• La Rédaction

    Un auteur cantalien, Gandilhon Gens d'Armes, un des rénovateurs du Félibrige, consacrait après la Première Guerre Mondiale un sonnet à Emile Fayolle.

    Le Maréchal Fayolle  (2)

     

    Le Maréchal Fayolle

    Cédant à cette loi qui veut qu'on se repose,

    Triste, croyant fini son rôle de soldat,

    Sur sa terre d'Auvergne, il cultivait des roses,

    Quand l'orage guerrier sur la France éclata.

     

    Alors un Feu profond emplit ses yeux moroses.

    Il se mit corps et âme aux ordres de l'Etat,

    Et, que sa tâche Fût terrible ou grandiose,

    Impassible et tenace et lucide, il lutta.

     

    On lui dit : « Il faut vaincre.» Il vainquit sur la Somme !

    « Briser l'attaque en Italie.» Il la brisa !

    « Ecraser l'âpre assaut de quatre cent mille hommes

    « Se ruant sur Paris. » Fayolle l'écrasa !

     

    Mais ce Cincinnatus  hait les apothéoses :

    L'Auvergne l'a repris ; il cultive ses roses.

                                         Gandilhon Gens d'Armes

    Le Maréchal Fayolle  (2)


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  • La Rédaction

    Il est un des grands oubliés de l'Histoire, qui a retenu facilement les noms de Joffre et de Foch, ainsi que celui de Pétain.

    Pourtant, trois autres grands chefs parmi d'autres ont, non seulement illustré le 1er conflit mondial mais ont permis la Victoire : le Maréchal Franchet d'Esperey, le Maréchal Fayolle, et le Général de Castelnau.

    Ce dernier, adjoint du Général Joffre, a été laissé pour compte dans les nominations de Maréchaux, selon de très nombreux observateurs, en raison de son appartenance connue au Catholicisme.

    Plusieurs rues ont été baptisées en France du nom du Maréchal Fayolle, le vainqueur de la Somme. 

    Par la famille des industriels Pingeot, le  Maréchal Fayolle est l'aïeul de Mazarine Mitterrand Pingeot.

    Originaire de Haute-Loire, il résida au village de Saint-Geneys-près-Saint-Paulien, qui a baptisé une maison du nom de château du Maréchal Fayolle.

    Le Maréchal Fayolle

     

    En lien avec notre commentaire à l'article consacré au livre Castelnau, le quatrième Maréchal

     et avec Sonnet au Maréchal Fayolle.


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  • La Rédaction

    L'historien Jean-Pierre Babelon s'est vu dédier un ouvrage intitulé Mélanges en l'honneur de Jean-Pierre Babelon. (2014)

    Ses textes ont été réunis par Isabelle Pébay-Clottes et Jacques Pérot, de la Société Henri IV créé par Jean-Pierre Babelon.

    Henri IV en 1605

    Château de Pau, Société Henri IV ; 311 p.;  oct. 2014.

    Ont contribué à cet ouvrage : Guillaume d’Abbadie, Bernard Barbiche, Jean-Paul Barbier-Mueller, Jean-François Bège, Yves-Marie Bercé, Bernard Berdou d’Aas, David Buisseret, Jean Castarède, Grégory Champeaud, Philippe Chareyre, Philippe Charlier, Anne-Marie Cocula, Hugues Daussy, Christian Desplat, Alain Dufour, Stéphane Gabet, Alexandre Gady, Janine Garrisson, Chantal Gastinel-Coural, Michel Laclotte, Madeleine Lazard, Claude Menges-Mironneau, Paul Mironneau, Claude Mignot, Isabelle Pébay-Clottes, Jacques Perot, Nicolas Sainte Fare Garnot, Eric Thierry, Mario Turchetti, Jean-Marc Vasseur.


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  • Henri IV roi de cœur   -   Jean-Paul Desprat

    Tallandier ;   27 sept. 2018 ;  668 p.;   27€90.

