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Mensonge de l'État sous prétexte de CoVID : le cri de Francis Lalanne
La Rédaction
Le cri de Francis Lalanne est une merveille, une bénédiction sucrée en ces temps noirs. Il est aussi une bombe. Il a dit, il a tout dit, et ses propos collent à ce que nous dénonçons ici depuis si longtemps. Et en particulier depuis le début de la crise du CoVID.
Il est très vraisemblable que l'intervention de Francis Lalanne ait pesé sur le recul du pouvoir au sujet du nouveau confinement qui devait être décidé cette semaine, se couplant avec les vacances scolaires.
Pour nous, c'est bien sûr la destitution du chef de l'État, mais aussi de toute fonction publique de ceux qui ont servi la cause de l'Infâme. Ils devront, tôt ou tard, être écartés.
Effectivement, les députés ont été écartés de tout contrôle. Au moyen du "conseil de défense", ce coup d'État dans l'État. Nous le répétons depuis des années, la France est un pays totalitaire, une dictature complète, sans recul.
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Et il faut mettre en place les moyens politiques, afin que les mêmes, avec d'autres noms, d'autres masques, d'autres partis... ne reviennent jamais !
Tags : Francic Lalanne, FranceSoir, Dictature, Covid-19, Coronavirus
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Commentaires
2TRVendredi 29 Janvier 2021 à 18:32Et maintenant, Roselyne Bachelot menace France Soir pour avoir osé publier ce cri d'alerte!
Montrant ainsi que les subventions à la presse servent en fait, avec l'argent du contribuable, à imposer la ligne politique d'une clique à toute la presse, et non à assurer sa liberté.
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Samedi 30 Janvier 2021 à 09:38
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Francis Lalanne est l'une des rares personnalités qui osent exprimer une pensée réellement indépendante. Et il tombe juste.
Et son propos est partagé par une masse pour l'instant silencieuse.
Que le pouvoir en tienne vraiment compte, ce sera pour lui un gage de survie, sinon politique...
C'est seulement en raison de cette prise de conscience, à un an de la course présidentielle, que Delfraissy a été fraîchement "recadré", selon le vocabulaire facho aux normes, employé par les médias aux ordres.
Quant aux Attal, Véran et autres dangereux, la poussière des prochaines révoltes insurrectionnelles de haute intensité, organisées, parées, les emportera au vent d'une colère qui ne cessera pas.