de son empire une puissance importante sur le plan international. Et en effet, cette « moitié du monde » ouvre le pays aux échanges politiques, diplomatiques, commerciaux, religieux et artistiques. Alors quelles faiblesses précipitent la chute de la dynastie sous les assauts afghans au XVIIIe siècle ? S’appuyant sur de nombreux récits iraniens et occidentaux, Yves Bomati nous fait revivre deux cents ans d’histoire méconnue. Romanesque mais en rien romancée, cette synthèse retrace toute l’épopée des grands Sophis, l’héritage durable qu’ils ont laissé en Iran et leur imprévisible chute.


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    Son Espionne royale et le baron irlandais - Rhys Bowen

    Traduction : Blandine Longre    ;  tome 10 de la série ;

    La Bête noire  -  Robert Laffont ;   6 oct. 2022 ;   396 p.;   14€90.

    Son Espionne royale et le baron irlandais  -  Rhys Bowen

    Présentation officielle :  Une nouvelle mission pour Georgie : se marier à tout prix ! Entre Downton Abbey et Miss Marple, une série d'enquêtes royales so British !

    Irlande, 1934. Lady Georgie est sur un petit nuage : le beau Darcy O'Mara l'a finalement demandée en mariage. Mais rien n'est simple pour une princesse d'Angleterre... Georgie doit obtenir une autorisation de la reine pour épouser son fiancé. Avant même que les tourtereaux puissent officialiser leur union, une nouvelle épreuve se dresse sur leur chemin : le père de Darcy est suspecté de meurtre. Il est impensable pour une héritière royale d'épouser le fils d'un criminel ! Prête à tout pour innocenter son beau-père, Georgie décide de rejoindre le château familial des O'Mara... au risque de déterrer des secrets de famille bien cachés.


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    Au service secret de Marie-Antoinette - Frédéric Lenormand

    La Martinière  ;  Littérature de jeunesse, Policier ;  4 nov. 2022  ;  14€90.

    Suite de la série... Tome 8 : Crime et chat qui ment...

    Au service secret de Marie-Antoinette  -  Frédéric Lenormand

    Présentation officielle : À Versailles, les guerres de succession sont à la mode ! Quand un riche vieillard disparaît mystérieusement dans un incendie, ses héritiers jubilent. Pourtant, impossible de mettre la main sur son trésor ! Le seul à pouvoir les aider est un chat majestueux et hautain qui vivait avec la victime. Hors de question qu’il finisse entre de mauvaises mains ! Marie-Antoinette charge de sa protection sa modiste et son coiffeur – un duo d’enquêteurs amateurs, aux egos surdimensionnés, qui se chamaillent comme de vieux amants. Mais Rose et Léonard se retrouvent confrontés à une galerie de suspects hauts en couleur – sans parler du chat, qui a son petit caractère…

     


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  • La Rédaction

     

    Fréquemment, un certain de bêtises sont publiées par la clique qui diffuse des information fausses au sujet de Jean d'Orléans.

    L'un de ces articles a été rédigé sur le très connu magazine Causeur, du moins dans sa version en ligne. Nous vous invitons à lire cet article, puis à lire ci-dessous la réponse que nous avions faite. Notre commentaire a été supprimé. Nous n'en resterons pas là.

                   La performance de Frédéric de Natal sur Causeur

    La réponse de RoyautéNews a été vandalisée par... nous l'ignorons pour l'instant.

    RoyautéNews :

    Faisons remarquer quelques erreurs dans cet article, qui mérite un article chez nous plus consistant qu'un simple commentaire et qui viendra dès que possible. Il permettra aussi de répondre aux commentateurs.

    D'abord, on ne peut pas dire aujourd'hui, quand on connaît si bien l'existence des Bourbons, et en particulier de Louis de Bourbon, que Jean soit "le chef de la Maison royale de France". Nous le développerons amplement chez nous. L'article de Frédéric de Natal sur Causeur est bien sûr un plaidoyer militant, qui ramasse une partie des inexactitudes transportées dans presque tous les articles de presse écrits pour promouvoir, contre d'autres princes que lui, Jean d'Orléans.

    La loi d'exil a été abrogée en 1950, non en 1951 comme l'indique l'article, mais ce n'est pas le plus important.

    Ne citer que Jean d'Orléans au sujet des Gilets Jaunes... est plus grave car c'est omettre volontairement que deux princes ont soutenu les Gilets Jaunes : Henri d'Orléans, précédent Comte de Paris, père de Jean, et le Duc d'Anjou, Louis de Bourbon. C'est un raccourci intéressé pour attirer la sympathie du lecteur.

    Les Princes d'Orléans portent le titre de Comte de Paris, qui n'est pas, et ne peut être... un "titre de courtoisie", comme notre site, RoyautéNews, l'a déjà clairement expliqué. Cette erreur volontaire méritera un jour des approfondissements.

    Dire que la République "le tolère" est faux, car la République respecte ce qui ne relève pas de sa compétence. Reconnaissons à la République ce mérite.