    Jean-Paul Desprat - Henri IV.


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  • Histoire des crétins des Alpes  -  Antoine De Baecque

    Vuibert   ;   21 août 2018 ;  288 p.;    24€90.

    Présentation officielle : « Crétin des Alpes ! » Avant d’être l’une des insultes préférées du capitaine Haddock, l’expression désigne un état prononcé de dégénérescence physique et mentale, éradiqué depuis les années 1920.

    Le crétinisme est l’objet d’un débat de santé publique essentiel au XIXe siècle, suscitant une « science de l’Alpe » qui pose exemplairement la question du « grand renfermement des corps » hantant le travail de Michel Foucault. Le crétin est aussi une victime, dont le sacrifice est un scandale silencieux. Il devient le cobaye de toute sorte d’expériences, pédagogiques et chirurgicales, généralement inutiles, et a été longtemps laissé dans un état débile et difforme.

    Sa revanche – une forme étonnante de fierté crétine – advient peu à peu par le travail de l’imaginaire collectif, qui en fait désormais l’un des emblèmes paradoxaux de l’identité alpine. C’est ainsi que les crétins ont, de multiples façons, tendu un miroir à la bien-pensance, ce que dévoile ce brillant essai d’histoire sur le pathétique ordinaire des « anormaux ».

    Résultat de recherche d'images pour "Histoire des crétins des Alpes"


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  • Madame de Maintenon   -   Alexandre Maral

    Belin ;  12 sept. 2018 ;   416 p.;  2€5.

    Présentation officielle : Comment la veuve Scarron en vint à épouser le Roi Soleil

    L'histoire de Françoise d’Aubigné, épouse Scarron puis marquise de Maintenon, évoque ces contes de fées où les bergères épousent des rois. Elle constitue sans doute l’exception la plus spectaculaire à la règle des barrières sociales de l’Ancien Régime. Entrée dans l’histoire par la porte de service, Françoise y accomplit l’une des plus fabuleuses aventures du XVIIe siècle. Son éducation, son premier mariage, son veuvage, sa rencontre avec Mme de Montespan, ses premiers contacts avec la cour, sa mission auprès des bâtards royaux, l’affaire des Poisons ont été autant d’étapes sur le long chemin, que rien ne laissait prévoir, de l’incroyable ascension qui devait la rapprocher de Louis XIV, au point qu’elle finit par épouser le plus grand roi de l'époque, au faîte de sa puissance et à l’apogée de son règne.

    L'histoire de Madame de Maintenon s’envisage ici moins comme le portrait d’un caractère, d’une personnalité, d’un destin, que comme l’étude et l’exploration de l’époque à laquelle il a appartenu, de la société qu’il a fréquentée, des liens qu’il y a noués. La prodigieuse ascension de cette personnalité d’exception s'explore par l'analyse de son réseau de relations sociales, soigneusement constitué pendant son premier mariage et son veuvage, mais aussi le fonctionnement de la Cour : un nouveau système prêt à admettre ce type de profil social, qui évoque certains grands serviteurs de l’État.

    Madame de Maintenon - <p>L'histoire de Françoise d’Aubigné, épouse Scarron puis marquise de Maintenon, évoque ces contes de fées où les bergères épousent des rois. Elle constitue sans doute l’exception la plus spectaculaire à la règle des barrières sociales de l’Ancien Régime. Entrée dans l’histoire par la porte de service, Françoise y accomplit l’une des plus fabuleuses aventures du XVII<sup>e</sup> siècle. Son éducation, son premier mariage, son veuvage, sa rencontre avec Mme de Montespan, ses premiers contacts avec la cour, sa mission auprès des bâtards royaux, l’affaire des Poisons ont été autant d’étapes sur le long chemin, que rien ne laissait prévoir, de l’incroyable ascension qui devait la rapprocher de Louis XIV, au point qu’elle finit par épouser le plus grand roi de l'époque, au faîte de sa puissance et à l’apogée de son règne.</p>

