• Aristote Onassis - François Forestier

    Michel Lafon ;  26 janvier 2006 ;  330 p.;  20€.

    Présentation officielle : Il voulait tout : l’argent, les femmes, le bonheur. Il a tout eu, même son paradis privé et la veuve la plus célèbre du monde. Puis plus rien n’a compté : son fils s’est tué, sa fille perdait le goût de vivre, il s’est laissé mourir dans son île de Skorpios. Son dernier ami était un chien perdu. Aristote Onassis a été LE Grec : flamboyant, séduisant, irritant. Petit gamin réchappé du massacre de Smyrne en 1922, il a possédé des centaines de bateaux, a chassé la baleine, a été le King de Monaco, a failli mettre la main sur le pétrole d’Arabie Saoudite. Deux femmes l’ont fait entrer dans la légende : la Callas qui l’a aimé à en mourir et Jackie Kennedy, qui l’a fait payer, payer, payer, avec rapacité. Rival obstiné de Niarchos, bête noire de JFK, sur son fabuleux yacht, le Christina, il traitait ses amours comme ses affaires au milieu d’un monde de haine, de fortune et de célébrité.

    Aristote Onassis - François Forestier


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  • Leur sixième sens : les animaux sont-ils plus sensés que nous ? Marie-Claude Bomsel

    Michel Lafon ; 9 février 2006 ; 242 p.;  19€.

    Présentation officielle : Lors du tsunami de la fin 2004, nous avons tous été frappés par le fait que les bêtes dites « sauvages » avaient pressenti l’événement et s’étaient enfuies aussitôt. Les animaux posséderaient-ils un sixième sens ? Marie-Claude Bomsel parlerait plutôt de sixième, septième, huitième sens et au-delà, tant leurs prouesses sont stupéfiantes. Mais attention ! N’allez pas prêter à ces bêtes des pouvoirs magiques ! Vous voulez savoir comment un chien retrouve tout seul la tombe de son maître, comment le saumon revient à sa rivière de naissance après des mois de voyage, par quel moyen le dauphin paralyse ses victimes sans même les toucher tandis que l’aigle martial repère un lapin à plus de mille mètres de distance ? Lisez ce livre. Vous verrez : la réalité « naturelle » dépasse de beaucoup nos fictions, et se révèle bien plus fascinante. Et arrêtez de dire que la carpe est muette : ce n’est même pas vrai !

    Leur sixième sens - Marie-Claude Bomsel


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  • Les Princes de la mer - Philippe Delorme -

    Bartillat ; paru le 4 Mai 2006 ; 382 p.;  20 €.

    Les Princes de la mer - Philippe Delorme


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  • Napoléon en 1812 : Souvenirs du Général Soltyk - Roman Soltyk

    Le Livre chez vous ; paru le 28 Février 2006 ;  328 p.;  35 €.

    Présentation officielle : Les souvenirs militaires du comte Roman Soltyk ont paru pour la première fois en 1836. L'auteur y est présenté comme "général de brigade d'artillerie polonaise, officier supérieur à l'état-major de Napoléon". Il dédie ses mémoires à ses "frères d'armes" français de la Grande Armée ; exilé suite à l'établissement du "despotisme russe" en Pologne, il prend la plume pour "payer son tribut à l'histoire, en consignant dans une relation fidèle les faits que ma position personnelle m'a permis d'observer". En effet, le jeune officier Roman Soltyk (né en 1791) avait été bien placé pour remplir cette tâche : en 1812, pendant l'expédition de Russie, il était chef d'escadron du 6e régiment de lanciers polonais, puis aide de camp du général Sokolnicki attaché à l'état-major impérial. L'avancement de Soltyk avait été assez rapide, favorisé il est vrai, par le prince Poniatowski : élève de l'Ecole polytechnique de France, il avait fait la campagne de 1809 à la tête d'une compagnie d'artillerie légère et reçut le grade de chef d'escadron en 1811. Sa relation de la campagne de Russie est différente de celles des officiers français à plus d'un point : Soltyk juge les événements en tant que Polonais et les interprète parfois différemment, tout en restant objectif dans ses descriptions des opérations militaires, dont il donne beaucoup de détails. Son récit est truffé d'anecdotes, dont la plupart lui sont personnelles, mais on y retrouve, au fil des pages, plusieurs grands personnages de l'entourage de l'Empereur, y compris des généraux polonais. Il rapporte plusieurs propos de Napoléon lui-même, ce qui ajoute de la valeur à ses souvenirs, qui se classent parmi les meilleurs dans la littérature abondante du Premier Empire.

    Napoléon en 1812 : Souvenirs du Général Soltyk


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  • Albert II de Monaco ; Les surprises du prince - Philippe Delorme -

    Michel Lafon ;  paru le 13 Juillet 2006 ;  261 p.;  18 €.

    Que savait-on de lui, avant qu’il ne devienne prince souverain à la mort de Rainier III, en 2005 ? Qu’il avait fait ses études primaires au lycée Albert-Ier de Monaco, fréquenté les meilleures universités américaines, et restait dans l’ombre de son père, patron incontesté du Rocher. Allait-il pouvoir assurer cette lourde succession ? En un an, « le doux Albie » s’est chargé de répondre à cette question, en changeant radicalement de cap avec une ferme et calme autorité. Une meilleure prise en charge de l’environnement, davantage de transparence économique, un vrai souci de l’humanitaire et, sur le plan privé, des surprises décoiffantes ! « Ecolo » et sportif, il est le premier chef d’Etat au monde à atteindre le pôle Nord, au printemps 2006, histoire d’alerter l’opinion sur le réchauffement de la planète. Discret en amour au point qu’on a cru qu’il n’aimait pas les femmes, le voilà qui reconnaît coup sur coup deux enfants et annonce qu’il va se marier ! La ravissante championne de natation qu’on voit de plus en plus en sa compagnie fait rêver les amateurs de contes de fées. La tradition monégasque est sauve : la beauté et la grâce y sont toujours les bienvenues.

    Albert II de Monaco ; Les surprises du prince - Philippe Delorme

    Lire aussi, à suivre : Les Princes de la mer, de Philippe Delorme


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