• RN 1 et RN 2 pour La Rédaction

     

    Quelques pays d'Europe encore en république

    Grande-Bretagne, Belgique, Espagne, Luxembourg, Pays-Bas, Monaco, Suède, Danemark, Norvège, Liechtenstein, Andorre sont des monarchies, de même que le Vatican et à leur côté l'on doit faire entrer Saint-Marin puisque sa formule de république n'a que peu d'éloignement avec une monarchie.

    Et voici les pays qui n'ont pas choisi d'être en république : l'Allemagne (voir plus bas) ; le cas très discuté de l'Italie après un référendum dont les résultats, depuis, ont toujours été jugés douteux (un cas qui illustre le risque des référendums, auxquels on fait dire ce que l'on veut, comme en France). C'est la faiblesse relative du roi d'Italie vis-à-vis du IIIe Reich que les Italiens ont sanctionné, et non un système monarchique. Pour l'Italie on peut encore ajouter l'Unité Italienne ; la nouvelle "monarchie" n'ayant rien à voir avec ce qu'elle avait pu apprécier avant.

    La Roumanie, la Tchécoslovaquie, l'Autriche, la Pologne, la Hongrie, la Grèce, la Serbie, la Croatie. l'Albanie. Pour nous limiter aux pays d'Europe de l'Ouest. En avons-nous oublié ? Ces pays, à part le cas particulier de l'Italie, n'ont jamais voulu être en république, et leur point commun est qu'on ne le leur a jamais demandé !

    En France, c'est par détournement que les puissants du monde républicain, assistés des orléanistes de la décennie 1880 ont trompé l'attente majoritaire des Français pour la monarchie.

    Le cas de l'Irlande est particulier. La création en plusieurs étapes de la République d'Irlande comme Etat indépendant, achevée en 1949, s'est effectuée par son retrait du Royaume-Uni, et par conséquent, de l'orbite royale. Si la question de constituer un royaume n'a pas été posée, c'est à tort et au mépris des droits des irlandais et des O'Neill : de nombreux Irlandais les considèrent comme leur famille royale.

    Ce ne serait le cas pour l'Ecosse, si le processus de retrait, qui a déjà été envisagé, s'effectuait. 

    Le cas de la Finlande est original : en 1917 ils avaient choisi la monarchie, et comme le XIXe siècle avait, de fait, obligé les pays ayant accédé à l'indépendance à choisir, s'ils voulaient une monarchie, un prince allemand, ils ont "fait le mauvais choix" et dû passer à la république. En Hongrie la monarchie n'a été abolie qu'à l'invasion nazie. On n'a pas donné à ce pays la possibilité d'y revenir après la défaite des nazis...

    Le cas du Portugal est compliqué. Mais la famille royale entretient d'excellents rapports avec les gouvernements.

    L'Allemagne conserve elle aussi la fierté de ses anciennes dynasties, l'Autriche aussi, ainsi que la Roumanie et la Grèce, et ces deux dernières ont rendu une partie de leurs demeures à leurs familles royales. Plusieurs gouvernements rendent les honneurs à leur ancienne famille royale, comme c'est le cas de l'Albanie par exemple.

    Dans le cas de l'Allemagne, la population n'a jamais été consultée. Elle a été mise devant le fait accompli après la défaite allemande de 14-18. Si la monarchie avait continué, la montée du Nazisme ne serait pas survenue. Nous en reparlerons en détail.

    Comme on le voit, le partage n'est pas clair, comme on voudrait le faire croire. Car les drames dans lesquelles se débattent tant de pays d'Europe l'ont été du fait des faillites à répétition des principes républicains.


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  • Robert-Jean de Vogüé  - Yves Tesson ; Francine Rivaud

    Tallandier ;  21 nov. 2016 ;  272 p.;   20€90.

    Résumé officiel : Sans lui, Moët & Chandon ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui. Robert-Jean de Vogüé fut à la tête de la grande maison de champagne pendant plusieurs décennies, de 1930 jusqu'en 1972. Une longévité exceptionnelle qui permit à cet ancien officier de jouer les précurseurs dans un univers encore compassé. Avec ses idées novatrices et son caractère bien trempé, mais aussi son pragmatisme, cet aristocrate atypique devenu patron n'a eu de cesse de développer Moët & Chandon. Son action dans la Résistance, où, entre autres, il fournit de faux papiers aux évadés, tente de soustraire des ouvriers au Service du travail obligatoire, résiste tant qu'il peut aux exigences allemandes, le conduit à la déportation en Allemagne. C'est à cette époque qu'il approfondit son catholicisme social. Vogüé n'a de cesse, à partir de 1945, d'améliorer les conditions de travail et de vie des ouvriers. Cela lui vaut le surnom de« marquis rouge ». Mais on ne saurait cantonner l'homme à des préoccupations sociales. On lui doit aussi la construction de relations apaisées entre négociants et vignerons, la conquête des marchés étrangers, l'invention de la prestigieuse cuvée Dom Pérignon...