<p>L'histoire de Madame de Maintenon s’envisage ici moins comme le portrait d’un caractère, d’une personnalité, d’un destin, que comme l’étude et l’exploration de l’époque à laquelle il a appartenu, de la société qu’il a fréquentée, des liens qu’il y a noués. La prodigieuse ascension de cette personnalité d’exception s'explore par l'analyse de son réseau de relations sociales, soigneusement constitué pendant son premier mariage et son veuvage, mais aussi le fonctionnement de la Cour : un nouveau système prêt à admettre ce type de profil social, qui évoque certains grands serviteurs de l’État.</p>


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  • Le petit Louis XV   -   Pascale Mormiche

    Champ Vallon ;  4 oct. 2018 ;   448 p.;  27€.

    Extrait de la présentation : En suivant au quotidien une enfance royale, on voit le nourrisson sortir des affres des maladies enfantines et subir les premiers soins pédiatriques, le garçonnet acquérir des connaissances et former son caractère, le jeune homme instruit affirmer ses préférences dans un contexte d’explosion des progrès scientifiques et de renouveau des arts, jusqu’au moment où Louis XV est majeur, sacré et marié.


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  • Des moines dans la cité ; XVI-XVIIIe Siècle - Bernard Hours

    Belin ;   384 p.;  11 oct.   2016 ;   23€.

    Présentation officielle : Les villes françaises, au lendemain d'un xvie siècle marqué par la Réforme et les guerres de religions, se couvrent d'un « blanc manteau » de couvents et de monastères. Paris, nouvelle Rome, est exceptionnelle et exemplaire : capitale politique et culturelle, la ville porte une dynamique religieuse rayonnante. Les fondations nouvelles, suscitées par la réforme catholique, se multiplient à côté des anciennes abbayes médiévales qui exercent leurs droits seigneuriaux sur une grande partie du territoire urbain.
    Congrégations et ordres religieux sont des acteurs essentiels de la vie de la cité. Au cœur de la spéculation immobilière, leurs terrains sont l'objet de convoitises et chacun de leurs établissements représente un potentiel de production, de consommation, d'emploi et d'assistance. Les réguliers participent aux cérémonies civiques et portent les prières de la cité. Protégés des rois et des grands, conscients de leur pouvoir et de leur influence, ils contribuent pourtant à l'insurrection de la Ligue et prennent une part décisive à la dynamique de la réforme catholique par le biais de leurs prédicateurs et confesseurs. Avec eux, les Parisiens, et les Parisiennes, atteignent un taux d'alphabétisation très supérieur à la moyenne nationale. Paris doit également à leurs bibliothèques et à leurs savants une bonne part de son rayonnement dans la République des Lettres.
    Grâce à Bernard Hours, nous comprenons mieux comment ces femmes et ces hommes, qui ont voulu vivre hors du monde, ont aussi été des acteurs incontournables de la vie culturelle, économique et sociale de la cité.

    Des moines dans la cité  - Bernard Hours


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  • Eoliennes : chronique d'un naufrage annoncé - Pierre Dumont - Denis de Kergorlay

    Editions François Bourin ;   160 p.;  8 novembre 2018)  16€.

    Pour information, et le débat est intéressant. La moyenne se trouve peut-être en deça de ce réquisitoire. RoyautéNews

