• La Rédaction

    Frédéric, Duc Héritier de la famille royale de Wurtemberg a trouvé la mort le 9 mai dernier au volant de sa Porsche, à proximité d'Althausen. Il avait cinquante-six ans. 

    Il était le fils de Karl, Chef de la maison royale, et de la Princesse Diane d'Orléans, sœur de l'actuel Comte de Paris.

    Ses obsèques ont été célébrées le 25 mai à Althausen, la résidence royale, en présence d'une foule très nombreuse et du roi et de la reine des Belges et de plusieurs chefs de maisons et princes ou princesses de maisons souveraines.


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  • La Rédaction

    Les Amitiés Prince Philippe d'Araucanie font part de leur tristesse à la mort de Madame Coquatrix à l'âge de cent-deux ans.

    Paulette Coquatrix avait dirigé avec son mari Bruno Coquatrix l'Olympia, mort en 1979, la célèbre salle de spectacles parisienne. Celui-ci avait repris l'Olympia en 1954 et en avait fait un lieu mythique.

    Le couple comptait parmi les amis du Prince Philippe d'Araucanie. Bruno Coquatrix fut également maire de Cabourg de 1971 à 1979.

    Mort de Madame Coquatrix

     Bruno Coquatrix ; site notre Cinéma


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  • Catherine II  -  Anna Moretti

    Ellipses ;  biographie ;  15 mai 2018 ;   336 p.;  24€50.

    Présentation officielle : Catherine II de Russie (1729-1796) est l’un des personnages les plus mythiques de l’Histoire russe. Et pourtant cette impératrice n’a pas une seule goutte de sang russe… Rien ne prédestine cette petite princesse allemande, née Sophie Frédérique Augusta d’Anhalt-Zerbst en 1729 à Stettin en Poméranie, à devenir un jour impératrice de toutes les Russies, héritière spirituelle de Pierre le Grand. Sa vie est un véritable roman avec ses débuts difficiles, de nombreux obstacles jonchés sur son chemin, un couronnement suivi de triomphes militaires et politiques et de grandes déceptions qui parsèment sa vie privée.
    Tantôt glorifiée en tant que disciple des Lumières et amie des philosophes français, tantôt vilipendée à cause de l’aggravation du servage ou coupable de régicide, Catherine II est un mythe qui vacille entre légende noire ou dorée. Qu’une femme gouverne. Passe. Élisabeth l’avait précédée. Mais qu’une femme réforme un empire aussi vaste, aussi orthodoxe, aussi archaïque dans ses traditions oligarchiques ! Et qu’elle veuille mener sa vie privée comme un homme suscite un flot de fantasmes et d’affabulations. Trop de liaisons. Trop d’amours. Trop de tapages font d’elle une nouvelle Messaline, qui préfère ses amants – de plus en plus jeunes et beaux – à la transmission du sang pur des Romanov.
    Aujourd’hui, Catherine est de nouveau au goût du jour en Russie : son mythe impérial incarne les nouveaux désirs de l’État post-soviétique. C’est elle qui rattache la Crimée à l’Empire russe en 1783 et c’est Vladimir Poutine qui l’annexe de nouveau à la fédération de Russie en 2014…
    Derrière cette nébuleuse, l’auteur dresse le portrait tout en finesse d’une femme ordinaire, avec ses joies et chagrins, ses espérances et ses déboires. Visage réel et humain tiré de ses Mémoires, correspondance et écrits.

    Catherine II  -  Anna Moretti


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  • La Rédaction

    La Société Française d'Accompagnement de Soins Palliatifs adressait hier ce communiqué au CSA, le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel. (Clic pour agrandir)

    Soins palliatifs : objectivité absente des chaînes d'information

    En lien aussi notre article récent

    Pour signer la pétition de la SFSP


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  • La Rédaction

    Ce formidable aqueduc romain du 1er siècle est le plus haut du monde. Il enjambe le fleuve Gard et a alimenté durant des siècles, à travers l'Aqueduc de Nîmes dont il constitue une partie, la ville de Nîmes. Il est classé au patrimoine mondial de l'Unesco.

    Ce chef d’œuvre fut restauré au temps de la monarchie par les marquis de Castries, à leurs frais.

    Le Pont du Gard

    Le Pont du Gard

    cliquer sur la seconde photo pour l'agrandir


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  • L'art héraldique au Moyen Age -  Michel Pastoureau

    Seuil ;  8 mars 2018 ;   237 p.;  29€.

    L'art héraldique au Moyen Age -  Michel Pastoureau

    Présentation officielle : À la fois signes d’identité, marques de possession et ornements décoratifs, les armoiries ont pris place, du XIIe au XVe siècle, sur de très nombreux objets et œuvres d’art à qui elles ont apporté une sorte d’état-civil : leur étude est bien souvent le seul moyen dont nous disposons aujourd’hui pour en retracer l’histoire et la transmission. Édifices et monuments ne sont pas en reste et dès la fin du XIIIe siècle, les églises deviennent ainsi de véritables « musées héraldiques ». Partout, leur représentation, rigoureusement codée, donne naissance à un art original – l’art héraldique – dont l’apogée se situe au XVe siècle.