    Précisons, avant de parler de "sa voix" dans le grand public, et bien que Jean d'Orléans soit sympathique de sa personne, comme l'était son père, il faut dire que son livre, Jean de France, un prince français cité dans l'article, certainement plein de bonnes idées à l'époque, a été écrit, et ce n'est pas un mystère, par de nombreux contributeurs, spécialisés dans leur domaine.
    Le lobbying fait autour de Jean d'Orléans est simple : tenter d'entretenir auprès d'un public bien restreint, l'illusion d'un nom pour le cas où... Mais depuis des décennies, ces deux princes, père et fils ont laissé passer leur chance de marquer d'un jalon crédible l'histoire des solutions de réserve.

    Enfin pour ce commentaire, les lecteurs doivent savoir que la posture de Jean d'Orléans critiquant "un mode de gouvernement qui se coupe des Français", est une acrobatie, son père n'ayant eu de cesse de soutenir tous les gouvernements ultra-libéraux les plus éloignés de la personne humaine, et qui ont construit la situation actuelle qui n'en est qu'un aboutissement.


  • La Rédaction

    Cet article est dédié à la belle Thaïs

     

    Nous voici, avec le 6 février 34, à l'une des sources de la Droite dure, qui se veut, dopée à la protéine de synthèse, celle qui gagne, si souvent et plus qu’à son tour, se méfie des penseurs et n’a garde d’en susciter, celle de la Droite nationale, de la Droite patriotique, et des nationaux-patriotes, du Patriotisme national, du nationalisme patriotique inspirationnel, toutes Droites inspirées, de cet art si magiquement couillon.

    Si l'on nous dit que le Colonel de La Rocque fut trop critiqué, à tort, Accordé ! Nous voulons bien le croire. Parmi les différents cafouillages de la journée, nous ne savons plus quel responsable des mouvements "jeunes", refusa ou plutôt, ignora l'appel à rejoindre les abords de l'Assemblée, ou quelque chose comme ça. Cette histoire n'est pas la nôtre, et n’ayant lu que fort peu là-dessus, elle est très loin de nous avoir passionné, d'autant qu'à cette époque, la vie était en noir et blanc et que les hommes s'habillaient (déjà) comme des manches.

    Ce qui est certain, à Droite, c’est la querelle des coqs de village, et César voyait loin.

    Mais trève de critiques sur les Droites. On connaît notre opinion, elle n’est pas à refaire. Nous, nous ne trompons personne, et ne volons aucune espérance.

    (Cet article est en cours d’écriture) ( 6 fév. 2024 ; ça y est, il est fini maintenant )

    Cherchons plutôt comment dégager quels enseignements on peut en tirer.

    Le 6 février, plus que sa tentative échouée dans cette fameuse journée de renverser le gouvernement, va marquer jusqu’à ce jour où nous sommes et pour longtemps encore la Droite patriotique, car il va fédérer, dans leurs forces respectives, toutes négatives d’ailleurs, les différents mouvements, de nature fort différente qui ont animé l’Entre-Deux-Guerres. Il est le moment où fusionnent des aspirations, peut-être parfois contraires et c’est le moins important, mais toujours opposées à leur objectif initial, et les déchirures de la 2nde Guerre Mondiale feront par-dessus des ravages qui ne seront pas les derniers. 

    Mais surtout, cette fusion, cette confusion rendent impossibles à réaliser les objectifs qui agiteront ensuite les esprits les plus remuants.

    Entre les deux composantes, il faut choisir :

     - La Droite, qui veut toujours améliorer, et n’a que des objectifs à très court terme. Qui croît toujours mieux faire, et répugne au changement. 

    Ou la monarchie - la vraie, cela va sans dire - qui plus qu’avant le 6 février, ne sait plus où elle habite, ne sait plus ce qu’elle veut, et produit de ces royalistes beaucoup plus de Droite que monarchistes, et de ces royalistes qui veulent la monarchie et prient Dieu qu’elle ne vienne jamais ni qu’elle dérange leurs habitudes.

    Même dans la paix, le vrai royalisme à la française ( 6 fév. 2024 : nous voulions dire, qui n'existe pas encore) ambitionne, et obtiendra le changement. C’est un métal qui ne peut s’allier.

    La Droite, nationale, pour l’appeler ainsi en résumé et parce qu’elle se situe et se dénomme ainsi - et là nous ne parlons (même) pas des partis, des personnes qui les animent, mais des idées et des courants d’idées - est une des marionnettes de la Farce du Système. Après l’avoir été de la République. Elle est et restera, même pour la République, un moteur à perdre si ce n’est dans sa vocation prêtée au Système de le seconder en sous-traitant le parti des râleurs et en éteignant, ou rendant inoffensives, leurs alertes. Comme les syndicats de Gauche, et aussi certains partis de Gauche, pour leurs publics respectifs le font à leur manière.

     

    Ces deux trucs devront se séparer, pour réussir quelque chose, et couper avec d’autres influences qu’il serait trop long ici d’expliquer.

    N’étant ni de l’un, ni de l’autre, ni de ce mélange qui jusqu’ici n’a jamais  fait un tabac, pour RoyautéNews le conseil n’en sera que plus encore gratuit.