    Eoliennes : chronique d'un naufrage annoncé - Pierre Dumont - Denis de Kergorlay

    Présentation officielle : Le grand plan de développement de l’énergie éolienne en France va-t-il tourner au naufrage ? Tout semble l’annoncer. Des doutes de plus en plus forts et justifiés entourent ce choix énergétique qui répond essentiellement à des considérations politiques. Dans toutes les régions de France se manifeste une opposition croissante de la part des riverains contre les éoliennes qui menacent leur environnement et leur santé, mais aussi des Français en général, révoltés par le saccage de leurs paysages et le gaspillage des denier publics. Trompeusement paré de toutes les vertus écologiques, le développement en France des éoliennes, destructrices du patrimoine et de notre potentiel touristique, n’obéit à aucune logique climatique ou économique. Il donne lieu à des montages financiers souvent opaques qui ne profitent qu’à un petit nombre d’initiés, alors que c’est l’ensemble des Français qui, par leurs impôts et les taxes perçues sur les factures d’électricité, supportent le coût insensé de cette politique irresponsable. Il est plus que temps de renoncer à cette utopie écologique qui ne correspond ni aux spécificités de la France en matière de paysages, ni à son modèle énergétique, et qui nous conduit collectivement vers un désastre culturel, environnemental, sanitaire et financier sans précédent.


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  • par RN 1

     

    La règle du devoir de réserve, imposée par la tradition aux diplomates, n'est visiblement pas pour elle. A moins qu'elle ne voie dans sa fonction d'ambassadrice des Pôles une sinécure dorée avant que la loterie ministérielle ne la réélise un jour. Et c'est peu respectueux des Pôles.

    Ségolène Royal critique « la posture monarchique » du président fançais. C'est facile, comme on le voit. Et constater le manque effrayant de connaissances de base de ceux (-et-celles) qui ont fait des fonctions politiques leur terrain gardé, n'est pas moins effrayant. Et sont encore à opposer royauté française à démocratie...

    Pour elle, dans le livre qu'elle vient de publier, « le mythe de l’homme seul, hériter des rois de France et de Napoléon ne tient pas en démocratie », écrit-elle, taclant également sa  «verticalité, concept du monde d'avant ». (BFMTV)

    La seule chose qu'on peut lui concéder est que les présidents ne sont pas, et ne peuvent pas être, les héritiers de la monarchie française. pas plus d'ailleurs que de l'Empire Français.

    Outre que la verticalité est le propre de l'homme, et aussi l'un des tout premiers apprentissages de l'enfant, elle est aussi la sensibilité naturelle des sociétés. Les arbres aussi ont ce feeling...

    Sans rappeler ici les exemples soviétiques et dérivés, dont l'actuelle République populaire démocratique de Corée (Corée du Nord) est la survivante, peut-être utile comme témoin de ce que peut servir "la démocratie". 

    Pensons à Hitler, venu au pouvoir par un processus démocratique.

    D'ailleurs, voilà ce à quoi peut aboutir la démocratie, sur le Télérama en cours.

    Le mythe de l'homme seul

     

    Ce n'est pas une véritable démocratie qui entrouvre la porte des chaos comme le fait une République de la médiocrité, mais sa récupération par ces médiocres et qui l'ont transformée en véritable abattoir des libertés et de la dignité humaine.

    La Nature, désormais blasée, ne s'amuse depuis longtemps plus aux balivernes de la fameuse Dinde du Poitou qui avait écopé d'une solide réputation d'autocrate dans sa région Poitou-Charentes. Pour ce qui nous concerne, Mademoiselle Royal est plus vraisemblablement l'effigie d'un monde passé ; à l'image de ces commerciaux qui ont envahi les maisons d'édition, dépourvus de culture et puant de management, dont me parlait hier un libraire, et qui à l'un d'eux avait répondu : « Le livre est l'avenir, vous, vous appartenez au passé ».

    «Ce que je trouvais très sympathique et respectable, (dit-elle toujours) c’est qu’il (le Président) ait osé épouser une femme de 20 ans de plus que lui. Je me disais qu’il en avait fallu à tous les deux du courage ».  Nous ne commenterons pas ce pauvre type de propos.

    #HappyHalloween Mademoiselle l'ambassadeur des Pôles.