     


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  • La Rédaction

    Plusieurs célébrations en mémoire du roi Louis XVI sont organisées comme chaque année.

     

    Le dimanche 20 janvier, en la Chapelle expiatoire à Paris, à 10 h 30 en présence de Louis de Bourbon, Duc d'Anjou. Organisée par l'Institut de la Maison de Bourbon.

     

    Le lundi 21 janvier, à midi en la Basilique royale de Saint-Denis. Organisée par le Prince Henri de Bauffremont et par le comité du Mémorial de France à Saint Denys.

     

     

    Le lundi 21 janvier à 12 h, à Saint-Germain-l'Auxerrois. Organisée par le président  et les membres du Cercle de l’Œillet blanc, en présence du Comte de Paris, Duc de France.

     

    D'autres cérémonies sont organisées chaque année un peu partout en France.

    En souvenir de Louis XVI - Janvier 2019


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  • La Rédaction

    Nous apprenons avec peine la disparition, survenue ce matin, de la Princesse de Bauffremont.

     

     

    Blanche de Chabannes était l'épouse du Président de l'Institut de la Maison de Bourbon, Charles-Emmanuel de Bauffremont.

     

    Mort de la Princesse de Bauffremont


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  • Le Droit contre les démons de la politique  -  François Saint-Pierre

    Présentation officielle : C’est en lisant le Journal de Maurice Garçon, cet illustre avocat qui l’avait rédigé sous le régime de Vichy, que je me suis posé cette question : si à l’avenir un gouvernement même issu d’élections régulières décidait de mettre en œuvre une politique indigne, contraire aux droits fondamentaux des gens, la justice saurait-elle s’y opposer et défendre l’essentiel, l’État de droit ?

    C’est le pari de ce livre. L’Europe d’après guerre s’est reconstruite sur un système judiciaire international destiné à garantir les libertés publiques et individuelles, que les États doivent respecter en toutes circonstances, et qui permet à toute personne victime d’un abus du pouvoir de porter plainte devant la justice de son pays, puis devant la Cour européenne des droits de l’homme.

    Son essor a été remarquable, dans les années récentes. Les trois grandes juridictions françaises, le Conseil constitutionnel, la Cour de cassation et le Conseil d’État, ont chacune développé dans cet esprit des jurisprudences protectrices des libertés, parfois contre le pouvoir politique. Ce livre en fait l’éloge, en expliquant certaines de leurs décisions les plus significatives.

    Mais ce système judiciaire ne fonctionne pas tout seul. C’est aux avocats, aux procureurs et aux juges qu’il appartient de servir cette idée de la justice. Ils disposent pour cela d’outils juridiques très efficaces, dont ils font bon usage. Au point que certains responsables politiques voient d’un mauvais œil l’émergence de ce nouveau « pouvoir judiciaire », qu’ils songent à museler !

    François Saint-Pierre est avocat spécialisé dans la défense pénale et auteur de plusieurs ouvrages. Royauté-News

    Odile Jacob ; 2 janvier 2019 ; 208 p.;  22€90.


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  • RN 2  et la Rédaction

    La reine Elisabeth II vient de céder ses fonctions de marraine du Théâtre Royal National de Londres à la Duchesse de Sussex.

     

    C'est la première fonction officielle qui est confiée à l'épouse du Prince Harry.

    Si elle a déjà accompli quelques engagements avec la Reine, et si elle a lancé son propre projet de récolte de fonds pour une activité locale de charité, c'est maintenant que la Duchesse de Sussex entre dans la ronde des fonctions officielles.

    La reine Elisabeth et le Théâtre nationale de Londres

    © PurePeople


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  • Quand le lys terrassait la rose  -  Daniel de Montplaisir

    Éditions de Mareuil ; cet essai paraîtra le 31 janv. 2019 (1);    19€.

    Présentation officielle : "On attribue à saint Augustin l’aphorisme « nul ne peut prédire ce que sera le passé ». C’est sans doute pourquoi l’impression dominante de la longue histoire du couple franco-britannique donne l’Angleterre toujours victorieuse et la France toujours vaincue. Ce qui est faux, du moins sur le plan militaire. Durant leur millénaire face-à-face, les deux pays ont participé à une trentaine de guerres, seuls ou dans le cadre de coalitions, et se sont combattus au cours de deux cents batailles majeures. On sait rarement que la France en a remporté les deux tiers. Ce livre, fruit d’une minutieuse recherche, en retrace le cheminement.”

     

    Quand le lys terrassait la rose  -  Daniel de Montplaisir

    Quand le lys terrassait la rose  -  Daniel de Montplaisir

    (1) C'est le 28 janvier 2019 que paraîtra ce livre.

