• Au sujet de la légalité des "mesures sanitaires" du pouvoir

    La Rédaction

    Au sujet de la légalité des "mesures sanitaires" du pouvoir

    Pour nous, le pouvoir en France depuis longtemps ne correspond plus à la République, telle qu’elle-même se préconisait.

    Un peu plus tard, tel qu’il en vient à s’exercer, et dépasse les actes du pack exécutif (président-ministres et leur suite) et les actes des autres pouvoirs : politiques encore (Chambres ; partis), médiatiques, administratifs, judiciaires, ceux des lobbies, etc. etc.; - c’est-à-dire approximativement et dépassant cette addition, ce que nous appelons sur notre Site, « le Système », bien que notre définition soit beaucoup plus complexe - le pouvoir est pour nous devenu totalement illégal. Et ce, de façon fondamentale. Bien des années avant l’irruption "providentielle" du virus. Providentielle pour les tenants et les exécutants de la dictature déjà si avancée jusque là, et pour ce qu’il s’agit d’un nouveau pas de géant vers la forme qu’elle entend atteindre, pas de géant permis parce que cette crise, prenant pour cadre un événement - très relatif, très mineur, touchant le domaine général de la santé. Nos lecteurs anciens n’ignorent pas les motifs sur lesquels prétendent se justifier les pires horreurs ou les pires bêtises, ceux qui, toute réflexion suspendue et d’un claquement de doigts, emportent d’avance l’adhésion. Ces motifs-relais, à coefficient émotionnel extrême, utilisés par les manipulateurs pour obtenir tout ce qu’ils veulent : les personnes âgées ou faibles, les enfants, la santé...

    Partant, crions au feu... et sautons par la fenêtre. L’acte de réfléchir n’étant pas en général un point fort des Français.

    Le point étant admis espérons-le que, pour nous la dictature ne commence pas avec ce que l’on appelle "la dictature sanitaire". Et que l’illégalité et l’illégitimité majeures de l’actuel organe aux commandes depuis quinze à vingt ans ("le système actuel", dans notre répertoire de termes), provenues de ces mêmes vices encontrés par le pouvoir au fil des ans (pouvoir effectif, effectuéeffectuant  : notions que nous apportons à la philosophie politique et à la philosophie du Droit) affectant tout aussi bien l’ordre du politique que l’ordre général de la société, celui-ci comme produit vicié du Système... Il n’y a plus lieu de distinguer, bien que ce ne soit pas notre propos ce soir, entre pouvoir dirigeant et principe dirigeant... ; et que la République Soi-Même, n’a plus lieu depuis belle lurette de ne pas être affectée, par contagion, des mêmes vices, illégalité et illégitimité. Ses crimes, gardons les pour le dessert ou pour une autre fois. (1)

    Ces précisions étant faites, rien ne nous empêche plus de vous proposer de regarder Le Samedi politique de TVLibertés paru aujourd’hui Clic et ses vérités particulièrement bien dites !

     

    (1) : La République ici en cause n’est ni " la Grande République ", ni la Vème en tant que telle - la vraie de 1958, comme celle très détournée, presque contraire mais qui en porte le nom encore aujourd’hui - ni encore le système de gouvernement républicain pris comme s’opposant à un système royal. 

    Celle qui est citée est la forme ou structure, y compris dans la représentation symbolique qu’elle évoque pour beaucoup, de l’État. Comprise par opposition aux personnages, (très) faillibles, qui occupent temporairement, en apparence, les sièges de cet État. Apparence, n’ouvrons pas ici le débat sur les chaises musicales, car l’accès aux sièges du pouvoir entraîne une prébende à vie faite d’une succession de sièges différents, répartis entre les mêmes individus, ce qui n’est pas le cas dans le jeu.


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