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  • La Rédaction

    Le Macronus naturalis, ou Macronus sylvus, ou encore macronus originalis comme le désignent les scientifiques dans leur latin de cuisine, est un exemplaire très rare, peut-être même unique.

    Vif et intelligent, c'est un animal très rapide capable de courses fulgurantes. Ensuite, il a besoin de se reposer, cela est tout-à-fait normal.

    Très sociable, il ne rechigne pas à poser pour un selfie, il aime bien ça d'ailleurs, et on pourrait même le caresser. Se déplaçant très vite d'un bosquet ou d'un jardin à l'autre, on ne sait pour cela s'il s'agit de lui ou d'un autre spécimen.

     

    Le Macronus typex


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  • La Rédaction

    Sur une idée du Monde de la fin de la semaine dernière sur des idées de monuments à visiter le week-end suivant, retenons cette belle image du château de Maintenon.

     

     

    Maintenon

     Un clic le fait plus gros


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  • La Restauration ; Les idées et les hommes - Benoît Yvert

    Biblis ;   (2013)  13 oct. 2016 ;   272 p.;   10€.

    Présentation officielle : La Restauration confronte trois générations : les survivants de l’Ancien Régime, les jeunes nés avec la Révolution et l’Empire, les enfants de la révolution industrielle. Elle brasse les hommes et les pensées, et voit notamment naître les doctrinaires, le bonapartisme, le premier socialisme. Reflet de ce bouillonnement, ce passionnant essai montre que tous les grands principes relatifs à la souveraineté ou à la séparation des pouvoirs sont alors posés et débattus.

    De la Terreur blanche à la révolution de 1830, cet ouvrage fait revivre une époque foisonnante où la liberté de ton n’avait d’égale que l’élévation de l’esprit et l’art de les mettre en mots.

    La Restauration   -   Benoît Yvert

     


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  • La Rédaction

    La protection des tigres d'Asie

    Le New York Times consacrait samedi un article à la défense des tigres d'Asie, et à la nécessité de protéger encore mieux certaines espèces de tigre, parmi celles qui existent encore en Asie.

    La population est passée de 100 000 au début du 20° siècle à quatre mille aujourd'hui. On recense même 3900 individus seulement, toutes espèces (sous-espèces) confondues, de tigres vivant à l'état naturel.

    Si par exemple au Népal, leur petit nombre a doublé récemment, pour atteindre 235 tigres, on mesure la fragilité de l'espèce.

    La mauvaise nouvelle est que la Chine vient de légaliser la corne de rhinocéros et les os de tigre utilisés pour des soins thérapeutiques et là, c'est dramatique. On sait justement que la chasse au tigre et celle du rhinocéros à des fins thérapeutiques entraînent la disparition rapide de ces deux animaux. Les efforts consentis par certains pays comme l'Inde et la Russie (Tigre de Sibérie) seront ailleurs remis en cause par cette décision chinoise. La facilitation plus grande désormais de cette chasse en d'autres pays d'Asie et risque de voir s'éteindre les sous-espèces les plus gravement menacées.


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  • La Rédaction

    Un coin dans la suprématie googelienne : les députés français adoptent le moteur de recherche Qwant ("Le moteur qui respecte votre vie privée"), pour mieux protéger leur données et pour "sensibiliser à la sécurité numérique".

    C'est selon nous une excellente chose. La situation de quasi-monopole de Google, surtout depuis les difficultés rencontrées par Yahoo, est assez intenable. Le problème des autres moteurs est que leurs contenus sont assez peu pertinents.

    A côté du moteur géant de recherche, voisinent de très loin un certain nombre de moteurs presque confidentiels, ou d'autres, qui n'existent que de nom et qui empruntent leurs contenus à... Google.