    Autre présentation officielle :  « Il est presque d’usage qu’après une défaite de l’équipe de France de rugby contre celle d’Angleterre, des supporters de cette dernière brandissent sous le nez des Français une banderole sur laquelle on peut lire ces huit lettres : WATERLOO ! Car pendant longtemps la fumée des fusillades et des canonnades de la « morne plaine » a noyé dans son panache obscurcissant des pans entiers de la réalité historique. La bataille qui se déroula le 18 juin 1815 près de cette petite ville wallonne au sud de Bruxelles apporte en effet la touche finale au tableau multiséculaire des affrontements militaires franco-britanniques. Elle symbolise la totale et irrémédiable défaite de la France : la Révolution est enterrée, Napoléon définitivement vaincu, plus jamais Anglais et Français ne se retrouveront face à face sur un champ de bataille, terrestre ou maritime : « derniers soldats de la dernière guerre » a, visionnaire, écrit Victor Hugo. Pour couronner le tout, l’histoire, comme l’on sait toujours écrite par les vainqueurs, a conservé la consonance anglaise du lieu, quartier général du duc de Wellington, de préférence à celles, pourtant plus logiques au vu du théâtre des opérations, de Mont Saint-Jean ou de Belle-Alliance. C’est pourquoi, aujourd’hui encore, domine l’impression que les nombreuses guerres ayant opposé la grande nation continentale à son implacable rivale insulaire se sont presque toujours soldées de la même manière : Waterloo renvoie l’écho de Trafalgar, d’Aboukir, des plaines d’Abraham, de Blenheim... »

    Jamais, dans l’histoire du monde, deux démocraties ne se sont fait la guerre. Mais avant qu’elles ne le deviennent, que de massacres! Ainsi l’Angleterre et la France se sont-elles affrontées, souvent avec une incroyable violence, durant sept cent quarante-neuf ans. Chacune a essayé d’envahir l’autre, ou de la, dominer, ou de l’empêcher d’en dominer d’autres. Toutes deux ont justifié l’appellation mutuelle d’ « ennemi héréditaire ». Pour bâtir ensuite une paix, puis une alliance, qui dure maintenant, depuis deux cents ans. Et pour construire ensemble une Union européenne, que l’une des deux s’apprête à quitter. On attribue à saint Augustin l’aphorisme « nul ne peut prédire ce que sera le passé ». C’est sans doute pourquoi l’impression dominante de la longue histoire du couple franco-britannique donne l’Angleterre toujours victorieuse et la France toujours vaincue. Ce qui est faux, du moins sur le plan militaire. Durant leur millénaire face-à-face, les deux pays ont participé à une trentaine de guerres, seuls ou dans le cadre de coalitions, et se sont combattus au cours de deux cents batailles majeures. On sait rarement que la France a en remporté les deux tiers. Ce livre, fruit d’une minutieuse recherche, en retrace le cheminement.

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  • Loup et les hommes  -  Emmanuelle Pirotte

    Le Cherche midi ;   23 août 2018 ;  roman ;  608 p.;  20€.

    Présentation officielleUn voyage aux confins des terres iroquoises, une quête de soi et de l'homme.

    Hiver 1663. Armand, marquis de Canilhac, est prêt à tout pour retrouver le saphir entrevu au cou de cette jeune Amérindienne, croisée dans un salon. Il a reconnu la pierre que portait son frère Loup. Loup, trahi par Armand vingt ans plus tôt, condamné aux galères, et que tout le monde croit mort.

    Hanté par son passé, le marquis embarque avec son fidèle Valère pour la Nouvelle-France. Le vent gonfle les voiles, et les images du Gévaudan ressurgissent : Loup, enfant trouvé, adopté... Loup, trop beau, trop brave, trop vivant.

    Entre la France et l'Iroquoisie barbare se tisse le destin d'un homme hors du commun, dont le portrait se précise lentement, et dont l'ombre plane, de plus en plus palpable, sur ceux qui le cherchent.

    Et si Loup avait trouvé un destin à sa mesure au pays des Sauvages ?

    Enquête à l'échelle d'un continent, grande histoire d'amour fraternel, peinture d'un Nouveau Monde en ébullition, Loup et les hommes nous emporte sur les traces d'Alexandre Dumas et de Jack London. Emmanuelle Pirotte convoque les classiques du roman d'aventures pour plonger au fond des âmes, et fait surgir, au milieu des paysages grandioses, sa vision des hommes.

    Loup et les hommes   -  Emmanuelle Pirotte


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  • La Rédaction

    Au cinéma : Mia et le lion blanc

    Nous vous conseillons ce très beau film de Gilles de Maistre, co-produit par Jacques Perrin, l'histoire d'une amitié d'une enfant et d'un lion, d'après le roman de Prune de Maistre. Il est patroné par le Prince Albert de Monaco et par la Fondation Albert de Monaco.

    Familial et pour tous publics, il dénonce l'abomination des tueurs d'animaux, ici de lions, massacrés pour se donner l'illusion d'avoir "vaincu", ou pour montrer l'image de leur proie abattue. Où il n'y a même plus de chasse mais un pur abattage.

    Ce film souhaite soutenir Kevin Richardson dans son combat pour la préservation des lions.

    Un ou deux clins d'œil personnels relevés dans ce film...


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  • RN 1 pour La Rédaction

    Le roi, c'est moy

    On n'imagine pas, bien sûr, fêter en famille ou avec des amis, un personnage aussi terne, aussi gris, qu'un président de la république par définition.

