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L'ennemi public n° 1
La Rédaction
Détecter cet ennemi, est le principe de cet éditorial.
La société est un sport collectif et dangereux... Ce soir nous ne remonterons pas le titre, déjà utilisé plusieurs fois : La Prise de la pastille... Les Français y sont abonnés en permanence chaque jour, et à dose intense. Nous ne dirons pas non plus, ce n'est pas le sujet du jour, que la République est usée jusqu'à la corde, et que tout ce qu'elle engage, dans l'ordre pratique, n'est plus grippé, mais inerte, frappé de mort définitive. L'emploi, la prospérité, sont des mythes des vieux âges... Il s sont si anciens qu'on ne sait plus s'ils ont eu réalité.
De plus en plus on entend, dans des milieux ordinaires, volontiers dans les milieux musulmans (plus éveillés sur la réalité du temps que les Français d'origine, à la vivacité enterrée sous les strates de décennies broyeuses), ceci (en substance) : « Ils attendent la rentrée pour recommencer, avec leur virus... pour tout boucler encore plus... on ne sait pas où on va, c'est de pire en pire ».
Alors, cet ennemi ? C'est le Système. Pas la République, en tous cas, ce soir: certes elle s'identifie parfaitement au Système, elle l'a d'ailleurs produit ; mais on ne fera pas dire à cet éditorial ce qu'il ne dira pas : qu'à la république il suffirait de substituer une monarchie... Ceux qui croient en une monarchie future, surtout prochaine, sont à l'Ouest. Impossible en l'état des choses présentes, et non souhaitable, tant qu'on n'aura pas curé les écuries d'Augias; la monarchie n'est ni une solution en elle-même, elle n'est qu'un instrument et son utilité se juge selon les mains qui l'utilisent. Regardons les monarchies actuelles d'Europe : le plus sûr appui du Système broyeur aux mains de ceux qui détruisent scientifiquement nos libertés, nos ressources, nos moyens, notre indépendance, notre espoir. Notre avenir.
L'apparition du virus, accidentelle, ou non, n'a pas d'importance. S'il est apparu par erreur, c'est en tous cas qu'il pouvait apparaître ; mais le Système, lui, était prêt : depuis dix à quinze ans, il se préparait déjà, lors des précédents virus, certains laboratoires étaient prêts... lors de leur apparition ou presque. Il suffit de lire la presse. Le virus est un prétexte, prévu, pour cadenasser la société plus encore qu'elle ne l'était déjà et définitivement.
Il reste deux ans, en gros, avant l'échéance-pantalonade de 2022... Pour tenter d'éviter d'être de nouveau roulés dans la farine, enfermés devant la campagne de clones formés pour les mêmes orientations clones et tueuses.
Inutile de dire que c'est un combat hors de prise et qui ne réussira, en 2022 ou sitôt après (c'est-à-dire avant 2027) qu'avec un moyen similaire à celui des marcheurs. Ceux qui partagent notre avis n'ont pas d'amis, dans la sphère politique. Les forces sont à constituer. A partir de (presque) zéro.
Répercutez cela dans votre entourage. Pas en vrac vers tous vos contacts, mais vers ceux qui réfléchissent. C'est ainsi que le somnambule élyséen a vaincu en 2017, par ses marcheurs, dont l'effort incontournable pour leur réussite même si le candidat - avant même de l'être - avait reçu des signaux de la presse aux ordres, un Richard Ferrand qui a lancé la marche, et, paraît-il, 17 millions en provenance de la City. N'attendez pas qu'un chef vienne lancer le signal de la saoulerie gauloise pour déterminer vos mouvements. Agissez. Maintenant. Votre voisine de palier fera l'affaire, pour commencer.
Ça, c'était l'objectif à déterminer ainsi que la forme. Quant aux moyens pour agir et faire entendre notre cri, cela suivra, bien assez tôt. Mais n'attendez pas de recevoir en kit ce que votre sagacité devra inventer, à ajouter à d'autres. Fermons déjà tous les contacts entre nos personnes et le Système.
Tags : virus, éditorial
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