     

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    Il y a 6 heures   Supprimer le commentaire

     

    Avenir institutionnel / Découvrez le texte de la déclaration commune.  Une "Alsace cousue main" à la manière de Macron et Philippe

    Dans une déclaration d'une quinzaine de minutes, le Premier ministre Edouard Philippe a scellé le sort de l'Alsace, au bout d'un long marathon en relais effectué par le préfet Marx, de janvier à juin, puis par la ministre Jacqueline Gourault. Le 1er janvier 2021 naîtra la "collectivité européenne d'Alsace", fusion des deux conseils départementaux, alors que les départements eux-mêmes, circonscription territoriale des services déconcentrés de l'État, continueront à exister... C'est la méthode Macron-Philippe du "cousu main".

    ♥ Bonne journée.....


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  • La Rédaction

    Au Canada, désormais, les visites de musées peuvent désormais être prescrites par un médecin pour certaines maladies.

    Cette initiative en revient au groupement des Médecins francophones du Canada et du Musée des Beaux-Arts de Montréal.

    La comparaison avec la France ne peut même pas être envisagée. Un état d'esprit totalement différent règne au Québec, aux antipodes de la France surtout.

    Précisons que les Musées de Montréal sont gratuits. L'effet pratique de cette mesure consiste dans le bénéfice pour les patients d'être accompagnés chaque fois que cela sera nécessaire, par un adulte, un aide-soignant ou un membre de leur famille.

    Les médecins considèrent qu'une visite de musée produit des bienfaits équivalents du point de vue neuro-hormonal, à l'activité physique.

    L'art de vivre au Canada

    Le Musée des Beaux-Arts de Montréal  -  Photo The Canadian Encyclopedia


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  • La fascination du Japon  -  Philippe Pelletier

    Le Cavalier Bleu ;  (2012)  23 août 2018 ;   304 p.;   20€.

    La fascination du Japon  -  Philippe Pelletier

    Présentation officielle : Depuis Marco Polo évoquant le lointain Cipango, le Japon fascine les Occidentaux. Et il intrigue aussi ses voisins Chinois. L’argumentaire sur la singularité des Japonais, vus comme impénétrables, spéciaux sinon bizarres, nourrit depuis des siècles une avalanche d’idées reçues que le passage dans la modernité technique apparemment contradictoire avec une tradition réinventée n’a fait que renforcer. Des anciennes générations du « péril jaune », qui se complaisaient à dire que les Japonais étaient incompréhensibles et dangereux, à la fascination actuelle, et planétaire, pour la « J-Pop culture », mélangeant animê, manga, samurai, sushi, karaoke, tofu, sûdoku, origami et autres yakuza… les clichés sont légion qui méritent d’être décortiqués dans cet ouvrage, véritable panorama du Japon contemporain.

    Commentaire de Royauté-News : L'auteur est tombé dans le panneau comme tant d'autres le font, avec ce livre qui ne manque pas d'être intéressant. Il a cédé au risque, auquel presque nul n'échappe, du refus de la réalité, et à la tentation de la réécriture, alors qu'il veut dénoncer des images simples. Or ces images simples sont normales. Enfourcher la facilité avec la pseudo-notion des "idées reçues" n'était pas forcément la meilleure solution.


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  • Le temps des rois

    L'Histoire de France racontée par Stéphane Bern en timbres ;

    Cherche midi ;  4 oct 2018 ;  à partir de 6 ans ;  47 p.;   8€.

    Ouvrage très conseillé par RoyautéNews.

    Le temps des rois  - Stéphane Bern


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  • Samuel de Champlain   -   Jean-Michel Demetz

    Tallandier  ;  11 oct; 2018 ;  format moyen ;  144 p.;   17€.

    Présentation officielle : Sans l ’opiniâtreté de Samuel Champlain, il n’y aurait pas d’Amérique du Nord francophone. Fondateur en 1608 de la première « abitation » de Québec, il offre à Henri IV le rêve d’une terre à la nature aussi belle qu’hostile. Capitaine humaniste, cartographe et écrivain, Champlain tente une utopie : créer une Nouvelle-France sur les traces de Jacques Cartier. Repoussant vers l’Ouest les limites du monde connu, il espère atteindre le « grand océan », passage vers la Chine. Du port de Brouage aux rives du Saint-Laurent, du Mexique aux douces collines de l’Acadie, en passant par la cour des Bourbons, cet album élégant nous fait revivre l’épopée d’un inlassable explorateur.