    Il faudrait être savamment piqué pour voir en ces peu aimables zozos, se succédant en la fonction, ni les imaginer plus tard, dans le futur, comme des images attendrissantes, évoquant l'idéal d'un rêve, quand on ne les supporte pas même en peinture.

    Ou intuition d'une espérance.

    Ce que dit sans le dire, cette journée où l'on fête les rois mages et non les rois ordinaires ou ceux de l'Ancien-Régime, est le message caché d'une aspiration : la joie simple, encore inaccessible, que le monde extérieur soit aussi calme et heureux qu'il l'est normalement à l'intérieur, chez soi.

    Beaucoup, encore, croient que la royauté ne se représente qu'avec un riche apparât, avec de nombreux joyaux.

    En vérité ce n'est pas dans cette idée que réside la royauté, malgré les nombreuses erreurs des époques des rois.

    Ces joyaux-là ne sont pas joyeux. Prestigieux certes, mais pas le fin de la monarchie.

    L'ancienne monarchie française vit à jamais, cependant on ne peut, on ne doit lui inventer un collage, pas même une bouture, qui ne serait qu'une négation de la réalité écoulée.

    Car elle vit à jamais dans l'histoire et dans le souvenir, c'est tout. 

    C'est d'une nouvelle monarchie consentie, fondée sur une nouvelle donne. Excluant par force les schémas qui se croiraient prêts d'avance, qui harasseraient encore les dernières espérances en l'idée que l'homme ne répètera pas indéfiniment les mêmes erreurs ; des schémas qui, loin d'être des solutions, fermeraient encore, étroitement, lugubrement, les aspirations à simplement avoir de l'air, à vivre hors des systèmes binaires ou définitivement tracés.

    Schémas de ceux qui ne comprendront jamais que l'ordre qui existait alors est achevé à jamais et qu'il ne pourra être jamais question de le reconduire. Que donc les héritiers d'une monarchie et d'un temps qui n'existent plus ne pourront être les commis d'office obligés, comme allant de soi, d'une monarchie n'existant pas encore et dont ils ignorent même, et le génie et les contours ! Ils ne pourront que s'inscrire sur une ligne, même s'ils seront dotés d'une très large avance.

     

    La royauté est l'union fertile d'un idéal et d'un peuple, condensée dans une volonté du souverain jouxtant, habillant l'incarnation qu'il manifeste, de cette union qui réside en chacun des membres de ce peuple.

    C'est de cette royauté-là, une monarchie populaire, vraie royauté sociale, fondée sur des principes à exposer (mais que certains dessinent et énumèrent déjà), que se renouera le tissu humain détruit, saccagé, par la République du malheur.

     

    C'est sur cette base de principes que renaîtra l'or spirituel, que refleuriront les vrais joyaux. Sera alors, l'Épiphanie terrestre, comparable à la grande, et écrite sur le modèle chrétien, soit philosophique soit religieux selon qu'on y participe ou qu'on y adhère.

    Le roi, c'est moy


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  • Petit alphabeth de l'amour - Henri de Soos

    Photographies, Nicolas d'Ursel ;

    Le livre ouvert ;   1er juin 2008  ; 127 p.;    25€.

    Lettres d'un père à sa fille pour le jour de son mariage. 

    Petit alphabet de l'amour. -  Henri de Soos


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  • La Rédaction

    Le Roi Sultan de Malaisie Muhammad V a abdiqué aujourd'hui.

    Après avoir disparu deux mois, sur la présomption, officiellement confirmée par le palais, d'un traitement pour ennuis de santé, il est réapparu pour annoncer son abdication.

    Muhammad Faris Petra était roi de Malaisie depuis décembre 2016. Ancien étudiant de l'Université d'Oxford, il est trés apprécié pour ses engagements humanitaires, sa tolérance et l'équilibre avec lequel il a gouverné la province de Kelantan avant de devenir roi.

    Les rois de Malaisie sont choisis pour cinq ans parmi les familles royales qui gouvernent neuf des treizes états de Malaisie.

     

    Abdication du roi de Malaisie


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  • La Rédaction

    Dans la série, Ordres controversés, l'Ordre de l'Etoile, création faite avec et pour le Comte de Paris, a encore frappé !

     

    Le 5 janvier 2019,  le Comte et la Comtesse de Paris ont présidé la messe annuelle de cet Ordre.

     

     

    Ce qui est doublement peu admissible, est que les activités de cet Ordre,  d'esprit et de composition maçonniques, travesti sous les costumes de la défense du patrimoine et d'une supposée chevalerie se déroulent à Saint-Germain l'Auxerrois, la paroisse des rois ! Il sera bon de questionner l'archevêque à ce sujet, et de savoir si l'archevêché, sur ce sujet, voire sur d'autres sujets, va longtemps se moquer du monde.


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  • L'inconnue   -   Cyril Roger-Lacan

    Grasset  ;   10 oct. 2018 ;   96 p.;   12€.

