• L'iode et le risque nucléaire

    La Rédaction

     

    Nous l’avons dit, nous y reviendrons : nous soutenons sans réserves Vladimir Poutine et la Russie. La volonté du chef de l’État russe de tenir à distance le cancer OTAN ne peut, ne doit que rassurer les européens de l’Ouest qui ne veulent pas demeurer otages de la première puissance voyou du globe, qui fomente partout guerre et coups d’État depuis des décennies, qui déstabilise la sécurité économique et financière du monde et impose ses volontés à travers les institutions européennes qu’ils ont forgées et dont les Peuples ne veulent pas : de qui s’agit-il ? Des États-Unis!

    Cet article et les autres s’inscrivent dans notre vision pragmatique : envisager les perspectives de survie, contribuer à permettre que ceux qui vivent puissent subsister, se survivre, après les folies irresponsables de ceux qui dirigent. La menace ne date pas du 24 février et n’a pas pris racine avec les opérations d’Ukraine. « L’Ordre International » a placé le monde depuis des années sous tutelle de toutes les manières, et sur les plans politique et économique, en cessation de paiement, ainsi que sous un risque fulgurant de catastrophe environnentale et d’effondrement généralisé, cumulant tout les maux.

    S’il n’y avait que cela, on considèrerait à juste titre que, même s’il n’existait pas de dictature à l’échelle mondiale, appuyée de ses antennes locales, on subirait déjà une insupportable et totale dictature par les risques démentiels que nous fait supporter cette espèce nuisible qui rassemble ceux de la scène politique, et les factieux qui s’activent à des tâches moins visibles, ou opèrent dans l’ombre.

    Pour revenir au thème de cet article, celui-ci ne se fonde pas sur le risque à dessein mis en avant par les médias blêmes, les médias de propagande qui l’utilisent pour attaquer Poutine et faire de lui le coupable d’un conflit nucléaire. Même si cette issue rendue possible par les actes et les propos, destinés à envenimer la situation, de tous ceux que nous venons de citer et qui ont intérêt à la guerre, hypothèse à prendre en compte et il faut se prémunir, hypothèse dont Poutine ne veut pas.

    Ce risque de conflit nucléaire existe par toutes les raisons qu’il se produise, et d’abord, par lui-même.

    _______

     

    Sur Internet, source non consultée, contenu mis en avant (comme tous les contenus officiels de propagande) : « Quelle iode en cas d'accident nucléaire ? Les comprimés d'iode préconisés en cas d'accident nucléaire, dosés à 65 milligrammes (mg) (50 mg d'iode), sont pour la plupart fabriqués en France par la Pharmacie centrale des armées. Le laboratoire français Serb dispose également d'une autorisation de mise sur le marché pour ce médicament depuis novembre 2021.18 mars 2022 »

     

    Internet, même type de contenu,  indique en outre qu’on peut se procurer des pastilles d’iode auprès d’une pharmacie en fournissant une pièce d’identité... On en revient toujours au même. Chantage, flicage, et abus de pouvoir, de nouveau !

    Reporterre indique qu’il y a eu une forte demande en pharmacie, en France, depuis le début des événements d’Ukraine. Leur article souligne à juste titre que la prise d’iode par précaution est « inutile, et au pire, dangereux. »

    L’avis de RoyautéNews. RN 2 et la Rédaction

    Les pharmacies actuellement cherchent à freiner tout ce qui est bon pour la santé.

    50mg (milligrammes : millièmes de grammes, donc cela fait 50.000 microgrammes) c'est énorme, l'apport quotidien recommandé est de 150µg (microgrammes). Reste à savoir si c'est biodisponible. Mais a priori c'est à prendre uniquement en cas d'accident (centrale) ou de bombardement nucléaire, pour saturer la thyroïde en iode non radioactif, et éviter qu'elle absorbe de l'iode radioactif. C'est toujours bon à avoir chez soi cependant. Attention, l’iode tache. Les Granions d'iode en ampoules sont très bien mais chers ! Les moules, les fruits de mer en général, et le jaune d'œuf en principe, contiennent de l'iode.

    Si on n'a pas de problème de thyroïde on peut en prendre une tablette, puis une autre deux jours après, le corps l'élimine. Attention, l’iode tache (y compris l'urine), et c'est indélébile.

    Il faut éviter de prendre de l’iode avant le bon moment. Parce que précisément, on ne sait pas quand passe la partie du nuage concernée. Même à proximité.

    Si on en a pris "trop tôt", la thyroïde n'est plus tout à fait emplie au moment du passage du nuage nucléaire chargé d’iode radioactif mais il s'en fixe beaucoup moins que si on en prend "trop tard" parce qu'alors, potentiellement la thyroïde était presque dépourvue d’iode au moment du passage et on en fixe énormément. Mais si on est sujet à certains problèmes de thyroïde, l'excès d'iode (une tablette) peut amener des désordres graves.

    S’informer, si possible, si l’on est en déséquilibre thyroïdien, pour connaître la présence d’iode radioactif à proximité avant d’absorber des capsules d’iode.

    Un militaire, spécialiste en techniques de survie, et dont nous vous reparlerons très certainement, indique que, « lors d’une frappe nucléaire, des radionucléides sont disséminés dans l’espace, parfois sans la présence d’iode radioactif ». D’où une nouvelle raison de se tenir informé si l’on a capacité de communiquer.

     

    Accessoirement notre article de 2013 sur l’iode ( Clic )


    Tags Tags : , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment



    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :