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Royauté-News contre la pomme de terre OGM et contre tous les OGM
Elle s'appelle Fortuna. Rebaptisons-la Infortuna. Dès maintenant refusons-la, interdisons-la, faisons pression sur les autorités de chaque pays européen, qui peuvent ou non l'accepter.
Que la première pomme de terre OGM n'arrive jamais dans les assiettes. Boycottons-la, arrachons-la, empêchons toute plante OGM quelle qu'elle soit.
Muni d'autorisation s'il l'obtient des autorités européennes, le groupe chimique allemand BASF pourrait fournir alors comme il le prétend l'alimentation humaine et animale en Europe au moyen de ce tubercule. Empêchons-le d'envahir les casseroles.
Il s'agit d'une question morale, et avant, bien avant, toute autre considération.
Rappellons que, par exemple, les Français, à 87 % sont opposés aux OGM. Une majorité qui ferait rêver debout comme en songe, tous les politiciens de carrière.
Que la frite soit avec nous.
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Commentaires
Bonjour Michel,
En effet, avec les OGM, on peut tout.
On peut détruire la biodiversité.
On peut contourner toutes les maladies (et donc en implanter de plus virulentes pour continuer de faire de l'argent).
On peut contrôler des villages, des communautés, des villes, des pays entiers (demandons à Monsanto avec son superbe coton).
On peut promettre tant et plus, donc séduire n'importe quel politique. Sinon coment des groupes aussi controversés auraient-ils pu continuer ainsi leur activité ?
Décidément, une prise de conscience globale de ce contrôle, de cette perte de liberté progressive s'impose, sinon nous deviendrons tous des moutons à court terme.
Car ce qui se voit (les plantes) cache peut-être bien ce qui ne se voit pas (les virus et autres bouillons de culture de nos grands groupes pharmaceutiques)
Bon Dimanche, et à bientôt j'espère !
Minéraline
6TR lSamedi 30 Mars 2013 à 06:01Certes tous les OGM ne présentent pas les mêmes risques, mais il y a tout de même une liste impressionnante :
- risque direct pour nous en cas de consommation pour certains végétaux (des essais sur un maïs OGM, par exemple, l'indiquent);
- risque indirect lorsque la qualité recherchée est de supporter plus de produits chimiques sans mourir : cela signifie qu'il y aura vraisemblablement plus de ces produits chimiques et de leurs dérivés dans nos assiettes...
- risque écologique de dissémination des semences dans la nature, où elles pourraient se comporter en espèces invasives et supplanter des espèces naturelles;
- enfin, une dépendance économique totale des agriculteurs envers les semenciers, alors que même sans être physiocrate, on comprend bien qu'il est vital que les agriculteurs puissent réutiliser librement leurs semences, il y a d'ailleurs eu récemment une loi scandaleuse sur la question.
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Que notre infortune ne passe pas par fortuna et que personne n'y fasse fortune... :-)