    Récit sur la recherche de sa mère, morte prématurément lorsque l'auteur avait neuf ans. RoyautéNews

    Présentation officielle :  La tragédie d’une perte et d’un deuil impossible jette le monde dans un contrejour blafard, le rend  inhabitable. Mais,  par éclairs,  le transfigure. Celui qui porte ce deuil et le refuse est voué à longer le «  ravin du monde  » (Lao Tseu) en aveugle habité par une présence perdue, parée d’une secrète évidence. Il en est la sentinelle et l’otage.
    « Il est impossible de dire cet état. De le dire tout entier » écrit Cyril Roger-Lacan. « Mais il m’a semblé possible parfois, aux confins de la stupeur et de l’abandon, de laisser parler cette voix double où la disparue et celui qu’elle laisse orphelin disent, ensemble, la grâce de leur amour et l’effroi de sa perte.»

     L'inconnue   -   Cyril Roger-Lacan


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  • Little Big Horn  -  David Cornut

    Autopsie d'une bataille légendaire - L'ultime combat de Sitting Bull et de Crazy Horse ;

    Éditions du Rocher ;  6 juin 2018 ; 4° édition ;  26€.

    Présentation officielle : « Jamais je n'oublierai cette bataille ». Chef de guerre cheyenne Two Moon. Un brûlant dimanche de juin 1876, dans la vallée de la Little Big Horn, au cœur de l'Ouest américain : une coalition de Sioux et Cheyennes, réunie par les chefs Sitting Bull et Crazy Horse, anéantit le 7e de cavalerie du général Custer. Immédiatement, la bataille est propulsée au rang de mythe identitaire des États-Unis. Un mythe qui dure : à ce jour, aucune bataille nationale ne déclenche une telle fascination outre-Atlantique.
    L'historien, pour sa part, se retrouve face à de nombreux mystères : la défaite était-elle due aux erreurs et aux ambitions de George Armstrong Custer ? Comment les Indiens ont-ils vécu leur victoire emblématique ? Comment expliquer ces témoins que l'on a voulu faire taire ou ces cartes truquées ?Du fracas de la guerre de Sécession aux clameurs des Grandes Plaines, l'auteur nous plonge dans une Amérique brutale, brossant le portrait sans fard des icônes Custer, Sitting Bull et Crazy Horse mais aussi d'acteurs moins connus de la période.
    L'immersion se poursuit avec la bataille elle-même, qui reprend vie à hauteur d'homme, à travers la voix de dizaines de témoins oculaires et d'experts. Fruit de sept ans de recherches et de voyages sur le terrain, cette « autopsie » d'une légende a été considérée dès sa première édition comme la référence sur le sujet. Membre des Little Big Horn Associates, titulaire d'une maîtrise d'Histoire, David Cornut ouvre ici l'un des dossiers les plus controversés de l'histoire américaine.

    Little Big Horn   -   David Cornut


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  • Moi, Napoléon Bonaparte  -  Robert Colonna d'Istria

    Autobiographie imaginaire de l'Empereur ;

    Tohu-Bohu ;   26 oct. 2018 ;  144 p.;  Grand format ; Beau livre ; coffret & 200 reproductions, 40 fac-similés ;  45€.

    Présentation officielle : "Moi, Napoléon Bonaparte, le plus illustre personnage de l'histoire de France, je vais vous raconter mon histoire, mon histoire vraie, pas la légende. Sainte-Hélène : je viens de dicter les Mémoires, la version officielle de ma vie, mais je rédige secrètement pour la postérité, un autre texte. Destiné à n'être publié que longtemps après ma mort, ce récit dit toute la vérité sur mon épopée." Ce sont ces mémoires inédites qui sont exhumées aujourd'hui.
    Erudit mais aussi sensible et teinté d'un humour à l'humeur noire, le texte de Robert Colonna d'Istria est une approche originale et délicieuse mais très documentée de Napoléon.

    Moi, Napoléon Bonaparte  -  Robert Colonna d'Istria


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  • La Rédaction

    Ce mois de Janvier aura lieu à Paris l'un des traditionnels hommages rendus chaque année au Prince Philippe d'Araucanie (  2014), à l'appel des Amitiés Prince Philippe, et du Chancelier du Royaume, le comte de La Barre.

    La première messe célébrée aux intentions et pour le repos de l'âme du défunt, sera présidée par Philippe, son successeur, Chef de la Maison Royale, Gardien et recteur de la monarchie d'Araucanie et de Patagonie.

    En cette année 2019, ces cérémonies, qui marquent les cinq ans de la disparition du rénovateur du Royaume revêtiront une importance symbolique toute particulière puisqu'elle se situent dans l'ouverture de l'Année Tounens.

    Selon le communiqué que nous avons reçu, ceux qui furent des amis du Prince Philippe, morts depuis ces cinq ans écoulés, comme M. Parasiliti di Para, seront associés à ces intentions, ainsi que tous les Mapuches tués par la répression.