    Samuel de Champlain   -   Jean-Michel Demetz


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  • Le Français qui possédait l'Amérique  -  Pierre Ménard

    Préface d'Emmanuel de Waresquiel ;

    Cherche midi  ;   19 janvier 2017 ;  461 p.;   19€90.

    Le richissime financier du temps de Louis XIV et de la Régence.

    Le Français qui possédait l'Amérique  -  Pierre Ménard


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  • La Rédaction

    C'est en haute-Bavière que le comte Maximilien d'Andigné a épousé religieusement la Duchesse Sophie de Wurtemberg, après le mariage civil du mois de septembre.

    [Note familiale]

    Un clic sur les images pour agrandir

    Le mariage religieux de Maximilien d'Andigné et de Sophie de Wurtemberg

    Le mariage religieux de Maximilien d'Andigné et de Sophie de Wurtemberg


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  • La Rédaction

    En France, la Cour de Cassation, en maintenant une condamnation prononcée contre onze chasseurs, a remis en cause la tolérance administrative qui s'exerçait au profit de la chasse aux ortolans et ce, en raison du caractère traditionnel de cette chasse, alors qu'une loi de 1979 l'interdisait.

    L'oiseau célèbre, le bruant ortolan, un trésor gastronomique gascon, est malheureusement une espèce en voie de disparition.

    Si l'application stricte de la loi selon nous, doit intervenir aujourd'hui pour protéger l'espèce, il est à regretter que la Cour de Cassation se soit exprimée de manière abrupte et ait maintenu la condamnation des onze chasseurs.

    La Cour a en effet déclaré : « La tolérance administrative à l’égard d’une pratique locale traditionnelle invoquée n’est pas de nature à mettre à néant une interdiction édictée par la loi. »

    Il aurait été judicieux de mettre en relief d'abord, et même seulement, l'intérêt de l'espèce, en annonçant que l'interdiction de cette chasse  s'appliquerait désormais de façon stricte et que la tolérance administrative, désormais, ne serait plus admise, plutôt que de réduire la question à un conflit d'autorité.

    Cette déclaration malencontreuse fait d'un enjeu majeur de protection une simple « guerre de polices », une basse querelle de juridictions et d'autorité. Par ailleurs, le maintien des condamnations par la Cour de Cassation revient dans les faits à nier ce principe essentiel de la non-rétroativité.

    Il s'agit une fois de plus d'une erreur d'étiage de la part de la République, pour laquelle « la loi » prime sur tout, et qui à tout propos, éructe cette même obsession de forcenés.

    Puisque la chasse était dangereuse pour l'espèce, il fallait appliquer plus tôt de manière stricte les dispositions de 1979 puisque l'espèce a diminué de 84% entre 1980 et 2012 ; notons l'instruction de Nicolas Hulot aux préfets, en août 2017, leur demandant de ne plus pratiquer cette tolérance.

    Or les chasseurs ont été condamnés en avril 2017, (avant l'instruction aux préfets), et c'est cette condamnation, confirmée en appel en octobre 2017, qui vient d'être confirmée par la Cour de Cassation.

    Cette attitude de la Cour de Cassation est donc peu nette et en même temps hypocrite, les chasseurs n'étant pas responsables de l'urbanisation désordonnée et à outrance des campagnes françaises, urbanisation considérée, avec le dérèglement climatique, comme l'une des causes de la disparition progressive de cette espèce d'oiseau. Au contraire, c'est l'inconscience des autorités administratives, et particulièrement, nationales, qui doit être mise en cause car elles n'ont jamais su appliquer une loi utile ni en assurer le suivi.