    En quatre parties, L’Art de l’héraldique au Moyen Âge s’attache ainsi à retracer l’histoire de cet art, toute la symbolique qu’il véhicule, en fournissant au lecteur les clés de cette science qui répond à des règles bien particulières. Le livre présente plus de 120 chefs-d’œuvre héraldiques, favorisant une diversité de supports (tapisseries, sculptures, peintures, émaux, etc.) qui permet de saisir, à travers un foisonnement de couleurs, la portée esthétique d’un art parfois méconnu.


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  • La Rédaction

    Cet article est dédié à TR

    En relief de l'article d'un site ami [Clic ] rappelant qu'il y a six ans que Richard d'Amphernet nous quittait (lire ici), voici quelques livres consacrés à son aïeul René Madec, marin devenu Nabab du Grand Mogol.

    Hommage à Richard d'Amphernet

    Hommage à Richard d'Amphernet

    Hommage à Richard d'Amphernet

    Hommage à Richard d'Amphernet

    Hommage à Richard d'Amphernet


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  • Journal intime de Nicolas II  -  Jean-Christophe Buisson

    Les 500 derniers jours du dernier tsar racontés par lui-même ;

    Perrin ;  18 mai 2018 ;  220 p.;  18€.

    Un résumé : Les 500 derniers jours du dernier tsar racontés par lui-même. "C'est un document exceptionnel. Unique. Et presque inédit : depuis sa parution il y a plus de quatre-vingts ans, il n'a jamais été réédité en France. Durant plus de cinq cents jours, entre l'assassinat à Petrograd, en décembre 1916, de son prophète de malheur, Grigori Raspoutine, et la semaine précédant sa propre exécution, en juillet 1918, dans le sous-sol d'une maison d'Ekaterinbourg, en Sibérie occidentale, le tsar Nicolas II a tenu un journal presque quotidien.
    On y lit non seulement le témoignage anxieux d'un autocrate assistant, impuissant, à l'écroulement d'un empire séculaire dont il était le maître et le garant, mais aussi le récit froid, clinique [...], des derniers jours d'un père, d'un mari, d'un homme. Un homme blessé. Prisonnier. Humilié. Menacé. Condamné. Et bientôt assassiné".

    Journal intime de Nicolas II  -  Jean-Christophe Buisson


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  • Le siècle de l'édit de Nantes - Bernard Cottret

    CNRS Editions ;  1er mars 2018 ;  320 p.;  25€.

    Présentation officielle : Les guerres de religion qui ont ensanglanté le royaume de France, nous lèguent de la religion une image de violence et de fanatisme, faisant écho à notre situation contemporaine. Pourtant dès 1598, grâce à son édit de Nantes, la France a expérimenté un mode de coexistence original entre ses confessions religieuses. C’est la révocation de l’édit de Nantes en 1685 qui a mis fin à ce face-à-face, gommant pour longtemps des esprits la singulière réussite de ces temps d’exception.

    Vingt millions de catholiques et un million de protestants, à la suite de Luther, de Calvin ou du concile de Trente, partageant une culture largement commune, ont évolué ensemble sur notre territoire et fait l’expérience d’une cohabitation inédite. Leur confrontation s’est accompagnée de multiples emprunts et échanges qu’explore ce livre au travers de quelques grandes figures engagées, de Théodore de Bèze à François de Sales, de Catherine Lévesque à Marie de l’Incarnation.

    Un moment charnière de près d’un siècle généreusement mis en valeur par Bernard Cottret, mais aussi un temps exemplaire de confrontation pacifique entre tenants de religions différentes, précédant les Lumières.

    Le siècle de l'édit de Nantes - Bernard Cottret


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  • La Rédaction

    Le Maréchal Mobutu

    Second Président du Congo, devenu le Zaïre, de 1965 à 1997, le Maréchal Mobutu avait la stature d'un grand chef d'Etat et il était parfois qualifié du surnom de roi.

    Nous n'aborderons pas la nature politique de sa présidence, car, en grand démocrate inspiré du Communisme le plus noir, il avait dérivé vers la dictature.

    Mais nous voulions vous présenter un de ses titres. Lorsqu'il avait abandonné ses prénoms de Joseph Désiré, il avait adopté le nom de Sese Seko. Il était Sese Seko kuku N'Gbendu Wa Za Banga, ce qui signifie en langage Peul : « Intrépide guerrier, Terreur des Poules et autres femelles ».

    Son nom de Sese Seko signifiant, quant à lui : « le guerrier qui va de victoire en victoire sans que personne puisse l'arrêter ».


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