     

    Les activités du Successeur du Prince Philippe, Philippe Orllie, sont accessibles sur le site officiel d'infos du RoyaumeAraucanieInfo

     

    Infos Araucanie


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  • La Rédaction

    Présentation de Michel de Grèce

    Le Prince Michel de Grèce et de Danemark (1939) est le fils du Prince Christophe de Grèce, dernier enfant du roi Georges Ier, fondateur de la dynastie grecque et de la Grande-Duchesse Olga de Russie, et de la Princesse Françoise d'Orléans, sœur du défunt Henri, Comte de Paris, fille de Jean d'Orléans, Duc de Guise, et d'Isabelle d'Orléans elle-même fille de Philippe, Comte de Paris.

    Son père mourut un an après sa naissance, et il perdit sa mère à l'âge de quatorze ans. Il fut élevé par les défunts Comte et Comtesse de Paris.

     

    Historien, il est l'auteur de romans historiques célèbres et parfaitement documentés. Ses ouvrages, La nuit du sérailLe dernier Sultan, L'Impératrice des adieux, Le vol du Régent, La Bouboulina, entre autres sont devenus des classiques.

    Époux de Marína Karélla, ils ont eu deux filles. Olga, la plus jeune, s'est mariée au Prince Aimone de Savoie, Duc des Pouilles, fils d'Amedeo, Duc d'Aoste, et de la Princesse Claude de France, sœur de l'actuel Comte de Paris.


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  • La Rédaction dans Carnet

     

    La mort, dans sa centième année de M. Philippe Maupas-Oudinot, Duc de Reggio, a été annoncée.

     

    Porteur d'un des très rares titres ducaux napoléoniens, il était l'héritier de la famille du Maréchal Oudinot, qui avait reçu un de ces titres éclatants que l'Empereur décernait à ses généraux victorieux.

     

    Nicolas-Charles Oudinot, Général,  était élevé après Wagram, en 1809,  à la dignité de Maréchal de l'Empire Français et, le 15 août, à celle de Duc de Reggio. En 1808, l'Empereur l'avait présenté au Tsar comme " le Bayard de l'armée française".

     


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  • Le Grand Amiral von Tirpitz, mon aieul  -  Corrado Pirzio-Biroli

    Michel de Maule ;  22 nov. 2018 ;   426 p.;   26€.

    Le Grand Amiral von Tirpitz fut ministre de la marine allemande de 1897 à 1916. Ses mémoires ont été publiés en France en 1930. RoyautéNews

    Un homme qui par sa volonté forcenée, créa la marine allemande et qu'on a souvent surnommé "le Colbert allemand". Ce livre est écrit par son arrière-petit-fils. Librairie Le Hussard

    Decitre : C'est un livre d'histoire hors-série pour deux raisons. La première est qu'il recrée un personnage qui disparaît injustement aux yeux des mémoires contemporaines : celui d'un homme qui, par sa volonté forcenée, créa la marine allemande et qu'on a souvent surnommé "le Colbert allemand ": Tirpitz. Que les maîtres de l'Allemagne en aient fait ensuite le détestable usage qu'on sait n'y change rien ; il suffit de dire que Tirpitz exécrait Hitler et le nazisme.
    La seconde raison est que le récit de sa vie et de sa carrière est un roman qu'un Balzac ou un Thomas Mann n'auraient pas osé écrire : l'histoire d'un homme qui construisit l'une des plus grandes marines militaires du monde, et qui fut ensuite le maître politique de l'Allemagne, avant le désastre du nazisme. Mais aussi un père de famille tendre et attentif. Or, ce double livre est écrit par nul autre que son arrière-petit-fils, qui l'enrichit évidemment d'une foule de souvenirs familiaux. Plutôt un film héroïque.

    Le Grand Amiral von Tirpitz  -  C. Pirzio-Biroli


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  • Avec ou sans couronne  -  Michel de Grèce

    Stock ;  paraîtra le 23 janvier 2019  ;   432 p.;  20€90.

    Présentation officielle : Michel de Grèce, le romancier à l’imaginaire de conteur oriental, le compagnon des heureux de ce monde, était un petit garçon triste. Orphelin de son père à l’âge d’un an, puis de sa mère, si belle. Et prince, héritier d’une couronne sans tête à couronner. Qu’est-ce donc qu’un prince dans nos vies modernes ? Que serait-il advenu de Michel de Grèce sans l’amour d’un mariage hors des conventions ?
    Tout au long d’un récit riche d’une existence passée à glaner des histoires, Michel de Grèce mêle ici dans un désordre joyeusement orchestré royautés et artistes, légendes vivantes et simples mortels : Maria Callas, Federico Fellini, Margaret Thatcher, le général de Gaulle, Mère Teresa, Niki de Saint Phalle, la reine Elizabeth II, Juan Carlos, La Shabanou, et bien d’autres têtes, avec ou sans couronne.
    Sans une once de nostalgie, à l’orée de ses 80 ans, Michel de Grèce revient sur le pays qui est le sien, la Grèce, et pose un regard toujours drôle et lucide, sur les mille vies contenues dans la sienne.