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  • La Rédaction

     

    Extraite d’Internet, et vue sur Twitter.

     

    Ça porte un nom : une dictature qui va (enfin) finir très mal, au-delà de ce qu’elle imagine.

    Non, ce n’est pas la dictature qui va finir très mal. On croirait, à cette formule, innocente pour nous, que nous serions, même si peu, infectés du virus du Système.

    Ce sont les dictateurs, et leurs soutiens. Qui vont finir très mal, très mal pour eux, cela va sans dire. 

    On vous rembourse si ça prenait trop de temps à se fêter.

    Toute ressemblance avec un projet désiré de renversement du Système avec perte et désolation pour ses tenants, serait fortuite. Par le fait d’un hasard qui n’existe pas, et sachant que le hasard est la somme de...

    Toute assimilation avec une menace sérieuse pour le gouvernement de l’État français tomberait juste, et qu’il tombera tout court, et c’est bien ainsi qu’il faut l’entendre. Mais c’est bien plus qu’une menace : une chronique du Temps qui va, inéluctable, fascinant, en cours de développement... Qui échapperait à son destin ?..


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  • La Rédaction

     

    Le cas des Retraites, et on pourrait le dire du système de santé et de tant d’autres secteurs, cruciaux pour tout le monde mais pas au même titre,  est un supplément flagrant de ce que l’on subit depuis toujours, le sport national, attisé par des pratiques de "débat" hors de sens du milieu politique et qui débordent sur le débat de la société, rompu à son rythme et à ses vices, et se résume par : s’écouter braire.

    En ce concerto où nul ne se concerte, on n’entend non plus sinon pagaille et discours mal sonnants dont le niveau montre qu’on n’en avait pas prévu. Si ces secteurs étaient bien gérés, selon le jargon qui donne envie de donner son compte à la "démocratie", on passerait sur la jaserie, et encore non, car bien ou mal conduits, ces secteurs sont le prétexte à enserrer le ci-devant citoyen dans un permanent et révoltant carcan fiscal.

    Pour en finir entre autres avec l’obligation de subir des bienfaits sociaux choisis et formatés par d’autres qui y trouvent compte et établissement ; et bénéficier enfin d’une agora dans la cité, sur les thèmes qui l’intéressent dont pour l’instant la discussion est exclusivement préemptée par les politiciens et leurs ouailles, il faudrait (supposition technique) : enfin, dépolitiser l’espace public.

    On le voit, les raisonnements, les arguments que se partagent les Français sont exclusivement teintés de réflexes éculés, déportés du registre militant de bas de gamme, et la nature, qui devrait être exclusivement technique dans des sujets d’intérêt commun, se voit expulsée au profit de slogans. 

    Ces questions majeures ne devraient pas appartenir au champ politique. Comme personne, et pas seulement les chapelles, ne le veut, ni même ou surtout, ne le peut comprendre, tant profondes sont les habitudes, il ne restera, par nécessité, que d’abattre le Système. C’est, en plus de toutes les autres raisons, une bonne.


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    Les grands ministres des Habsbourg  -  Jean-Paul Bled

    Perrin   ;   paraîtra le 2 mars 2023  ;    368 p.;   24€.

    Présentation officielle rectifiée par RoyautéNews : La grandeur de l'Autriche est d'abord l'œuvre de ses souverains, les empereurs qui se succédèrent de 1450 à 1918. Mais ceux-ci n'auraient pu accomplir leur mission sans le concours des ministres qui les assistèrent. C'est toute l'originalité de ce livre qui propose neuf portraits de grands serviteurs de l'État habsbourgeois. Il commence à la fin du XVIIe siècle quand l'Autriche accède au statut de grande puissance européenne après les victoires sur les Turcs et la reconquête de la Hongrie qui forme dorénavant un ensemble compact avec le noyau austro-bohémien. Il s'ouvre avec la brillante figure du Prince Eugène de Savoie. Puis viennent le Prince Wenzel Anton von Kaunitz, le principal collaborateur de Marie-Thérèse et le père de l'alliance avec la France de Louis XV ; le Prince Klemens Wenzel von Metternich, le vainqueur de Napoléon ; le Prince Félix zu Schwarzenberg, le restaurateur du pouvoir monarchique après la révolution de 1848 ; Alexander von Bach, la figure emblématique de l'ère néoabsolutiste ; le Comte Friedrich Ferdinand von Beust, l'artisan du compromis austro-hongrois de 1867 ; le Comte Eduard von Taaffe qui pratiqua une politique des compromis permanents, la mieux adaptée à la nature pluraliste de l'Autriche-Hongrie ; le Baron Max Wladimir von Beck, le dernier grand ministre de François-Joseph, qui fit voter l'adoption du suffrage universel. Cette galerie s'achève avec le Premier ministre hongrois, le Comte Istvan Tisza, partisan résolu du dualisme dont la mort en octobre 1918 coïncide avec l'effondrement de la double monarchie.

    Les grands ministres de Habsbourg  -  Jean-Paul Bled


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