    © DR  (Sud-Ouest)

    Protections étendue des ortolans


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  • L'Afrique ancienne   -  dirigé par François-Xavier Fauvelle

    De l'Acacus au Zimbabwe ;

    Collection dirigée par Joël Cornette ;

    Belin ;   10 oct. 2018 ;   680 p.;   49€.

    Présentation officielle :

    Les civilisations de l'Afrique ont enfin une histoire

    L’Afrique : un continent géographique, plusieurs continents d’histoire. Depuis la mise en place de son peuplement, il y a quelque vingt mille ans, jusqu’au XVIIe siècle, quand l’Afrique bascule dans un nouvel ordre global, cette histoire millénaire et plurielle est celle d’empires et de villes, d’innovations techniques et artistiques, de vies nomades ou sédentaires, de mouvements de populations et de circulations d’idées. Kerma, Aksum, Mâli, Kanem, Makouria, Abyssinie, Ifât, Ifé, Kongo, Zimbabwe… Combien de sociétés africaines ont, bien avant l’emprise de puissances étrangères, exercé leur rayonnement et conversé avec les autres formations politiques du monde ?

    Cet ouvrage propose, de manière inédite, de découvrir l’histoire ancienne du continent africain. Il nous emmène sur les routes qui ont attiré les marchands grecs ou arabes dans les grandes capitales africaines, qui ont conduit les pèlerins sahéliens de Tombouctou à La Mecque, les diplomates nubiens de Dongola à Bagdad. Voisinant avec cette Afrique en mouvement, apparaissent les singularités sociales des pasteurs de vaches ou de dromadaires, des chasseurs-cueilleurs, des forgerons et des potières. L’histoire de l’Afrique est le fruit de ce balancement entre le temps court des acteurs et le temps long des profondeurs culturelles.

    Loin des clichés, L’Afrique ancienne, dirigée par François-Xavier Fauvelle, relève un défi : faire de toute trace une source d’histoire et nous présenter à la fois des sites archéologiques grandioses ou ténus, des écrits de moines ou de scribes royaux, des gravures et des peintures rupestres, des vestiges d’outils, des parures, des objets du culte ou de la vie quotidienne, des fragments de langues, des robes d’animaux domestiques ou encore des génomes de plantes, des paysages façonnés par l’homme, des événements remémorés.

    Illustré par plus de 300 documents – photographies, cartes, relevés et dessins archéologiques –, ce livre invite à partager le désir d’étonnement autant que le plaisir de la rencontre. Cette somme unique réunit les meilleurs spécialistes au monde, quelquefois les seuls de leur domaine.

    L'Afrique ancienne   -   François-Xavier Fauvelle


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  • Pestes et épidémies au Moyen Age (VI° - XV° siècles) - François de Lannoy

    Editions Ouest-France ; (2016)  1er juin 2018 ; format moyen ; nombreuses illustrations ; 128 p.;  14€90.

    Présentation officielle : La peste noire du XIVe siècle a fait disparaître 40 % de la population en 5 ans. On ne peut pas comprendre l'Europe médiévale sans connaître l'histoire de ce traumatisme collectif.

    Cet ouvrage raconte d'abord les ravages de la grande peste noire qui s'abattit sur l'Europe au XIIIe siècle.
    - Un panorama des épidémies et des foyers infectieux (lèpre, choléra) du XIIe au XVe siècle.
    - Le texte inclut des portraits (médecins, sages-femmes), des remèdes et prescriptions, un historique et un descriptif de chacune des maladies évoquées.
    - Enfin, outre l’influence historique, politique et religieuse de ces maladies sur la société et les mœurs, le texte étudiera aussi leur influence en peinture et en sculpture.

    Pestes et épidémies au Moyen-Age - François de Lannoy

    Pestes et épidémies au Moyen-Age - François de Lannoy


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