    Avec ou sans couronne  -  Michel de Grèce

     


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  • La Rédaction

    Festivités Leonard de Vinci et les critiques italiennes

    Lucia Borgonzoni, secrétaire d'État italienne à la culture, s'est plainte publiquement de l'attitude française ces derniers jours.

    Elle reproche "à la France" d'accaparer le 500ème anniversaire de Léonard de Vinci et la mise à l'honneur que doit effectuer le Louvre cette année 2019, à partir de septembre. L'Italie veut même renégocier le prêt de tableaux consenti en 2017 à la France pour ces expositions de 2019.

    Notons que c'était aux autorités culturelles françaises d'associer l'Italie à cette commémoration, sinon à des autorités supérieures. Sauf à s'interroger si cet "oubli", inqualifiable de la part de gouvernants qui ne jurent que par des décisions collectives, veulent réprimer toute vie individuelle et qui ne soit pas cadrée comme la natation synchronisée, ne serait pas une sanction contre un gouvernement italien récemment constitué et jugé politiquement incorrect.

     

    Ce sujet va introduire notre proposition RoyautéNews de réorganiser le système aberrant qui pèse sur le monde de la Culture en France.


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  • La Rédaction

    Nous sommes favorables à la venue pour études des étudiants marocains en France, selon notre principe, articulé en deux idées qui sont applicables dans tous les pays du monde :

      - il n'y a pas d'immigration lorsque des étudiants viennent effectuer des études, et ce type de relations naturelles ne doit pas être jugé comme une part de l'immigration. Encore moins le qualifier négativement selon les appréciations négatives qui s'attachent d'ordinaire à l'immigration, qui, elle, lorsqu'elle est prise dans sa globalité, doit être vue comme la conséquence des abus illimités des services de l'Etat depuis des décennies.

      - la formation des futurs cadres venus de l'étranger doit profiter à leur pays, et leur installation définitive dans leur pays d'études doit être refusée, sauf très rares situations particulières. La capacité de voyager ensuite vers leur pays d'études ne doit pas être gênée, et l'installation pour cause professionnelle doit être refusée, en laissant la faculté aux anciens étudiants de s'associer à des entreprises ou cabinets du pays d'étude, mais comme associés externes (formation, traitement de cas internationaux mettant en jeu par exemple des questions ou des ressortissants du pays d'origine).

    Les étudiants marocains, et ceux d'autres pays, sont donc et à ces conditions les bienvenus sur le sol français et leur présence doit être souhaitée pour l'aide qu'elle doit apporter entre autres par nos bons savoir-faire à leur pays, et de même, les autres étudiants, aux pays qui en ont besoin.

    Tout le contraire de la position du gouvernement français.

     

    #IdéesRoyautéNews

    #ContributionAuxQuestionsduMonde


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  •  La Rédaction

    Nous parlons pour tout le monde. Malgré notre sous-titre d'en-tête, la voie royale ne se réfère pas au royalisme, car notre Site n'est pas royaliste, mais à l'esprit du Site : choisir nos centres d'intérêt, vivre dans un univers d'où le monde politique est banni : foin de politicaille. Politique et monde politicien étant devenus inséparablement liés, et depuis longtemps synonymes.

    Ou, si l'on veut, les idées "politiques" ne dépendent pas (seulement) des acteurs de la politique, et si le monde s'affole à juste titre c'est à cause d'eux et de cet accaparement.

    Les trois articulations pour sortir de la crise :

    1. Il n'existe pas de programme, en dehors des mesurettes hors de propos, des partis. Du côté des nombreux groupes royalistes, aucun programme pratique et adaptable n'a jamais vu le jour ! Même s'ils sont déjà d'accord sur un principe extrêmement juste, que nous partageons, et qui est issu de la sagesse des penseurs royalistes du 19e. siècle : recentrer l'Etat sur ses fonctions dites régaliennes, et laisser les gens décider à leur niveau ; traduit dans leur très parlante formule : l'Autorité en haut, les libertés en bas. Tout le contraire de l'Etat républicain actuel. Ce qu'exprimait le Pdt Pompidou "Mais arrêtez donc d'emmerder les Français !" ou, selon notre formule : État, hors de nos vies !

    Il manque un Programme ( enfin !). Nous allons révéler le nôtre, en partie, sous différents textes ou propositions précises dans les prochaines semaines. Mais déjà, nous allons donner notre position sur des sujets saillants.

    Libre à ceux qui le veulent de l'adopter et il restera le nôtre.

    Un mot, conseil désintéressé aux groupes royalistes : s'ils croient que le vent de l'avenir fera appel à eux, ou à leurs champions, tout en continuant leurs gestes symboliques désordonnés, qui n'ont jamais une seule fois dans l'histoire servi à rien, ils se trompent lourdement.

    2. Le mouvement des Gilets Jaunes appartient à tous et même à ceux qui ne défilent, n'occupent pas les ronds-points, et doivent par d'autres sortes d'action le faire vivre.

    Sur tout sujet local de mécontentement : seul ou par petit groupe, Écrire aux députés et aux maires, en plaçant, sans commentaire, la mention "Gilet(s) Jaune(s), par ex. en haut de page et sans dire, je (nous) sommes Gilet(s) Jaune(s) ni dire que c'est en tant que tels que nous écrivons. 

    C'est à chacun d'entre nous d'imposer, sur les réseaux comme dans la vie, auprès des personnes que nous connaissons, l'idée que les Gilets Jaunes constituent un point de départ définitif, une base de référence définitive.

    3. Remettre à plat les insuffisances structurelles de l'état et le mur que représente la République antédiluvienne.

    Les modes d'action sont à peu près les mêmes que pour maintenir vif le mouvement des Gilets Jaunes.

    Il doit être mis fin à l'ubérisation de la vie politique française et à la sous-traitance des secteurs appartenant par nature à l'exercice de l'Etat. Il faut demander, c'est-dire exiger, chacun d'entre nous ou par groupe et sous forme tangible d'une lettre enregistrée et séparément diffusée sur blogs ou réseaux sociaux, la réforme profonde des institutions.

    Ce qu'il faut exiger des députés : que soient admis des leviers de contrôle de l'action politique, ou contre-pouvoirs. Ces leviers ne doivent pas être encadrés par l'Etat ni par les corps politiques ni l'administration évidemment. Ils doivent s'auto-constituer.

    Que les groupes de réflexion, les think tanks de droite et de gauche, ceux du moins qui se prétendent indépendants changent leur mode d'action devenu inutile selon les temps : le moment n'est plus de réfléchir en petits comités, mais d'agir pour sceller et abolir la puissance et la prétention, violentes et déplacées, de l'Etat.


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  • La Rédaction

    Demain dernier jour de l'année nous ébaucherons les pistes et les projets à mettre en œuvre pour sortir des crises majeures. 

    Centrés, toujours comme notre regard sur l'actualité française, ces pistes, du moins leur extension, sont les mêmes pour les autres pays du monde.

    Quel horizon doit-on espérer du mouvement français, mais aussi du mouvement international des Gilets Jaunes ? Comment en faire fructifier les acquis ? Quelle attitude adopter à l'égard des puissances politiques ? Comment, non pas faire vibrer, mais déplacer sur son socle, la puissance étatique qui montre au grand jour sa véritable nature : dictatoriale, retournée contre les peuples, appliquant des programmes décidés ailleurs et au-dessus... de tout le monde.

    Ce sont ces interrogations que nos articles de demain, publiés en soirée, et la série coordonnée qui sera disposée dès le cours de janvier et ensuite, auxquelles nous tenterons de répondre. Toujours en dehors et à distance de la dimension politique, prise en compte mais considérée depuis une place d'observation et de réflexion.

     


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  • La Rédaction

    Ses 22 000 membres sont répartis dans le monde entier. L'Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem, fondé au moment de la 1ère Croisade, fut reconstitué par le Pape en 1847, et le rôle qui lui fut dévolu fut d'aider l'Eglise en Terre Sainte et en particulier, d'assister dans sa mission le Patriarcat Latin de Jérusalem.

    À la tête de l'Ordre est un cardinal résidant à Rome, Edwin O'Brien, nommé en 2011, un américain qui fut archevêque de Baltimore, et qui occupe de hautes fonctions dans le gouvernement de l'Eglise.

    Il est secondé par un Gouverneur Général, Leonardo Visconti di Modrone (neveu du grand cinéaste italien), qui fut un diplomate de haut rang. Il a pris ses fonctions en 2017, succédant au Comte Agostino Borromeo.

     

    L'Ordre du Saint-Sépulcre

    ©lpj

    L'Ordre du Saint-Sépulcre

    Une cérémonie à Paris


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  • La Rédaction

    La ville de Pontivy souhaite que les vestiges récemment mis à jour entre le 24 septembre et le 7 décembre 2018 par les archéologues soient ouverts au public.

    Le maire, Madame Le Strat, désire aussi que des fouilles complémentaires soient effectuées.

    Le château des Rohan à Pontivy a été construit au début du XVIe siècle.

    Ces fouilles ont succédé à plusieurs campagnes dont la première a commencé en 1990.

    La maison de Rohan est issue de la famille régnante de Bretagne. En 2015, Le Duc de Rohan a donné le château de Pontivy à la ville pour la somme d'un euro.

    La ville de Pontivy était la capitale de la vicomté de Rohan depuis 1396.

    Pontivy et les vestiges des Rohan


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  • La Rédaction

    Joyeux Noël à tous nos lecteurs de la part de toute la Rédaction et Joyeux Noël au monde entier !

     

     

     


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  •  L'Herbier parfumé

    Plume de carotte


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  • RN 1 et la Rédaction

    Parmi tous les couples qui se sont unis cette année dans le Gotha ou dans les familles de prestige, ou qui se sont unis peu avant, le couple fomé par le Duc et la Duchesse de Sussex est assurément le plus regardé, célébrité oblige, mais il est aussi le plus attachant car on le connaît mieux que tous les autres. Nous considérons que la jeune mariée tient à merveille sa place d'épouse royale.

    Photos @Closermag


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